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Sujet: Erestia en guerre [Terminé] Mer 16 Fév - 20:49
« Bande d’enfoiré ! Tenez vos positions ! Vos positions ! Le flanc droit ne lâché pas ! Il on percé sur la gauche ! »
Quelques jours avant la bataille
La nuit venait de tomber sur Lucina. La lune était en croisant et dans quelques jours elle serait pleine. Liborio le savait et redoutait déjà se moment à venir. Comme si le temps était réglé sur ses propres sentiments, il pleuvait à ne plus en finir et le vent soufflait brutalement. Liborio regardait dehors par sa fenêtre allongé dans son lit, l’esprit pensant et meurtri par sa malédiction.
« Toc, toc, toc. »
Le jeune mercenaire sursauta, attrapa la garde de son katana et le sorti de son fourreau. Il éteignit les chandelles et s’approcha de la porte lentement.
« C’est qui ? »
« Une lettre du QG »
« Qu’elle QG ? »
« Les Gardiens »
« Bien ! Je vais ouvrir la porte. Pas de geste brusque »
Lentement le Lucien ouvrit la porte, un homme avec une capuche et grelottant se tenait devant la porte. L’assassin sorti sa tête dehors pour regarder si personne ne l’avait suivit puis il se décida à le faire rentrer.
« Tu compte toujours faire le même cinéma ? »
« Bah quoi ! On n’est jamais assez prudent. Allez sert toi un verre et explique moi tous ça ! »
Les deux hommes s’installèrent au tour de la table, l’homme commença à expliquer le pourquoi de sa venue. Liborio l’écoutait à moitié, se balançant sur sa chaise. Les seules choses qu’il avait retenues étaient combattre l’Ordre et un danger de mort imminent que comportait la mission, mais que l’ont devait absolument tenter pour diminué quelques peu les forces ennemies et les empêcher de progresser dans Lucina.
« Bien ! J’accepte ! »
« La guilde n’en attendait pas moins de toi. Tu es vraiment un suicidaire et un inconscient. »
« La vie ne vaux la peine d’être vécue que si elle côtoie la mort chaque jours »
Le Lucien prit note de l’endroit où devait se dérouler sa mission qui consistait à repousser une invasion de l’ordre dans un village et d’abattre deux généraux. Le sang allait couler et rien que cette perspective venait de rendre le sourire au Lucien. Le temps dehors venait de se calmer et le soleil venait d’apparaître, comme si le temps réagissait au sentiment du mercenaire.
3 jours avant la bataille
Cella faisait maintenant 2 jours que Liborio avait quitter les bas-quartiers en direction de Eréstia. Le village n’était pas très grand à vue d’œil il devait abrité 400 personnes si pas moins, mais il avait un bon emplacement stratégique, il n’y avait qu’une seule entrée possible et pour l’atteindre on devait absolument passer par un couloir de montagne. Liborio était déjà entrain d’analyser les lieux et de mettre au point une petite stratégie très sournoise dans sa tête.
« En temps de guerre tout les coups son permis »
Il arriva donc devant le village qui était entourer de rempart. Dix hommes sortirent armés d’épée et de lance et Dix autres hommes le tenaient en respect avec leur arc sur des tours de garde.
« Holla. Que venez vous faire ici étranger ? »
Liborio ne répondit pas et sorti un papier de sa poche et demanda qu’on l’amène devant le chef. L’homme qui paraissait être le leader du petit groupe fit signe aux autres de baisser leurs armes. Les portes s’ouvrirent et le Lucien pue enfin rentrer dans Erestia. Il fut mené comme demander devant le chef.
« Je me nomme Ilopas Tunia, je suis le ch… »
« Ecoute ! Je n’ai que faire de ton blabla et de ton nom tu seras peut-être mort d’ici quelques jours, alors pas besoin de m’encombrer du super flue. On perd un temps précieux ! Je veux toutes les informations disponibles »
« Mais.. Je ne vous permet »
« Yo papy ! Si tu veux sauver ton village tu fera des réclamations après. »
L’homme un peu indigné ne pue que céder devant les paroles du Lucien, qui était certes très malpolie mais plus que réel.
« Au dernière nouvelle Il sont un campement non loin de chez nous, il doivent être plus de 500 et nous n’avons que 160 hommes disponible sous la main. Il nous on laissé une redissions d’une semaine. »
« Bien il nous reste donc 3 jours pour nous préparer. Avez-vous des chevaux à disposition, des Arcs ? Beaucoup Arcs et j’aimerais savoir qu’elle est le signe que vous devriez affiché pour votre redissions. J’ai déjà un petit plan en tête et je ne croit pas qu’il vont nous attaqué avec le gros de leur troupe. »
« Ou… Oui nous avons tout ce que vous demandez. Nous devons mettre un drapeau rouge au mat du village. »
« Bien préparer le alors ! Et regarder une dernière fois votre terre et votre ciel car la prochaine fois que vous pourrez reposer vos yeux dessus avec tranquillité et sérénité, ils auront été souillé par le sang et des cries de douleur »
Alors que Liborio venait de finir sa phrase une voix de femme retentit dans la pièce.
Jolene Ladraël Barnes Lucinienne
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Sujet: Re: Erestia en guerre [Terminé] Mer 16 Fév - 23:31
jour moins 3
La plaine émeraude s'étendait à perte de vue tandis que le ciel d'un dorée pure associé à un rose étrange s’agenouillait paisiblement derrière les collines de cette vallée verdoyante. Des bruits de pas se répercutaient contre le sol, cadencé et rythmé par un tambour de guerre et une hymne à la désolation. Les herbes silencieuses sifflaient entre elles un dernier requiem, elles seraient à jamais souillé et le monde de Lucina si paisible allait bientot connaitre des heures sombres et profondes. Le vent était agité et l'astre solaire faisait briller ses derniers rayons salvateur, la nuit le couvrait de son long manteau de deuil pendant que l'étoile du nord prit la place du seigneur de la vie.
Nous sommes à environs cent cinquante kilomètres de la ville principale ou la coalition devrait avoir lieu, tout était encore calme et les animaux se terraient dans leur terrier pour s'assoupir de leur dure journée à chassé ou être chassé.
Les tambours de guerres n'étaient pas rapide, calme mais puissants, les guerriers eux par contre c'était une autre affaire, assoiffés de sang, énervé et stressé, l'on pouvait voir à moins de cinquante mètre d'eux la poussière se lever sous leurs pas pesant rendu lourd et essoufflés par leur combinaison et armures aussi noir que la nuit. L'oreille fine vint se décoller de l'herbe tendre tandis que deux sphères argentés s'ouvraient en même temps qu'un sourire apparaissait sur le visage angélique du chevalier rouge. Sa crinière aussi rougeoillante que le sang d'un homme caressait les dernière brindilles alors que son corps lentement se levait et sa main blanche remettait sa dague dans sa gaine d'arme situé en haut de sa cuisse droite.
Se levant avec discrétion et souplesse, ses plumes le long de ses immensités dorsales frissonnèrent au gré du vent répandant un filtre rouge tout autours d'elle lorsque les cinq mètres d’envergures vinrent s'étirer à leur maximum. un frisson, un tressaillement et un gémissement plaintif puis sa main blanche vint saisir son épée bâtarde planté dans le sol moelleux, l'y dégageant d'une traite pour la remetter à son juste milieu.
