• Prénom : Maeva
• Nom : Penverne
• Race : Humaine
• Sexe : Féminin
• Age : 21 ans
• Peuple : Umbra
• Description physique (min. 3 lignes) : Maeva est le synonyme parfait de grâce. Ses gestes et ses faits correspondent parfaitement avec sa silhouette. Elle est légèrement musclée, même s’il faut regarder comme du monde pour s’en apercevoir. Sa longue chevelure est d’une couleur noire foncée, contrairement à ceux des autres membres de sa famille qui les ont plutôt dorés. La jeune femme porte ce regard rouge qui peut facilement faire peur à la première vue. C'est personne qui garde souvent son sérieux, ses expressions le sont aussi, ce qui peut laisser croire qu'elle est hostile, mais il faut bien la connaitre pour la juger réellement.
• Description mentale (min. 5 lignes) : La jeune femme possède une force d’esprit incroyable. Elle est certainement plus masculine que féminine, sans vouloir dire que les hommes sont des sauvages, loin de là. C’est à croire qu’un mélange entre un corps de femme, ses pensées et des caractéristiques mâles résultent d’un être plutôt…sauvage, oui, le mot revient. Mais il n’y en a pas d’autre pour décrire aussi bien Maeva que ce mot là. Elle frappe souvent les gens, surtout les gars, elle n’aime pas frapper les femmes, mais si on le cherche, eh bien…on va la trouver facilement. Elle dit simplement tout ce qu’elle pense et cela peut importe l’effet que ses paroles puissent avoir sur les autres. Son langage malpropre est aussi bien développer…
Par ailleurs, Maeva est aussi quelqu’un de très têtu. Elle n’aime qu’on lui refuse quelque chose, mais elle n’ira pas demander n’importe quoi non plus. Elle ordonne, mais pas sévèrement. Ses phrases sont peu tintées de ‘’s’il vous plait’’ ou de « merci », mais sa façon de parler laisse deviné facilement la gratitude qu’elle éprouve. Les gens qui ne la connaissent pas, pense souvent d’elle, qu’elle est un être spécial. Évidemment, les apparences sont trompeuses dans son cas, mais reste que…lorsqu’on la respecte…elle vous respecte autant. Il peut lui arriver d’être sarcastique avec une personne et d’être parfaitement douce avec une autre, c’est comme le tout dépendait de la personne qui se trouve avec elle. Mais les gens qui la connaissent bien, son entourage, savent à quel point elle peut être sensible. Elle cache bien ses émotions, mais ils arrivent à lire en elle tel un livre grand ouvert. Elle fait son indépendante, et tout le monde sait qu’elle dépend entièrement des gens qui l’entoure. Elle aime…et elle aime profondément son monde. Ses amis…sont tout pour elle, et même si elle ne le dit pas souvent, ils le savent. Comme on dit, parfois, il n’est pas dans l’obligation de parler pour passer un message, il sufi d’être pour qu’on comprend le tout
• Votre histoire (min. 10 lignes) : Qu’est-ce que cela fait d’être née dans un monde de guerre et de quasi haine? Eh bien… cela fait de nous une personne incertaine, destiné à faire la même chose que les autres, suivre les même règles, tuer le même monde…être identique à tous et à toutes. Or, ce n’est pas mon destin. Mon destin, je le choisi et j’en fais ce que j’ai bien envie d’en faire. Nul ne pourra me dicter ma conduite, ni me dire quel chemin suivre. Je ferais ce qui me semblera juste et cela peu importe où je sois née et où je vais.
Je suis une Umbrienne et je ne l’ai pas choisi. Je suis née sur la tête des ombres mais avec un destin bien différent des autres. Ma famille pensait faire de moi un bon disciple d’Umbra puisque mon père était un général d’armée bien respecté de tous. Évidemment, la haine et la soif du pouvoir coulait dans mes veines et m’entoura durant toute mon enfance. On m’apprit à haïr les deux autres peuples, car Umbra était vouée à être le monde suprême.
Je pus voir de mes propres yeux la mort des centaines d’hommes accusés d’être contre l’état. Umbra n’acceptait aucun traître et aucun être vivant non Umbriens devait connaitre la mort. Il est certain que je suivais cette même mentalité que celle des autres membres d’Umbra, cette mentalité qui disait que nous étions le peuple suprême et que les autres devaient être mis à mort. J’y ai cru pendant beaucoup d’année, du coup, voir des gens mourir, être torturés, coulé à sec…ne me font pas peur. J’y prenais même un certain plaisir à voir ces ennemis mourir! C’est tout ce qu’ils méritaient!
Puis un jour, tout changea. Je venais d’avoir mes 18 ans, et mon père voulait m’amener avec lui pour une de ces missions qui consistait à chasser les gens des autres mondes.
Flash BackIl faisait nuit et dans les montagnes du Nord, l’obscurité était encore plus persistante. Un orage s’annonçait au loin, et nous devions faire halte dans la demi-heure suivante. Nous étions une douzaine au total, tous étaient armés jusqu’aux dents, sauf moi. Pourquoi? Simplement parce que je ne croyais pas courir un grave danger dans mon propre monde, et de toute façon, les autres étaient là pour moi. Et puis…pourquoi une personne des autres mondes viendrait chercher la mort à Umbra? Il fallait être fou pour faire une telle chose! Et apparemment, j’avais raison, car des fous…il y en avait, surtout une en particulier.
