Le terrain de croquet de la Reine [PV Kisa Akira] - [Terminé]

Invité

Ce frabieux jour étais heureux, en effet tout de beauté de prônait au palais, dans ses jardins de surcroit ou mille senteur étaient dispersée pour ce jour particulier. En effet et une fois dans l'an quand arrive le printemps, même si nous sommes en hivers actuellement, une grande partie de croquet est organisée et tout le monde peut y participer. Le Cheshire entrât donc, sous sa forme humaine, classieur dans un costume trois pièces, comme a son habitude, élégant et chapeauté d'un chapeau offert par son ami le chapelier.

Au delà d'un couloir naturel, sculpté dans la végétation, le Cheshire eut une vision quelque peu étrange. Un grand rosier se dressait près de l’entrée du jardin ; il était tout couvert de roses blanches, mais trois jardiniers s’affairaient à les peindre en rouge. Ceci sembla très curieux au curieux chat qu'il était et ne put que s'empresser de s’approcher pour les regarder faire, et, juste au moment où il arrivât à leur hauteur, chat entendit les jardiniers se disputer

Les jardiniers se chamaillaient a propos de pinceaux de peinture et de rouge éclaboussé quand soudainement le ton s'échauffât et l'un d'eux voulut partir vexé, jetant son pinceau au sol, éclaboussant encore plus celui-ci du rouge prenant recouvrant ses poils humidifiés par le liquide colorant. Il regardât le Cheshire de son air interrogatif, ce demandant ce que le chat enchapeauté pouvais bien regarder ainsi. Cheshire pris les devant et posa la question qui lui brulais les lèvres, chat curieux étant cette activité était pour le moins.. étonnante.

« Voudriez-vous me dire, pourquoi vous peignez ces roses ? cela est un bien curieux passe temps pour des jardiniers »

L'un d'eux répondit a voix basse, comme s'il ne voulais être entendu, craignait quelques remontrance d'un certain cru, car qu'on le sache ici la reine ne punis l'insolence et les erreur que d'une seule manière "qu'on lui tranche la tête ! ". Bref le jardinier quelque peu apeuré répondit donc au chat curieux sur cette activité étrange.

« Ma foi, voyez-vous,mon bon monsieur, pour dire la vérité vraie, ce rosier-là, ç’aurait dû être un rosier rouge, et nous en avons planté un blanc par erreur et si la Reine venait à s’en apercevoir, on aurait tous la tête coupée, voyez-vous. Aussi, on fait de notre mieux, avant qu’elle arrive, pour… »

A ce moment, le second des trois jardiniers qui regardait avec anxiété vers le fond du jardin, se mit à crier que la reine arrivait et les trois jardiniers se jetèrent immédiatement à plat ventre. On entendit un bruit de pas nombreux, et le Chat du Cheshire, tout gentlemen qu'il est, mourait d’envie de voir la Reine, et donc se retourna. Venaient d’abord, armés de massues en forme d’as de trèfle, dix soldats ayant le même aspect que les trois jardiniers : plats et rectangulaires, avec des pieds et des mains aux quatre coins. Venaient ensuite dix courtisans, aux habits constellés de diamants en forme d’as de carreau, qui marchaient deux par deux comme les soldats. Après eux, venaient les enfants royaux ; il y en avait dix, et ces petits amours avançaient par couples, la main dans la main, en sautant gaiement : ils étaient ornés de cœurs de la tête aux pieds. A leur suite venaient les invités, pour la plupart des Rois et des Reines. Derrière les invités s’avançait le Valet de Cœur, qui portait la couronne royale sur un coussin de velours rouge et, à la fin de ce cortège imposant, venaient Le roi et la Reine (de cœur si vous en doutiez).

Quand ces divers personnages arrivèrent à la hauteur du Cheshire, des jardiniers et du rosier blanc plutôt que rouge, encore rouge il était puisque la peinture était la. La Reine a sa grande surprise devant le gentilhomme qui se baladait parmi les jardins alors que le croquet était non loin lui lançât d'une vois étonnée.

" Sais-tu jouer au croquet ? »

Les soldats restèrent silencieux et regardèrent Le Chat car c’était évidemment à lui que s’adressait la question. L'homme enchapeauté, faisant une révérence répondit ainsi humblement a la reine qui l'interrogeais.

« Oui, il en vas de soit ma très chère reine et mon bon roi"

La Reine cria, comme énervée son ordre au chat qui devais rejoindre le cortège de cartes à jouer. Cheshire n'eut d'autre choix que de rejoindre le cortège, en se demandant bien ce qui allait se passer ensuite. Il fait très beau aujourd’hui, temps parfait pour jouer, comme le ferais tout chat joueurs, même au croquet. D'ailleurs le Cheshire eut le droit a une mise en place quelque peu curieuse. Le terrain était la, route faisant et tout se dessinait pour une curieuse partie de croquet. Tous se mirent à courir dans tous les sens, en se cognant les uns contre les autres. Néanmoins, au bout d’une ou deux minutes, chacun se trouva à son poste et la partie commença.