" Ce soir ce sera bisque de gnoll et tartare d'hybride-reptiles ça te conviendra? Lulu?"
La femme ailé souriait un peu plus en observant le ciel ou volait majestueusement son petit compagnon lunis sous la forme d'un bel oiseau de feu, oiseau lyre... ou phénix pour les plus connaissant. En entendant la voix de sa maitresse le noble animal vola jusqu'à l'horizon sans y laisser de traces... hormis une tache jaune et rouge comme une flamme en plein milieu d'une nuit voilée. Sous son manteau à capuchon noir, Lady Cormyr avançait vers son destrier blanc maintenant, les talons de ses bottes vermillons frappaient le sol avec panache et caractère, un pied dans l'étrier et la voilà en train de prendre le filet en main et de presser ses mollet, petit trot rapide vers ce curieux nuage gris poussiéreux... La colline n'était pas facile à monter, mais lorsque l'on peu avoir une emprise sur le vent et la gravité, cela n'est plus un problème, à peine essoufflé, l'animal arriva en haut de la petite butte les naseaux dilatés et les oreilles bien droites, inquiet... mais que voyait il?
Ses petits yeux meme pas adaptés au noir brillant de Lucina pouvaient sans peine apercevoir des créatures comptés par petites dizaines, éparpillés en groupe et rangés... Les trois premières lignes comptaient des chasseurs, hommes montés sur des loups gris armés d'épées, boucliers et fléaux de guerres. Jolene écarquillait les yeux, les chevaucheurs dégageaient un sentiment de peur et d'effrois exactement comme ... Elle fit pivoter son étalon blanc tandis qu'il écumait et stressait comme pas possible. Les autres soldats ... encore en bouquet de dix par dix sur une ligne de... vingt détenaient de larges épées... mais ce qui retenaient d'autant plus l'attention de la cavalière était les dernières lignes de cette avancés, derrière les archets et les p..p..P..prisonniers se dressaient cinq à six dragons noires, des wyvernes pour être plus précis, surmontés d'une large selle avec des pics et en-têtes en aciers remontés... Jolene déglutissait, quelque chose se préparait et ça allait péter! Alors elle fit ce qu'il y avait de mieux à faire, c'est à dire tourner son destrier et détaller droit devant vers le nord et aller avertir la ville la plus proche!
Les sabots allaient vite et le souffle de l'étalon croissait au mur et a mesure que la cadence s'accélérait et endurait comme une machine. Le lunis ne présentait plus de signe dans les environs, avait il déjà repérer d'éventuels attaques? L'animal continuait à galoper lui avec légèreté et panache comme si rien n'était sur son dos. au bout d'une heure de galopade, l'animal non essoufflé grace à la bénédiction de sa cavalière haletait et pouvait bien encore continuer le chemin crinière au vent.
Une heure passait vite, la nuit était déjà établie et le silence prenait place dans le royaume de Lucina... Lorsqu'au loin, de grands cris de terreur apparaissaient sortant la rêverie et le calme de cette nuit qui allait être lente, certainement très lente et lourde... l'animal continuait son chemin jusqu'à s'arrêt d'un trait, projetant sa cavalière sur mon encolure tant l'action qui se déroulait sur ses lieux était maudit! Des jeunes wyvernes montés par des chasseur, deux pour être précis attaquaient des gardes luciniens montés sur leurs chevaux blanc en essayant de s'aider de leur épées et flèches pour venir à bout des monstres ailés... peine perdue, les lézards piquaient sur eux et les écorchaient de leurs serres. Il en restait peut être cinq encore debout à galoper vers le nord désespérément pendant que les dragons faisaient leur dernier piquer pour les achever.
Cependant elle était là prête à défendre le reste d'hommes aussi faible et désespérés étaient ils, des anciens ennemis de sa contré natale, ennemis... de par leur façon différente d'agir et de penser. Ses mains vinrent se lever vers le ciel encrée et tout à coups, un jet d'une lumière pure vint frapper le premier chasseur trop prêt des hommes, la bête s'écroulait contre la plaine verdoyante en soulevant une large quantité de poussière, il ne se releverait pas. Foam l'étalon blanc de Jolene dépassait bientot le cadavre de ce dernier dans un saut magistrale avant de rejoindre les dernières tetes des hommes stupéfaits...
" QUE ...QUEEEE.. queeeee..."
rien d'autres, une ancienne ennemi qui rejoins vos rangs pour vous sauver la vie, il est normal de ne rien comprendre sur l'instant même et pourtant, Jolene lui répondit en souriant gentillement pour le rassurer... Les deux wivernes sur les talons...
" Continuez jusqu'à la ville prochaine, je les retiens! "
un coups de renne brute et l'étalon blanc s'arrêtait sans a-coups Les mains jointes au dessus de sa tête, elle refis les meme manipulation que précédemment. Un crépuscule rouge, sanguinaire ou des hommes avaient déjà sombré et ou l'ennemi venait de rentrer dans les terres et semer la terreur dans les camps des luciniens... d'abord les villes en retrait et après Soleriès?
Erestia, quartiers internes:
Les portes levis de la ville s'abaissèrent lorsque les guerriers arrivèrent au galop, épuisés et fatigués, le chateau était déjà en train de bouger et les feux étaient allumés. Les soldats blessés rentrèrent en catastrophe dans l'écurie, les clean attrapèrent leur femme au passage... Les portes se levèrent alors que ma cavalière rouge arrivaient, un homme à l'agonie entre ses main... vivant? Foam galopaient encore avec toute l'énergie qu'il pouvaient encore donner, plus de deux heure de galopage intense. L'animal continuait de galoper, meme dans les marches pendant que l'homme dans les bras de la Cormyr répendait son sang rouge sur le sol.
" PLAAACE! FAITES PLAAACE!!!"
Une auberge! non en fait elle ne savait pas trop quoi penser de cet endroit, mais qu'importe, elle stoppait son étalon devant, écumant et fatigué de cette course, sautant au sol le corps entre les mains, surprenant pour une femme de sa carrure, d'un coups de pied elle ouvrit la maison et s'engouffra dedans, les gens tressaillirent mais qu'importe, il fallait donner des soins et au plus vite! Elle détala les escaliers sous les cris et les regards des hommes, il faut avouer que l'on ne passe pas innaperçut avec des ailes rouge d'une telle envergure! elle avançait sans ce soucier du nombre d'étages et des portes, son instinct la guidait vers une chambre, elle percutait des hommes sur le passage, mais qu'importe! elle fracassa une porte pour rentrer dans une chambre et déposer le corps sur un lit. Après avoir passé plusieurs minutes à soigner le guerrier, il était sur pied, juste du repos... et bien sur, des vêtements tachés de sangs.
Suante et soupirante, la Cormyr reculait d'une traite, elle était recherché chez les luciniens... elle était une de leurs ennemis et... Elles les fusillaient instantanément du regard, les forçants en imposant son énergie aux autres à reculer sur son passage. Des armes braqués... une perte de temps! le temps dde dégainer sa bâtarde les épées des autres hommes volèrent en éclats et ses jambes la portaient en avant déjà dans l'escalier, l'épée à la main...
" ils sont à deux heures de routes au sud, préparez vous, cette nuit sera sanglante! circulez CIIRCULEZ!!!"
elle poussa d'autres hommes sur son passage tandis que ses ailes la fit voler d'un couloir à un autre pour aller d'autant plus vite...