Nous trouvâmes une grotte pour s’abriter de la pluie battante et pour passer la nuit au sec. Mon père et les autres gens d’armes s’installèrent paisiblement, alors que moi, innocente comme j’étais, je partis à l’aventure dans les autres grottes qui reliaient celle où l’on s’était installé.
On aurait pu dire une niche d’abeilles, avec des millions d’alvéoles. Il y avait des passages partout et plus j’étais intriguée, plus j’avançais vers le cœur de la montagne. La torche allait bientôt me lâcher, et je me trouvais déjà trop loin pour pouvoir revenir vers mon père, mais une chance, je savais comment faire du feu. Une pierre de feu se trouvait dans la poche de mon pantalon ce qui me rassura et me poussa encore plus loin dans les grottes.
Puis…je me rendis compte que tout était subitement trop silencieux. Aucun bruit ne me parvenait à l’oreille, ni les voix d’hommes qui m’accompagnaient, ni celle de mon père et encore moins la pluie, pourtant, il y avait un orage dehors.
Un vent balaya le passage où je me trouvais et ma torche vacilla… tout ceci n’était pas normal. M’étais-je aventurée trop loin de mon père? Oui. Avais-je de quoi me défendre? Non. Bravo Maeva! Toujours aussi brillante qu’a l’habitude!
Puis, un bruit sourd, celle d’un grattement contre la roche me parvint et je me retournai aussitôt pour tenter de voir d’où elle provenait. Il n’y avait rien ni personne autour de moi, en tout cas, pas aussi proche pour que je puisse le sentir. On nous apprenait à « sentir » les ennemis de loin. Comme si ton corps envoyait des ondes et que dès qu’une onde touchait un obstacle, elle revenait t’avertir, alors que dans cette grotte, cela ne marchait pas vraiment.
Un autre coup de vent et fort cette fois-si, assez pour éteindre ma torche d’un seul coup. Je me figeai là. Quelque chose clochait, il était clair. Je me plaquai contre le mur de pierre afin d’écouter attentivement ce qui se passait. Le noir ne me faisait pas peur, j’étais une Umbrienne, l’ombre faisait partie de moi, comme moi d’elle. Et c’est là que le grattement se répéta, plus proche cette fois-ci. Était-ce un animal? Ou un humain? Je ne pouvais le dire. Mais j’allais bientôt le découvrir.
J’attendis encore un moment, puis la chose entra dans l’espace où je pouvais la sentir venir à moi. Cette fois, ce fut des pas clairs qui résonnèrent contre le sol, faiblement, mais pas assez car je l’entendais parfaitement. Je me glissai contre un coin de roche et la torche à la main…j’attendis.
- MAEVA!
Une vive lumière traversa l’espace rocheux, alors que je vis le visage de mon père se défaire. Je ne compris pas tout de suite qu’il regardait derrière moi, et lorsque j’en pris conscience…il était déjà trop tard et je perdis connaissance.
Je me réveillai sans savoir combien de temps j’étais restée évanouie, et où est-ce que je me trouvais, mais ce n’était clairement pas en Umbra. Mon cœur se serra… non! On m’avait enlevée! Et personne n’avait pu rien faire! Impossible!! Mon père était un homme fort! Son armée aussi! Ce n’était pas possible!
Mille et une questions me passaient par la tête jusqu’à ce que je me rende compte que je me trouvais encore dans des montagnes, mais pas celle d’Umbra effectivement…et que je n’étais pas seule. Tourna la tête, je me trouvai face à face avec une femme. Une…femme?
Elle était grande, très grande, musclée, avec des longs cheveux noirs…et ses yeux…ils étaient d’un bleu mortel. Je restai figée devant la beauté de cette femme. Elle était belle certes, mais elle semblait tout aussi terrible. Qui était-elle et pourquoi m’avoir enlevée?
- Qui es-tu?
Non, je ne vous-vois pas les gens que je ne connaissais pas. J’étais l’être suprême, pas les autres.
(Je vais finir l'histoire, sinon j'en ai encore pour des pages XD)
Elle s'appellait Erassa et ce fut elle qui me fis voir le vrai visage des sauvages que nous étions des Umbriens. Au début, je ne voulais rien entendre et je tentai même de m'échapper, mais elle restait plus forte que moi en tout. Elle falli me tuer à plusieurs reprises, mais ne le fit pas, et en gage de vie, elle me fit cette cicatrice qui couvre l'oeil droit...pour que je comprennes qu'elle tenait ma vie entre ses mains.
Je décidai à l'écouter, et fini par voir l'horreur de ce que les miens pouvaient faire. Elle me montra des familles ayant perdus des êtres chers, des enfants torturés...pleins d'attrocité. Et ce fut ce jour que je décidai de ne plus jamais retourner sur la terre qui fut jadis mienne, et de voir le tout d'un autre oeil...hmmm...quel jeu de mot.
Après trois ans d'entrainement insentif, Erssa me laissa à moi-même face à un monde nouveau. Je devais protégé les faibles contre les miens, mais jamais je n'allais tenté de sauver la vie de quelqu'un...si je savais qu'il méritait la mort.
Je deviens alors une sorte de mercenaire...mais à mes propres dépends.
• Pouvoir choisi de votre camp : Ombre
• Votre arme de départ : Les deux dagues sur l'image
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