Une escale stupéfiante [Kitano, Yuurei, Agathe] [Terminé]

La chaleur du soleil se fit ressentir sur la peau de Vàli, quelques gouttes de sueurs ruiselaient à diverses endroits de son visage, malgré une petite brise légère, qui lui faisait tout de même du bien.Le paysage, empli de bosquet par-ci par-là, de verdure, était d'une beautée inégalable, quelques oiseaux sifflaient une douce mélodie, au quatre coin de la plaine.
Vàli marcha d'un pas tranquille, et refléchissa à sa traversée, et une fois arrivé à la cité Lacustre, mais il chassa cette pensée, grâce à la réalité, car la cité était encore très loin, à perte de vue.

*Il faut que je trouve un endroit où je pourrais me reposer*
La main sur son épée, un regard empli de volontée, pour poursuivre sa quête, en voila un jeune guerrier courageux, qui se dirigeait vers une endrit des plus étranges, celui que l'on nomme Dera, d'après la rumeur, tout le village aurait disparu un beau matin, laissant sur place leurs bagages, argent, vêtements, comme s'ils s'étaient envolées du jour au lendemain.Le soleil se calmait un peu avec le temps, laissant place à une légère humiditée ambiante.Vàli se stopa, et fixa un point au milieu de l'horizon, avec de la persévérance, il put discerner une semblant de village, il se décidat alors à faire sa pause la-haut.Les mélodiques oiseaux ne résonnait plus dans le décor verdoyante, le jeune guerrier regarda au alentours, mai ne vit rien d'étrange pourtant.

Après une demi-heure de marche, il parvint à l'entrée village, bizarement il n'y avait pas de gardes, pour acceuillir les voyageurs venues des quatre coins du globe, alors le jeune Vàli avança vers le village, à la recherche d'une auberge.Les maisons étaient douée d'un certain sens de l'ésthétique, faites de diverses matière, certaines en pierre, d'autre faite en bois, les yeux du guerrier regardait avec attention chaques détails.Mais le détail qui le percutaient le plus, était le manque d'habitants, en effet il n'y avait aucun bruits, pas de foules, même le marché ne faisait guère de palpitations.Seul le vent, et sa brise se promenait dans le village.Vàli hurla alors, comme pour pouvoir rencontrer quelqu'un,

"Hého ! Il y a quelqu'un ?!"

Mas aucune réponse ne parvint à ses oreilles, alors il se mit en quète d'une auberge, pour pouvoir se reposer.Il marchat, à présent d'un pas plus pressé, pour pouvoir trouvé l'auberge qu'il lui fallait.Il regardait dans toutes les directions, puis pus en trouver une à quelques pas de la fontaine du villag.
La porte face à lui, il allait l'ouvrir, lorsqu'il se prit la porte en plein la figure, celle-ci était fermée, mais à une heure pareille, Vàli ne pouvait que se poser des questions sur l'étrange village qu'il venait d'arriver.

"Pourquoi est-ce fermé ?"

Il alla voir d'autre maison, à la recherche d'habitant, lorsqu'un bruit sourd retentis quelques parts dans le village.Un brouhaha dans une village où il ne paraissaient ne pas y avoir d'habitants.

"Il faut que j'aille voir, peux-être aurai-je la chance de trouver des habitants"

Il coura alors en direction du brouhaha, avec l'espoir de rencontrer quelq'un...

Sous le soleil chaleureux, illuminant cette plaine dorée, Kitano marche tranquillement sur la route, gardant sourire sur son visage, il est bon de voir ce paysage verdoyant, ça lui fait rappelé son ancien foyer, trimbalant avec le peu qu'il ait depuis son départ, il n'a presque plus de nourriture, il doit s'arrêter quelque part pour refaire le plein de son sac, il semblerait que sur la carte une village devrait se trouver à une dizaine de kilomètre de lui, Dera, voila sa prochaine destination.
Le temps passe et plus il avance sur la route et plus le nuage sombre et lugubre se fait voir à l'horizon, le chemin continue sous ce nuage, Kitano sent comme une mauvaise présage, mais cela n'empêche pas de continuer de marcher, c'est pourquoi il continue sa route.

Une heure de marche environs il lui a fallu pour atteindre l'entrée du village, déjà le ciel est recouvert, le soleil ne passe plus, l'atmosphère assez humide et frissonnant, ce lieu donne un air lugubre qu'il met le jeune voyageur sur ses gardes, rien que d'approcher la porte principale le met en garde, car au sol se trouve plusieurs habits des habitants, certain avec des armures légères, sûrement des gardes, étrange car trouver des habits sans que personne ne puissent les porter, quoi que personne ne semble être présent dans ce village, quel est ce mystère ? Kitano fait une brève visite des lieux, observant les objets, les portes, les bâtiments, tous et il constate que quelque chose est arrivé aux villageois, à en témoigné par les dispositions de bol avec de la nourriture sur une table devant un auberge par exemple, mais il y a beaucoup d'indices sur la disparition soudaine des habitants, il aimerait savoir pourquoi et aimerait que quelqu'un puisse lui répondre à sa question:

"HEHO! Y A QUELQU'UN ?!"

Son crie a dû atteindre sur presque l'ensemble du village, avec ce silence général, mais personne ne répond au début, puis un instant plus tard il a crue entendre une voix, il y a quelqu'un ? C'est ce que dit Kitano, sans plus attendre il se dirige vers cette voix, toujours à crier pour guider l'inconnue vers lui:

"HE! JE SUIS LA!"

En à peine une minute il entend des bruits de pas, quelqu'un s'approche de lui, l'inconnue sort en même temps que Kitano dans un angle mort, se regardant face à face, mais aucun des deux ne dégainent leurs armes et c'est Kitano qui brise ce silence:

"Salut! Je suis heureux qu'il y ait encore quelqu'un dans ce village fantôme, que s'est-il passé ?"