" DES HOOMMMMMMES DES FEMMES, AUUX ARRMMMMES!!!"
le rez de chaussés arriva bien vite et les feuilles volèrent sur son passage, dehors, la lune était déjà bien haute... les hommes s'accélérèrent dans leurs déplacements, il y avait déjà des guerriers prêt à partir et pourtant... Elle abaissait sa tête... il fallait sauver Soleriès et bien évidemment... elle eut une petite pensé pour cette être qu'elle protégeait de tout son coeur. Elle caressait le haut de sa poitrine, à l'endroit ou un pendentif aurait du s'y retrouver et alla puiser de l'eau pour l'apporter à son étalon tandis que Le phénix venait à tir d'ailes.
Liborio Amico Lucinien
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Sujet: Re: Erestia en guerre [Terminé] Jeu 17 Fév - 8:42
Maison du chef
« Père ! Père ! Venez vite une ange viens de débarquer dans le village. Et elle nous demande de prendre les armes. Un groupe de chasseur se dirige vers nous. »
« QUOI ! »
« Parfait ! Monté le drapeau rouge ! Vous allez négocier avec eux votre redissions. Je veux que vous leur disiez de revenir dans 2 jours signé des papiers ou que sais je. Mais de ne pas rentrer avec leur monstre dans votre village pour les enfants et les femmes. Vous leur serez soumis et travaillerez pour eux. Mon plan vient d’avoir un léger coup de pouce du destin. Montez également une cavalerie de 30 hommes diviser en groupe de deux formation triangulaire. Préparer le plus de lances et d’arcs possible même les civiles devront se battre, ainsi que des charrettes pour évacue les enfants et adultes non engagé âgé de – 30 ans et demander que la signature se passe durant la nuit. Bien je vais allez voir cette femme. Tout repose sur vous ! Et il est bien évidant que vous ne devez parler de moi et d’elle. Et envoie aussi un cavalier au la capital demander des renfors. »
Le Lucien sortie dehors et se dirigea vers les quartiers Internes pour rencontrer la jeune femme, qui venait de lui apporter une si bonne nouvelle.
Quartier Interne
Quand le Lucien arriva c’était le branle bas de combat là-bas. Il ordonna à tout le monde de cesser toutes activité hostile et que la situation était pour le moment sous contrôle qu’il devait lui faire confiance. Puis il demanda qui était à la base de tout se remue ménage une personne montra une femme avec des ailes rouges plutôt imposante. Liborio s’approcha d’elle pour mettre les choses au claire. Quand celle-ci se retourna vers lui. D’un coup le temps sembla s’arrêter. Le Lucien était comme figé, ses yeux étaient grand ouverts, son cœur ne battait plus.
*Jo…Jolene ladraël Barnes*
Une des Chefs de la confrérie était présente devant lui dans un moment pareille. Le mercenaire repris ses esprits d’un battement de paupière. Il n’avait pas à s’inquiéter elle ne le connaissait pas et ne savait donc pas qu’il était un gardien.
« YO ! C’est bon calme toi ! La situation est sous contrôle. »
Le Lucien commença à expliquer un peu se qu’il avait dit au chef du village pour leur permettre de gagné un peu de temps. Puis il se présenta.
« Liborio Amico et vous ? Et que venez vous faire ici ? »
Jolene Ladraël Barnes Lucinienne
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Sujet: Re: Erestia en guerre [Terminé] Jeu 17 Fév - 11:51
le seau d'eau était remplit à ras bord et Foam en redemandait sous ses muscles puissants et tressaillant, écumant par les efforts qu'il venait d'accomplir, deux heures de courses intensives sans arrêts, uniquement de la vitesse pure et dure. Il fumait sous sa selle et ses équipements, le mieux de tous aurait été de l'amener à une écurie et de bouchonner mais le temps ne le permettait pas: les hommes autours d'elle se pressait, armes au poing et chevaux pas encore totalement harnachés. L'étalon s'ébrouait, il avait finit le seau et reprenait du souffle alors qu'il haletait considérablement; Dans le ciel alors que la nuit se faisait de plus en plus sombre et les étoiles plus brillantes que jamais, une forme enflammée descendait du ciel sous la forme d'un oiseau plein de grace et de puissances, a chaqque battements d'ailes une pluie de lumière s'abbattait sur les lieux, le phénix s'arrêtait pour se poser à deux pas de l'ange rouge regardant étrangement la scène de ménage. Il n'était pas affolé et commença a chantonner une petite sérénade tant il était satisfait. Un petit sourire au coin de ses lèvres vers son ami et Lady Cormyr enleva les équipements de sur son destrier: il ne servirait plus avant la veille.
Soudain, ses sens en alerte et son instinct lui mirent des frissons dans le dos, une présence... ou plutot une odeur connu lui rasait le nez. Chasseresse féline et céleste, la Cormyr inquiète de ce parfum tellement connu attendait le moment fatidique ou l'homme se présenterait à elle, dos à ce dernier, elle l'attendait tous ses sens en éveil. Les pas se firent moins prompts... Et s'arrêtèrent: pourquoi? Fronçant les sourcils sans bouger elle attendait qu'il parle en premier...
Pas très rassurant, la voix n'était pas celle à laquelle elle s’étendait et cette assurance! ce manque de tact! Lorsqu'un être vivant rentre d'une bataille , le moindres de tous et de lui demander si tout va bien et ce même s'il s'agit d'un ennemi qui vous a aider, c'est la moindres des politesses. Dans un ample mouvement de son long manteau noir elle se retournait pour dévisager l'inconnu le dénudant pratiquement du regard afin qu'il ne se trompe pas dans ses agissements et surtout... qu'il sache à qui il avait à faire. Après avoir regardé l'homme de haut en bas et avoir sentit une certaine tension en lui elle daigna finalement afficher un sourire qui étendait amicalement ses lèvres carmin sur son pale visage. Brièvement sa tête s'inclinait pour souhaiter le bonsoir tandis que ses yeux fuyaient et regardaient les alentours, des commérages... elle prit une douce inspiration pour reprendre les yeux de son interlocuteur.
" Tous le monde me connais ici et pas qu'en bien...
Je suis venue ce soir car Lucina va connaitre des coups dur dans les prochains jours. Je viens de par le sud, un portail proche du bois de l'innocence. j'y ai rencontré une meute d'à peu prêt trois cent hommes, des hybrides, loups gris, chasseurs, gobelins... de la bonne rigolade.
Ce qui m'inquiète d'avantage, c'est le fait qu'ils sont surveillés, il y a neuf chasseurs à dos de dragons noirs, des jeunes wivernes qui surveillaient les devants et les arrières. J'en ai eu trois..... je me demande surtout comment une si petite armée et là... et si c'était un traquenard nous nous devons d'être méfiant!"
Sans demander son reste, elle attrapait la bride et les équipements lourds de son étalon pour les mettre à coté du Lunis qui avait changé de forme entre deux, un simple amusement qui faisait scandale chez les hommes aux alentours... en meme temps, ce n'est pas tous les jours que l'on voit un dragon uniquement fait de flammes! il ne dépassait pas le mètre en hauteur pourtant...
