Séphiel Aëristh Harmonien
Messages : 513 Date d'inscription : 02/04/2010 Age : 34 Localisation : En déplacement
Feuille de personnage Niveau: (22/30) Expérience: (30/40)
| Sujet: [Quête Solo] - Illusion d'un hurlement déchiré [Terminé] Ven 30 Juil - 10:56 | |
| HRP// J'ai tenter de faire quelque chose d'un peu original. Il n'y aura pas de combat, ou même la narration habituel qu'on vois dans tout les rp. J'ai volontairement éviter de faire un pavé. Quoi qu'il en soit j'espère que vous apprécierez // Couché sur l’un des pics de glace on pouvait apercevoir un jeune homme au regard triste, les yeux plongé vers la voute céleste comme hypnotisé. Les nombreux flocons de neiges qui tombaient se soir la étaient emportés par le vent glacé de la montages. Malgré les conditions climatiques pour le moins accueillantes, l’homme adorait se reposer ici, parce qu’a cet endroit le vent qui se faufile entres les pierres et les montagnes donne l’illusion d’un hurlement déchiré, comme si la montagne elle même voulait crier au monde sa douleur, son mal-être ou bien une quelconque solitude. Ce soir l’homme se reposait, il avait accomplit la plus grande partie du chemin, enfin …c’est ce qu’il se répétait souvent pour se donner du courage. Il connaissait particulièrement bien les lieux, car il avait accomplit de nombreuses missions par le passé, de nombreux voyage dans les environs, participé à quelques guerres aussi. A travers l’épaisse couche de neige il regardait la lune, la tête poser contre le sol. Il avait besoin d’un peu de repos, car après il en avait bien besoin. Depuis qu’il avait accepté cette mission un peu folle il n’avait pas pu fermer l’œil. Mais ce soir la il pouvait bien s’accorder un peu de repos. Pas question de passer la nuit à dormir non plus, il ne fallait pas exagérer, mais juste le temps de laisser la pression retomber affin de rentrer chez soit. L’homme aux longs cheveux noirs ferma les yeux quelques instants, au même moment le vent redoubla d’intensité … La montagne criait sa peine une nouvelle fois.
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- Monseigneur Aëristh, nous sommes en période de crise. Nous avons besoin de vos services au plus vite.
L’homme richement habillé semblait presque en panique. Ses mains tremblaient lorsqu’il prononçait le moindre mot, et ses yeux claires ne restaient pas en place semblant scruter une intrusion quelconque. Il avait le cheveu gras et le visage émacié d’un homme qui se fait un peu trop de soucis, ou de ceux qui côtoient un peu trop les problèmes. Avant de répondre j’avais pris le temps de l’observer, le visage que j’avais devant moi me laissa stupéfait. Comment pouvait ont changer en si peut de temps ? Je connaissais déjà le vieil homme qui me faisait face. Mais maintenant rien n’était plus pareil. Lui n’était plus dans la garde royale, et ce vieil homme qui lui faisait face n’était pas encore un vielle homme. Le plus frappant chez lui était ses yeux, avant il y avait comme une flamme qui brulait au creux de ses paupière et qui nous réchauffaient le cœur même dans les pires moments, mais maintenant il ne restait plus rien.
- Je suppose que vous venez me voir pour cette affaire. Dans tout les trois monde ont ne parle que de ça. L’enlèvement de la fille du roi de Lucina.
- C’est bien cela.
- Je ne veux pas paraître insensible ou quoi que ce soit de la sorte. Mais qu’est-ce que ça à affaire avec nous ? En quoi la situation est si grave que vous vous êtes sentit obliger de m’appeler ? Apres tout ce sont des affaires qui concerne Lucina, nous n’avons pas à prendre partit ou à intervenir. Je ne peux pas croire que la philosophie d’harmonia ai changer autant en si peut de temps.
L’homme semblait préoccupé comme si le danger allait surgir d’on ne sais ou. Pourtant c’est ici, dans les murs du château d’harmonia que nous étions le plus en sécurité. Il semblait emproie à un conflit interne, mais je devinais aisément son malaise. Je me doutait bien que ce n’était pas uniquement pour la princesse de Lucinia qu’Harmonia voulait s’impliquer et lui savait que sans raison valable jamais je ne leurs offrirait mes services. Apres quelques instants à le regarder tourner sa tête dans tous les sens comme ci ça allait l’aider à mettre de l’ordre dans ses pensés, l’homme pris enfin la parole.
