[Quête] Disparition Lucinienne [Terminé]

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Au Détour d'une ruelle sombre

Un bureau malodorant, deux personnes en face de moi, visiblement opposé et se détestant, une quête proposée et deux alternatives...
Comment en suis-je arriver la déjà? Ah oui je me souviens. Près de cette petite auberge, "la choppe en folie", au détour d'une ruelle sombre, cet être d'Umbra était venue discrètement m'accoster. Connaissant mon métier, il avait un contrat a me proposer. Une princesse, innocente et égarée, a abattre. Se sont celles qui crient le plus. Il faudra être très discret...

Chemin faisant vers l'endroit ou il m'expliquera le contrat et me proposera la récompense contre la tête à ramener, on croise un messager. D'un blanc immaculé, d'Harmonia, ayant entendu le nom de la princesse dont il collais les avis de recherche depuis ce matin. Il criât, au meurtre, à l'assassinat, au complot, au régicide... Il fallut être silencieux, il fut assommé puis trainé pour être tuer un peu plus loin, a l'abri des yeux et des oreilles indiscrètes. Ce fut ce qu'il fut prévue a l'origine mais un détail retint mon attention, ce qui sauvât sa vie. La fiche qu'il affichait depuis ce matin, la récompense, plus élevée, beaucoup plus... Il aura la vie sauve, du moins pour le moment.

Mon colis, ou plutôt otage, sur le dos, je put bientôt entrer dans cet établissement de fortune, lieux de rencontre composé d'une seule pièce sombre ou l'ont donnais les contrats n'ayant jamais exister et distribuer les récompenses qui n'ont jamais été données. L'otage, ou plutôt l'hôte, fut posé sur une chaise en face d'une table et libéré, sous le regard étonné du messager d'Umbra. Une fois réveille, j'expliquais sa situation au messager blanc, lui collant sa fiche de recherche sous le nez.
"- tu aurais du mourir, voir même être torturé pour un tel affront mais, dans son infinie bontés, ton maître t'as sauver la vie, du moins pour le moment. Ton offre est actuellement plus élevée que la sienne. Si elle le reste, tu restera vivant et ta princesse aussi."

faisant signe au messager de l'ombre de rejoindre son compère d'Harmonia, je lançât une simple phrase, associé au geste innocent de poser mes deux dagues longues à ma portée, sur la table et un chiffon pour les nettoyer des traces du dernier contrat, résumant ainsi parfaitement leur situation.
"- les négociations vont pouvoir commencer".

J'écoutais vaguement leur discutions, nettoyant mes armes, les jambes croisée posées sur la table. Le discours qui suivit fut risible. parlants en même temps, au nom de leurs seigneurs respectifs, ajoutant une babiole dont je n'ai que faire, un peu plus d'or dont je n'aurais pas l'utilité, gonflant chacun la récompense pour leur partit de choses inutiles et sans intérêt. Ils m'offrirent le spectacle que j'attendais : La dispute et la sottise de l'ombre et la lumière dans toute leur splendeur. Bientôt le discours pris fin d'une manière abrupte, le messager d'Umbra sortie sa dague. Énervé et n'ayant plus rien à surenchérir, il attaqua l'autre messager. Le geste fut simple, droit, portée d'une manière très précise, et une giclée de sang suivit. Le messager de l'ombre fut tranchée net au poignet et sa main, tenant encore la dague tombât sur la table sous le regard terrifier des deux messagers.

Essuyant la nouvelle tache sur ma lame, je lançât d'une voix plus sonore
"- les négociations sont terminées, aujourd'hui je travaillerais pour le messager d'Harmoria".

De rage, le messager d'Umbra se jeta sur moi, une deuxième dague sortie d'un des replis de son habit. Un deuxième geste, simple, rapide et précis, mortellement précis ce coup-ci. La sensation dans ma main fut étrange. Elle me donnais cette vision particulière,comme si je perçait un grain de raisin avec un cure-dent.
Le messager lâchât sa dague et portât sa main restante sur son œil, ou la mienne était encore plantée, serrant la lame de toute ses forces pour la retirer. Un geste de recul, rapide, violent. un Jet de sang, plaisir, Un cri de douleur, extase. et une vision délicieuse. Les doigts du messager fraichement tranché par la violence de mon geste, tombant sur la table, tandis qu'il se vidais de son sang, de par sa blessure au visage et aux extrémités de ses deux bras. Il agonisait au sol, mourant...
J'essuyais de nouveaux mes lames, le messager y avait laisser beaucoup de traces puis une fois ma besogne fini je lançât, en quittant la pièce.
"- tu a gagner ta vie messager, ta princesse également Je la livrerais, ou ce qu'il en restera, à ton roi".
une fois la porte fermée, j'entendis distinctement le bruit du métal entrant dans la chaire, et un dernier râle du messager d'Umbra. La dernière personne dans la pièce, dans un élan de pitié, avait mis fin à ses souffrances