Invité

La forêt, comme la plaine, comme la cathédrale, a son atmosphère, son parfum, sa lumière, son clair obscur et ses ombres. Ce fut ainsi que le Rôdeur voyais son environnement actuel. Un cadre forestier agréable, une brise légère, la rosée du matin et les bruit de la forêt et toute la vie qui y évolue. Quelque chose de paisible, un rien mystérieux, un environnement typiquement Lucinien, pas vraiment le genre d'endroit qu'affectionne le Rôdeur en temps normal mais ce lieu avait quelque chose d'apaisant, quelque chose pouvant, l'espace d'un instant atténuer sa folie et lui faire profiter de l'instant présent. L'automne a beau se parer, comme une vieille coquette, s'orner de feuillages pourpres ou mordorés, il n'est que leurre et trompe-l'œil et la forêt recèle bien d'autres secrets qui lui tardait de découvrir. Il faut croire que les grandes forêts ont le don d'attirer les prodiges, comme les cimes élevées ont celui d'attirer la foudre. Cependant Yuurei s'installa pour une courte période dans le village voisin, histoire d'avoir un pied a terre quand il irait dans la forêt. Après tout un loup est mieux caché parmi d'autres loups, que dans une forêt vierge seul, si vierge fut-elle bien entendu.

Ce fut un étrange village qui accueillit le Rôdeur. Désert, calme, sans vie... En clair parfait pour lui. Le nom de ce village était Dera,d'après la pancarte en entrée de ville. Ce village qui semble plus que simplement abandonné, un peu comme s'il était maudit ce qui ajoutait au coté excitant de la situation. Plus personne dans les lieux mais encore tout sur place, bagages, vêtements, outils... C'est comme ça dans les guerres et les malédictions, les gens abandonnent les villages où vivent les hommes pour se réfugier dans la forêt où vivent les bêtes sauvages. Les bêtes sauvages, ça vit parfois mieux que les hommes dans certaines situations.

Cela faisait une journée maintenant que Yuurei était ici, attendant simplement en cet endroit abandonné de tous, cet endroit ou il était seul et en paix. La nourriture y est encore bonne et le village désert est calme. Ce matin, alors qu'il dormait dans un grand hamac devant une maison de pierre abandonnée. Le calme de ce lieux fut troublé par un peu de vie, comme un semblant d'animation humaine en un étrange évènement. Un homme semblait appeler à l'aide, allant de maisons en maisons, cherchant apparemment les habitant un peu comme s'il paniquait. Le Rôdeur se tira de sa torpeur et regardât le ciel au dessus de sa tête, un ciel sombre indiquant la pluie ou quelque chose de plus mauvaise augure... Triste est l'automne pour celui qui ne sait l'égayer, cependant, ce qu'il y a parfois de beau avec l'automne, c'est lorsque le matin se lève après une semaine de pluie, de vent et brouillard et que tout l'espace, brutalement, semble se gorger de soleil. Yuurei détournât les yeux du ciel et observât l'étrange étranger, il criait pour essayer de localiser les habitants qui avaient disparut depuis un bon moment maintenant. Yuurei regardait l'homme errant de ruelles en ruelle, profitant de l'anonymat que lui offrait les diverses cachettes de ce village. Il semblait être un chevalier, droit et noble, avec des yeux rouges perçants mais à l'allure juste. son opposé en somme, pas vraiment le style de personne qui plait à Yuurei. Il observait se second étranger quand soudain un bruit de voix vint attirer l'attention du Rôdeur et apparemment du chevalier également.

Yuurei se dirigeât plus près vers l'inconnu criant pour l'observer discrètement, toujours dissimulé par les diverses cachettes de cet endroit et il put ainsi voir la seconde personne qu'ils avaient entendu tout les deux. Un second inconnu lui hélait ses réponses... Tiens, donc ils sont trois personnes ici, nombreux pour un village abandonné, non ? Yuurei regarde les deux personnes discuter, discrètement, calmement, le nouvel étranger était une espèce de Ronin, un pseudo-samouraï sans maîtres parcourant le village et discutant avec un chevalier armuré à l'air droit et aux yeux rouges et Yuurei qui les observait. Apparemment ils se dirigeaient vers le bruit, le capharnaüm qu'il y avait eut plus loin... ou peu être exploraient ils tout simplement le village sans buts particuliers. Yuurei observait discrètement, calmement quand soudainement il sentit une présence derrière lui... une présence puissante mais curieusement familière et qu'il savait non agressive envers lui, quelqu'un observait l'observateur apparemment... mais qui est-ce donc ?

Le géant se retourna silencieusement, lentement et il la vie une nouvelle fois, la jeune et belle Agathe, cette jeune créature buveuse de sang qu'il avait rencontré il y a encore peu de temps à Tenamas. Yuurei souriait en voyant la jeune femme et lui lança de sa voix habituelle, sa voix caverneuse qui fait peur aux enfants. Cette voix qui le définit si bien, lui et sa soif de sang.

"Bonjour Agathe. Il semblerait que ce village désert soit très peuplé aujourd'hui. Qu'est ce qui t'amène dans un endroit désert et apparemment maudit ? "

Après avoir entendu la réponse de la jeune femme Yuurei lui montrât du doigts les deux autres protagonistes

" Je me demande ce qu'ils cherchent comme ça... On les suis ou on les tue ?"

Yuurei était toujours caché et c'était retourné vers Agathe, la regardant dans les yeux, son sourire de porcelaine toujours fixé sur son visage. Il attendait patiemment la réponse que la jeune dame allait lui donner pour étancher sa soif de curiosité.

Agathe se contentait d'être là, elle ne savait pas pourquoi, mais elle y était, sortant directement de la Mausolée des anciens, avec la nette impression d'être plus forte. À la sortie de ces lieux elle avait décidé de laissé ses pas la guider, d'errer en ne pensant à rien et à tout. De ne pas réfléchir, de vivre sans se préoccuper du monde, elle avait tué il y a peu une famille entière pour se nourrir. Telle un animal, ne suivant que son instinct de survie. Mais là elle sentait qu'il y avait comme un malentendu, son instinct l'avait guider vers en endroit qu'elle sentait malsain, pourquoi? Qu'était-ce ? Un village tout mignon avec à l'entrée du village un panneau indiquant qu'il s'agissait de Dera, mais la présence malsaine était partout, tout était vide, sans vie, mais tout semait le doute dans l'esprit d'Agathe. Elle avait déjà ressentit cela, mais ce qui la stressait le plus c'était que la dernière fois qu'elle avait sentit ça, c'était dans le cimetière des ancêtres et dans le navire fantôme, là où elle avait récupéré Angela, cette petite peste, soit, deux endroits où il y avait des morts vivants et des fantômes. Agathe avait une peur bleue des fantômes, la dernière fois qu'elle en avait croisé elle avait hurlé à la mort. À cette réflexion Angela se réveilla et se moqua une nouvelle fois d'Agathe :