- Vous avez raison monseigneur Aëristh. Je ne vais pas y aller par quatre chemins et vous dire tout ce que je sais. Je pense que vous êtes le seul à pouvoir réussir cette quête dans les meilleurs « conditions ». La situation est en réalité très simple, Orphée, la princesse de Lucina possède un pouvoir rare, un trésor en elle qui entre de mauvaises mains pourrait complètement briser l’équilibre fragile entre les deux monde. Ce pouvoir ne peut-être contenu que dans son palais, à Lucina. Ailleurs, son pouvoir démesuré pourrait servir à n’importe quoi, ou à n’importe qui. Vous êtes le seul qui peut aller ramener cet enfant dans son sanctuaire natal avant que d’autres comprenne ce qu’elle est vraiment. Pour cette mission nous vous soutiendrons avec l’or, les armes, les renseignements nécessaire évidemment.
Je ne pus retenir un sourire au coin. C’était ce que j’aimais bien chez lui, il allait droit au but, et ne faisait jamais preuve de fourberie. Au moins cela n’avait pas changé chez lui.
Apres avoir régler quelques détails mineur je m’apprêtait à me mettre en route.
- J’ai juste une question avant de m’en aller. Comment pouvez-vous être certains qu’en aillant connaissance de ces informations je ne vais pas me servir de ce pouvoir ?
Pour la première fois depuis le début de la conversation l’espace d’une seconde le visage du vielle homme était redevenu celui que je connaissait avant. Bien que toujours ridé, il y avait toujours cette flamme aux creux de ses yeux lorsqu’il me répondit avec un sourire malicieux :
- Parce que je vous connais monseigneur Aëristh.
Je poussais un soupir faussement agacé avant de partir en vitesse. A présent il n’y avait plus la moindre seconde à perdre.
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L’homme rouvrit doucement les yeux, il ne savait pas exactement combien de temps il avait été assoupi. Sa vision était encore un peu trouble mais il arrivait à voir la lune toujours à son zénith trônant magnifiquement au milieu de nuages. En la voyant il fût un peu rassurer, cela lui indiquait que le jour n’était pas prêt d’arriver. Ensuite il tourna la tête vers la gauche pour la regarder encore une fois. Elle était habillé presqu’aussi légèrement que lui, elle avait quelques étoffes noir et bleu nuit qui tombaient élégamment le long de son corps fin. Elle aussi avec de longs cheveux noirs qui volaient avec grave au gré du vent. Le paysage geler qui l’entourait semblait porter encore plus la grâce naturelle de cette femme. Elle était accroupie au milieu de la neige près de son protecteur. Mais avant tout cela, ce que l’homme préférait chez elle s’était ses yeux, ou plutôt son regard. Il semblait plus loin qui quiconque, comme si elle voyait l’invisible, ce qui n’est pas palpable par le commun des mortels. Jamais il ne saura si il voyait juste, c’était juste une impression qu’il avait, et pour lui c’était cela qui la différentiait des autres plus que tout autre chose. Avant de partir l’homme au regard émeraude ouvrit une carte représentant les trois monde, sur cette cartes de nombreux points lumineux brillaient semblant indiquer quelque chose d’important. Il fît un sourire puis prit la jeune fille par la main et repris la route. Leurs pas étaient éclairés par la lumière de la lune, ils avaient encore beaucoup de chemin à faire. L’homme se laissait aller à nouveau à la rêverie tout en continuant sa route.
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Ma mission était simple et limpide, secourir la princesse de Lucina, Orphée. Mon ancienne connaissance avait fait jouer ses contacts et avait mit à ma disposition toute la force de renseignement Harmonienne, plusieurs centaines d’hommes entrainé à la furtivité. Très vite j’appris ou était retenu cette femme, par qui et pourquoi. Elle était dans la grotte aux ossements, un des endroits relativement dangereux situer à la montagne de glace, elle était retenu prisonnière par un groupe de briguant harmonien qui jouissaient d’une réputation exceptionnelle dans le monde de l’ombre. Chacun avait une spécialité, une force, un domaine de compétence particulier. Leurs motivations étaient encore un peu floues, on ne savait pas encore si ils voulaient la revendre au roi d’Umbra qui comme on le sait offre une grande récompense pour sa tête ou bien si ils avaient déjà découvert le secret que renferme cette femme.
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La lune commençai doucement à décliner tandis que les deux jeunes gens continuaient leurs marches. Cela faisait plusieurs heures qu’ils marchaient maintenant mais aucun d’entre eux ne voulaient montrais le moindre signe de fatigue. De temps en temps l’homme lui offrait un sourire réconfortant. Le soleil commençait à éclairer le ciel quand ils arrivèrent au village le plus proche. L’homme au regard émeraude semblait déjà connaître les lieux, il adressa quelques mots au tavernier qui lui offrit une chambre sans discuter avant de poster quelques gardes tout autour de la taverne. Une fois dans leurs chambre les deux voyageurs s’effondrèrent sur leurs lit. L’homme au regard triste avait sommeil lui aussi, mais il restait éveillé pour veiller sur la jeune fille. Le guerrier alla vers la fenêtre et regarda le paysage glacé d’un ai préoccupé.