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[Quête] Disparition Lucinienne [Terminé] 070814145055-rayon-de-soleil-maison

Au pied d'une montagne

Il me fallait maintenant me préparer pour cette mission. L'avis de recherche, la missive donnée par le messager d'Harmonia, indiquais la Grotte aux Ossements, en plein dans les montagnes.
Froid, neige, glace. Il me fallait trouver de la chaleur, des peaux, des habits chauds à mettre sous mon armure. La un tanneur, je rentre, prend de la fourrure, douce chaleur au milieu de la neige. Le tanneur veux être payé, je lui donne une piécette dorée, butin du précèdent contrat. Cela lui suffit, il ne se pose pas de question et me laisse la fourrure, je n'aurais pas à le tuer, dommage.

De retour chez moi, au calme, quiétude, repos. Je rassemblait mes affaires. Mon arc et son carquois, trente amies sont rangée dedans, des pointes en métal, létal, perforeuse d'armure, des pointes de chasses. Mes deux dagues, mes trancheuses de chaire fraichement nettoyées et propres posées sur ma table. Mon armure, divine protectrice et mon manteau, ma discrétions, puis les fourrures, la chaleur dans la neige. Tout est posé sur la table en face de moi, il ne manque plus que mon masque, mon âme, ma conscience, mon véritable visage. Dernier point, mon sac en toile, des vivres et des cartes des montagnes, savoir ou se diriger, une couverture, cela durera plusieurs jours. La lune est haute dans le ciel, ce soir je dors ici, chez moi, au calme, du repos, un vrai repos.

Le soleil me réveille par ma fenêtre. Des rayons de lumière, me tirant de ma torpeur. Il est temps de partir accomplir mon contrat. Je m'équipe, fourre dans mon sac le reste de mes affaire et prend la route. Direction le froid, la montagne, les Grottes aux Ossements et leur princesse a délivrer. Le sentiment d'être suivit me tiens, désagréable, l'impression d'être épié. Nous sommes en ville donc c'est normal, d'autres personnes sont la, Ma capuche cachera mon vrai visage et tout ira mieux.

Une fois sortie de la ville, et quelques kilomètres après, ce sentiment est toujours là; oppressif. Je me suis retourné souvent, trop, beaucoup trop souvent. Personne, ce dois être mon esprit qui se joue de moi. Pas d'attaques, pas de vol, cela ne doit être rien de réel. Je me dirige donc vers ma destination. Au fur et a mesure que les kilomètres passent, la terre autour de moi change d'apparence. Revêtant au départ les traits de terres agricoles, puis de plaines dégagées, elle fit par revêtir son habit de forêt, une forêt dense au pied d'une montagne. Pas encore assez haut pour la fourrure. il ne fait pas froid.
C'est sous les yeux de cette présence imaginaire que je m'engouffrait dans la forêt. Cette belle forêt ou perçait les rayons du soleil matinal, passé au dessus de sa montagne, symbole d'immobilité millénaire, et filtrant entre les arbres.
J'avançais vers les arbres, au pied d'une montagne.....

