/!\ Shall we Danse ? [PV Selemba] [Terminé]

Lucina. Des contrées paisibles doutée d'un charme raffiné. Par bonheur pour l'elfe, elle avait atterrit en plein milieux de la capitale. La ville débordée de vie ou toutes les classes sociales se côtoyaient dans un joyeux brouhaha. Les odeurs se mariaient aux couleurs dans cet univers bariolé par toutes ses ethnies accordées. Un joyeux marché ou les vendeurs appeler les clients en vendant leurs marchandises. Qu'elles scintillent de milles éclats ou mettent en appétit. L'elfe vêtue avec sobriété mais élégance pouvait vagabonder dans une ville au grand jour, sans sa tenue de cuir ni armes. Aujourd'hui elle était une simple rebelle. Ses yeux luisaient d'émerveillement comme ceux d'un enfant et de la même manière, elle ne pouvait s'empêcher d'aller d'un étalage à l'autre. prête à griller sa bourse, évidemment. Un marchand lui lança une pomme d'un rouge alléchant avec un clin d'œil. L'elfe envoya un baiser dans le vent du bout de ses doigts en riant avant de croquer dans le fruit savoureux, un mince filet de jus glissant jusque dans le milieux de son cou. Son humeur était des plus charmante et le nombre de regards qu'on lui jetait attisait son brin de fierté naturel.

"Selemba ? Oh ma chérie, que fais-tu ici ? Tu aurais dû me prévenir que tu venais, j'aurais fait préparer une chambre pour toi. Nous allons y remédier ! L'intéressée éclata de rire et répondit :
- C'est justement pour éviter à tes domestique une crise de stress que je n'ai rien dit. Je pensais rester deux jours tout au plus.
- Trois. S'il te plait... il y a un grand bal organisé, Il faut absolument que tu viennes, je me surveille depuis presque deux mois pour être sûre d'entrer dans ma robe ! Tu ne peux pas partir sans l'avoir admirée
- Nous verrons bien. Mais si l'ami que tu m'as présenté la dernière fois y sera, je viens ! ''

Les deux ''amies'' éclatèrent de rire. Avarie. Une jeune femme charmante de Lucina, appartenant à la noblesse. On pourrait la qualifier de ''grande-dame'' par ses robes et ses manières mais elle était quelque peu simple d'esprit (voir superficielle). Seule la bourse de son époux lui offrait ce statut. Elle et notre espionne s'était connues lors d'une nuit à Harmonia ou l'elfe avait aidé Avarie à se tirer d'un mauvais pas. Avarie ne connaissait Selemba que sous la forme d'une jeune femme chaleureuse et accueillante. Célibataire (à la grande joie d'Avarie qui s'amusait sans cesse à lui présenter tel ou tel charmant jeune homme) et croquant la vie à pleines dents. Il n'aurait pu en être autrement si l'elfe voulait continuer de mener une amitié paisible. C'est ainsi que la pétillante jeune femme se retrouva à accueillir une tueuse ne lui voulant pas le moindre mal. La lucinienne, persuadée que l'elfe ne refuserait pas d'assister à ce bal, lui fit essayer une bonne centaine de robe (du point de vue de notre elfe. Soit une petite quantité pour Avarie.
Une rose pleine de froufrous. Une bleu et argent à lacets.Une verte marquée de motifs floraux. Une blanche et noire avec une partie ressortant étrangement au niveau de son bassin, donnant l'impression qu'elle avait les fesses en arrière. Une rouge flamboyante. Celle-ci l'elfe l'avait bien aimé mais le rouge ne ressortait pas vraiment bien avec ses yeux. Il leur fallut un certain temps pour tomber sur le modèle idéal. Une robe noire. Sans la moindre manche, ne masquant pas le coté sauvage qui lui donnait ses tatouages. Fendue, peut être plus que nécessaire, de chaque coté. La femme y vit un atout de séduction. La tueuse la possibilité de se mouvoir facilement. Le tissu échancré dans le dos dévoilait parfaitement le seul dessin ornant la peau : un dragon noir et or, teinté de rouge. Elle était parfaite. Élégante et osée. D'un noire sobre et pourtant remarquable. C'était plus la curiosité qu'autre chose qui avait menée l'elfe à accepter l'invitation d'Avarie. Un désir de revoir cette noblesse se pâmer. Il fallait avouer que leur fêtes avaient de l'allure. Un univers d'or et de diamant. De conventions malmenées. De roublards se disant bon croyants. Parfois noble d'âme d'autre seulement fortunés.
Arrivée à la fête elle n'eut aucun mal à passer glissant un regard appuyé à l'homme sensé surveiller les cartons d'invitation que, vous vous en doutez, la bienséance empêcha de dire quoi que ce soit. La jeune femme se mêla à la foule, explorant du regard la salle finement ouvragée. Un instant elle voulue raser le mur pour trouver une sortie comme peu désireuse de revoir ce qu'elle avait fuit. Se secouant elle décida de bousculer les conventions de cette petite fête et de s'en donner à cœur joie. Avec un petit air roublard, elle lorgnait X et Y se demandant que faire.L'elfe sentit quelqu'un l'approcher avant de le voir. Un jeune homme des plus charmant vêtu d'un costume s'accordant parfaitement à sa silhouette. Élégant avec une lueur étrange et libre dans son regard rouge ainsi qu'un sourire aux lèvres.