Le terrain, étrange pour être appelé ainsi, était tout en creux et en bosses ; les boules étaient des hérissons vivants ; les maillets, des flamants vivants ; et les soldats devaient se courber en deux, pieds et mains placés sur le sol, pour former les arceaux en outre,ceux-ci n’arrêtaient pas de se redresser pour s’en aller vers d’autres parties du terrain. Les joueurs jouaient tous en même temps sans attendre leur tour ; ils se disputaient sans arrêt et s’arrachaient les hérissons. Au bout d’un instant, la Reine, entrant dans une furieuse colère, parcourut le terrain en tapant du pied et en criant : « Qu’on lui coupe la tête ! Qu’on lui coupe la tête ! » à peu près une fois par minute. Avec une telle vélocité dans ses châtiments ce qui est vraiment extraordinaire, c’est qu’il y ait encore des survivants.

Le Chat du Cheshire se demandait de plus en plus dans quel pétrin il c'était fourré et devais rapidement s'éclipser avant d'avoir la tète tranchée, encore qu'il pouvais s'en passer mais bon, cela est peu pratique pour boire le thé !

Il allais tout simplement disparaitre quand il vit une curieuse nymphette, enfin une humaine qui semblait tout aussi perdue. Le chat s'approchât donc d'elle pour la saluer et lui tint quelque mots raffinés de sa voix suave et enjôleuse de chat quelque peu étrange mais attirant.

" bien le bonjour mademoiselle, vous êtes vous aussi embraquée dans cette partie de croquet sans savoir comment vous en éclipser ?"

Ce matin là, la famille de Kisa avait été convié à la célèbre partie de croquet qui avait lieu au palais tout les an. C'était une fierté pour la famille d'y être invité, mais Kisa n'éprouvait aucune satisfaction à se mêler à la haute bourgeoisie, qui selon elle, était d'un ennui mortel. Elle connaissait très bien ce genre de réception, toute la bourgeoisie serait présente, faisant étalage de leur fortune respective, tout en ventant les mérites de leur progéniture, avec une bonne dose d'hypocrisie par dessus le marché ! Non, Kisa n'avait aucunement envie de participer à cette réception et encore moins à une partie de croquet, avec des gens tellement coincés qu'elle aurait envie de leur mettre son maillet là où elle pense. Mais selon elle, ça ne serait politiquement pas correct et pas digne d'une fille de bonne famille.

Lorsque Kisa & sa famille arrivèrent au palais, Kisa ne pu s'empêcher d'aller flâner quelques temps dans les jardins qui étaient parsemer de roses rouges. L'air si pur et doux que dégageait ces roses la rendait sereine et de bonne humeur. Alors qu'elle porta sa main autour d'une rose pour l'approcher d'elle et la sentir, elle fût surprise d'entendre des cris étranges provenant de l'entrée du jardin. Kisa se redressa et commença à se diriger vers l'entrée pour voir ce qu'il se passait, mais sa mère l'appela au même instant pour lui signaler que la partie de croquet allait débuter. Elle rejoignit alors aussitôt sa mère, tout en se demandant ce qu'il pouvait bien ce passé à l'entrée de ce jardin.

Lorsque Kisa arriva sur le terrain de croquet, tout le monde la regardait avec admiration. Elle portait une robe bustier couleur crème. Au niveau de son dos et de sa taille, s'entrelaçait des lacets de couleur framboise. Kisa avait ramassé ses cheveux, laissant une mèche retomber le long de son dos. Ses épaules étaient dénudés, laissant apparaître une peau d'une incroyable douceur et d'une teinte légèrement rosé. Son regard d'un bleu profond aux reflets violets paraissaient immense et d'une douceur unique.

La silhouette de la jeune fille semblait parfaite. Son visage n'en était que plus radieux, avec son sourire qui faisait ressortir ses petites pommettes, ses lèvres qui donnaient envie de les croquer, et ses yeux qui se plissaient, comme lorsque l'on caresse un chat qui se met à ronronner.

Kisa avait une silhouette d'une finesse et d'une élégance naturelle. Quiconque croisait son chemin, se retournait obligatoirement pour l'admirer.

Et, c'était exactement ce qui ce produisait lors de son arrivé sur le parcours de croquet. Pendant plusieurs minutes, les regards étaient braqués sur elle. Kisa avait toujours l'impression qu'elle avait quelque chose sur le visage, et à chaque fois, elle se frottait le visage, persuadé qu'elle avait une miette collé sur la joue.

Bref, après l'arrivé très naturelle du roi et de la reine bien entendu .. La partie de croquet pouvait commencer. Mais, contre tout attente, la partie de croquet c'était transformé en une sorte de safari, où la reine ne cessait d'hurler « COUPEZ LEUR LA TETE », et le reste de la cour se chamaillait pour un rien.

Kisa était stupéfaite, cherchant une solution pour pouvoir s'échapper de cet asile de fou ! Et c'est à ce moment, qu'une voix d'une douceur qui contrastait avec tout ce brouhaha, lui souffla :

« Bien le bonjour mademoiselle, vous êtes vous aussi embraquée dans cette partie de croquet sans savoir comment vous éclipser ? »

Kisa ne s'attendait pas à ce que quelqu'un lui adresse la parole. Elle pensait qu'ils étaient tous fou à lier, et qu'elle était la seule à trouver cette partie tout sauf normale.