*Je rêve ? Tu as vraiment peur de moi ma petite Agatouninouchette ? *
*La ferme Angela ! Je te rien demandé ! Je t'ai pas non plus demandé de m'intégrer ! Sérieux pourquoi tu m'as sauté dessus, pourquoi tu est en moi maintenant non d'un chien ! *
*Tu le sais très bien, je te l'ai déjà dit, et je me suis déjà excusée pour ne pas t'avoir demandé ton avis, mais je voulais juste t'empêcher de te faire tuer et je te suis rentrée littéralement dedans, je n'y peut rien ! Ça c'est fait et je n'en suis pas mécontente moi, maintenant j'ai presque un corps ! *
*Oui mais le truc c'est que c'est mon corps b*rd*l ! *
*Très bien, très bien je me tais, je t'énerve plus pour aujourd'hui, promis ! *
*Merci! Et t'as intérêt à tenir ta promesse ! *

Agathe respira profondément, rageuse. Elle ne devait pas se laisser emporter comme ça, après elle tuait tout ce qui passait devant elle, même un simple écureuil.
C'est alors qu'Agathe ressentit une présence, non loin derrière elle, alors prise de terreur, elle sauta littéralement au plafond, enfin sur les toits. Elle escalada tant bien que mal la façade d'une petite maison et une fois arrivée au sommet, elle se mit à couvert pour observer le nouveau venu. Un homme portant un chapeau et avec les yeux légèrement bridés. Elle n'en avait jamais vu de semblable. Il se mit alors à crier demandant si il y avait quelqu'un dans les parages, mais Agathe, méfiante, ne vint pas à sa rencontre, elle n'avait aucune envie de vérifier si l'homme était un esprit ou non. C'est alors qu'un autre apparu et alla lui parler. L'autre ressemblait plus à un vcaleureux guerrier qu'autre chose.
C'est là qu'elle le vit, Yuurei, espionnant les deux hommes. Alors elle parcourut les toits de manière à se retrouver derrière Yuurei et sauta à terre. Celui-ci, sentant sa présence, se retourna automatiquement. Elle ne savait comment mais elle sentait qu'il souriait en la voyant derrière son masque.

"Bonjour Agathe. Il semblerait que ce village désert soit très peuplé aujourd'hui. Qu'est ce qui t'amène dans un endroit désert et apparemment maudit ? "

Ce village était donc maudit !? Voilà donc pourquoi elle ressentait ça …

-Bonjour Yuurei ! Je sais vraiment pas ce que je fais là, mes pas m'ont guidé, je les aie suivis …

Il regarda alors les deux autres puis les montra du doigt et dit :

" Je me demande ce qu'ils cherchent comme ça... On les suis ou on les tue ?"

-Ni les suivre, ni les tuer, pourquoi ne pas d'abord faire leur connaissance ? Bon je sais que ça t'étonne de moi mais, je suis repue et je ne bats pas bien sans avoir faim.

[hrp : désolée pour le retard, les pannes d'inspi' ça arrive]

Vàli courut alors tout le long des ruelles, recherchant le bruit qu'il entendis en ce moment même, son pouls augmentait au fur et à mesure qu'il se rapprochait.Passant de coin en coin, d'un seul coup il se heurta à un mur, enfin pas tout à fait, il venait de tomber nez-à-nez sur une personne.Surpris de voir qu'il y avait quelqu'un dans ce village pourtant si vide, il se dit que ça ne devait pas être un habitant, alors il y regarda un peu mieux.C'était à première vue un voyageur, qui sans doute par besoin de se reposer vit faire une halte dans ce village, vêtu d'un couvre-chef que l'on ne trouvait nul, circulaire, et des cheveux noir; ayant une mèche au-devant de son visage plutôt triangulaire.

Celui aborda alors Vàli, coupant l'herbe sous le pied au jeune homme qui voulait faire de même, pour faire plus ample connaissance, car tombez sur une personne alors que celui-ci était dénué d'habitants.

"Salut! Je suis heureux qu'il y ait encore quelqu'un dans ce village fantôme, que s'est-il passé ?"

Alors qu'il me demandait ce qu'il s'était passé, le brouhaha un peu plus loin s'éloignait, d'une distance assez proche, elle devint distante.Vàli se retourna dans la direction de l'aventurier, pour pouvoir répondre à sa requête, malgré un sentiment étrange, comme si une force obscur le regardait depuis qu'il était entré dans ce village.

"De même, mais je n'en sais pas plus que toi, je voulais me reposer dans une taverne mais elle est fermé, comme à peu près toute les maisons aux alentours, et vu les vêtements qui traine je doute qu'il soient là"

Il se retourna de nouveau, en direction du milieu de la place, réfléchissant à ce qu'il pouvait faire dans ce village aussi abandonné.Le ciel s'assombrit très nettement, comme si une menace allait arriver, quelques gouttes commençait à tomber langoureusement sur le sol.Puis Vàli ajouta,

"Je me demande vraiment ce que c'est le brouhaha que l'on a entendu tout à l'heure, ça m'intrigue fortement !"

Puis il commença à marcher lentement vers la place, pour voir s'il n'y aurais pas de trace éventuelle, ou mystérieuse de passage d'une bête, qui aurais pus anéantir toute trace humaine.Mais un monstre aussi puissant ne pouvais être abattu par un jeune guerrier, tout débutant qu'il se doit.

Arrivé à la place, le silence se fit maitre, et bien sur toujours aucune trace d'habitant, mais Vàli débuta une minutieuse recherche, puis après quelque minutes d'approfondissement il trouva une marque de cendre, ou plutôt une trace de main teinté de cendre sur une parcelle de la fontaine, qui semblait vraiment étrange.

"Viens voir ce que j'ai trouvé !!"