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[Quête] Disparition Lucinienne [Terminé] Riviereforet568551

Au bord d'une rivière

Cela fait presque trois heures que je marche ici, fatigue. La terre autour de moi a toujours son habits de forêt, perdu. Le soleil est haut dans le ciel désormais, chaleur. Le chemin est escarpé, difficile à gravir mais il faut avancer encore un peu, épuisement. La pause est pour bientôt, très bientôt. Les vivres sont dans mon sac et le midi sera bientôt la avec son repos... Je me sens toujours observé, sensation désagréable qui n'en fini pas, danger.
Une heure de marche dans cette forêt et je vois une rivière la traversée , parsemée de cascades car le chemin est escarpé, je suis sur un sentier de montagne après tout. M'approchant d'elle, je trempa ma main dans la rivière, froid, je la porte a ma bouche, bon, fraîche. cette eau est douce et potable. Fit de la carte, je suis la rivière et trouve une clairière , un peu d'ombre sous un arbre et de l'eau a portée. Ce sera le lieux de ma pause, repos. Je pose donc mes affaires et prend un peu d'eau dans la rivière pour boire, frais, bon. Un peu de la viande séchée que j'ai pris avec moi, rassasié, bon également. Un peu de repos avant de repartir, une heure maximum, je n'ai pas le temps de trop m'attarder. Je me sens toujours observé, je cherche dans la clairière mais ne vois personne... Je pourrais penser que je deviens fou si je ne l'étais pas déjà.
Dans le calme de la clairière, bercé par le bruit de l'eau et du vent, je me laissais allez a somnoler, seulement somnoler, ce qui m'observe pourrait m'attaquer si je dormais.

Un bruit retint mon attention, le bruissement des feuilles qui n'était pas dû au vent. Ils parlaient. Ils se parlaient. Ils me parlaient. Quelque chose allait se passer. Rapidement je récupère mon arc, mon carquois avec ses amis à l'intérieur, mes dagues, coupeuses de chaires. Je me cache dans l'arbre au pied duquel je suis assis, un peu d'escalade me réveillera complètement et un point de vue haut m'aidera, le feuillage me cachera, merci l'arbre de me dissimuler, merci la nature de me prévenir. La raison de ce bruissement se montrât, en nombre, beaucoup, mais pas encore assez. ces faibles créatures a tuer, sang, extase, bonheur, elles sont toujours agressives mais trop faibles pour êtres menaçantes, sauf quand elles sont nombreuse, et elles le sont, ces galopins. Ce combat sera intéressant, je vais les tuer ! Elles ne sont que dix, arrivant à peine dans la clairière, sans se soucier du danger.

Calme, implacable, Un sifflement, une amie part de mon arc, sans pitiés pour sa cible. Elle touche en pleine tête, la traversant presque dans le sang et la douleur de l'être mourant. Neuf et en alerte désormais, ils sont de l'autre coté de la clairière et ne savent pas d'où venait le tir. Une autre amie par rejoindre la première, en plein cou, implacable, elle étrangle le galopin dans un gargouillis immonde, succulent. Huit et ils ont localiser la direction, mais pas encore localiser l'arbre, de l'autre bout de la clairière. Ils regardent dans ma direction mais ne me voient pas, merci mon ami pour ta discrétion, merci l'arbre. Une troisième amies vole vers eux, hâtive de retrouver ses amies déjà rouges du sang de leurs cibles, en plein torse, entre les deux poumons. le petit être tombe a la renverse avec le choc, s'étouffe et meurt, noyé dans son sang et la douleur, vision d'extase. Sept et ils savent précisément ou je suis. J'ai encore le temps pour trois flèches, trois amies, avant qu'ils ne soient à mes pieds. Ils courent vers moi quand ma flèche fonce vers eux, un sifflement les frôlent mais ils ne tournent pas la tête pour voir leur ami tombé, touché en plein a travers l'œil, il a chuter au sol, masquant la blessure létale, mais me laissant voir la flaque de sang s'étendre sous sa tête, plaisir. Six et toujours au pas de course. Les deux suivant reçurent le même sort, une flèche en pleine course stoppa leur vie, en plein cœur et dans le poumon, des jets de sang en partit, rajoutant à l'extase. cinq, quatre et a mes pieds. Je range mon arc, le lanceur de mes amies et dégaine mes dagues, mes précieuses trancheuse de chaire et plonge au milieu des quatre Galopins. Visant bien, les dagues vers le bas je tue l'un d'entre eux en le lacérant de haut en bas, effusion, il ne souffrira pas malheureusement. L'autre en revanche oui, je n'ai pas sauter au sol au milieu de la mêlée mais sur l'un d'entre eux. Broyé, j'ai entendu a l'impact les os céder, sa cage thoracique n'est plus qu'un lieu ou le sang afflux, au sol, il se meure. Trois, Deux, terrifié l'un fuit et l'autre tremble son épée pointée vers moi. Un coup de dague de la main droite dans l'épée, elle chute au sol. La main gauche viens lui caresser sous le cou, la dague continue la caresse et fait ce qu'elle a a faire, tranchant les chaires. Plus qu'un seul... un Fuyard criant, je reprend mon arc et une amie et le tue. En plein dans le dos, il n'as pas souffert non plus. Ses cris continuent alors qu'il est mort, et se multiplient.