A ces paroles, Kisa eu un léger sourire, tout d'abord parce qu'elle était soulagé de ne pas être la seule à vouloir s'éclipser de cette partie, mais également par la manière dont l'homme avait tourner sa phrase. Elle se retourna alors, pour se trouver face à face avec son interlocuteur et, à sa grande surprise, elle vît un homme d'une élégance et d'un charme fou. Il portait un costume trois pièces qui lui allait à ravir, ainsi qu'un chapeau dont il avait l'air particulièrement attaché.

Kisa plongea ses yeux dans les siens et, de sa voix douce lui chuchota pour que personne n'entende :

« Cela se lit-il autant que ça sur mon visage ? Même si le risque de me faire couper la tête est grand en disant cela .. une minute de plus ici, et je sens que mon maillet risque d'atterrir à des endroits non autoriser d'après les règles de ce jeu ! ».

A ces mots, Kisa se mit à rire et lui adressa un immense sourire. Comme ci, elle et lui se comprenait et partageait les mêmes opinions. Cet homme avait l'air tout à fait adorable, et Kisa avait bien l'intention de le garder comme allié, pour riposter contre tout ces fou.

x-Kissy-x

Invité

Le Chat du Cheshire eut un sourire en voyant la jeune Néko, qu'il avait pris pour une magnifique humaine de prime abord. Oui magnifique était le mot, la phrase, l'adjectif qui la définissait le mieux. Belle demoiselle revêtue d'une belle robe fendue couleur crème. dotée de lacets de couleur framboise. La framboise est un délicieux fruit d'ailleurs qu'on ne trouve qu'en cette saison. Une saison rare, une printemps en hivers, ou seul des fruits rares peuvent être cueillit. Une mèche parcourant le front de la belle enfant et une longue chevelure lui parcourant le dos, la néko était plus qu'attirante pour les yeux du chat gentleman et enjôleur qui la regardait. Ses épaules étaient dénudés, légèrement rosé, frémissant sous le vent qui parfois ce levait sur ce fou terrain de croquet. Son regard d'un bleu profond aux reflets violets pénétrait le regard du Cheshire et ses yeux d'argent l'espace d'un instant, semblaient comme possédée par le charme de la fille-chat avec laquelle il discutait, l'écoutais rire et s'amuser. Vraiment aujourd'hui est une belle journée pour un chat curieux, vous ne trouvez pas ?

Même si Cheshire semblait troublé par l'envoutante damoiselle. Le chat est avant tout joueur, comme tout chats qui se respectent. L'homme est aussi charmeur et quelque peu enjôleur si bien qu'il se laissât faire au jeu du charme dont cette femme rayonnais. Une silhouette parfaite et plus qu'attirante, un visage radieux bien qu'étonné en ses lieux mais doté en cet instant d'un sourire exquis qui faisait ressortir ses pommettes légèrement rougissantes. Cheshire parlât a la jeune femme, a la fille chat, d'une manière suave, de sa voix de chat charmeur en direction de la jeune femme, d'une voix amusée et plus sensuelle, roulant les r, comme un ronronnement, sans même s'en rendre compte. Les intonations de sa voix n'étaient en rien agressives bien au contraire, il s'efforçait d'avoir une voix calme mais son naturel faisait que celle-ci était également sensuelle, parfois même langoureuse bien qu'il ne le remarquais pas forcement.

"Bien, belle jeune femme, que diriez-vous de vous éclipser avec moi loin de ce jeu rasoir et de ses personnes folles jouant a en perdre la tête... Au sens propre comme au sens figuré d'après ce que la Reine vocifère. Je ne sais pas pour vous mais je tiens a garder la mienne sur les épaules, sans tête j'aurais quelques difficultés à ... boire le thé."

Chemin faisant le chat, homme élégant au chapeau stupéfiant lui allant comme un gant, interceptât deux coupes de champagnes servit par les serviteurs du jeu de carte. S'éloignant calmement et faisant signe à la jeune néko de la rejoindre, Cheshire s'en allât discrètement, relativement assez loin du terrain de croquet pour ne plus être vus et assez près du rosier blanc rougeoyant de milles peintures appliquées juste avant. Le chat attendais que la jeune néko le rejoigne, tandis qu'au loin dans le terrain on pouvait entendre milles cris poussé a l'intention de ceux qui n'avaient osé s'éclipser. Un chat est fort joueur et très discrets, alors deux chats, cela promet beaucoup d'amusement furtifs dans un terrain de jeux aussi grand.

au loin, dans le terrain de croquet, on put entendre milles hurlements. Des "qu'on lui coupe la tête" vociférés a tour de bras et soudainement à presque tout les participants. Presque pour rien a chaque fois, un tour passé, une balle, enfin un hérisson mal tiré, un mot de trop ou de pas assez et hop, l'ordre et hurlé de la bouche de cœur de la reine fumante de son énervement causé car sa partie de croquet ressemble plus a une mascarade ambulante. Ce fut rapidement que les invité de la Reine, furent ils idiot d'ailleurs de venir, se retrouvèrent ainsi presque tous enchainées pour être décapité. Cela est ballot, sans sa tête on joue moins bien au croquet n'est ce pas ? Quoiqu'il en soit la reine part, vexée, n'assistant même pas à l'exécution ordonnée. Profitant de cette aubaine, le bon roi courut lui aussi vers le bourreau et de tout ces nobles pour leur dire en vitesse " vous êtes tous graciés" comme chaque années.