Kitano écoute ce que cet homme disait, en effet, il y a eu ce brouhaha, mais ce n'était que éphémère et peu distinctif, pour l'instant ils ne sont pas bien avancé, tout deux étrangers, mais avec ce même intention, trouver quelqu'un et connaître la vérité, sinon rien, l'homme commence sa recherche, à ce moment là Kitano a un frisson dans le dos, il se retourne pour voir de quoi il s'agit, rien. Etrange, car il avait senti quelque chose d'inquiétant, il ne sait pas quoi, il ne sait pas si quelqu'un les observait, mais ce qui est sûr c'est quand il a une frisson dans le dos il devrait y avoir quelque chose qui devrait se passer et dans pas longtemps d'ailleurs. L'autre, le jeune aventurier dans son armure de fer l'appelle, brisant les pensées tourmentés de Kitano et sans trop attendre il le rejoint. Arrivé près de lui il observe sur la fontaine une marque, plus précisément du cendre formant une main, s'agenouillant et apposant son index sur cette marque, le passant un coup dessus pour confirmer ses doutes, la marque y est toujours, seul son doigt est taché, noir, sentant l'odeur que pourrait dégager et après un moment de réflexion il dit:

"C'est étrange, je sens du cendre serte, mais un peu de sang me semble-t-il... Elle date de longtemps, je ne sais pas exactement la date, dans tout les cas on est pas bien avancé, la seule chose que je pourrai dire c'est que je n'aime pas traîner ici, qui sait ce qui leur est arrivé va aussi nous arriver"

Il se relève puis il regarde autour de lui, observant minutieusement les lieux, guettant les dangers qui pourrait surgir à tout moment, même s'il n'y a rien le brouillard se lève de façon anormal, la visibilité en est bien réduit, ne voyant pas plus de dix mètres au moins, ça sent mauvais tout ça, c'est ce qu'il se dit:

"Restons ensemble, rester sur la place et à découvert devient trop dangereux, maintenant qu'il n'y a personne il est préférable de s'abriter dans l'une des habitations et attendre que les choses se passent"

A tout hasard le jeune rônin se dirige vers une maison, vérifiant si la porte set fermée, celui-ci n'en a pas l'air, il pousse donc la porte avec délicatesse et observe l'intérieur, rien de particulier, les meubles sont en places, par contre les vêtements qui traînaient un peu partout dehors et bien il n'y en a pas une seule dedans, il s'est dit que tout s'était passé dehors, il se retourne et fait signe au chevalier de le suivre, Kitano entre en premier, explorant la maison, tentant de trouver quelque chose pour éclairer, il trouve une bougie et un silex, l'allumant après quelques mouvements répétés, laissant entendre le bruit de deux cailloux entrent en contact, il pose la bougie sur la table regardant autour de lui une nouvelle fois et cette fois avec plus d'attention puis son regard se tourne vers l'étranger:

"Bon, on va pas rester là sans rien dire, et si on commençait les présentation ? Kitano Toyotomi, enchanté"

Invité

"-Ni les suivre, ni les tuer, pourquoi ne pas d'abord faire leur connaissance ? Bon je sais que ça t'étonne de moi mais, je suis repue et je ne bats pas bien sans avoir faim."

Telles ont été les paroles de la jeune femme. Agathe, la belle et jeune vampire.. Elle ne voulais tuer personne aujourd'hui, à la grande déception du Rôdeur dont la soif du sang était présente depuis l'intervention ds deux luciniens. Elle lui avait dit qu'elle voulait faire connaissance avec eux, ce qui horripilait le Rôdeur. Les luciniens sont doux, gentils, justes... en bref tout ce qu'il déteste. La Jalousie n'as rien a voir la dedans, non, yuurei n'est pas du tout jaloux de voir la belle agathe s'intéresser a des hommes venus de Lucinia.... réflexe peu crédible, il est vrai. La Jalousie était la, en tête de liste même... Le Rôdeur ne savait pas réagir avec les femmes mais se voir obligé de sympathiser avec des hommes pour faire plaisir à la belle Agathe le... dérangeait quelque peu. Mais sympathiser avec des Luciniens, des êtres qui sont l'opposé du tueur, serais presque une humiliations. D'habitude, il tue, il torture et il se délecte de la douleur des Luciniens droits et juste mais ainsi il fallait discuter avec ces bestioles, tel était le souhait de la belle jeune femme.

Ce ne fut pas sans maugréer que le Rôdeur gagnât les toits, son arc sagement ranger dans son dos et ses flèches sagement rangées dans leur carquois hélas. Il avait gagner les hauteurs qu'il affectionnait tant. Yuurei observait silencieusement et a distance les deux hommes pour le moment. L'homme en-armuré cours dans un bruit de m"étal dans tout les sens sous le Regard du rôdeur, cherchant des traces, des preuves, des indices de ce qui se passe ici. Le Rôdeur le regardât chercher et s'éloigne vers le capharnaüm qu'ils avaient tous entendu tout à l'heure. Un peu plus loin le ronin lui emboitait le pas n'ayant vu ni le Rôdeur ni la jeune femme mystérieuse. Ils atteignirent une place vide ornée d'une fontaine que le chevalier semble examiner et soudainement il appelât son compagnon d'infortune, ayant trouver quelque chose.d'intéressant apparemment au milieu de ce village désert. Yuurei regardât autour de lui et put voir la beauté poétique du lieu du haut de son toit.

Envahis par le lierre et les chats pour voisins, de la vigne sauvage envahissant les murs et écartant les pierres d'où pendent ses raisins fruités. Ce village perdu ne semblait ne plus avoir aucuns soucis si ce n'est celui de voir quatre flanneurs étonnés. Il y règne un silence qui n'as pas d'horizons sur ses maisons ouvertes en grands, livrant leurs secrets aux visiteurs. L'un d'eux d'ailleurs se retournât. Ce ronin, se retourne et cherchât du regard en direction du Rôdeur allongé sur les tuiles. visiblement il a sentit quelque chose, une menace, et se tiens sur ses gardes.

Le Ronin met sa main sur une trace de cendre et répond son impression au chevalier. Visiblement un mélange de cendres et de sangs se trouve sur la fontaine, ce qui semble l'angoisser encore plus. Une seconde inspection du regard du ronin qui semble de plus en plus anxieux en direction du Rôdeur mais visiblement celui-ci ne les à pas localiser. Cela dit son anxiété semble justifiée. Car non seulement le Rôdeur était la, en train de l'observer mais également un brouillard malsain et peu invitant semble se lever. Le ronin proposât à son allier enveloppé de métal de se mettre à l'abri dans une maison, idée qui était plutôt bonne et au moins le rôdeur et la vampire pourraient faire connaissance avec les deux aventuriers... en huit clos.