Des Galopins en renfort, un peu plus de jeu et je suis au sol, et a découvert. Je ne peux pas les tuer de la même manière, ils sont dix aussi, cela vas être ... plaisant. Je me cache derrière l'arbre, mon amis, ton tronc vas me protéger. L'arc a la main encore une fois, je tire vers eux. Un, Deux, mais il se rapprochent, certains ont des lances et les lancent vers moi, je dois les éviter, je n'aurais le temps que pour une troisième avant qu'ils ne soient sur moi, adrénaline, excitation.
Trois, en plein cœur, au moment de lancer son arme. Quatre, sa lance à dévié et tuer un de ses amis, chance. Ils sont sur moi, tous trop stupides ils sont six, d'un seul coté de l'arbre. je fait le tour et cours vers la forêt. Vers la ou ma carte me disait d'aller. Ils n'ont plus d'arme de jet... ils me suivent, me course et me traque... Plaisir de la chasse. Au bout d'une course effrénée, je trouve un rocher derrière lequel me cacher. J'écoute, la nature, les bruits, les galopins. J'espère les avoir semer mais pas trop, je voudrais encore les tuer...

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[Quête] Disparition Lucinienne [Terminé] Golem007copie7yd

Caché derrière la pierre

Caché derrière mon rocher, j'écoute attentivement, les arbres, les feuilles, les bruits de la nature et de ces Galopins. ils sont proches et avancent vite. Ils seront bientôt sur moi donc je dois agir vite, adrénaline encore, si bon. En face de moi a quelques mètres, un autre rocher ou me cacher. J'attendrais qu'ils soient sur moi pour y courir, les frapper avant d'atteindre un autre endroit. Et ce sentiment me perturbe, toujours cette sensation d'être suivit, observé par autre chose que ces satanés Galopins, quelque chose de plus puissant.
Un bruit aiguë, strident, l'un d'eux se dresse sur la pierre et appelle ses amis. Un coup de Dague fuse, touché en plein cœur, se sera létal. Un quart de tour avec le poignée tenant la dague, la plaie restera ouverte, il se videra de son sang sur la pierre, rouge, si rouge... plus que cinq Galopins et mon jeu s'arrête.

Je cours vers le second rocher me cacher, passe par dessus et le sens bouger. La pierre bouge, se dressant face a moi, tel un Golem, élémentaire de pierre. L'autre pierre aussi recouverte du sang du Galopin et entouré de quatre autres de ces espèces de gnomes à ses pieds. L'élémentaire de pierre proche des quatre Galopins et s'amuse avec eux, les broyant, les piétinant, les déchirant avec ses mains, sauvage. Un galopin fut projeter sur un arbre tellement fort qu'il fit corps avec lui dans un bruit de chaire molle et de sang, le deuxième fut broyer par le golem qui le piétina, piétinant complètement au passage le bras son voisin, le troisième, au point qu'il en fit corps avec la terre. Le quatrième fut bris dans les bras du golem qui l'arrachât, comme on arrache les pétale d'une fleur. Ces Golems me plaisent, ils jouent au même jeu que moi.
L'élémentaire de pierre en face de moi me donna la chasse, associé au dernier Galopin, me coursant a travers les arbres. Je cours, vite, sans me retourner, je ne pourrait vaincre une entités pareille en l'attaquant de front. Être magnifique, puissant, bestial et semblant immortels, les élémentaires sont magnifiques mais encore trop puissant pour que je puisse jouer avec eux.
Soudainement, silence puis hurlement. Je monte a un arbre et regarde derrière moi, le golem m'as abandonné pour une cible moins rapide et plus faible. Le dernier Galopin est disputé par les élémentaires comme deux enfants se disputeraient une même poupée. La poupée hurle son désaccord, sa douleur et se meure, personnage désormais inintéressant.
Je me cache dans le feuillage, reste à l'abri dans mon arbre, prudent. J'observe les élémentaires s'amuser, jouer, quel beau spectacle. Une fois fini ils retournent a leur place et reprenne leur forme, leur piège. Deux rochers innocents qui sont en réaliser des monstres puissants. Je suis hors de danger mais je dois récupérer mes affaires, mes cartes, mes amies encore plantées dans les Galopins, c'est donc en faisant un détour que je retourne à la clairière.