Spoiler:
La bride à la main, le Lunis le prit dans sa gueule sans discuter et la boucle fut bouclé. Les flammes n'étaient pas chaude pour le moment, il faut dire que l'animal ne se sentait pas vraiment menacé. La main sur le cou de la bête, Jolene abaissait sa tête et soupirait, ourquoi leur venir en aide alors qu'elle venait de prêter allégeance à Umbra? une si vieille histoire, ancestrale de haine et de persécution entre elle et les gardes et maintenant... une aide pour éviter qu'ils ne tombent tous, mais ou allait le monde. Sans prêter attention à l'homme derrière elle, elle ajoutait
" la situation est donc loin, très loin d'être sous contrôle messire, en milles années d'expériences je peux vous dire qu'aujourd'hui les choses sont loin d'être parfaitement maitrisés surtout avec les problèmes, les esprits, les guildes et l'équilibre des mondes qui est sans cesse menacé. J'imagine que vous devez être un "héro" pour venir me voir directement sans passer par le chef de la tribu... parfait, prenez les commandes des soldats de la ville et fonçons pour les prendre en tenaille: La seule négociation possible impliquerait la mort de dizaines de soldats au vue de leur effectifs et forces."
* et toi mon ami, vol jusqu'à Soleries et défend la cité blanche avec tout ton courage*
Le dragon piaffa avant d'enrouler sa queue subitement et d'arracher le sol en décollant vers les cieux noir encré a destination de la cité blanche. Seule, Jolene enleva son capuchon pour y dévoiler son corps et être délivrée de tous gênes. Un corset rouge surmonté de deux épaulettes vermillons. Sur ses bras, deux bracelets quasi identiques étaient fixés à sa peau. une jupe noire courte cachés sous une autre rouge plus longue montrait une belle épée bâtarde de deux mètres environs fixé à une ceinture en cuivre. Ses ailes restaient derrière son dos, il fallait partir en éclaireur le plus vite possible avant d'être prit avant l'ennemi et surtout avant que ce quartier de la défense ne soit prit.
" Je ne sais pas quel sont vos plans, cependant si vous voulez me suivre, sachez que vous aurez ma bénédiction mon ami. "
L'odeur qui se dégageait de ce jeune homme était la même que cette de l'elfe a qui elle devait une confiance absolue, il était clair qu'ils se connaissaient et s'étaient vu il y avait de cela très peu de temps, l'odeur était encore assez forte par endroit, notamment au niveau des bras.. Un ami, un gadien ou une erreur? Qu'importe, son sourire s'étirait d'autant plus tandis que son visage se portait vers le pont levis de la ville... Elle s'y rendait à pas rapide, ses ailes légèrement levés, prêtes à envoyer de grosses rafales de vents elle se retournait un instant pour marcher à l'envers observant une dernière seconde Amico...
" Jolene Ladraël Barnes... vous passerez le bonjour à messire Liam de Norliar pour ma part. "
Liborio Amico Lucinien
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Sujet: Re: Erestia en guerre [Terminé] Jeu 17 Fév - 16:30
L’ange rouge répondit rapidement à la question du Lucien. Elle ne lui avait pas dit son pseudonyme mais il n’en avait que faire car il le connaissait déjà. Elle avait été semble t’il honnête sur ses intentions, seul chose que Liborio ne comprenait pourquoi un tel revirement de situation, elle était sensé être l’ennemie de Lucina et maintenant elle venait nous aider. Il y avait quand même autre chose qui venait d’affoler le Lucien. Des dragons noirs et des wivernes. Cela le gardien ne l’avait pas prévue, de tel monstre pour un si petit village.
« Sa semble évidant que le gros de la troupe n’es pas loin. Pour le moment je maintien ma stratégie de combat. Tu viens de dire que tu as abattu 3 de ses choses parfait ton aide me sera utile »
Alors que le Lucien parlait la jeune femme commençait à délester un peu son animal puis elle repris la parole.
" la situation est donc loin, très loin d'être sous contrôle messire, en milles années d'expériences je peux vous dire qu'aujourd'hui les choses sont loin d'être parfaitement maîtrisés surtout avec les problèmes, les esprits, les guildes et l'équilibre des mondes qui est sans cesse menacé. J'imagine que vous devez être un "héro" pour venir me voir directement sans passer par le chef de la tribu... parfait, prenez les commandes des soldats de la ville et fonçons pour les prendre en tenaille: La seule négociation possible impliquerait la mort de dizaines de soldats au vue de leur effectifs et forces."
« Je suis loin d’être un héro, je suis juste un suicidaire qui en a assez dans le pantalon pour prendre les décisions à la place du chef. Je ne suis pas non plus égocentrique et je sais voir quand je me trompe. Malheureusement, on ma donné des informations erroné. Tu vas donc prendre la moitié de l’armé sous tes ordres. Tu auras une division de cavalerie composée de 15 hommes les meilleurs du village »
Alors que Liborio lui expliquait la situation la jeune femme de dévêtait de ses vêtements. La plus part des hommes regardaient avec plaisir ce spectacle quant à lui le mercenaire prit sur lui-même pour faire abstraction à la situation, il connaissait ses priorités et cette jeune femme n’en faisait pas parti pour l’instant. Elle était puissante et il devait utiliser son potentielle au maximum.
" Je ne sais pas quel sont vos plans, cependant si vous voulez me suivre, sachez que vous aurez ma bénédiction mon ami. "
Après avoir dit cela la jeune femme s’attarder sur le Lucien quelques secondes et ajouta.
" Jolene Ladraël Barnes... vous passerez le bonjour à messire Liam de Norliar pour ma part. "
Liborio à la place de prendre peur sourit et se mit même à rire. Puis il regarda jolene de ses yeux rouge sang
« Mes plans ? Je vais te l’est dévoiler mais arrête de me vouvoyer. Les troupes ennemis on demandé une redissions au village il devait positionner se drapeau rouge qui se trouve derrière moi et qui flotte déjà dans les airs. On doit gagner du temps ! Il faut leur faire croire que le village se soumet à leur volonté, quand leur chef reviendra pour signé les accords je brûlerais personnellement se drapeau et on les prendra en traîtres dans la vallée. Une armée sans chef est comme un troupeau de mouton sans berger. Il a une foret non loin d’ici je pensait placer 15 cavalier en formation triangulaire et 10 archer sur chaque rebord. Je compte aussi faire bâtir deux armes de siège. Les archers ne serviront cas déboussolé les hommes, ensuite les machines de siège aurait balance du boule de feu en plein sur les troupes ennemie et la cavalerie l’est aurais pris de revers avec leur formation pour pénètre le gros des troupes pendant se temps les archers se serait déplacé. Jusqu’as la sortie et l’auraient criblé de flèche. Les cavaliers seraient ainsi revenus dans le village en reprenant les archès. Je comptait barricader les rue sur le devant de l’entré et sur les cotés et placé plusieurs hommes avec des énormes lance. Ainsi que les meilleur archès sur les bâtiments arrière en hauteur et des archès derrière les lanciers. Je pense que pour gagné une bataille il savoir perdre quelques hommes au débuts. Et si on me le demandait je n’hésiterais à faire parti de ses hommes. Et bien entendu je passerais le bonjours à mon maître, je doit l’avoué il à du goût. Mais la vrai question est es-ce que vous vous me suivez ? Car ses gens vous prennes pour une criminelle et moi je vous estimes comme un ennemi de haut rang et je ne te le cacha pas Jolene ta simple présence me terrifie mais je me doit de réussir ma mission et donc faire abstraction de ma peur. Ici nous sommes à couvert et dans une petite forteresse dehors nous sommes sur leur terrain de jeu. Je t’ai donné une moitié de l’armé, alors maintenant fait comme tu le sans mais ne l’oublie pas ta décision pourrait coûter la vie à beaucoup d’entre nous. Alors pour que le reste de mon armé te suivent fait moi changé d’avis sans me menacer. Et expose moi un plan valable. Mais dépêche toi car on perd un temps précieux et pour le moment l’ennemie pense que nous sommes entrain de nous rendre. »
Liborio retira son gilet noir pour laisser place à son col roulé noir qui remontait un peu jusque son menton à courte manche qui laissait ses épaules à nue, mais il avait laissé ses gants noirs car ils lui servaient de protection. Il n’aimait pas se battre à froid donc il dégaina ses katana et effectua quelque mouvements dont son préfère l’Aerial à double épée.
