• Prénom : Konwen. (Remplacer Scende par Konwen donc ^^)
• Nom : Leviaz.
• Race : Humain.
• Sexe : Masculin.
• Age : 25.
• Peuple : Umbra.
• Description physique (min. 3 lignes) :
Plutôt grand, Konwen possède cependant une carrure assez fine. Une légère côte de maille ainsi que des genouillères, chausses et gantelets feuilletés d’aciers constituent son équipement. Une longue cape onyx descend jusqu’à ses pieds et une capuche dont les extrémités sont brodées d’or couvre ses cheveux. De longs et soyeux cheveux noirs qui encadrent son visage. Un doux et mince visage, presque enfantin dont le rouge de ses yeux contraste avec la pâleur de sa peau. Une sorte de pique se forme sur ses chausses pour parfaire sa tenue, on ne sait jamais, quelques incongrus pourraient oser lui marcher sur les pieds. Puis une longue épée lui sert d'arme pour tout de même se défendre.
• Description mentale (min. 5 lignes) :
Antipathique, navrant et hautain ou bien charmant, séduisant et de bonne compagnie ? Konwen se joue du monde qui l’entoure. Il n’a à vrai dire qu’un seul mot à la bouche : L’argent. Ah, que ne ferait-il pas pour l’argent ? Il pourra être le plus galant de tous les hommes et s’occuper de jolies damoiselles dont le rang en dit long sur leurs richesses. Ou bien faire l’éloge d’un noble qu’il croiserait par hasard sur sa route pour gagner son amitié ainsi que ses faveurs. Il se donne des airs d’aristocrate et veut que sa fortune complète son rang imaginaire. Il ne quitte jamais son malicieux et insolant sourire. Il s’en arme aussi bien pour séduire et complimenter que pour rabaisser et invectiver tout en finesse. En somme, un beau parleur sans scrupule qui manipule pour le plaisir de vivre dans le luxe.
• Votre histoire (min. 10 lignes) :
Né d’un père qui s’est évaporé à sa naissance et d’une mère acharnée au travail pour subvenir aux besoin de ses enfants, Konwen était l’ainé de ses deux sœurs. Enfant capricieux, dès son plus âge son goût pour le luxe fut prononcé. En effet, vivant dans une vieille maison près d’un château de riches aristocrates dont sa mère était la femme à tout faire, il ne pouvait que désirer le bonheur de ses voisins. Mais comment faire quand on n’a à peine de quoi se payer un repas quotidien pour tous ? Ambitieux, Konwen se jura de trouver le moyen. Aussi, tandis que ses sœurs aidaient sa mère débordée, lui préférait s’en aller rôder autour du fameux château. Bien vite il fût apprécié de tous et compris que ce genre d’amitié pourrait lui rapporter beaucoup. Dès qu’il le pouvait, il entrait dans celui-ci en prétextant vouloir se rendre utile. Il les observait, tous. Analysait leurs mouvements : quel geste à quel moment, quelle tenue à quelle période, quel comportement avec quelle personne. Ainsi, il parfaisait seul son éducation dans les coutumes de la noblesse, passant presque tout son temps avec eux. Il ne se sentait pas attaché à eux, ni à sa famille mais puisqu’il était très apprécié, les cadeaux affluaient en nombre. La seule chose qu’on ne lui a pas offerte et que son père avait laissée, ou oubliée était une longue épée. Aussi, Konwen s’essaya à la manipuler puis y pris goût et prenait donc du temps dans ses journées pour s’entraîner.
Cette routine dura fort longtemps, précisément jusqu’au jour de son vingt-cinquième anniversaire. Il quitta le château la nuit tombée, extrêmement fier de la belle cape que lui avait offert le maître du domaine puis rentra chez lui. Sa mère, entourée de ses deux sœur ; lui tendit une petite bourse en lui souhaitant bon anniversaire. Konwen arqua un sourcil, s’empara de la bourse et dit :
« Merci mère mais vous n’auriez pas du. Après tout vous gagnez à peine de quoi vous nourrir. Et puis regardez votre tenue, vous devriez économiser pour vous habiller convenablement. Mais il est vrai que vous une piètre penseuse, mon intelligence provient sûrement de mon père qui a fuit devant une idiote telle que vous. Ainsi ai-je passé tout mon temps chez nos adorables voisins qui sont vos employeurs. Mais il est temps pour moi de partir et tenter de construire ma vie ailleurs, découvrir d’autres horizons ! Ne vous en faites pas pour moi je saurais me débrouiller. Et pour vous… Eh bien bonne chance. »
Sans laisser le temps à sa mère de répondre il alla dans sa chambre, s’empara de son épée et d’une pomme, salua une dernière fois, tourna des talons et quitta définitivement la chaumière.
• Pouvoir choisi de votre camp :
Ombre (attaque)
• Votre arme de départ :
Une longue épée dont la lame est gravée d'une sorte de dragon rouge et dont le manche est incrusté d'un rubis. Ainsi que son gantelet qui recouvre l'intégralité de son avant-bras droit et forme des griffes à l'extrémité de ses doigts.