La partie fini son chemin au loin mais Cheshire et Kisa ne sont plus la depuis un moment déjà... ou donc sont passés ces deux merveilleux chats ? Et Cheshire, galant homme et chat curieux, a emmené la belle kisa près du bosquet de roses blanches peinte en rouge, un verre de champagne de qualité a la main et un tour de magie a l'esprit. D'un geste amoureux, d'un geste séducteur le chat tendit la rose rouge à la jeune fille, mais avant même qu'elle n'ai put la saisir voila qu'il la retire et verse le contenue de sa coupe de champagne sur la rose rouge. Comme un tour de magie la rose rouge deviens blanche tandis que la peinture tombe au sol , noyé dans du champagne, certes de bonne qualité, mais dont l'usage premier était d'être consommé.

le Cheshire tendis la rose blanche à la jeune femme mais avant qu'elle ne put la saisir une nouvelle fois, le chat disparut tout simplement. Cheshire disparut corps et bien, rose blanche anciennement rouge comprise et un instant tout se tut autour de la jeune fille seule actuellement. Se fut en forme de chat, volant et flottant que Cheshire réapparut. Un chat vert voyez vous ? descendant doucement en tenant dans ses mains, telle une offrande une belle rose blanche a l'attention de la néko. flottant en face d'elle, le curieux chat vert lui souriait, d'un sourire du Cheshire, du chat vert et magique lui ayant transformé une fleure rouge en fleure blanche avant de lui céder. Le chat chapeauté la regardait profondément dans les yeux, de ses deux yeux d'ambre. son regarde semblait très amical et un rien passionné. Il lui lançât de sa plus belle voix, exactement la même que celle qu'elle avait auparavant, bien qu'elle semblait un brin plus langoureuse.

" Une belle rose, pour une belle fleur. Rouge pour la passion et blanche pour la pureté. Belle demoiselle dont j'ignore le nom. Je me présente, Cheshire, chat vert et gentilhomme pour vous servir. Un bien beau palais, je me demande ce qu'il renferme, pourquoi ne pas l'observer pendant que la partie de croquet déjanté se termine ? Peu être un petit tour à jouer a une vilaine reine qui sais ?"

Une fois la Rose donnée le chat disparut, non pas simplement comme tout a l'heure mais en souriant et en s'évaporant au vent comme s'il n'était que de fumées et de vapeurs. Il réapparut plus loin, chat jouant et invitant. Un chat vert vous voyez? Il invitait la néko a s'éclipser dans le château histoire de découvrir ce qu'il renferme et de s'amuser... sur une simple phrase que le chat, proche de l'entrée non gardée, venait de prononcer

" Vous venez?"

Kisa avait avec délicatesse, enfermé sa main tout autour de la rose que le chat lui avait offerte. Ses doigts étaient très fin, et la couleur de son vernis noir, accentuait cette finesse, tout comme elle accentuait la douce couleur de la rose. Kisa porta la rose à son visage pour sentir son odeur. Elle ferma quelques instants les yeux, laissant le maquillage noir de ses paupières se dévoiler quelques instants. L'odeur était délicate, apaisante, enivrante, tout comme Cheshire à vrai dire.

A ce moment là, le chat lui proposa d'entrer. Kisa n'eut pas le temps d'ouvrir les yeux, que ses oreilles furent captivés par des bruits de pas qui se rapprochaient de là où Cheshire et elle, se tenaient. Dans quelques instants, on découvrirait leur présence, il fallait vite se cacher. Kisa prit le chat contre elle, et se faufila dans le palais, cherchant un endroit où se cacher. Le temps pressant, Kisa ouvrit la première porte qu'elle vît et s'y faufila. L'oreille très attentive, elle attendît quelques instants, pour s'assurer qu'ils étaient enfin en sécurité. Elle déposa alors doucement le chat sur le sol, et leva les yeux vers la pièce où ils venaient d'entrer. A la grande surprise de Kisa, ils étaient dans une bibliothèque. Mais, pas n'importe laquelle ! Une bibliothèque immense, comme elle n'en avait jamais vu. Les étagères étaient immenses, et ne semblait toucher aucun plafond, puisque le plafond lui même semblait inexistant. Des millions de livres se trouvaient dans cette bibliothèque, et encore, on ne voyait pas la totalité de la pièce, car des rideaux de velours noirs qui tombaient devant les fenêtres, rendaient la salle totalement sombre, avec pour seule lumière, la flamme des bougies.

