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• Prénom : Delilah
• Nom : Valentine
• Race : Nuaïte
En résumé, cette race est complètement fictive. Je la décrirai dans mon physique, mais c’est un genre d’ange, pour ne pas dire simplement qu’elle a des ailes et une auréole. Attention : Les ailes peuvent apparaître ou non, pour ne pas créer trop d’handicap puisqu’elles ont une bonne envergure.
• Sexe : Féminin
• Age : 17 ans… en âge humain.
• Peuple : Lucina
• Description physique (min. 3 lignes) :Qui a dit que la beauté était réservée aux dieux ? Bien sûr, tout le monde, mais c’est faux. Un appui précis et exact n’est nul autre que cette image que projette les Nuaïtes. C’est d’ailleurs la raison pour laquelle je suis là… Non pas là, l’autre côté, pour vous en présenter une, commençons donc de ce pas.
S’écoulent en un flot d’ivoire de doux cheveux légèrement frisés qui lui arrive à la taille même, surmontés d’une auréole dorée, ils ne sont pas moins qu’un attrait particulier de cette femme resplendissante et ébahie. Juste au devant, tout près du front, de sa coiffure, une sorte de couronne prône sa tête avec deux bouts de tissu semblables à deux oreilles félines auxquels se suspendent de petits bijoux de diamants, tout pour démontrer son appartenance royale. Ses cheveux toujours attachés en queue de cheval ne peuvent pas non plus lui nuire au cours de combat. À cette coupe soignée et que peu emmêlée se rattache une tête aussi belle que fine. Un front que très peu large est caché par une magnifique frange en séparation. Ses yeux, d’un brun ravisseur, embellissent encore plus ce visage qui se forme de relief avec un nez fin et juste assez pointu qui sépare son visage en deux parties isométriques. Puis après toute la peau lisse passé se crée de petites courbes, juste sous son nez, que les gens prennent plaisir à identifier comme «yeux des lèvres». Justement juste en dessous de ça, deux petites membranes de peau d’un rose doux crée un léger contraste avec la peau blanche de cette dame. Puis ce termine ce visage somptueux et paradisiaque en un menton légèrement pointu souvent caché par son haut. Sur chaque côté de cette même tronche se camouflent, derrière les cheveux, de petites oreilles à peine plus grosses que des kiwis, cela ne la pénalise pourtant pas dans l’ouïe, qui chez elle est d’ailleurs très développée. Ces mêmes myosotis(oreilles) ornent les côtés de deux joues rougis par on ne sait quoi.
Sa peau s’écoule ensuite tel un fleuve en un cou mince et relativement court, caché par un col en tissu doré et souligné de vert. Ce col s’élargit par la suite en de frêles épaules à peine plus large que le corps d’un chat, excluant la queue. Ses bras relativement long sont tous les deux vêtus d’épaulières en tissu or, qui ne cache en rien son appartenance royale, fusionnées à des gants de soie blanche très fin qui lui remonte en haut des coudes. D’aucune musculature précise, on la sous-estime souvent… trop souvent. En ce qui concerne son dos, il n’y a rien de bien précis à y dire étant donné qu’il est toujours caché par sa chevelure, on peut toutefois en dire que c’est là que se retrouve tous les liens qui tiennent ses habits sur elle et, aussi, c’est là qu’apparaissent ses ailes, en plumes blanches, lorsqu’elle le désire.. En ce qui concerne les devants de son tronc, à l’ouverture, de douces et souhaitables formes qui sont cachés derrière une sorte de corset noir aux motifs floraux, eux aussi taillés dans un tissu doré. Passé ce gonflement, un corps mince caché derrière le même tissu que sa poitrine.
Son corps s’élargit encore pour laisser place à son bassin, rond, bien entendu. Trop de bijoux au niveau de la ceinture, il serait bien trop compliqué que de les décrire. Ce qui concerne son sur-vêtement, une sorte de longue jupe avec en dessous une jupe courte et des pantalons mince. Sur tout le long de ses jambes elle porte ce vêtement, à ses pieds, c’est plutôt des bottes blanches qui se marient bien avec ses un mètre et soixante centimètres.
• Description mentale (min. 5 lignes) :Malgré cette beauté à couper le souffle, elle est bien loin d’être parfaite. En effet, la perfection, contrairement à la beauté, est un attribut destiné aux dieux seuls. Pour en revenir à cette chère Delilah, voyons ce qui la rend imparfaite.
Si ce n’est pas son attitude farouche, alors ce serait sa schizophrénie, oui en effet, elle en souffre, mais sait l’endurer. D’ailleurs elle vit très bien avec. Sur tous les points, elle peut se contredire, comme être d’accord. Ses deux personnalités diffèrent, néanmoins, ça peut facilement devenir une qualité si l’une est sanguinaire et l’autre non. Avec ce trait, l’intelligence, l’audace, l’amabilité et la gentillesse se fusionne à merveille. Parfois, il n’est presque pas possible de voir la différence entre le côté «Delilah» et le côté «Mariah», c’est ainsi qu’elle nomma ce second côté. Fine stratège, elle sait quand attaquer et quand ne pas attaquer, elle a souvent rouler ses ennemis dans la farine avec ses stratégies impossibles. Malgré ces magnifiques qualités, elle reste très sensible et superficielle sur les bords. Et à cela s’ajoute bien entendu ces merveilles d’oreilles et sa vue perçante. Remarquablement, son rang de guerrière ne lui ai pas attribué pour rien. Bien entendu, sérieuse, mais attention, seulement quand il le faut. Surexcitée de nature, il n’est pas rare de la voir en train de sauter, mais bien sûr, elle est logique et saura que s’il y a un quelconque risque, elle ne bougera pas. Après vient le grand… Attention ! N’y aller pas trop fort en remarque, de nature susceptible et rancunière, elle saura trouver un châtiment digne de l’«insulte». De nature poétique, elle adore l’écriture et tout ce qui va avec. D’autant qu’elle est déterminée, c’est une fille sociable et avec de grandes ambitions. Du genre narcissique, elle soigne énormément sa personne. Le dernier trait de sa personnalité serait sûrement l’empathie, comme toutes les personnes de sa race, elle ressent les sentiments des autres.