Spoiler:
Arcania D.Cysique Harmonien
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Sujet: Re: Erestia en guerre [Terminé] Jeu 17 Fév - 19:05
- Maitre, il est levé !!!
Plus loin dans les plaines verdoyantes, un homme, assit sur une pierre, les mains croisées sous son menton, le regard froid et vide, il ne fixait rien en particulier, il attendait. Son visage n'avait aucune expression, et l'arrivée en hâte, au pas de course de l'un des hommes sous sa direction ne le fit pas bouger ne serait-ce que d'un cil. Il restait de marbre face à cet appel fait avec joie. On voyait sur le visage de cet humain qui courait à vive allure une sorte de satisfaction, de plaisir inouï. Qu'est-ce qui pouvait bien le mettre dans cet état la ? Je ne pouvais à ce moment la pas le dire, mais cet homme au regard émeraude d'un froid hivernal lui, devait sans doute s'en douter au moins un petit peu. Lorsque l'homme aux cheveux gris s'arrêta devant lui, cet homme au regard effrayant releva la tête vers ce dernier avant de lui faire un signe de la tête pour lui intimer de recommencer sa phrase, car il ne l'avait soit disant pas entendu la première fois qu'il l'avait crié. Durant ce temps la, il s'était relevé, avançant de lui même lentement, pas à pas en direction de la pointe de la colline pour voir au loin, Erestia à qui il avait fait demander la rédition. D'un simple signe de la main, il fit demander l'objet qui lui permettait de voir sur de très longues distances, avant de vérifier de lui même ce qui avait été dit. Il voyait au loin, flotter sur un piquet, le drapeau rouge, signe de la rédition des soldats et villageois de cette ville Lucinienne. Il fronça aussi net les sourcils, lançant l'objet vulgairement vers son compagnon de combat. Son informateur microscopique venait de revenir de très loin, lui apportant la confirmation d'un piège, c'était une vulgaire technique pour tenter de le faire venir seul et s'emparer de lui. Que de piètres idiots que ceux qui osaient le prendre pour un faible imbécile qui se ferait prendre de la sorte ... Avec un voix froide, sérieuse et intimant la sévérité, il lança à plus de 1000hommes se tenant armés devant lui, une simple phrase.
- Ils nous mentent, soldats, préparés vous, nous allons leur montrer le sort réservé à ceux qui osent se jouer de nous !!!
Sans attendre plus longtemps, l'humain qui dirigeait la bande, prit place sur l'un des chevaux de l'armée, et sortit son épée de son fourreau, cette magnifique lame aux pouvoirs étranges qu'il avait obtenu avec énormément de difficulté chez le forgeron de légende en Harmonia. Il la tenait bien fermement dans le creux de sa main, la levant au ciel, sur son cheval cuirassé, devant ses hommes. En première ligne l'infanterie, en seconde les archers, puis en troisième la cavalerie. Les mages de leur coté étaient parsemés à travers toutes l'armée, de manière à pouvoir agir de n'importe quelle position, vers n'importe laquelle en moins de temps qu'il n'en fallait pour le dire. Il permettait à ses hommes de se sentir envahir de courage et passion pour leur quête, qu'ils mèneraient jusqu'au bout, à la vie à la mort. Un simple hurlement de la part de l'homme sur le destrier couvert de fer, et tous levèrent armes et poings au ciel à leur tour. En arrière plan, la cité, qui deviendrait bientôt le théâtre de nombreuses morts.
Spoiler:
Avec un léger sourire, le cheval remplit d'armures de fer, se mit à faire demi tour en direction de la ville qui se dessinait petit à petit, au loin, à l'abri pensaient ils surement de la colère d'un Arcania, venu au nom de Pierre pour détruire et piller. Les infanteries avançaient lentement, tandis que les archers suivaient à un peu un peu plus soutenu. En arrière plan, la cavalerie, elle, avançait à un pas très lent pour ne pas dépasser les deux rangées devant elles. Les chevaux étaient eux aussi cuirassés comme celui du chef, d'énormes lances en main, voir des haches très bien aiguisées. Des boucliers de métaux très résistants, en armures eux aussi très lourdes et très résistantes. Des protections incroyable contre les violents coups physique qu'ils pourraient recevoir. Avec une fierté incroyable, Arcania avançait avec eux à ses cotés, son regard plongé dans celui de l'un de ses lieutenant, qui lui faisait un signe de la tête, lui montrant le plaisir qu'il avait à être à ses cotés pour ce combat qui serait peut être son dernier.
Spoiler:
Avec un signe à son tour, Arcania prit de l'avance, au galop pour rattraper la tête de l'armée qui arrivait lentement vers Erestia. A un peu moins de 400mètres, le général de l'armée du déchu Pierre s'arrêta avec son armée derrière lui. Avec un sourire sans pareil, il fixait sa futur cible, qui tomberait sous son incroyable puissance. Avec un appareil tout aussi étrange que celui utilisé précédemment, il hurla à ses proies, une dernière chose, puis l'assaut serait lancé sans aucune pitié.
- Pauvres idiots, je sais que vous mentez et que vous comptez résister. Je me fiche de ce que vous pouvez bien mijoter, nous ne ferons preuve d'aucune pitié. Cachez bien vos enfants, car même eux ne bénéficieront pas de notre clémence.
Stoppant ses paroles, l'humain entra à l'intérieur de ses rangs, faisant signe aux unités 4 et 9 de rester à ses cotés pour assurer une protection à ses cotés en cas de manoeuvre de l'ennemi. Chaque unité étant constituée de 100hommes, il en restait 200 avec le général en chef. Et les autres fonçaient en direction de la cible. Dans la masse, cinq généraux étaient présent, deux étaient trop entourés pour être reconnaissable, mais trois autres eux ne l'étaient pas. Dans le tas, on pouvait voir se diriger vers Jolene un général méconnaissable et deux autres dont l'identité n'était plus à cacher. Il s'agissait de Soverign, le géant de flammes et Tige, le vétéran orc.
Spoiler:
Soverign, feu et chaleur level 5
Spoiler:
Tige, eau et glace level 5
Vers Liborio, se dirigeait le second général inconnu au bataillon jusqu'à ce jour, et un autre, dont la réputation de fou ne laissait pas sans réaction ceux qui lui faisaient face. Sa folie meurtrière était telle, qu'il pouvait tuer durant trois jours et deux nuits sans boire ni manger, sans jamais être fatigué. Une vraie masse de muscle, c'était Might, le troll à l'intelligence d'un humain. Son armure bien que très petite, était pourtant aussi résistant que du titane.