Yuurei regarde donc calmement les deux hommes entrer dans une maison. Il leur emboite le pas discrètement, passant par les hauteurs, Yuurei se dirigeait vers le toit de la maison qu'ils avaient choisi, invitant la belle Agathe à faire de même. Silencieusement, le géant passât comme à son habitude de toits en toits et non pas par la route au sol, bruyante et peu discrète. Il passe par une fenêtre à l'étage silencieusement, l'ouvrant calmement plutôt qu'en la brisant en un fracas de verre, Discrètement, silencieusement, comme un Voleur faisant son office, le rôdeur se dirigeât à l'intérieur de la maison, écoutant calmement pour localiser les deux individus. Il entend les deux hommes discuter en bas, parfait il sais comment les rejoindre. Le Rôdeur descend les escaliers dans la pénombre, dans le noirs.. dans les ténèbres.

Faisant délicieusement grincer le vieux bois de l'escalier marches par marches, ajoutant une touche de sinistre et d'oppressant à la situation actuelle.. Le Rôdeur souriait, appréciant l'ambiance horrifique du lieu. Il approchât des deux hommes, souriant sous son masque et l'air peu invitant. Le Rôdeur était grand, très grand, deux mètres dix de hauteur musclée et enveloppée d'une armure légère de Rôdeur masquée par des habits sombres brillant par endroit du reflet de la flamme de la petite bougie. Un masque sur son visage, blanc, diabolique, au rictus sinistre et malsain, aux larmes de sangs coulant des yeux déments gravés sur la porcelaine. Les reflet de lumière dans la pénombre éclairant son masque de mille reflets. Yuurei en cet instant ressemblait a un démon, a un monstre cruel et assoiffé de sang. Il les toisât un instant.. Long et silencieux instant et leur lançât d'une voix caverneuse. Le Rôdeur avait une voix de tueur, une voix rappelant le sang qui avait coulé sans autres raison que le plaisir de faire souffrir.

"pauvres petits enfants perdus dans un village abandonné. Qu'est ce que vous faites donc chez moi? "

oui il n'était pas chez lui, du moins pas plus que les deux individus, mais cela, ils n'en savaient rien. L'ayant vus descendre de l'étage, ils ne pouvaient deviner s'il était la avant ou après eux.

A cette annonce, Yuurei parut déçu, très déçu, il tenait donc tant que ça à les tuer ? Bah, il était inutile de vouloir le raisonner, s'il voulait faire ça, qu'il le fasse ! Agathe en avait bien que faire. Elle vit donc, Yuurei monter sur le toit d'où elle venait de descendre et d'en faire son point d'observation, Agathe le voyait très bien. Il scrutait les deux autres individus et faisait attention à chacun de leurs mouvements.

Agathe fit de même à partir du plancher des vaches, elle n'appréciait que très peu les promenades aériennes. On aurait dit que les deux autres cherchaient quelque chose, qu'ils jouaient aux détectives en cherchant la trace d'une chose inconnue, des indices sur ce qui c'était passé ici. Ils courent, ils parlent, ils s'illuminent, ils en déduisent des choses inaudibles. Mais quelle est la raison de ces actes au juste ? Ça les amuse peut-être ? Ou bien par simple curiosité ? Une connaissance qui vivait ici a disparu et ils la recherchent ? Ils ont envie de tabasser quelqu'un ? Vu leur tête, au moins l'un des deux devaient être un de ces fichus luciniens. Ils étaient tellement lents et peu actifs … Mais de quoi étaient-ils donc fait ces inconnus ? Ces êtres d'un autre peuple … Que faisaient-ils donc là eux aussi ? Comment s'étaient-ils tous retrouvés au même endroit et au même moment ? Peut être l'un d'eux étaient un résident ? Peut être faisaient-ils juste une promenade de santé ? Elle n'en savait franchement rien et si elle le savait, comment l'aurait-elle su ? Elle aimerait bien tout savoir, avoir des prémonitions et tout le tralala … Mais bon soyons réalistes, ce n'est pas tout à fait possible.
Les deux énergumènes pénétrèrent dans une habitation de la rue. La réaction de Yuurei fut automatique il rejoignit par les toits le lieu en question et rentra dedans par une fenêtre à l'étage.

Agathe se retrouvait seule, entourée de rien, mais toujours avec cette sensation d'une autre présence. La même qu'au début, comme si quelque chose hantait ces lieux où tout a disparu. Agathe devait bouger de là, autrement elle allait devenir parano, elle devait rejoindre les autres, elle ne devait pas rester seule ! Elle se mit à respirer bruyamment, commençant à stressée elle commença à marcher vers l'habitation où se trouvaient les autres. Les quelques premiers pas elle vacilla et avança d'un pas un peu chancelant, mais quelques secondes après elle s'effondra, ne pouvant plus tenir sur ses jambes. Quelque chose était mauvais pour elle ici, quelque-chose la perturbait et la fatiguait de l'intérieur. Agathe était à quatre pattes, traînant au sol, essayant d'avancer encore vers les autres. Mais son corps ne tenait plus, quelque chose lui faisait du mal, quelque chose la tuait. Elle sentit une sorte de contraction de son estomac et elle sentit la bile remonter dans sa gorge. Elle vomit à grands jets, elle vomissait du sang, encore et toujours sa principale alimentation. Elle devait arrêter de le rejeter, de le vomir, si elle n'a plus de sang elle meurt, elle faiblit elle ne peut plus rien faire. Elle tente quelques derniers pas mais elle s'effondre au bout du second. Elle se retourne sur le dos se couche et respire profondément, normalement ce n'est pas une nécessité de respirer pour elle, mais là elle en avait besoin, comme si elle redevenait humaine, comme si ses gênes de vampires étaient alternés. Comme si la chose de ses lieux essayait de lui retirer tout pouvoir, pour la rendre plus faible, pour mieux pouvoir la tuer en un acte de lâcheté ignoble, cette chose n'aimait pas se battre apparemment. Cette si elle se montrait pourrait facilement être tuer par des êtres non dépouillés de leurs pouvoirs. Désespérée Agathe leva une de ses mains vers le ciel, comme pour attirer la clémence d'un dieu.
Elle cria le nom de Yuurei de toutes ses forces, le répétant jusqu'à qu'il ne deviennent plus qu'un murmure.
Avant de s'évanouir, Agathe aperçut des formes floues qui dansaient devant ses yeux. Maintenant seule une bonne claque et un peu de sang pourrait la sortir de sa torpeur …

L'indice que Vàli avais relever, ne semblait avoir qu'une importance futile au yeux du voyageur qui l'accompagnais, mais pour le jeune guerrier, il garda cela en mémoire au cas où.L'air semblait teinté d'une pesante pression, mais le voyageur n'eut pas l'impression d'en recevoir les quelques ondes qui émanaient de ce village, il avançait alors vers une maison, au hasard, puis à la grande surprise, l'ouvrit avec délicatesse, les gongs émirent un grondement inaudible.