"Avez vous votre carton d'invitation mademoiselle ? Il parais que les invités en ont tous un.... Quel dommage je n'ai pas eut le mien moi non plus. J'espérais, belle demoiselle, découvrir les secrets de se genre de soirées mondaines. Curieux univers et curieuse attitudes ici n'est ce pas?" La coupe de champagne qu'il lui tendait trouva refuge entre les doigts de la jeune femme et s'immisça entre ses lèvres. Avec un regard en coin du coté de son œil bleu-vert elle répondit :
- Un carton d'invitation ? J'ai dû l'oublier chez moi. Avec un clin d'œil elle poursuivit. La noblesse est en effet assez déroutante. J'avoue être à la fois charmée et interdite. Piment et sucre. Cette foule marie toute les saveurs.''

La musique d'ambiance qui ne servait que de fond aux conversation se changea un un rythme invitant les danseur à conquérir la piste. Les duos se formèrent dans un ensemble parfait. Il ne manquait parmi tout ces danseurs que nos invités officieux. Le bel inconnu saisit sa main et l'entraina sur la piste. L'elfe eut tout juste le temps de poser sa coupe et de tenter d'émettre des protestation. Elle ? Danser un tango ? Alors qu'elle avait épousé les danses provocantes des bars depuis plusieurs années. Comprenant la situation l'homme l'aida de quelques gestes sans quitter son sourire félin. Des souvenirs d'adolescente revinrent à son esprit, alors qu'elle était encore dans ce monde de paillettes. Le rythme elle le connaissait. Les pas elle les avait déjà vus. Peut être pas dansés mais ceci, elle en faisait son affaire. Le rythme s'accélérant, la jeune femmes faisait valser sa chevelure dans tout les sens savourant la précisions des gestes de son cavalier. Il dansait, ma foie, plutôt bien. Très bien même. Enivrée par le regard de son compagnon elle laissa la musique la transporter, la posséder. Le duo se retrouva au centre de la piste et de l'attention. Qui était ces inconnus dont les noms n'avaient jamais caressés leurs oreilles ? Lorsque le tango se termina, Selemba était tout contre son compagnon, duo sensuel et indomptable.
Son regard glissa sur la foule dont une partie les fixait. Passer inaperçu ? C'était loupé. Avec un brin de satisfaction la jeune femme couva le danseur du regard et se laissa faire sans mot dire lorsqu'une douce mélodie reprit. Pourquoi s'arrêter de danser alors qu'elle était en si bonne compagnie ? La jeune femme ne put s'empêcher de noter la sensualité dans la voix de cet homme avec un brin d'accent (peut être) lui faisant rouler ses R. Même ce point plaisait à l'elfe lui arrachant l'ombre d'un frisson.