Spoiler:
Might, terre et acide level 5
Arcania restait à l'arrière, son cheval se cabrant, épée en l'air, une seule chose sortit d'entre ses lèvres roses.
- CHAR...GEZ !!!
Et tout le monde s'exécuta, courant à vive allure, la cavalerie fonçant à pleine vitesse, l'infanterie, pique en horizontale courait à toute vitesse, et les archers à bonne distance bandait leur arc prêts à décocher et tuer ... La bataille allait commencer, si elle ne l'était pas déjà ...
Jolene Ladraël Barnes Lucinienne
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Sujet: Re: Erestia en guerre [Terminé] Ven 18 Fév - 15:07
Les derniers mots du gardiens touchèrent le coeur fragile de la Cormyr la faisant d'autant plus sourire dévoilant ses dents blanches alors qu'elle était en train de reculer pour aller rejoindre la porte de la ville. Elle arrêta sa manoeuvre sur l'immédiat, quelque chose clochait, tout son corps et son inctinct refusait de bouger, un danger les guettait. Un frisson lui parcourait toute l'échine et comme si cela ne suffisait pas, son sourire figé dans l'espace elle tournait vivement sa tête vers les murailles de la ville, guettant et cherchant de son regard d'aigle la moindres faille ou le moindres danger... au bout de meme pas deux minutes après avoir sentit cet étrange phénomène, une voix glaciale et forte lui parvint aux oreilles ainsi qu'aux habitants de la ville:
Citation :
- Pauvres idiots, je sais que vous mentez et que vous comptez résister. Je me fiche de ce que vous pouvez bien mijoter, nous ne ferons preuve d'aucune pitié. Cachez bien vos enfants, car même eux ne bénéficieront pas de notre clémence.
Sous le coups de la colère, la jeune Cormyr abaissa ses mains en serrant les poings, ils étaient fait comme des rats, impossible de sortir sans être vue avec ce porté de voix qui pouvait supposer que la distance entre Erestia et l'ennemi était mince. Sans doute avaient ils déjà des plans et attaqueraient en entourant la ville de ses cavaliers ou meme pire qui pouvait le savoir? Jolene réfléchissait, que pouvait elle faire avec cinquante hommes? il y avait le moyen de la surprise qui elle était toujours à prendre. Elle avait l'avantage de l'ennemi qui était de pouvoir voler et de faire voler les hommes. Celui de prendre l'ennemi de par les airs, meme si l'adversaire avait une équipe d'archers elle pouvait toujours se débrouiller.
Elle tâtait ses deux bracelets qui lui permettaient de canaliser son énergie démentiel, pouvait elle faire en sorte que tout cela se mette en place ou bien serait elle privée de son énergie avant meme de pouvoir essayer de soulever les hommes? Elle se retournait instantanément vers Amico, inquiète mais décidé à lui faire partager son plan et meme fusionner avec le sien.
" cinquante gardes de la cité... on a pas beaucoup de temps, juste... faites moi confiance c'est tout ce que je vous demande! Vous allez rester dedans la forteresse afin d'assurer la défense de la ville et de les attaquer de front. Nous allons les attaquer de par le ciel pour diminuer intelligemment et par la surprise leurs effectifs, Je veillerais à ce qu'ils n'aient rien, je vous le garantit! une fois leur nombre diminué et si nous sommes plus de quarente, nous les attaquerons sur les flans en nous servant de la flore abondante, au pire des cas, j'improviserait, le but principale pour vous aider et de diminuer leurs effectifs!
GARDIENS, PRENEZ TOUS CE QUI POURRAIT VOUS SERVIR D'ARMES! CAILLOUX, BRANCHES, HALLEBARDES, CHAISES... TOUS CE QUI PEUT ETRE GROS ET ASSOMANT!
J'ai la maîtrise des airs, ne vous inquiétez donc pas, bon courage générale!"
Ses talons vermillons frappèrent le sol avec frénésie il était temps pour elle d'aller également trouver de quoi lâcher sur les ennemis! Sans se retourner pour aller voir Amico ou lui demander quelle était sa stratégie à lui, elle se réfugiait à l'étable, il y avait des meules de foins et ... de grosses meules de foins!!! une idée lui traversait l'esprit... une très bonne idée! Lorsquelle sortie de l'étable, les hmmes étaient encore en train de chercher des objets lourds et les déposer à coté de la fontaine de la place principale. Elle regardait les hommes se bouger, saisir des tables, chaises meuble bref tout ce qui pouvait leur servir... ils devaient se demander à quoi tout cela servirait, les pauvres!
"allez Jol, on y va! ECOUTEZ TOUS, VOUS AVEZ ENCORE DEUX MINUTES APRES NOUS PARTONS! qui a des allumettes?"
Elle retourna dans la grande et à l'aide de son dont sur la gravité et l'air, elle fit élever les quelques tonnes de foins paille et boiseries pour les transmettre dehors et les ajouter à la pile ou tronaient chaises et meubles. Il éétait évident que son plan bien que fait à la dernière minute allait être sifficile à pratiquer, mais énormément fructueux!
"BIEN, ALLONS Y, MESSIEURS, RASSEMBLEMENT ...."
Ses mains jointes dans les airs, le vent se mit à se lever petit à petit tandis que la paille elle ne bougeait as d'un poil, la gravité la tenait plaquée à terre, la petite cinquantaine vint très vite la rejoindre et ses mains manipulait tant bien que mal les accessoires enflammables, il y en avait assez pour au moins faire le tour de la ville, au moins les trois quart. Ses bras lui faisaient mal, la chair ou résisaient les bracelets commençait à rosir sous l'effet de son énergie qui se dissipait, les dents serrés, elle continuait: de toute manière sa bénédiction lui ferait récupérer les deux bras s'ils venaient à la lacher!
La paille fut la première a etre transportée, au moment ou elle passait le mur, ce fut au tour des objets encombrants et armes comme des statues, des grosses haches insoulevable et gros morceau de pierres qui servaient à la construction de la ville... De ses poignets commençait à couler un liquide bleu, elle serrait d'autant plus les dents, larmes aux yeux et fit passer les hommes dans la troisième rangé. Un dernier regard sur la ville et le gardien et ses ailes s'étirèrent de toute leur envergure pour la faire voler derrière toute cette joyeuse petite colonie. Au bout de quelques secondes de vol, ses poignets aux bracelets arrêtèrent de couler, le sang qui avait un peu couler fut absorbée par la peau avec une légère grimace de douleur. Au loin elle pouvait voir l'armée... Les sourcils fronçés, elle poussa le colis un peu plus loin et déposait les matériaux flammables à cinquantes mètres de la ville pour créer un autre système de défense d'un mètre de large, il y en avait de la paille et des meubles!
La première manche finie, elle souffla et se massait les poignets dans les airs sous l'oeil interloqué des guerriers de lumières... il n'y avait pas de temps à perdre!
" que chacun d'entre vous se saisissent d'un morceau de pierre ou de façade pour se cacher des flèches si jamais l'eenemi à des ars... meme pire!"