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Les choses s’étaient avérés un peu plus compliqués que prévu. Pour arriver à cette maudite grotte j’avais du faire face à de nombreux monstres qui rodaient dans les parages. Les espions du royaume m’avaient avertit que parmi ceux qui ont kidnappés la princesse, l’un d’eux était un puissant dresseur de monstre, cet homme avait la réputation d’avoir dresser toute les bêtes existantes, passant de la petite souris au plus puissant des dragons. Moi je n’en croyais pas un mot, et même si j’avais eu un peu de mal contre ces monstres de pierres et les quelques autres bestioles il n’avait rien de si extraordinaire. Mais ce n’est pas le sujet après tout. Une fois à l’intérieur de la grotte je livrai l’un des plus dur combat de ma vie. Je du faire face à une dizaine de combattant expérimentés couvrants chacun des domaines du combat et de la magie bien différent. Je dois avouer que sans les renseignements des espions je ne m’en serais pas sortit vivant. La moindre erreur d’inattention m’aurait couté la vie…C’est un peu le cas de tout les combats, mais ça l’était encore plus particulièrement pour celui la. Mais tout de même, je dois avouer aussi que jongler entre les attaques de galopins, les boules de feu, les attaques psychiques et j’en passe avait quelques peu réveillés mes ardeurs des temps passés. Savoir que chaque geste que l’ont fait peut provoquer la mort de l’ennemie ou bien sa propre mort en cas d’erreur, sentir le souffle de la mort à chaque instant, sentir son sang bouillir en soit… Ces moments la sont les préférés des guerriers... Allez savoir pourquoi ? Le dernier combattant encore agonisant dans son dernier souffle m’indiqua ou était retenu la princesse, c’était surement sa manière à de faire jouer son honneur de combattant. Apres avoir combattu tout ces galopins, ces géants de pierres, ces faucheuses trompeuses, ces pyromanciens, ces dresseurs, ces guerriers, ces gladiateurs, en résumer les horreurs de la pire espèce. Et bien après les voir tous combattu je n’aurais jamais cru avoir que la chose la plus monstrueuse serais la devant moi. Au premier regard j’avais déjà compris de quoi il m’avait parler lorsqu’il m’avait de que la princesse renfermait un terrible pouvoir. Les autres n’avaient-ils pas encore compris, ou bien ils avaient eu trop peur de l’utiliser, jamais je ne le saurais. L’autre avait eu raison, si ils avaient envoyer quelqu’un d’autre à sa rescousse il est presque certain qu’il aurait cédé à la tentation. Je ne pouvais retenir quelques tremblements, la simple vision de cette horreur ferait frémir n’importe qui, mais j’avais une mission à accomplir. Je sans lui dire un mot je détacha ses liens puis je pris la route vers la sortie. Elle m’avait déjà comprit, elle me suivait sans dire un mot. Je le voyais dans ses yeux, elle me faisait confiance. Moi je tentais de garder mon sang froid, rien qu’a la voir j’avais mal au cœur, j’avais peur oui. Peur pour elle et pour les autres, car au fond personne ne peut gérer une telle horreur. J’avais peur, mais je l’admirais aussi, c’était incroyable de pouvoir réussir à garder cela aussi longtemps, sans tout laisser exploser et partir sans le moindre control. Il fallait que je la ramène au château au plus vite. Heureusement pour moi, j’avais une carte capable de me montrer le portail le plus proche. Sans ça, pas de doute, je serais encore à errer en harmonia avec ce elle.
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La taverne était vide depuis bien longtemps. Les habitants de la ville n’avaient rien dit au sujet de l’étrange invité de l’incube, mais ils avaient sentit que quelque chose n’était pas normale chez elle. Au moment où l’étrange couple avait quitté la ville, les habitants ont pu recommencer à respirer normalement, ils étaient débarrassés de cette affreuse sensation. Celle d’un étau serrant leurs gorge petit à petit jusqu'à provoquer l’étouffement. A présent ils étaient bien loin de la montagne enneigée et de son hurlement constant. Ils avaient traversés les plaines, les routes, les chemins les plus dangereux et même traversés les dimensions. Rapidement la rumeur du retour de la princesse Orphée en Lucina fît le tour du pays et les pires brigands qui voulaient saisir leurs dernière chance de mettre la mains sur la princesse accorèrent vers eux. A quelques pas de la ville les deux jeunes gens s’étaient retrouvés encerclés par près de plusieurs milliers d’hommes et de monstres divers réunit dans un but commun, mettre la main sur la princesse. L’homme les regardait avec un air de pitié puis ferma les yeux comme pour attendre l’inévitable.