Mes affaires sont toujours la, mes amies aussi, et se sentiment aussi. Je me sent toujours observé, désagréable. Je dois trouver d'où cela viens, mais plus tard, la je dois d'abord reprendre mes amies et nettoyer mes trancheuses de chaire.
Six de mes amies seulement sont récupérable, les autres sont brisées ou perdues. Je les nettoie dans la rivière et les remet dans mon carquois, il m'en reste encore vingt-trois meurtrières en tout. Autour de mes dagues, nettoyées amoureusement et essuyée patiemment. C'est pendant que je les essuies que j'entends une respiration, une deuxième respiration parallèle à la mienne mais ayant de la douleur dans la voie. Le Galopin ayant un bras en moins a survécu, étonnant, et m'attaque par surprise, une lame prise sur un de ses congénères dans le bras restant, peur. La lame me touche en plein sur la plaque d'armure protégeant mon avant bras, chance pour la deuxième fois. Je le tue de nouveau, lentement, surement, la dague glissant lentement le long de son épaule pour atteindre le cœur. La surprise est passée, je dois de nouveau nettoyer mes armes, le Galopin sera noyé en complément pour me payer ça.

Une fois ma besogne terminée et mes affaires rassemblées, je reprend la route, toujours observé, toujours traqué. Je me retourne pour démasquer l'être m'épiant, personne, encore et toujours personne, mais je le verrais un jour, tôt ou tard. J'évite les être de pierre et avance plus profond dans la forêt, plus haut dans la montagne. La forêt commence peu a peu a se changer, enlevant ses habits de forêt printanière et prenant ceux qu'une vrai forêt de montagne, un voile blanc de neige pour la masquer viens bientôt en complément. J'arrive près des grottes, je suis dans la montagne, dans le froid, dans la neige. L'heure d'utiliser la fourrure est venue, si chaude, si agréable. Je m'en délecte. Le chemin continue dans la neige, plus que quelques heures je serais à la grotte avant la tombée de la nuit si tout vas bien.

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[Quête] Disparition Lucinienne [Terminé] Ombredemonombre

L'Ombre de mon Ombre

La marche continue, seul, imperturbable et froide. Les fourrures me font du bien, elles me réchauffent, je devrais remercier tanneur plus tard... ou le tuer pour reprendre ma pièce, je ne sais pas encore. J'avance alors qu'autour de moi la terre abandonne son manteau de forêt enneigée pour prendre son habits de montagne couverte de neige. Je suis seul mais je sens une présence, de plus en plus oppressive. Je me retourne, encore une fois et ne vois personne, toujours personne mais je sais qu'il y a quelqu'un et il est de plus en plus près quoiqu'il soit. Je vais donc continuer... suis-je fou ? Je sens quelqu'un juste la, derrière moi me touchant l'épaule et je me retourne, la dague a la main, tranchant l'air. Il n'y a toujours personne et pourtant... il était la.

Je baisse les yeux et vois mon épieur, mon oppresseur, mon agresseur. Il est la devant moi, tout de noir allongé au sol sur la neige blanche. Ses pieds courent jusqu'au miens et se cachent en dessous. Je le vois maintenant il se cache derrière moi pour pas que le soleil ne le vois. Allongé sur le sol, imitant tout les gestes, ayant mes formes, ma silhouette. Rend moi ma silhouette voleur ! Je vais le tuer, même s'il est immense, plus grand que moi, même si il est allongé au sol. Il est composé de ténèbres mais je le tuerais. Il imite mes gestes quand je prend mon arc, quand je prend ma flèche et quand je lui tire dessus. il n'as pas chercher a bouger, juste a m'imiter et la il ne bouge plus.
J'avance... il me suis, toujours allongé au sol, il n'est pas mort. La flèche l'as touché mais ne lui a rien fait, sans doute car il est composé de ténèbres. Je retourne récupérer mon amies au sol, plantée dans la neige et la remet au chaud dans son carquois. Il m'imite toujours et a même essayer de prendre ma flèche, il veux me tuer, je le sais !!!.