Ils s'exécutèrent en nageant dans l'air comme des poissons, tandis qu'elle fonçait en volant là ou les nuages s'accumulaient pour éviter d'être perçu par l'ennemi... bientot les quelques centaines de mètres qui la dégageait de l'armée... cette grosse fourmilière allait bientot ne plus exister tant la pluie qui allait s'abattre sur eux allait leur être mortel...
Liborio Amico Lucinien
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Sujet: Re: Erestia en guerre [Terminé] Ven 18 Fév - 16:32
Alors que le Lucien s’échauffait une voix retentie dans la vallée portée part vent jusqu'à eux. Cette voix Liborio l’avait déjà entendue, mais il n’arrivait pas à y mettre un nom. Le mercenaire qui était en plein mouvement s’arrêta et se tourna vers jolene puis vers la porte. Le Chaos venait d’envahir le gardien des mondes, ses armes il ne les serrait même plus un simple coup de vent les auraient fait tomber sur le sol. Sa respiration accélérait de plus en plus, son visage se refermait envahit par la haine. Il venait d’être battu avant même que le combat ne commence.
*Un traître, sa ne peut-être que sa, un putin de traître*
Liborio qui se laissait envahir par la colère faisait monter la température de son corps sans même s’en rendre compte, d’un coup il frappa son poing dans le mur.
*Vaincue, on n’est vaincue avant même que la bataille ne commence. Les renforts ne seront la que dans 3 jours et il ne trouveront rien appart nos cadavres. Ne croit pas qu’on se rendra aussi facilement, je ne sais pas qui tu es mais tu va le regretter.* « ENFOIREEEEEE DE MERDE»
Tout le monde regardait le Lucien. Celui-ci se retourna.
« Evacué les enfants et les personnes âgé de moins de 30 non engagé, ceux qui veulent se battre sont les bien venu, Je me nomme Amico Liborio Gardien et vous l’avez sûrement tous reconnue Jolene Ladraël Barnes, Je vous demande de l’écouter encore plus que moi-même. Je ne vous le cache pas cette bataille est perdue d’avance, mais rien ne sert de fuir après avoir éliminé le village. Il s’en prendra sûrement à un autre village et qui sais peut-être même la capitale. Les seules personnes que je retiens ici sont les personnes engagées, tout déserteur je le tuerais moi-même et je vous promets que se sera une mort lente et douloureuse tellement douloureuse qu’il me suppliera pour retourner sur le champ de bataille. Mais je suis en relation direct avec les esprits et toutes les personnes courageuses seront ramenées à la vie, que je brûle en enfer si je mens. »
Le Lucien mentait bien évidemment mais il s’en moquait un peu sa place en enfer cela faisait déjà bien longtemps qu’elle lui était réservé. Mais il fallait qu’il donne du courage a ses hommes et quoi de mieux que de leur faire croire qu’il sont cassis immortelle et renaîtrons de leur cendre tel un phénix pour cette bataille. Il ordonna au homme de barricader les entrées menant à la ville et de préparer des grands pieux de bois. Pendant se temps Jolene lui expliqua son plan.
« Bien ! Reviens vivante sinon je n’aurai plus le choix que de me prendre je crois. Tu es la plus puissante de tous les hommes que j’ai sous la main. Et ne crois surtout pas que je t’apprécie ce n’es simplement que par pure stratégie. Fait de même »
Liborio devait être dure, car il ne pouvait la prendre en sympathie cette femme était son alliées que durant cette bataille et il devrait un jours s’affronter durant une ultime bataille tel était leur destin. Il y avait 2 guilde, opinion ou religion politique de trop dans se monde. Ainsi fait Le mercenaire donna ses directives. Il ordonna aux archées de se mettre sur les toits des maisons il en avait 30, le plan était simple 15 de chaque coté tous protéger par 15 homme qui portait des boucliers durant le temps de recharge il levait le bouclier et protégeais ainsi les archées. Les rues parallèles et perpendiculaires à la porte d’entrer étaient barricadées. Sur les cotés de la porte deux cavaleries composé chaque une de 15 homme était disposé une fois les ennemie rentré et il perforeront leur défense grâce à la formation en triangle. Derrière les barricades se tenaient des hommes armé de gros pique une fois la cavalerie entré dans l’enceinte elle tenterait de sauté par-dessus les barricade mais ils auraient la surprise de se retrouver planté. Bien entendue des archées se trouve aussi derrière cette barricade histoire d’achevé les cavaliers tombé et les hommes qui passeraient l’entrée à pieds. Mais le Lucien n’avait pas fini encore maintenant les 250 hommes disposés. Il versa de l’alcool sur l’immense porte d’entré, il voulait la guerre pas de problème mais ils devraient avant tous passé la porte de l’enfer car oui c’était vers les enfers que tout se beau monde se rendaient.
-CHAR...GEZ !!!
« Préparer vous peuple d’Erestia pour rentrer dans l’histoire »
D’un coup tout les villageois se mirent à pousser des cries de guerre aujourd’hui il s’allait affronter la mort et défendre leur terre contre c’est envahisseur. Un boucan infernal se fit entendre à la porte. Le Lucien qui était devant les barricades sourit et enflamma toute l’alcool et ordonna d’ouvrit les portes.
« ARCHEES PREPARES VOUS A MON SIGNAL »
Les premiers cavaliers s’engouffraient dans l’enceinte enflammée, Liborio baissa son bras et une pluies de flèche s’abat sur l’infanterie ennemie, les flammes c’était maintenant calmé mais avait emporté pas mal d’homme comme prévue les cavaliers voulurent sauté les barricades mais il se firent empalées pour le moment le plan du Lucien marchait plutôt bien cette homme avait eut la prétention de le prendre à la légère en envoie ses hommes dans le tas il allait le regretter. Liborio lui était en plein dans le champ de bataille et tranchait des ennemies attaquant les pattes des chevaux. IL n’avait pas encore lancé sa cavalerie nous pas pour le moment il fallait encore attendre. Quand soudain une pluie de flèches ennemie se fit remarqué dans le ciel. Le mercenaire leva son bras droit vers le ciel et en puisent dans son énergie il l’enflamma, faisant retombé des cendres sur le champ de bataille. Maintenant les hommes avait relâché leur pique et se battait à l’épée avec lui.
Arcania D.Cysique Harmonien
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Sujet: Re: Erestia en guerre [Terminé] Dim 20 Fév - 13:58
- Chef, vous êtes sérieux ? - A propos ? - De vos menaces ? - Bien sur que non ... Seuls les soldats sont nos cibles ... Mes hommes ont leur ordres, retournez dans les rangs.