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Elle était humaine, certes. Mais jamais je n’en avait vu de pareil. Moi j’arrivais à le voir, elle possède en elle plus de noirceur que n’importe qu’elle monstre d’umbra. Je ne même pas si elle en est consciente ou pas, et je ne sais pas non plus si elle peut l’utiliser elle même. Quand à moi il est hors de question que j’y pose mes mains. Mais malgré tout elle n’était responsable de rien et était quand même encore une enfant, je me devais de la protéger des autres.
- Séphiel Aëristh, ancien chevalier sacré d’Harmonia. Je jure de protéger votre vie au péril de la mienne. Je ne sais pas si vous êtes bien consciente de ce qu’il se passe ici, mais je ne peut pas vous laisser mourir… Ceci pour le bien de tous.
Pour la première fois je vis sur son visage ce qui ressemblait vaguement à un sourire lorsqu’elle me répondit :
- Je suis touché par tant de volonté. Mais ne vous inquiétez pas, j’ai compris maintenant ce qu’il se passait. Tout ces gens, ils ne me veulent pas moi, mais cette chose qui est à l’intérieur de moi depuis toujours. Quand à ma vie vous avez encore moins de soucis à vous faire. Je suis incapable de mourir, peut importe la douleur, peut importe la souffrance, peut importe ce que je subît je suis simplement incapable de mourir.
Elle avait dit tout cela simplement sans même sourciller. A ce moment la je n’avais pas encore comprit quel était le sens de ses paroles.
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L’homme rouvrit les yeux et tout ce qu’il vit était un carnage sans nom. De l’armée de plusieurs milliers d’hommes il ne restait plus qu’un tas de chaire disséminé de par et d’autre de la plaine. La jeune fille était toujours à ses cotés les cheveux légèrement en batail. L’homme lui remit une de ses mèches de cheveux derrière la tête d’un mouvement délicat et affectueux et se remit en route en direction du château en prenant le soin de ne pas marcher sur de la chaire encore fumante.
Une fois arriver au château le roi offrit tous les honneurs au jeune homme qui lui avait ramener sa fille saine et sauve. La jeune fille alla se reposer dans sa chambre tandis que l’incube assistait à une réception en son honneur le soir même. Les deux jeunes gens s’étaient adresser un simple regard triste en guise d’au revoir. La soir la fête battait son plein, et de nombreux invités prestigieux s’étaient rendus au château. Le roi commença à parler faisant régner d’un simple geste de la main un silence de mort. Il appela le « héro » à venir le rejoindre.
- Je vous prit de faire une ovation au seigneur Aëristh. Cet harmonien à tout risqué pour sauver notre princesses des ignobles griffes de ces bandits. En guise de récompense comme promit je vous couvrirait d’or. Veuillez prendre cette clef. C’est celle d’un des coffres qui renferme des trésors de tout Lucina.
Dans toute l’immense sale de réception on entendait scander son nom. L’harmonien avait l’air plutôt heureux lorsqu’il s’approcha du roi. Il lui tendis la clef, mais au lieu de la prendre, l’incube décocha au roi un violent coup de poing en pleine figure lui brisant la mâchoire. Le pauvre monarque tomba à la renverse la bouche en sang et les yeux révulsés par l’incompréhension et la terreur. L’harmonien lui dit en souriant :
- La prochaine fois qu’il vous prends l’envie de tenter des tells horreurs sur votre propre fille vous y réfléchirez un peu. Vous pouvez vous le garder votre or, moi je m’en vais. Mais sachez que des que j’aurais trouver un moyen de la débarrasser de ça je reviendrais la libèrerez de cette horreur.
L’harmonien partit calmement, personne n’avait pensé à le poursuivre, ils étaient tous dans un état de stupéfaction avancé, personne n’y comprenait rien. Lorsqu’il était sur le pas de la porte l’incube aperçut la jeune princesse a moitié caché. C’était la deuxième fois que l’harmonien voyait un sourire sur son visage, mais cette fois la ce n’était pas cette expression triste et mélancolique de la dernière, c’était un sourire chaleureux et plein d’espoir. L’harmonien repartit dans dire un mot et repartit dans les méandres de la ville.
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Je peut te le dire maintenant ? C’est la plus belle chose que j’ai vue de ma vie. Et sans l’ombre d’un doute, je ferais tout pour lui enlever ça et revoir un nouvelle fois son sourire .
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Yun Ne'Shel Umbrien
Messages : 1057 Date d'inscription : 11/09/2009 Age : 35
Feuille de personnage Niveau: (22/30) Expérience: (30/40)
| Sujet: Re: [Quête Solo] - Illusion d'un hurlement déchiré [Terminé] Mer 11 Aoû - 16:01 | |
| Séphiel Aëristh --> 30xp
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