Une petite baignade non désirée [Terminé]

Cela faisait quelques jours que le jeune Liam était atterrit sur le monde d’Harmonia. Son retour sous guerrier de lumière ce faisait de mieux en mieux, quoi que le jeune elfe n’était pas tombé sur de géantes créatures qui auraient pu mettre sa vie en danger. En effet, tout allait bien, malgré qu’il passe de longue journée seul, parlant quelques fois à des personnes, mais ce n’était jamais de grande conversation développé ou encore il n’arrivait jamais une aventure qui pouvait rester marquer dans la tête des gens. C’était la découverte de nouveaux lieux, le retour dans ce monde qui représente l’équilibre, l’espace gris entre le blanc et le noir…

En ce jour chaud et ensoleillé, le jeune elfe c’était perdu dans les champs et il était finalement arrivé face à l’imposante Jungle des Anciens, comme on l’appelait sur Harmonia. Liam était un elfe et il aimait évidement les forêts, les jungles, bref la végétation en général. S’assurant qu’il avait son épée sur lui, il ne put s’empêcher d’aller découvrir les lieux.

* Je me demande quels sont les secrets de cette Jungle des Anciens … Il doit bien y avoir des choses à voir, je ne peux pas y croire ! *

Liam marchait, tout heureux. Ça lui faisait vraiment du bien d’être encerclé d’arbre, de gazon, de cette chaleur et de cette humidité. Quoique l’humidité, il s’en serait bien passé, mais après tout, il ne fallait pas faire trop son difficile et un peu d’humidité n’avait jamais vraiment tué personne !

Le guerrier de la lumière désirait uniquement ne pas se faire pourchasser par une géante créature qui voulait que ce jeune elfe soit son repas. Non, le jeune Liam était ici uniquement pour une petite balade d’après midi tranquille. Du moins ça c’était ce qu’il voulait, mais ces moments là dans la vie de guerrier était plutôt rare, voire inexistant.

Voilà comme tout estomac qui se respecte, ce dernier cria famine. Il avait faim, mais terriblement faim et Liam était à des kilomètres à la ronde d’Equillios, la grande cité d’Harmonia.

* Sûrement qu’il doit y avoir plein de bons fruits sucrés dans cette jungle ! *

L’elfe parcourra donc encore la jungle, à la recherche de quelques choses pour se mettre sous la dent. Tout cela lui ferait tant de bien ! Du moins, plus particulièrement à son estomac ! Le Lucinien se promenait un peu partout, mais il y avait rien d’intéressant, mis à part quelques mûres ou des petits fruits de se genre, mais rien de bien consistant pour son estomac…

Alors que Liam regardait en l’air pour regarder s’il y avait des fruits accrochés dans un quelconque arbre, il y avait d’autres êtres dans cette Jungle qui eux avaient envie de manger également. C’était des plantes carnivores ! Malheur ! Ces dernières qui étaient tout le long d’une allée, formant un corridor essayait toute d’attrapé le pauvre elfe. Ce dernier sortit rapidement son épée et trancha le plus possible de plantes.

* Fallait vraiment que je tombe sur des plantes carnivores affamé moi ! *

Tout cela ne faisait pas tellement l’affaire du pauvre Liam. D’ailleurs, ce dernier trébucha contre une racine d’un arbre qui sortait du sol et se retrouva face première sur le sol. Il trancha les plantes autour de lui, mais il y en a une qui avait tout de même réussi à lui mordre le mollet … Voilà du sang qui coulait un peu partout. Les plantes carnivores se battaient maintenant aussi pour le sang de l’elfe qui se retrouvait par terre … C’était le moment de courir.

Liam réussit à se sortir de ce corridor si étroit de plantes carnivores. Il ne passera plus jamais là, je peux vous le garantir ! Voilà seulement qu’avec toute cette course, il c’était retrouvé devant une falaise et de l’autre côté de la falaise, il y avait un énorme arbre avec une multitude de fruits qui semblait appétissants. Malheureusement, le Fleube Numa séparait la falaise et l’immense arbre. Mais comme par magie, on dirait qu’il y avait des lianes qui traversaient dans les airs pour permettre à l’elfe d’allé rejoindre l’autre arbre. Il n’avait plus rien à perdre, donc il s’élança.

Tout allait bien, jusqu’au trois quarts du parcours. Liam avait terriblement à sa jambe, surtout où le mollet et il se retrouvait à plusieurs mètres dans les airs au dessus du Fleuve Numa. Ce qui devait arriver arriva, Liam tomba. Pas à cause de la liane, cette dernière était bien solide, mais en cause de lui, qui était maladroit et il avait tombé. De plus il n’avait pas sa force physique d’antan pour se tenir dans les lianes.

Le guerrier de la lumière fut chanceux dans sa malchance. Il tomba dans un endroit du Fleuve où c’était profond. Donc aucune blessure mais un gros Splash ! Par contre, c’était dans des rapides. Donc l’elfe fut entrainer jusqu’à ce qu’il réussisse à s’accrocher à une branche sur le bord d'une rive … Maintenant il fallait sortir de l’eau et au plus vite, car il y avait du mouvement sous les pieds de Liam !