*Comment a-t-il pus l'ouvrir, alors que lorsque j'ai regarder aux alentours, toutes les maisons étaient comme scellées ?*

Mais il l'accompagna alors, préférant avoir sa compagnie, plutôt que le silence pesant du village, aussi vide qu'il soit.Il s'engouffra alors dans l'obscurité la plus profonde, la plus meurtris.Vàli attendait alors, car le voyageur semblait rechercher de quoi éclairer les environs.Malgré cela, quelques filets de lumières pâles filtraient à travers les quelques planches, soudés au plafond.C'est alors que la lumière apparut, d'un seul coup, éclairant le visage du Ronin.La lumière accentuait fortement les contraste, en particulier de ses pommettes, de son front, et d'autre partis du visage.Cela aurais pus vraiment faire peur, s'il ne savait pas qui c'était.Le ronin ajouta alors,

"Bon, on va pas rester là sans rien dire, et si on commençait les présentation ? Kitano Toyotomi, enchanté"

Il venait de faire sa présentation, bien humblement, et comme il le fallait, ainsi Vàli pus à son tour lui faire.A ce moment quelques grincements provenant du plafond ne parvenais pas aux oreilles des deux voyageurs, d'un bruit imperceptible mais pourtant bien présent.

"De même, je m'appelle Vàli Gungnir, et je suis bien content d'avoir quelqu'un à mes cotés !"

Vàli tourna alors dans la pièce, scrutant quelques détails aussi insignifiant soit-t-il, comme des portraits prenant les poussières, ainsi que la table entouré des quelques chaise rembourré de pailles, bien que usée.La seule fenêtre semblait condamnée, mais Vàli remarqua alors un escalier dissimulé a quelques pas de celle-ci.Il aurais pus y faire un tour, mais il attendait avant une quelques réactions de Kitano.Vàli posa son doigt sur la table, balayant ainsi une épaisse couche de poussière, noirâtre à quelques endroit, sans doute du moisi.

Mais d'un seul coup une autre voix retenti, que celle des deux voyageurs, une voie creuse, rauque, comme un homme des cavernes.Vàli se retourna alors vivement, et aperçut un homme d'une taille importante, très importante même.Il devait peux-être mesuré dans les deux mètres pour sur, et les contraste de la scène avec son costume blanc n'en étais que plus importante, il portais aussi un masque blanc, froid et insensible.Et de sa voix creuse, il commença,

"pauvres petits enfants perdus dans un village abandonné. Qu'est ce que vous faites donc chez moi? "

[i]Chez lui ? Ça voudrais dire que c'est un habitant du village, mais pourquoi était-t-il le seul présent ? Mais au moins si c'était bien le cas, le fait que la maison fut déverrouillée n'étais plus un mystère.Sa déclaration parut mystérieuse, presque menaçante mais Vàli pris le temps de lui répondre poliment.

"Nous venons d'arriver dans ce village, et comme il était vide, nous avons fait un tour, mais d'un seul coup un brouhaha surgis au milieu de ce village totalement dépouillé de ses habitants, alors imaginez notre surprise en vous voyant.Mais entre-temps, un bruit plus conséquent qu'auparavant, retentis du plafond, mais ce coup-ci tout le monde pouvaient l'entendre, pour sur."

Vàli ne fixa plus que le plafond, lorsque d'un coup, le plafond céda d'un seul coup, entrainant les quelques poutres de soutient avec.Ce fut avec grande surprise qu'il s'avança vers le tas de débris, et y remarqua avec stupeur, un corps inanimé gisait devant lui, regardant les autres les uns après les autres, il se dit qu'il fallait faire quelques choses, peux-être était-elle encore vivante.En effet, c'était une charmante demoiselle, au visage angélique, mais Vàli pris alors son pouls, et remarqua qu'il battait encore, heureusement.Le guerrier donna alors quelques tapes, comme une claque, pour peux-être la réveiller.

"Il faut faire quelques chose !"

Il attendait alors une quelconque réaction venant du corps évanouis, lorsque d'un coup un grognement retentis du plafond, et des pas lourds et résonant pleinement aux oreilles des diverses personnes présentes dans la pièce,

"Qu'est-ce que c'est que ça ?"

Bien des choses s'enchaîne très vite, c'est plus que le hasard à présent, un homme descendant du premier étage, vue son aspect il est difficile de dire qu'il est chez lui, enfin de croire plutôt. Après, bien qu'ils aient eu le temps d'échanger quelques phrases cela reste relativement mince pour une conversation, des bruits se fait entendre à l'étage, en un instant et soudainement le plafond cède sous un fracas bruyant, la poussière recouvre la pièce, mais cela n'empêche pas d'éteindre la bougie restée allumé dans son coin, un instant plus tard Vàli se dirige vers les décombres, au tour de Kitano, à sa plus grande surprise ces deux guerriers apperçoit une jeune demoiselle évanouie, le guerrier en armure tente de la réveillé, pas de réponse, puis le jeune samurai solitaire décide de l'observer de plus près, après mûre réflexion elle n'a que des dégâts très léger sur son corps, seul sa bouche est ensanglanté, mais elle reste vivante. Etrange, sa magie du soin ne permet pas de guérir les blessures interne, il regarde de plus près de la bouche du demoiselle et remarque une dent assez long et pointu pour dire que ce n'est pas normal, disons qu'il n'hésite pas à dire cela:

"Une vampire ?!"

Par la suite un autre événement s'enchaine, quelque chose se trouve en haut de la maison, des pas lourd fait résonner le lieu, toujours aussi lourd et inquiétant, après ces quelques pas ils peuvent apercevoir les jambes de cette chose, il n'a rien d'humain déjà, fait de bois et de roche, son arme immense tenu à une main qui serrait capable de couper un être vivant en deux, son corps massif et imposant qui semblerait être fait de pierre, avant de voir sa tête Kitano devine déjà cette créature:

"Un Tomeho!"