" Une danse très près du corps, celle-ci, laisser vous guider par le Cheshire, belle demoiselle dont j'ignore le nom. cette danse est facile a dansé et délicieusement reposante.
- Après un tel tango je ne penses pas que le contact soit un problème. Je m'abandonne à vos conseils. Et appelez-moi Selemba.''

Un slow... si par sa vitesse et sa sensualité le tango lui avait très vite plus, jamais elle n'avait tenté de danser un slow. La musique emprunte de tendresse berçait doucement les danseurs. Avarie manqua de rompre le charme du moment, que Selemba se surpris à ressentir, en lui adressant de petits coucous. L'elfe se contenta d'un sourire et détourna la tête pour pouvoir fermer les yeux en plaçant sa tête sur l'épaule de ce fameux Cheshire. Il avait une douce odeur, suave et marquante. Le moment de flottement s'acheva lorsque la jeune femme sentie le souffle du jeune sur son cou. Quelques frissons ornèrent sa peau. La tendresse nichée au fond de l'elfe céda place à sa malice bien plus présente. Un sourire orna ses lèvres. Un sourire plein de malice et de joie. Le jeune homme se redressa et elle sentie que le slow devait toucher à sa fin.

" Alors belle demoiselle, pourquoi s'être infiltré ici parmi toute cette mondanité? Pour ma part par simple curiosités... Je suis curieux de le visitez et de voir quels trésors et quels secrets il renferme.. Une fois cette danse terminée, accepteriez vous de vous éclipsez avec moi pour visiter cet endroit ? Les endroits les plus beaux sont ceux qu'il nous est interdit de voir à ce qu'il parait.
- Parce que ce que je savoure les interdis. Une curieuse fête et de curieuses personnes. C'est plus que plaisant à observer surtout sans invitation. Deux individus partageant un grand défaut. La curiosité. Teintée d'effronterie chez la jeune femme et plutôt de malice chez son cavalier. Si vous me chantez de telles merveilles je ne peux que vous suivre. Ces paillettes me sembleraient bien ternes après cette promesse et votre compagnie "

Leurs voix mêlaient le suave et le jeu. Doucement la jeune femme glissa vers ce qui semblait être une sortie, profitant des dernières notes du slow. L'attention n'étant plus concentrée sur eux, ce fut d'une simplicité presque regrettable. On peu être remarquable dans un tango, dans un slow il n'y avait que des duos harmonieux et discrets. Dès que la dernière note mourus dans l'air, la dame et le chat s'éclipsèrent dans un couloir, cette première prenant, pour la première fois de cette soirée, l'initiative d'entrainer ce second. Visiblement pas destiné aux invités. L'endroit était sous surveillance et se balader ainsi était loin d'être sage. Par un temps ou les rôdeurs tentant de s'infiltrer étaient nombreux, cette surveillance devait être optimale. Ne désirant pas rester immobile la jeune femme entrainait son compagnon par la main, ouvrant quelques portes au hasard. Ici une série de chambres pour les domestiques (qui firent fleurir un sourire narquois sur les lèvres de la jeune femme). Par un couloir étroit il descendirent plusieurs étage. L'air devint humide. Avec une grimace l'elfe pensa à des douves ou cellules. Elle décida de faire demi-tour quand le bruit d'un filet d'eau l'en dissuada. Semblable à une multitude de fontaines ou de cascades. Si l'elfe avait su... les appartements royaux réservaient bien des merveilles. Les thermes de leurs majestés à la disposition des deux clandestins. Nul richesse à dérober ou document. Donc pas de garde. Lorsque les fameuses thermes s'étendirent sous leurs yeux, la jeune femme ne pu que lâcher un sifflement admiratif (pas très féminin mais il traduisait tout en peu de temps). Après quelques instant où ses yeux caressèrent les jets colorés et les petites cascades elle glissa un regard vers Cheshire.