Kisa ferma les yeux un instant et prit une grande inspiration. L'odeur des livres, c'était un parfum qu'elle adorait sentir, et qui souvent, la transportait dans un autre monde. Elle rouvrit délicatement les yeux et s'adressa à Cheshire.

« C'est magnifique .. Je ne connaissais pas l'existence d'une telle bibliothèque ici. J'aimerais pouvoir emporter tout ces livres avec moi .. C'est un véritable trésor cette pièce. »

Au même instant, Kisa entendit un bruit de pas derrière elle, suivit d'une respiration assez forte. Kisa fronça les sourcils et se retourna.

« Cheshire ? .. »

Kisa s'arrêta net en voyant que ce n'était pas Cheshire qui était derrière elle, mais quelqu'un d'autre. C'était une silhouette masculine, mais Kisa n'en voyait pas plus, à cause du manque de lumière. Elle cherchait Cheshire des yeux, espérant qu'il ne lui soit rien arrivé, mais la pièce était tellement sombre qu'il aurait pu se cacher n'importe où. L'atmosphère commençait à devenir de plus en plus pesante, quand tout à coup, Kisa sentie une présence derrière elle, l'homme s'était déplacé à une vitesse fulgurante. A peine eut-elle le temps de se retourner, qu'une main se mît sur sa bouche. Un souffle glacial entourait Kisa, et une voix tout aussi froide retenti.

« Tu cherchais quelque chose ma petite ? Tu n'aurais jamais dût te faufiler ici, et encore moins toute seule. »

Kisa ne reconnaissait pas cette voix, mais elle avait ressentie une émotion particulière dans la voix de l'homme. Une certaine folie, excitation semblait l'animer. Kisa le savait que ce n'était qu'une question de temps avant que l'homme ne passe à l'action et ne tente de la blesser. Mais, ce n'était pas ce qui préoccupait le plus Kisa. Depuis quelques minutes, Cheshire avait disparue, et elle n'aimait pas du tout ça. Elle fronça les sourcils quelques instants, et réfléchis à une vitesse fulgurante pour trouver un plan le plus rapidement possible.

L'homme n'avait sans doute pas remarqué Cheshire qui était sous l'apparence d'un chat lorsque Kisa était entré dans la pièce. Il pensait donc que Kisa était seule, et ne soupçonnait pas la présence de quelqu'un d'autre. Cela représentait un certain avantage si elle se trouvait dans une situation critique, Cheshire pourrait venir à son secours, mais pour cela, elle devait savoir où il était passé. Ce n'était pas pour elle qu'elle s'inquiétait, mais pour lui.

L'homme commençait à serrer Kisa de plus en plus contre lui, ce qui allait à un moment, bloquer sa respiration et ses mouvements. C'était le moment pour elle de se dégager des bras de cet homme, sinon, elle resterait bloqué et serait en situation critique. Kisa observa autour d'elle et ne voyait toujours rien. Tout d'un coup, un sourire se dessina sur le visage de Kisa, laissant deviner que la jeune Neko avait trouvé une solution.
L'homme avait la bouche près de l'oreille de Kisa, et elle sentait son souffle devenir de plus en plus fort. En une fraction de seconde, Kisa mordit jusqu'au sang le doigt de l'homme, qui se recula immédiatement en poussant un cri de douleur. La jeune Neko ne perdit pas de temps, et courra vers une étagère où elle avait aperçue une échelle. Elle commença à y monter, dans l'espoir de pouvoir trouver plus facilement Cheshire en étant en hauteur, mais l'homme lui attrapa le pied.
Kisa sentait qu'à tout moment, l'homme finirait par la faire descendre. Elle était beaucoup trop légère pour lutter contre la force de l'homme. Elle cherchait dans les moindres recoins quelque chose qui pourrait l'aider mais elle ne trouva rien. Tout d'un coup, elle se rappela un élément important. Doucement elle glissa sa main dans son décolleté, faisant sortir un pendentif en forme de boussole. Elle l'enleva de son cou, mît la chaîne autour de sa main, et appuya sur un petit bouton situé au sommet de la boussole. La boussole s'ouvrit et laissa place à des lames tout autour de celle ci. La simple petite boussole dorée qui lui servait de pendentif, venait de se transformer en véritable fléau. Avec une grande maîtrise, Kisa donna un coup de fléau sur l'homme et le blessa à la main. Immédiatement, il lâcha prise, laissant Kisa s'échapper en haut de l'étagère. L'homme était à présent au sol, la seconde main en sang, toujours le visage caché. Il se releva, et avec une rage intense, il hurla :

« Je t'aurais sale petite chatte de malheur ! Ce n'est pas ta morsure qui m'arrêtera. »

A ces mots, le regard de Kisa s'assombrit. Celle ci s'accroupit au bord de l'étagère, tel un chat, montra ses dents avec un sourire malicieux, et lui lança d'une voix encore plus froide que la sienne.