Il me fait peur, les dagues plantées en lui ne le touche pas, les flèches non plus. Je le tuerais, je le combattrait par la magie. Magie contre magie, mon seul sort, en plein sur lui. Je crée mon sort, la boule d'arcane. Dans ma main se forme cette sphère, noir, exquise. Une fois formé je la projette sur l'être de ténèbres allongé au sol, a mes pieds. Lui qui se joue de moi, il vas gouter a ma magie. Celle-ci explose au contact de la neige, sur une zone réduite créant de la glace. Il est la sur, la glace, il n'as rien. Il m'imite toujours et se joue de moi.

je repère un arbre mort aux branches pendantes. je regarde au sol, une ombre. Les pointes des branches donnent des pieux acérées a son ombre, voila de quoi le tuer... les ténèbres par les ténèbres. Je me jette à coté de la branche, juste a coté et mon épieur, cet idiot, n'as pas compris mon stratagème et a foncer sur les pieux de l'ombre de l'arbre. Il ne les a pas éviter, je le sais car Je l'ai vus ! Malheureusement cet être de ténèbres est solide, il me suis toujours m'observe et m'imite toujours, il veut me tuer, je dois fuir. Je cours dans la neige, dans le froid, et je vois une grotte. Je me cache à l'intérieur. Il y fais sombre, il y fait comme la nuit. Je regarde derrière moi, il n'est plus la, mon épieur ne me suis plus. il m'attend sans doute dehors, au soleil, il a peur de l'ombre, de la nuit. J'attendrais la tombée de la nuit pour le semer, il a peur du noir. Je ne suis qu'as une heure de la grotte aux ossements, plus qu'as une heure de mon contrat. J'attends ici et me repose, au calme, à l'abri .

La nuit tombe, soulagement, il ne me suis plus, il n'est plus la. je reprend ma marche vers la Grotte, une heure de marche dans le froid, la température chute mais la fourrure me tiens chaud. Après une marche ennuyeuse et solitaire au milieu de cette neige silencieuse Je vois bientôt la grotte, elle semble avoir une faible lumière, je m'en approche discrètement, mes trancheuses à la main. Je regarde à l'intérieur, des torches, des bruits. Sans doute les brigands. Je m'engouffre discrètement dans la Grotte pour les trouver, les tuer, les torturer et peu être délivrer la princesse qu'ils détiennent.

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[Quête] Disparition Lucinienne [Terminé] 678681glace