En effet, golem puissant et gardien de Lucina, mais que fait-il ici ? C'est vrai, c'est un traqueur d'intrus, chassant les Harmoniens et Umbriens qui entreront dans le monde de Lucina, mais cela n'explique pas de la jeune demoiselle se trouvant à terre et presque intact, seule sa bouche vomissait du sang, en y réfléchissant vite et avec l'aptitude d'un médecin, Kitano dirait qu'elle ne s'était pas batu contre Tomeho, mais contre autre chose, bon lui il ne serra pas en danger, mais les autres oui:

"Faites attention, il est le gardien de ce monde et n'hésite pas à attaquer les intrus venant d'un autre monde"

Sans qu'il puisse finir sa phrase le golem vient de repérer la plus faible du groupe, celle qui se trouve au sol, il commence à lever son arme en l'air, près à assener un coup fatal, mais Kitano l'empêche en se mettant devant lui, les mouvement bloqué, le gardien Tomeho n'a pas d'autre choix que de rien faire,pour l'instant:

"Prenez là, on a pas le temps de discuter, il faut sortir de cette maison, je vais tenter de le retenir le plus longtemps que possible et Vàli! Encore une chose, ce n'est pas lui qui a mis dans cet état, c'est autre chose... Maintenant partez!"

Invité

Se fut poliment, très poliment même que le chevalier en-armuré répondis à Yuurei. Il lui donnait de précieuses informations sur la situation. L'aspect désertique du village, le bruit immonde de tout a l'heure, la brume dans la rue et leur inquiétude commune. Le chevalier expliquait la situation au Rôdeur qui ne l'écoutait que d'une oreille, voir aucune et pour cause, une voix familière et apeurée l'appelait dans la rue. Yuurei entendait Agathe crier son nom, le désespoir dans la voix et la mort en ambiance. Le Rôdeur ne fit attention aux paroles du Chevalier et se dirigeât vers la porte quand un autre élément l'interrompit.

Le plafond a céder sur eux, ou plutôt non loin d'eux laissant un nuage de poussière, de la lumière et... Agathe. La belle vampire est inconsciente et couverte de petites plaies, allongée au milieu des débris. Le rôdeur s'approchât d'elle mais le chevalier fut le plus rapide, il l'examina, prenant son pouls et la giflât comme pour la réveiller... L'envie de lui rendre la gifle à coup de marteau le pris au cœur mais Yuurei n'en fit rien et pour cause. Un bruit menaçant, lourd, puissant indiquant une masse importante et une force capable de plus d'une chose comme, assommer une vampire ou faire tomber un plafond, venait de se faire entendre à l'étage. Un monstre sans doute puissant et très certainement imposant retentit juste au dessus des quatre compagnons d'infortune.

Il descend lentement et bruyamment les escaliers.. se découvrant peu à peu. Comme le ronin le fit remarqué, il s'agissait d'un Tomeho, un gardien lucinien. C'est bien la veine du rôdeur qui ne peut combattre cette créature sans aide et dont il as une vampire à s'occuper de toute urgence. Ce genre de gardien est puissant, Yuurei et Agathe en pleine forme ne suffiraient sans doute pas a le tuer, alors maintenant... Peu être avec les deux combattants ? Ils se feraient tuer dans l'affrontement face a tel puissance. Yuurei serrait les poings, il faillit fuir d'ici au plus vite et non combattre. Vali, le guerrier est entre lui et Agathe, la vampire inconsciente et Yuurei se doit d'agir et au plus vite.

Le lucinien s'interpose entre la lame du gardien et la vampire et les sommes de partir en attendant qu'il le retient. Yuurei ne l'écoutât qu'as moitie également et poussant le guerrier en-armuré qui était sur sa trajectoire, il se dirigeât de toute urgence vers la vampire a sauver. Le Rôdeur plongeât sur Agathe pour la prendre dans ses bras et, aussitôt la demoiselle a l'abri contre lui. Yuurei se mit à courir hors de la bâtisse, défonçant la porte d'un grand coup de pied au passage. Le Rôdeur courut a en perdre haleine et se mis à l'abri près de la fontaine, contre un mur d'une des maisonnées proches. Au milieu des débris et sous un angle mort d'où on ne pourrait les voir sauf en sachant qu'ils étaient la. Il avait perdu de vue les deux autres comparses, ne se souciant guère de leur état. C'était l'umbrienne qui l'intéressait pour le moment.

Yuurei regardait autour de lui et au dessus, on ne pouvais l'attaquer par surprise, il fallait a tout pris l'attaquer de face. Le Rôdeur s'assied dans les débris et regarde Agathe, toujours inconsciente. Une dague fut sortie et Yuurei tranchât sec, maugréant et pestant à propos des vampires, de leur habitude et de tout le reste.Un flot de sang continu coulât ... de son propre avant-bras. Il venait de se mutiler quelque peu volontairement, offrant son sang coulant à la vampire inconsciente, espérant que repue d'un sang frais, elle irais au moins un peu mieux.

De son autre bras, et serrant les dents à cause de la douleur, le Rôdeur se tenait près à user et abuser de magie, l'utilisation de son arc étant impossible dans l'état actuel des choses, le marteau a pique et les dagues longues peu maniable pour attaquer de loin.. une boule de feu partirait des la seconde ou quelque chose approcherait, quoi que se soit. Il y a bien cinq ou six mètres entre lui et la fontaine, autant de distance ou l'ennemi sera a découvert. Yuurei était assis dos au mur, dans un endroit ou l'ennemi ne pouvait venir que de face, le bras droit tendu et près à bruler tandis qu'une vampire qu'il ne connais que trop bien, était au cœur de ses bras, en train de s'abreuver de sa vitalités.