• Votre histoire (min. 10 lignes) :Les contes de fée sont parfois le contraire de ce que l’on croit. Il n’est pas bien dur de s’en rendre compte, regarder Le Petit Chaperon Rouge. Toutefois, certains sont des plus heureux, d’autres… neutres. Ceci n’est pas exactement un conte de fée, mais vous verrez facilement la vie de son personnage : Delilah Valentine. Mais avant de commencer, laissez moi vous dire qu’une histoire ne commence pas par une naissance, une histoire commence par une union…
Faute de scolarité, les gens n’avaient pas toujours moyen que de voir des princes et des princesses défiler et quand cela arrivait, ils étaient protégés par toute la garde royale. Quoi qu’il en soit, le prince le plus rebelle, aîné de ses frères et sœurs, avait eu aujourd’hui son dernier sermon d’enfance puisque bientôt, oui bientôt, il devrait épouser la sage princesse obéissante et non-amoureuse qui lui serait imposée. La seule façon que de changer cela était de rencontrer une noble qu’il aimerait réellement. C’est donc avec cette idée en tête, que l’héritier du trône était parti, à la recherche de ce mythe que l’on nommait âme sœur. Pas la peine de vous dire que la chasse fut difficile puisqu’il était très rare que de voir une femme seule sur cette terre. De longues heures passaient sans plus de résultat, la plazza se désertait et tranquillement le prince perdait espoir. Il regarda les magasins et vit enfin une jeune bourgeoise aussi belle qu’étrange. Elle était d’une race qu’il ne connaissait pas et lui était un humain, un banal être humain. Tout de même, il l’aborda, elle l’eut tranquillement en confiance et bientôt, à peine un mois plus tard, elle revêtait une robe blanche et lui un costume à la couleur du royaume, soit le noir. Un an plus tard, tous les deux prenaient place comme roi et reine.
À peine quelques jours après leur mariage, la nouvelle princesse était tombé enceinte. Elle sentait flétrir en elle son bébé et qui bientôt l’accompagnerait dans ses démarches. Neuf mois plus tard, la grossesse touchait à sa fin et la petite Delilah commençait son histoire :
Jour N
Je voyais maintenant de tous les côtés l’ombre noir partir, tout m’abandonnait et moi je m’obstinais pour rester là où j’étais bien, dans se ventre grandissant où mon zygote c’était posé. Tranquillement, une sorte de lumière apparaissait, je ne savais plus où me diriger dans le noir où mon placenta se résignait à rester ou encore dans cette lueur blanche qui n’avait mieux à faire qu’à m’intriguer. Ce que j’avais souhaiter qui n’arrive jamais, arriva. Mon ami me repoussa et je dus sortir. Les yeux fermés, je ne voulais pas voir ce qui m’attendait dans cet autre monde. J’avais peur. Quand tout mon corps fut sorti, j’exprima ma peur avec un cri râpeux qui réjouit pourtant celle qui me tenait. Quand je vis qu’ils ne me voulaient pas de mal, je cessa de crier et j’identifia les deux êtres qui me regardait comme maman et papa. Jamais plus je ne m’en séparerais.
Les années passèrent sans que rien ne se produise. Pas d’évènements marquants, ni même de jour fétiche. Elle n’avait connu ses grands-parents, mais ça lui était égal, elle était avec les deux personnes qu’elle aimait le plus au monde. Le jour où elle eut quinze ans commença à lui éduquer les arts de la guerre :
Jour G
L’épée est l’arme sacré que l’on a souvent utilisé en guerre. J’ai trouvé ce qu’un jour je serai, une puissante reine-guerrière. Le gentil Général Karhien avait pris soin de m’entraîner à ce qu’on appelle le combat ici à Lucina. J’y avais pris passion, j’adorais tous mes entraînements d’autant que tout était grandiose une fois une épée à la main. Je délaissais mes parents pour retourner vers l’épée et le bouclier. Quinze ans, seulement, et déjà je maniais avec grâce l’épée.
Puis tout continua à avancer et l’armée l’accueillit à ses seize ans dans les rangs sous menace de sa part puisqu’à leur avis : La princesse n’était pas faite pour l’armée. Sa dix-septième année commença et on la nomma Commandante. Plus bas que Général, mais plus haut que Lieutenant. Et ainsi, sa vie continue de s’écrire.
• Pouvoir choisi de votre camp : Bénédiction
• Votre arme de départ :Cette épée et ce bouclier :
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