Au détour d'un couloir

Les torches sont fixées au mur, éclairant mon chemin d'une manière très... tortueuse. Les bruits sont loin, je vais avoir beaucoup a marcher avant de les tuer. Cette grotte ressemble a un tunnel, sombre et froid. La lumiere des torches me permette de me diriger vers le bruit des discutions. au bout d'un quart d'heure de marche dans ce tunnel humide, je constate qu'il s'elargie, pour deboucher finalement vers une caverne, ronde, avec des stalamiques ou se cacher.
Au bout de cette caverne, la suite du chemin, l'unique chemin et trois gardes occupé "a garder" cet endroit en jouant aux dés, futiles, stupides, mort bientôt, oh oui très bientôt.
Je me cachait derriere le stalamique le plus proche et pris mon arc, décochant une de mes chasseuss vers le groupe. Le gagnant de la partie de dé a recuperé son dut, la chasseuse l'as heurté en plein dans le cou, le tuant a petit feu, au sol, souffrance. Un beau spectacle s'offre a moi. Les deux brigands hurlent, prennent peur et cours vers moi, sortant leurs épées. Se sera au tour de mes trancheuses de s'amuser. Ils m'attaquent tout les deux en même temps.
Pour des brigands ils sont inexperimentés. Leurs lames sont mal tenues et leurs coup peu assurés, peur pour eux, plaisir pour moi. Mes lames fusent, tranchent et se delectent de leur sang dans une magnifique danse macabre. Je part leurs coups, et découpe leurs doigts, les obligeant a lacher leurs armes. L'un d'eux tombe a genoux sous la douleur, la dague plantée en sa gorge lui fera taire cette douleur pendant qu'il s'effrondre au sol. Le dernier a peur, il a vus sous ma capuche, mon masque, mon vrai visage et le rictus qui y est gravé. Il crois affronter un démon et ne se débat pas quand ma lame s'enfonce dans son torse pour lui percer le coeur, un lent plaisir.
Une fois mes trancheuses récupérées je m'occupe de retirer mon amie de la gorges du brigand. Malheureusement celle-ci est inutilisable, elle aura fait son office mais en touchant la cervicale , celle-ci c'est brisée. Je repart donc vers le fond de la grotte, sachant qu'avec ce bruit, les brigand ne vont pas tarder à arriver. c'est quelques minutes plus tard, au détour d'un des couloirs sinuyeux et humides de cet endroit que je tombat sur quatres autre des brigands. dans ce couloir exigue, on ne tiens qu'as deux sans pouvoir esquiver les coups, ce jeu sera pour moi.... amusant.
Les deux brigand a l'arriere essayent de me tenir a distance avec leurs tridents. Ceux de devant essayent de m'occir a coups d'épées si je m'approche. Je vais m'amuser avec eux et leur protection stupide, un peu de magie arcane, mon seul sort, et un petit jeu. Je forme dans la paume de ma main la sphere arcane et la jete sur les pieds des deux idiots devant moi. La sphere explose juste entre leurs deux bottes collée ensemble, prenant a témoin la glace environnante. Voila que leurs deux pieds, engelées de surcroit, se retrouvent prisonniers ensemble de cette même glace, les empechant d'avancer plus et empechant les deux idiots à la lance derriere de passer devant.
Je recule de deux pas et prend mon arc, c'est un jeu divin qui se dresse devant moi. La premiere de mes amies que je décoche avec mon arc cours heurter en plein thorax l'un des brigand hurlants de peur. Ce fut l'un de ceux de l'arriere garde qui tombat. Une deuxieme flèche et, oh surprise. Le brigand a eut un reflexe qui lui sauva la vie, celui de se tourner, l'assassine c'est plantée dans son épaule, le faisant chuter hors de ma portée, extase, ce jeu est amusant.
Sur l'avant garde le jeu fut simple, une flèche en pleine tête pour l'un et le second fut fini avec mes trancheuses. Ses mains lui ont été confisquées ainsi que sa tête. Je put rattraper notre fuyard, après avoir escalader les cadavres sur mon chemin. Celui-ci essayait de sauver sa vie en allant voir son chef et se fut sans vie, trainé par le col de son tueur qu'il se présentat a lui, quel plaisir j'eut à jouer ce rôle.

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[Quête] Disparition Lucinienne [Terminé] Poesie-jolie-femme

une belle vision

Leur chef se tenait devant moi, une épée dans chaques mains. Un grand cimeterre tronais dans la main droite, tatoué et gravé par endroit pour être magnifique et dans la main maniant habituellement un bouclier se tenait une épée courte et légère. A peine plus grande que mes dagues longues, elle etais fine et gravée de plusieurs motifs. Pure décoration témoignant de la qualité de ces armes, j'en tirerais un bon prix... ou je les garderais pour moi, je ne sais pas.
Leur chef etaits drapé de noir, comme un assassin et ne semblait pas tressaillir en voyant mon masque, mon vrai visage. Il semblait experimenté et le tuer sera un délice sans doute très plaisant.
Il était avec deux gardes, apeurés et plus jeunes que lui. tenant maladroitement leurs armes, un cimeterre pour l'un et une hache de combat pour l'autre. Des armes de piètres qualité pour de piètres brigands, seul le chef m'interessait.
la salle, notre lieux de combat, ne ressemblait pas au reste de la grotte. Sur le sol et sur les rebords faisant office de sieges ou de lit étaient posé des tapis et des fourrures, ajoutant un certain raffinement à cette pièce. Les murs révélaient la pierre qu'il y avait sous la glace tant cet endroit était chauffé. De glace en cette pièce il n'y en avait pas d'ailleur, des torches fixées aux murs s'occupaient de chauffer cet endroit pour qu'il y fasse bon, bien plus agréable et plus luxueux que le reste de cet endroit.
Derriere eux, sur des peaux entre les fourrures et les tapis, se tenait leur prisonniere. Dénudé et attachée au mur par une simple chaine au pied, du métal, dur à briser, il faut la clef pour l'avoir. elle etait assise, la tête baissée et l'air abattut, belle vision. La sauver? La tuer? Je ne sais pas encore. Mais leur chef me fait envie, je veux l'affronter, le vaincre, le tuer...
Il rangeat son épée courte et m'invitat à avancer. une fois au centre, encerclé par ces trois derniers brigands. Il me saluat, lentement comme un danseur saluerais sa cavalière avant de la faire danser. Soudainement, par le coté, un coup arriva, esquivé de justesse et la danse commençat.
Je dansais au rythme effréné des coups, les esquivant, les parants et contre-attaquant. Rapidement les deux acolytes du brigand furent tuer. L'un par un coup de dague dans la carotide et l'autre... perforé en plein poumon. Il ne restait que nous, moi et cet homme. Souriant fasse au rictus de mon vrai visage, il sortie son épée courte et m'invita à danser une nouvelle fois, plaisir, grand plaisir.
Le rythme de cette danse fut endiablé, nos lames se croisant et nos pas se faisant au rythme puissant de notre orchestre imaginaire. Parant, esquivant, attaquant, nous semblions en parfaite égalité, en parfaite harmonie, bonheur. Malheureusement, comme tout les beaux instants, celui-ci prix fin. Dans un combat ou les deux adversaires sont de même niveaux, le vainqueur est celui qui ne se fatigue pas. Son experience refletait son age et malheureusement cela lui fut fatal. Ralentissant progressivement, il ne vit pas le coup qui le perçat a jour, en plein dans l'oeil. Mes trancheuses de chaire vint lui trancher son ame. en un magnifique jet de sang, ce combat pris fin, comme il avait commencer. Dans le plus grand silence, orgueil et plaisir d'avoir vaincu m'envahirent.