Il fait noir, elle ne voit plus rien, elle ne sent plus rien, est-elle morte, est-elle encore en vie, personne ne le sait … Même pas elle, elle se sent partir, mais elle sent aussi quelque chose qui la retient, comme si quelque chose l'empêchait de partir, quelque chose qu'elle ne voudrait pas abandonner … Yuurei peut-être ? Après tout il avait été le premier à lui prouver qu'elle devait être fière de ses cicatrices, il avait été le premier à l'aider à sortir de son confinement derrière son masque, il avait été le premier à qui elle avait montré son visage détruit, Vaiarii ne comptait pas à se moment là et surtout, il avait été le premier à la traité en temps qu'une personne normale, il se fichait bien que son visage ne soit pas si joli que ça, il lui avait même dit qu'elle était belle, il l'avait embrassée aussi, ou peut-être tout simplement ne voulait-elle pas abandonner la vie ? Elle n'en savait rien, de toutes manières elle ne pensait plus, elle partait en paix mais perturbée, comme si elle naviguait sur une mer calme en ayant le mal de mer. Elle se sentait mal de l'intérieur sans rien sentir, son subconscient souffrait pour elle et elle le savait sans le savoir. Elle sentait l'esprit d'Angela lui donner des gifles, mais elle n'était plus et ne le savait plus.
Du mouvement se faisait autour d'elle mais elle ne votait rien, elle n'était plus consciente depuis longtemps déjà et on aurait facilement put la croire morte. Mais au fond d'elle, Agathe désirait plus que tout qu'on croit encore à sa vie, qu'on sache que son cœur bat encore, elle désirait mais elle ne savait pas qu'elle avait ce désir. Que lui avait donc fait cette présence invisible, pour qu'elle soit si faible et si vide. Et aussi pourquoi cette chose lui avait-elle fait ça, Agathe avait-elle fait un faux pas ou bien quelque chose de punissable ? Elle n'en savait rien et ne pourrait surement jamais le savoir si elle continuait dans cette voie là. Du bois recouvrait son corps elle avait quelques entailles sur le corps, mais les sentait t-elle ? Et la verra-t-on sous ce bois, sous ces débris, sous ce camouflage ? Ou bien restera-t-elle là aussi longtemps qu'il le faudra pour que quelqu'un, une âme autant charitable que mauvaise, vienne à son secours, vienne l'aider à survivre, même à vivre tout simplement. Il était rare qu'elle est autant besoin d'aide qu'à ce moment même, ce n'était même jamais arrivé, mais que lui avait-on donc fait pour qu'elle ne ressemble plus ou presque à ce qu'elle était ? Pourquoi ne ressemblait-elle plus en cet instant même à une demi-vampire ? Cette créature douce, élégante, féline et cruelle qu'elle était, mais le plus juste serait, qu'elle avait été. On lui avait retiré ses forces, sa fierté, sa nature, sa vie, ses parents, ses racines et bientôt ce serait le tour de son âme. La vie, l'avenir, le destin en avait décidé ainsi elle n'avait donc pas le choix, elle n'avait donc pas droit à un remboursement pour existence trop courte ? On avait pas le droit de l'arracher du monde, de la forcer à partir, de la mettre à la porte de la vie. Le corps d'Agathe fut soulevé, elle volait, non elle était tout simplement portée. Un sauveur ? Un carnassier ? Âme mauvaise ou âme charitable ? Surement âme charitable, son âme n'était pas encore partie, ce devait bien être la seule chose qu'Agathe sentait et ressentait jusqu'au plus profond de son esprit. C'était la seule chose qu'elle était capable de faire, à défaut de vraiment pouvoir agir, elle pouvait s'accrocher à la vie et surtout espérer y revenir, bien que la porte de la vie se soit fermer à double tour, celle de la mort ne s'était pas encore ouverte.
Son corps s'arrêta, son porteur la serrait contre elle, celui-ci devait vraiment tenir à elle pour avoir voulu la sauver, l'emmener loin du danger et la mettre en sécurité. Mais était-elle vraiment en sécurité ? Elle n'en savait rien, elle ne savait pas qui c'était ni ce qu'il pouvait lui faire. Il ne savait pas non plus si cette personne l'avait emmené pour sa sauvegarde ou bien pour mieux la tuer. Loin de cette chose, pour ne pas se faire tuer en tuant peut-être ? Agathe sentait la chaleur du corps de cet inconnu près d'elle, et aussi très légèrement son souffle non loin de son visage. Allait-il la mordre ? Était-ce une bête finalement ? Une bête furieuse et assoiffée de sang et avec des envies de meurtres plein le crâne … C'était fort possible après tout, la chose qui l'avait affaibli tout à l'heure, pouvait très bien être celui ou celle qui l'avait transportée. Maintenant elle n'avait plus qu'à passer la porte de la mort, mais la porte restait définitivement close. Ne pouvait-elle donc pas partir rejoindre tous les gens qu'elle avait tué ? Était-elle donc définitivement bloqué dans ce vide entre la vie et la mort ? Ne pouvait-elle donc pas faire autre chose qu'attendre ? Pourquoi le destin ne la lachait-il pas et ne la laissait-il pas partir hein ? Comme tout le monde ! Mais non Agathe était un cas spécial, personne ne la laisserait jamais tranquille apparemment, même au moment de sa mort ! Pourquoi lui faisait-on ça ? Mais qu'avait-elle donc fait pour mériter pareil supplice ? Le destin était-il tant cruel que ça ? N'avait-elle pas le droit à un peu de répit pour une fois dans sa vie ? Enfin dans sa mort plutôt ?

Mais bizarrement elle avait l'impression qu'on était en train de lui accorder quand même le répit tant désiré. Peu à peu ses sens revenaient elle sentait l'air aller et venir dans ses poumons, elle sentait le sable de la rue sous ses doigts, elle sentait une légère brise sur son visage et elle sentait surtout le plus important, du sang, du sang dans sa bouche, allant ensuit directement dans ses veines, lui rendant sa vie en prenant en partie celle d'un autre Lui permettant de sentir mieux, entière et bien vivante. Grâce à ce sang elle put ouvrir les yeux, redécouvrir le monde vivant après son expérience de la mort. Mais surtout de voir Yuurei le visage crispé à cause de la douleur et l'œil légèrement vague pour cause de perte de sang plutôt considérable. Agathe regarda profondément Yuurei, qui lui rendit son regard. Elle lui sourit et elle lui murmura, heureuse de s'être fait sauvée par lui, un merci plus que reconnaissant.

Apparemment, le destin avait oublié que devant la porte de la vie il y avait un paillasson et que sous le paillasson, il y a toujours la clé.

[hrp → franchement rp après minuit ça me réussit pas, désolée pour mon délire Razz

]