« Alors, vient me chercher. »

A ces mots, l'homme poussa un grognement et sortie un couteau de sa chaussure.
Kisa fronça les sourcils une nouvelle fois, et sortie les griffes.
Cheshire avait disparut, et c'était pour le moment tout ce qui préoccupait Kisa. Elle espérait qu'il n'était rien arrivé au jeune homme.
En voyant l'homme se diriger vers elle, Kisa ne pu cacher son sourire. Le chat qui était en elle commençait à se réveiller, elle avait envie de jouer.

Invité

Cheshire est porté par la jeune femme, la fille-chat transporte le chat vert pour cette fois. Le curieux chat vert et chapeauté est secoué au rythme des mouvements de la belle et jeune néko. Elle cours à gauche, à droite, Se faufilant avec grâce et rapidités qui sied si bien aux êtres de son espèce. Le chat vert dans ses bras était quand a lui bien occupé à ne pas perdre son chapeau avec toutes les secousses qu'il subissait. Il sentait de près le parfum et la douce peau blanche de l'enfant, contact et senteur agréables en soit, mais pas vraiment appropriée à cette situation d'urgence, n'est ce pas ? Finalement les ballotements cessèrent la belle néko au nom de kisa entrât dans une pièce sombre et silencieuse, a la forte odeur de livres, de papier centenaires et de reliures en cuir. Ils étaient dans une magnifique, une bibliothèque.

Cheshire retrouve le sol et en disparait, volant et flottant apparaissant à de multiples endroits. Le chat écume cette bibliothèque, curieux comme un chat de voir ce qui s'y trouve. Il flotte et disparait vers les hauteurs vertigineuses de ces armoires par ailleurs pour regarder les milles et un livres en hauteur. Cheshire est un chat curieux de tout et peu être après tout y trouvera t'il le sien ? Ou ben encore celui d'Alice y est peu être, qui sais ? A moins bien sur qu'il ne tombes sur les notes et les récit de la philosophie d'absolem, curieux livre pour un chat curieux d'ailleurs n'est-il pas?.

Absolem, curieuse chenille savant et philosophe connaissant des secrets par million et bien plus encore de personnes lui confiant leurs propres secrets. Une chenille bleue de cinq pouces de haut voyez-vous. Doté d'un monocle et d'un narguilé, d'un air hautain et pourtant savant et attentionné. Ami et bonne compagnie pour le Cheshire que cette chenille, l'abreuvant par moment de ces péroraison et de sa philosophie unique. Cheshire doit le revoir d'ailleurs car bien des secrets il doit lui demander. L'Absolem était ici, le livre d'Absolem nommé Absolem et c'est avec une curiosité Féline que le cheshire l'ouvrit et commençât a en lire les entrailles, les milles et un secret bleuté de ces yeux de chat vert. La pénombre devait être gênante pour un humain mais un chat... Ses yeux de chat voient parfaitement bien les caractères uniques laissé par la chenille.

Une voix douce, mielleuse et attirante sortit le Cheshire de cet ouvrage au combien intéressant. kisa s'adresse au cheshire de sa douce et belle voix et notre chat gentleman détournât les yeux des secrets du monde pour les poser vers la délicieuse néko comme émerveillé devant tant de connaissances et de mondes imaginé a sa simple portée. Elle semblait vouloir dévorer les livres comme l'homme derrière elle voulais la dévorer... Avec un désir exacerbé. En effet un homme se tiens derrière la belle et sensuelle néko. Il viens de l'attraper pour la plus grand colère du Cheshire. Cet homme, ce vil pervers puant et prétentieux lui est connus... cet homme à l'air noir, aux desseins sombres... le valet noir de la reine rouge.. Le valet de cœur, le Valet fourbe en voulais a la pureté de l'enfant-chat... cet homme, ce Ilosovic Stayne était l'opposé du Cheshire, ni galant ni élégant, de la force brute et de la haine exprimant juste en cet instant un désir charnel sans sentiments.

Spoiler:

l'homme essaye d'abuser de la néko, se croyant seul. Décidément, il abuse de toutes les femmes et ne fait preuve ni de raffinement, ni de délicatesse. Son attitude est pire qu'une insulte aux yeux du Cheshire et le pire de tout, il s'attaque à la magnifique protégée du chat du Cheshire. Curieux chat et gentilhomme, il est courageux s'il le faut et cet homme... vas payer une fois de plus. Cheshire disparait ainsi et réapparait sur une tringle à rideau, sous sa forme belle et élégante d'homme enchapeauté et discret et surtout, surtout, juste au dessus des deux protagonistes. Alors que la femme féline est en haut d'une étagère, en sécurité de ce que veux faire le Cheshire à l'homme noir de la reine rouge nommé Ilosovic. Il siffle du haut de la tringle d'un rideau tiré aux motifs de cœurs et a l'épaisseur de velours rembourré, De sa forme humaine et d'un sourire aux lèvres, indiquant une certaine mauvaise attention. Il parle avec dédain à cet idiot violent. D'une voix mauvaise et surtout empreins d'un certain dégout.

" Monsieur le Valet, sous fifre de la reine de cœur et lâche abusant de belles demoiselles grâce à son grade. Pourriez vous me rappelez comment se nomme déjà cette longue barre métallique ?"