"Une baignade nocturne parmi ses eaux interdites vous charmerait-elle Monsieur l'Invité Clandestin ? "

Son regard taquin et son sourire rieur lui arracha un éclat de rire tempérant ses paroles. Pudeur et chasteté ne faisait pas partie des valeurs de cette demoiselle. Un petit bain ne la dérangeait pas mais elle n'avait, pour l'instant, nulle intention d'entrainer cet homme dans ses vices. Bien que l'idée lui ai traversé la tête.

"Allez y donc la première ma chère demoiselle, je vous y rejoindrais si tôt que j'aurais trouver un endroit ou mes habits et mon si précieux chapeau ne risqueront rien de cette humidité.
Ce serrait tellement dommage d'abimer un si beau couvre-chef..."

Avec un sourire en coin devant les précautions maniérée de ce bel étranger, l'elfe se tourna vers l'eau. La surface miroitante ondulait paisiblement comme une invitation à la troubler et se laisser aller à la paraisse et au plaisir. La soyeuse pièce de tissu glissa sensuellement le long de son corps pour s'affaisser à ses chevilles tel un chiffon délaissé. La robe, qui avait tant attiré les regards et rayonné dans la salle de danse, était ici comme une intruse masquant monts et merveille. Masque inutile et indésirable. Des sous-vêtements vinrent la rejoindre. Avec sa grâce innée et sauvage elle enjamba la robe et fit un plongeon digne de ce nom. Quelques éclaboussures vinrent moucheter le carrelage nacré du mur le plus proche. L'eau délicieusement chaude contre le visage de l'Ombre puis le reste de son corps créa en elle une vague de bien être. Lorsqu'elle remonta à la surfasse un étrange sourire éclaira son visage. Selemba pencha délicatement sa tête sur le coté en scrutant un reflet joueur et des plus étonnant que l'eau affichait. Un sourire. Un sourire de chat. Saviez-vous que les chats souriaient ? Étonnant, n'est-ce pas ? Si je vous précise que la sublime fourrure de ce félin était un dégradé de violet et de vert, vous devriez bien comprendre la surprise de notre demoiselle. Elle fronçait ses délicats sourcils sans vraiment comprendre. Dans un moment d'égarement vaporeux, elle tendit la main vers l'eau comme pour toucher l'image et s'assurer que ce n'était pas un mirage. Un poids se fit sentir sur sa tête. La jeune femme ne fit pas le moindre mouvement, ne désirant pas expédier cette chose dans l'eau. La voix suave et charmeuse du danseur raisonna dans la superbe salle.

"Et bien ma belle demoiselle aux yeux verrons. Auriez-vous imaginez même dans vos rêves les plus fous prendre un jour un bain avec un chat? Le chat du Cheshire qui plus est ? "

Muette de surprise, Selemba ne put que faire un sourire en coin, les lèvres entres-ouvertes d'étonnement. Cheshire ? Le superbe jeune homme n'avait donc pas de félin qu'une grâce certaine... Aussi vite qu'elle était venue, l'apparition ne fut plus, dans une nuage opaque de brume. Une lueur d'émerveillement remplaça la surprise dans son regard. Lorsqu'il disparut la jeune femme s'autorisa une de ses mimiques craquante voir provocatrice dont elle avait le secret. Le message était clair. Selemba aimait l'exotisme et l'extravagance. Telle une pie, elle suivait avidement d'un œil expert tout ce qui brillait dans cette pâle et sobre société, n'attendant que le moment propice pour pouvoir s'en emparer. Et ce personnage était la personnification même du remarquable. Comme un songe aux lueurs inconnues, fascinantes et inquiétantes. Seul la tête de la jeune femme bougea lorsqu'elle sentit la présence du gentilhomme derrière elle. Aussi nu qu'elle, sa peau pâle épousait une musculature fine et bien dessinée. Une fabuleuse sculpture. Mais le marbre semble froid et inaccessible. La peau de cet homme lui paraissait douce et chaude. Confirmant cette pensée, une main légère et baladeuse se posa sur son dos avec la douceur d'une caresse. Elle remonta, glissant jusqu'à son épaule. L'eau se déplaça dans le dos de la jeune femme et elle comprit que Cheshire était derrière elle lorsque se voix suave susurra à l'oreille de notre demoiselle aux yeux vairons.