Notre héroïne préférée était une vraie guerrière. Elle se baladait dans une jungle profonde et impénétrable. La verdure formait un toit au dessus de sa tête, et son regard devait percer des couche de feuillage avant d’apercevoir un malheureux centimètre carré de ciel… tout était caché par une épaisse couche de verdure, la terre, les tronc d’arbre étaient inaccessible, comme si la couleur verte avait décidée elle seule de dominer toute les autre, le bleu du ciel et le brun de l’écorce étaient caché, emprisonnait par cet épais méli-mélo de feuillage de plante en tout genre, arbre, arbuste, liane, fleur exotique, fougère, lierre… L’air était tiède, différent de celui qu’elle connaissait, différent de celui des montagnes , différent de la fraîcheur des sapins humide et de l’odeur de la mousse, des tronc d’arbre mort rongé par de petite bestioles. Non cet air la était différent, un air tropical qui sentait les fleurs et les fruit, un parfum qui aurait pu inspirer la marque Tahiti pour créer un nouveau shampoing.

Le physique de la jeune fille avait un peu changé depuis son arrivée sur l’île. Ses cheveux bleu électrique partaient maintenant dans tout les sens, ondulaient -indomptables- pour se laisser couler et frisotter devant son visage, contre son cou ou sur ses seins, les mèches qui lui servaient de frange avaient étaient repoussé en arrière et venaient plonger dans une cascade rebelle. Elle passait sa main régulièrement dans cette brume bleutée essayant vainement d’y remettre de l’ordre, sans grand succès d’ailleurs. Ses sourcil, bleu foncé, presque noir, étaient froncé, de fatigue et de colère, car après tout elle en avait marre, elle craquait, déprimait, était blasée. Rien allait comme elle l’aurait voulu, et ses pupille, rétrécie presque au maximum, ressemblant à une tête d’aiguille, révélaient sa fatigue et sa peur. Sa robe déchirée était trempée, faute au petit ruisselet qu’elle avait voulu traverser et dans lequel elle était tombé. Ses bras maigre et livide faisaient un peu pitié à voir, il faut l’avouer. Elle serai passée quasiment inaperçue dans un ghetto d’heroinomane et autre junkie douteux, sûrement à cause de ses veine qui était vraiment apparente sur son poignet, ou du vert chlorophylle des arbre qui illuminaient son visage, lui donnant un teint maladif. Une des nuits qu’elle avait passé ici, elle s’était fait mordre par une araignée et avait gratté ses blessure jusqu’au sang, ses mains et ces avant bras étaient désormais couvert de cicatrices.

Elle décida de se reprendre un peu en mains. Elle retira sa robe, ses collant, ses ballerine, tout ces bijoux, tout ses froufrous et tout ces truc qui servaient à rien. Avec sa lame, elle déchira des pans de sa robes, les noua, les attacha avec des pseudo lianes, pour se faire un ensemble de vêtement qui aurait pu se trouver dans la garde robe de Jane, la copine de Tarzan. Une robe très lègere, blanche mais ressortant verte à cause de la lumière, très transparente, qui révélait un peu trop ses sous vêtement mais qui était tout de même plus pratique à transporter. Avec un autre bout de tissus de sa robe, elle se fit un bandana, avec lequel elle noua bizarrement ses cheveux, pour laisser sa nuque respirer, avec seulement quelques mèche qu’elle n’arrivait pas à maîtriser qui tombaient contre sa nuque puis dans son dos, mais son visage était désormais dégagé.
Le reste de sa robe, ou plutôt cet espèce de tas de tissu informe, elle décida de se le nouer dans le dos, à l’aide encore une fois de branche souple. Elle devait faire des nœud bizarre pour ne pas gêner ses ailes, car elle le savait maintenant, un réseaux de nerfs les parcouraient, elle en avait fait l’expérience en s’accrochant malencontreusement à un buisson épineux. Elle avait passé deux heures à se défaire de la, deux heure d’extrême souffrance et de longue agonie

Je ne sais pas si je vous l’ai déjà dis, mais notre chère Needy étais dans un sale état. Mais ça ne portait pas atteinte à son moral, ni à sa volonté d’acier. Son petit baluchon sur le dos, elle se mis à avancer à travers la jungle. Elle était pied nus, la mousse et les petites plantes lui chatouillait les orteil. Elle avait un bon rythme, car elle s’était reposée un peu plus tôt. De fin muscles s’étaient formé dans ses jambes et elle pouvait se vanter maintenant d’avoir quelque chose entre sa peau et ses os ce qui n’était pas le cas une semaine plus tôt. Le fait d’être à l’ombre des arbre lui remontait le moral, et dans ce climat tropical elle se sentais bien . Des chansons lui hantaient l’esprit, la voix de Jim Morrisson la berçait doucement dans cette jungle obscure, et petit à petit, elle se sentait comme le capitaine Willard, elle n’aurait même pas était étonnée de croiser dans cette jungle le colonel Kurtz, entrain de régner en tyran sur un village aborigène du Cambodge.

This is the end
Beatiful friend
This is the end
My only friend, the end