Ilosovic levât la tête mais ne voyait presque rien a cause de l'obscurité. Il reconnut cependant la voix du chat et lançât, d'une voix.. étonnée et énervée d'avoir été interrompue lors de sa quête de sexe sans romances.

" Cheshire? crétin de chat tu sais pourtant que c'est une tringle qui sert... AAAAHHHH"

Oui le valet criât et pour cause, Cheshire venait de détacher la tringle bien nommée tenant cet immense rideaux qui s'effondra sur le valet de cœur, recouvrant toute la zone ou ils se trouvaient de par ailleurs. Se fut ainsi un véritable océan de tissu qui déferla sur le valet à en faire trembler l'étagère ou la belle néko était posée et faisant apparaitre la douce lumière dorée dans cette pièce sombre. Le haut d'étagère ou était la jeune néko faisant office d'ile hors des flots de tissus à motifs de cœur colorés. La tringle chutât, elle aussi finalement laissant juste le Cheshire disparaitre au dessus du trou formé et heurtant le crane de cette bosse qu'était le valet sous cet amas de tissus, l'assommant sec sous l'impact mais ne le tuant pas, cause au tissu épais qui le recouvrait de plusieurs couches.

Cheshire se dématérialisa simplement, comme se fondant dans l'obscurité et réapparut à coté de la jeune femme en un sourire qui fut juste après composé du reste de l'humain qu'était Cheshire, chat étrange malin qu'il est. La douce néko au parfum attirant était posée au sommet de son ilot de bois encerclé par les livres dérangé et le tissus l'entourant comme un mer dangereux a souhait. Un requin y dors d'ailleurs, noir comme un valet de cœur assommé. Le Chat réapparait assis a coté de la demoiselle apeurée et l'enlace, voulant la réconforter, lui glissant des mots doux et lui parlant de sa voix de chat, ronronnant, douce et apaisante autant qu'il le pouvait. Elle dois être effrayée et un câlin apaise en général, sentant son cœur battre contre lui et lui donnât des paroles réconfortantes avec un sourire enjôleur de chat attentionné envers sa protéger.

" Tout est fini ne vous inquiétez pas, je ne laisserais jamais qui que ce soit faire du mal à votre être ma chère demoiselle. Il est interdit de vous touchez sans que vous n'en donniez l'expresse autorisation."

Spoiler:

Cheshire recule un peu et fais glisser ses mains le long de la douce peau blanche des bras de la jeune femme néko pour finalement lui attraper ses deux mains délicates. Il lui sourit et commence à flotter et a disparaitre dans un nuage de fumée, des volutes de fumée laissant uniquement un sourire et un visage de chat la regardant. La Néko dut sans doute être surprise, du moins cheshire l'espérait car la magie du Cheshire l'emplie et elle disparue avec lui, une seconde seulement, pour se retrouver entière, au dessus du sol, soutenue par deux bras qui devinrent petit à petit le gentilhomme élégant lui souriant et emmenant la belle néko dans d'autre lieux, s'éloignant de la bibliothèque publique du château ou les cartes à jouer, les soldats de la reine de cœur, accouraient pour aider le valet de cœur vociférant après ce maudit rideaux et le chat qu'il ne connais que trop bien.

La tenant dans ses bras, comme un jeune marié tiendrais sa fiancée devenue compagne, un bras sous les genoux de la demoiselle et l'autre lui passant derrière le dos, cheshire avançait calmement, dans le couloir longeant la bibliothèque tandis que derrière eux les gardes s'agitaient. Il se penchât vers le visage de la néko et lui souri avant de lui lancer de son air et de sa sensuelle voix de chat, séducteur, enjôleur et ronronnant ses "R" délicatement.

"si vous aimez les livres, pourquoi ne pas jeter un œil dans la bibliothèque personnelle de la reine, je suis curieux de voir ce qu'elle y lis. à moins que vous aillez envie d'explorer un autre endroit ? "

pour ce retour, et contrairement au début de cette histoire, ce fut sous sa forme humaine que le chat vert transportât la fille-chat pour cette fois.

Kisa avait le regard plongé dans celui de Cheshire. Il l'avait soulevé avec une telle délicatesse, qu'elle s'était laissé faire. Aussi légère qu'une plume, elle était lové contre Cheshire, sentant son souffle contre sa peau et les battements de son cœur. Elle se sentait totalement en sécurité et apaisé contre lui, mais elle n'était pas habitué à être aussi proche d'une personne du sexe opposé et surtout, que cette personne n'ai pas de mauvaise intention. Doucement, Kisa se dégagea des bras de Cheshire, lui adressant un sourire pour le remercier de ce petit moment de délicatesse qu'il lui avait accordé. La jeune fille s'avança vers Cheshire et lui déposa un doux baiser sur la joue, ferma délicatement les yeux et murmurant d'une voix douce :

« Pour remercier le chat que vous êtes de m'avoir sauvé. »