"avez vous déjà goutez au plaisir des massages belle et mystérieuse demoiselle ? Laissez vous guider par le Cheshire dans cette nouvelle danse. Je suis convaincu qu'elle vous plaira. "

Sans un mot la jeune femme offrit un regard charmeur, un brin provocateur, à l'homme. Nullement effarouchée, elle passa une main dans ses cheveux, sachant pertinemment que s'étirer ainsi mettrait la finesse de sa silhouette en valeur, et les dégagea de son dos comme pour enlever le dernier voile masquant sa nudité. Tout en douceur et sensualité, le jeune homme laissa ses doigts vagabonder le long de son épaule, émoustillant se peau et ses sens. Suivant parfois ses courbes, d'autres des lignes imaginaires. Un colonne tracée de frissons suivit la ligne dessiné par la main baladeuse. L'elfe sentait sa peau la piqueter délicieusement comme si des étincelles la frôlaient. Puis le doigts remontèrent, suivis d'un mince filet d'eau apaisant les frissons. L'homme appliqua entièrement ses mains sur la peau de Selemba. Elle sentait son corps réagir sans qu'elle ne le lui ordonne, n'exerçant aucun contrôle et ne désirant surtout pas le faire. Ses muscles se tendaient et se détendaient sous la pression délicatement exercée. De par ses fonctions de voleuses et de tueuse, ses nerfs étaient toujours à vif et ses muscles prêts à se tendre pour sa vie. Selemba avait toujours aiguisé son sens du toucher. Si bien qu'elle était capable de différencier l'or de l'argent dans le noir absolu. Sans s'en rendre compte, elle ferma les yeux, sa lèvre inférieur délicatement saisit entre ses dents. Lentement, doucement, l'homme porta une attention particulière à chaque muscle. Un nouveau frisson s'éveilla, zébrant sa peau d'une ligne de feu, lorsqu'il effleura ses hanches. En sentant les lèvres légères se poser entre sa nuque et le début de son dos, la jeune femme tourna à demi son visage, couvant d'un œil ce mystérieux cavalier.
Lentement, elle posa ses doigts fins sur les yeux de l'homme, les fermant délicatement. Elle baissa de quelque centimètre sur le visage parfait, l'encadrant avec une ferme douceur. Elle frôla de ses lèvres celles de l'homme sans vraiment le toucher. Puis elle les déposa sur son cou, lâchant enfin son visage pour placer ses paumes contre le torse délicieusement sculpté. Ses lèvres embrassèrent tour à tour le creux de ses épaules. Un de ses main décida d'explorer le dos du jeune homme tendis que l'autre se laissa glisser avec une douce sensualité vers son ventre, soulignant de ses doigts les abdominaux. Sa main gauche suivait le tracé des omoplates alors que sa main droite fit un instant le tour de son nombril pour s'égarer vers la hanches... L'elfe se hissa sur la pointe des pieds, approchant son visage de l'oreille de Cheshire. Selemba avait une voix légèrement grave, sensuelle est forte tout en étant féminine. Affreuse pour chanter mais parfaite pour susurrer :

''Je n'en aurait jamais eu l'idée. Et le chat du Cheshire aurait-il songé partager un bain interdit dans les profondeurs d'un palais avec une demoiselle s'invitant d'elle même aux soirées mondaines ? "

Pour pouvoir se hisser jusqu'à l'oreille de l'homme, elle avait dû presser son corps contre le sien d'une façon quelque peu langoureuse. La demoiselle ne perdait pas le nord. Une lueur amusée scintillait dans son regard disparaître. Une lueur semblable à une invitation...

Selemba Impériale > 4 xps