J'avançais maintenant vers l'otage, dagues à la main, décidant de son sort au fur et à mesure de mes pas.

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[Quête] Disparition Lucinienne [Terminé] 443467CITY_OF_ELLDWIN1002X768

une nouvelle histoire a raconter

La jeune princesse me regardais, terrorisée, emettant un petit bruit aigue a chacuns de mes pas vers elle. Elle se mis silencieusement a pleurer quand je pris sa jambe, tremblante, ne sachant pas ce que je lui reservais comme supplice.
Elle fut surprise et soulagée en voyant que je la liberais de ses fers et elle me.... sauta dans les bras. Ma main tremblais d'envie, ma precieuse trancheuse de chaire était encore dedans, tremblante. L'envie de la faire glisser à travers sa peau, de la poignarder de la regarder mourrir se faisait plus puissante.
Je vis, malgrès moi ma main tenant ma dague descendre vers son dos, vers son coeur. Je savais ce qui allais arriver, fermant les yeux, mon geste s'arreta soudain. Une petite stimulation, un simple son, un simple mot me fit m'arretter juste à temps.
"merci"

Ma main s'arretta net, ne voulant plus la tuer, je ne sais pas pourquoi. Maintenant, elle aura la vie sauve. Je me libere de son etreinte et lui jete une des fourrures, lui sommant de s'habiller pour pouvoir sortir d'ici. Pendant qu'elle fouille les soldat, prenants leurs vetements les plus chauds, je fais de même, prennant leur or et leurs provisions, ainsi que quelques armes, souvenir ou butin, je ne sais pas. Une fois équipé et reposé nous nous sommes mit en route vers son château, un retour sans histoire, un retour sans un mot, un retour comme je les aimes.

Bientôt nous fimes en vue de son chateau, un magnifique chateau tout de vert vétue. Un chateau comme on n'en fait qu'en Harmoria....Le roi d'Harmoria ne voulut même pas me recevoir, se fut un garde qui me donna ma récompense, esperant ne plus jamais me revoir. Je repartit donc, verifiant que tout y soit, puis me remis en route, une derniere fois, vers chez moi.
Ma grande surprise fut lorsque je rejoint mon sanctuaire, mon habitation, ma protection. Chez moi m'attendait le messager d'Harmoria, le messager blanc. Des richesses me furent offertes de la part de la princesse, richesse dont je n'avais que faire. Mais une chose, un cadeau appreciable me fut donner. Un nouveau contrat, une nouvelle récompense et une nouvelle histoire à raconter. Mais celle-ci est une autre histoire, je vous la conterais plus tard... peu être, plus tard

Yuurei Akuma --> 30xp

EDIT BY ADMIN : Xps donnés !