Kisa resta quelques secondes, les lèvres proches du visage du jeune homme, devinant que celui ci était absorbé par son parfum enivrant. Avant même qu'il ne puisse réagir, Kisa se recula et plissa légèrement les genoux, comme pour lui adresser une révérence, mais cela n'était pas une révérence comme les autres. La jeune femme joignit en même temps ses mains au dessus de sa tête, et commença à danser autour de Cheshire. Kisa ne s'arrêtait pas de danser, laissant son corps se balancer de droite à gauche, exécutant des mouvements d'une propreté parfaite, et d'une sensualité particulière. Elle voyait le jeune homme qui ne la lâchait pas des yeux, et cela l'amusa. Elle avait envie de montrer à Cheshire qu'elle n'était pas aussi prévisible comme elle le laissait paraître, mais elle avait également envie de partager quelque chose avec lui. Kisa avança vers Cheshire, avec une douceur telle qu'il ne put refuser ce qu'elle s'apprêtait à lui demander. Elle n'eut même pas besoin d'ouvrir la bouche, elle savait que Cheshire avait comprit ce qu'elle voulait faire. Kisa mît une de ses mains dans celle de Cheshire, puis elle déposa la seconde sur la taille du jeune homme qui fît de même. Kisa ne quittait pas des yeux Cheshire, lui adressant un sourire qui laissait transparaître le bien être de la jeune fille à ce moment précis. Tout deux, l'un contre l'autre, le regard perdue dans celui de l'autre, dansaient en parfaite harmonie, comme ci ils l'avaient fait depuis toujours. Leur esprit semblait lié, et c'était pour cela qu'ils n'avaient même pas besoin d'ouvrir la bouche pour comprendre ce qu'il ce passait dans la tête de l'autre, un seul regard et tout était dit.

C'était comme ci le monde avait cessé d'exister, comme ci le temps s'était arrêté pour leur accorder ses quelques minutes de bonheur ensemble. Un moment d'une intensité telle que Kisa se sentait comme mise à nue face à cet homme, elle se sentait naturelle, et à sa place. Et pour la première fois, elle lu dans le regard du jeune homme, qu'il ressentait la même chose qu'elle, et qu'il ne jouait pas pour une fois. Quelque chose se passait réellement entre eux deux. Doucement Kisa s'arrêta, gardant la main dans celle de Cheshire, ainsi que son corps toujours contre lui. Elle releva doucement les yeux, et d'une voix très douce, elle lui dit :

« Je ne voudrais rien changer à ce moment, à cette rencontre. Cependant, j'ai un aveux à faire .. »

Mais à ce moment là, quelqu'un arriva dans la pièce, les surprenants l'un contre l'autre, main dans la main. C'était une des invitée qui connaissait très bien Kisa, puisqu'elle était très lié à ses parents. La voix outrée de la femme retenti dans toute la pièce.

« MADEMOISELLE AKIRA ! N'avez vous pas à honte, vous .. Avec un homme .. Lorsque vos parents l'apprendront vous serez la honte de la famille ! »

Kisa baissa la tête, comprenant qu'elle venait de se mettre dans une situation difficile et laissa sa tête se poser contre le torse de Cheshire. Sans même que celui ci ne prononce un mot, elle sentait qu'il ne comprenait pas ce qu'il ce passait, et pourquoi cette femme s'adressait ainsi envers Kisa. Mais, il ne pouvait comprendre, puisque Kisa ne s'était même pas présenté .. Du moins, elle n'en avait pas eu le temps. La jeune Neko soupira un grand coup, et se retourna vers la femme qui les dévisageaient. Kisa s'avança doucement, essayant de ne pas brusquer la femme et dit doucement :

« Ce n'est pas ce que vous pensez ! On était juste en train de .. »

Kisa n'eut même pas le temps de finir sa phrase, que la femme donna un coup au visage de la jeune fille, d'une telle brutalité, que les ongles de la femme griffèrent le visage de Kisa, laissant une entaille assez profonde provoquant un saignement de sa joue. La jeune Neko était debout, encore sous le choc du coup qu'elle n'avait pas vu venir. La femme allait partir mais s'arrêta net avant d'ajouter :

« Mademoiselle, ne faîtes pas la même erreur que votre f.... »

La femme n'eut pas le temps de finir sa phrase, qu'elle tomba à terre. Elle venait d'être percé d'une flèche au cœur. Son corps gisait par terre, entouré d'une flaque de sang provoqué par la flèche qui l'avait transpercé. Le spectacle était troublant, personne n'avait rien vu arriver, tout c'était passé en une fraction de seconde. Kisa se précipita vers Cheshire. Tout deux étaient sur leur garde, scrutant le moindre geste, le moindre bruit. Quelqu'un les observait et n'allait pas tarder à leur tirer dessus. Lequel des deux chats était visé ? Et, si l'un était en danger, qu'en adviendrait-il de l'autre ? Leur lien les entrainerait-il tout deux vers la mort, ou au contraire, vers la victoire ?.

Ils ne pouvaient pas répondre à ces questions, mais ce qui était certain, c'est qu'à ce moment précis, sans qu'ils s'en rendent compte, ils étaient tout les deux, dos à dos, la main dans celle de l'autre.

Invité