D'un main de fer, le jeune prophète maniait ses hommes, aucun d'entre eux n'aurait osé se dresser devant la puissance de celui qui les dirigeait avec sévérité et pourtant tant de douceur en même temps. Hors du champ de bataille, il était quelqu'un de tout à fait normal, qui aimait à rire avec tous ses soldats sans faire de distinction sur leur race ou du monde d'où ils provenaient. Ils constituaient tous l'armée du grand déchu Pierre, et rien que pour cela, il les appréciait tous, eux qui avaient acceptés de grossir les rangs de l'armée qui permettrait à cet esprit maléfique de revenir parmi les vivants. Bien entendu, toutes les troupes n'étaient pas présentes, et une énorme majorité manquait à l'appel, mais ces quelques centaines d'hommes suffiraient de loin à faire tomber Erestia, petite ville défensive située avant Soleriès. Avec un sourire non dissimulé, l'humain regarda ses hommes foncer droit vers leur cible. Les troupes envoyées vers l'ouest avançaient sans trop de difficulté, même si leurs cibles semblaient voler dans les airs. Au vu de leur puissance, l'épéiste de renom n'interviendrait pas, il les laisseraient se débrouiller comme bon leur semble, ils étaient bien assez puissants pour ça. L'autre partie de l'armée, qui elle s'était mise à foncer droit vers le nord, en direction totale d'Erestia, où se tenait la plus grande partie des troupes adverses semblaient avoir plus de difficultés, ceux tenant les portes avaient montés une très bonne tactiques défensives. Tant bien, que très vite, plus d'un tiers de la cavalerie et au moins le quart de l'infanterie du déchu étaient tombés face aux adversaires, alors que ceux ci ne perdaient presque aucun homme dans cet affrontement, qui ne faisait que commencer. Cette vision ne fit pas sourire le jeune homme au regard émeraude, qui voulait sauvegarder la vie du plus de ses hommes possibles pour la suite, car ceci n'était qu'un commencement, le prélude d'une vraie guerre sans merci, qui serait menée sans arrêt entre les vivants de Lucina et les appelés de Pierre qui s'étaient rassemblés sous l'étendard d'Arcania. Très vite, une nouvelle fois, un cavalier se positionnait aux cotés du chef de l'armée, sa voix froide et sérieuse rappelait celle du général en chef des armées du déchu.
- Il faudrait trouver quelque chose chef, si non ces archers sur les toits vont nous causer des soucis malgré leur petit nombre. - Patiente, garde confiance, laisse les espérer encore un peu, je détruirais toutes leur espérance très vite.
A l'entente de ces mots, les deux cent hommes restés à l'arrière aux cotés du maitre de l'air se mirent à rire, comme si ces paroles prononcés étaient celles que tous attendaient. D'ailleurs, dans la masse armée d'Arcania, on pouvait voir courir à toute allure, créant des ondes de choc sous son poids à chaque pas, avancer Might qui hurlait comme un dément, son énorme arme meurtrière à la main levé vers le ciel. Sans même perdre une seconde, l'énorme monstre qui servait aussi de général allié à Arcania prit son élan sur le cadavre de l'un de ses équipiers et sautait par dessus les bois pointus qui devaient l'empêcher de passer. Son bond était énorme, étonnant, c'était ahurissant pour une chose de cette corpulence que de sauter la sorte. Courant épaule en avant vers les hommes, il les repoussaient, les expulsaient plus loin, permettant l'entrée dans la ville de ses cavaliers et infanteries qui étaient toujours bloqués au combat par la première ligne d'Erestia. Les affrontements à l'intérieur de la ville seraient ainsi bien plus impressionnant. Il en tuait personne, laissant ce délicieux plaisir à ses soldats. Lui tout ce qui l'intéressait était d'affronter le capitaine de tous ces soldats sans aucune utilité. Si bien, que sa voix puissante résonna dans toute la ville.
- Moi général, moi vouloir affronter capitaine. Toi ici vermisseau.
Son arme frappait le sol, laissant ce dernier voler dans les airs, emportant amis et ennemis qui passaient par la à chaque onde. Liborio était donc la personne visée par ce monstre, cette montagne de muscle, mais qu'allait il bien pouvoir faire face à ça ? De son coté, Arcania était descendu de ce cheval qu'il avait volé comme tous les chevaux de son armée. Il fixait l'horizon, vers la ville où se trouvait la bataille. Il avançait de quelques pas, suivit de près par plusieurs de ses hommes. En un mouvement de la tête, il se fit comprendre, d'autres soldats se rapprochaient et lui apportaient des pierres, toutes extrêmement pointues, affutées telles des armes juste avant la bataille. Elles n'étaient pas destinées à servir comme allait le faire le prophète, mais tant pis. En quelques instants, il fit léviter la centaine de pierre tout autour de lui, réchauffant l'air qui l'entourait, rapprochant toutes ces pierres tranchantes vers lui. Il dégaina bien vite sa nouvelle arme, celle qu'il avait obtenu chez le forgeron de légende. Avec un sourire satisfait et un mouvement circulaire arme en main, il toucha toutes les pierres, qui bien vite devinrent de la glace extrêmement pointue. Son arme avait inversé la chaleur ambiante, pour les faire devenir ces pics de glace meurtriers. Il fixait désormais la ville, ainsi que les toits où se trouvaient les archers. D'un mouvement vers l'avant de sa lame, toutes les pierres de glaces foncèrent droit sur les toits où se trouvaient archers et protecteurs. Les boucliers ne servirent à rien face à la force prise par les pierres avec la vitesse et leur glace très tranchante. En quelques secondes, tous les archers sur les toits finirent en charpie, une menace en moins pour ses hommes. C'était déjà gagné d'avance, et ce quelque soit le nombre de ses pertes, la victoire était assurée.
- Je crois que c'est le moment de leur montrer ce que sont vraiment les enfers ... - Vous parlez de Mala ? - ... Gardons leur la surprise ... Tu verras en même temps qu'eux ...
Alors que les affrontements continuaient, que les archers ennemis étaient mis hors d'état de nuire, et que les hommes d'Arcania continuaient à perdre de l'effectif, lui de son coté, sortait de sous sa veste, une amulette sertie de diamants que le déchu lui avait remit lors de son ascension à son actuel grade. A moment même où elle vit l'extérieur, un léger halo sombre se forma juste derrière Arcania, un énorme hurlement jaillit de ce dernier, laissant la peur s'immiscée dans le coeur de ceux qui l'entendraient ... Qu'allait donc sortir de ce portail, qui venait de s'ouvrir grâce à cette amulette en la possession du prophète ? La mort elle même ? Ou pire, et si Pierre se montrait en personne ?
Spoiler:
HRP: Toutes mes actions contre Liborio ont étés acceptées par lui, et sur ta demande Jolene, tu n'apparais pas dans mon post ^^. J'espère que ça vous aura plus comme post et que mon mystère à la fin vous laissera en pleine interrogation .
Jolene Ladraël Barnes Lucinienne
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Sujet: Re: Erestia en guerre [Terminé] Dim 20 Fév - 21:20
La nuit, tous les chats sont gris, comment un humain ordinaire pouvait il savoir qu'une escorte de cinquante hommes lui était livrée? comment une patrouille sans lumière ni feu ni félin savants pouvaient savoir se diriger et encore mieux, savoir ce qui pouvait se passer devant leur yeux? Jolene le pouvait elle, au milieu de cette nuit enflammée par la luminescence de la divine Lune. Ses sens de chat et sa vue d'aile globalement lui permettait d'affronter toutes les situations aussi bien nocturnes qu'en plein après midi. Dans les cieux cobalts assombris par les nuages envahissants, elle contournait les obstacles des archers, tantot arrêtant les flèches les plus menaçantes dirigés vers Erestia, tantot en les gouvernant de sa main en inversant la gravité: les flèches des adversaires retombaient lourdement sur les patrouilles des ennemis, un envoyé directe à l'envoyeur. Tous ce qui s'élevait dans le ciel retombait instantanément avec autant de force et de précision vers l'envoyé... meme ce mage là, debout au dernier rang qui avait semblait il détonné un sort de boule de feu majeur, se réduisant, lui et la sizaine d'homme qui l'entourait en cendre grisatre balayé par le vent.
" Appétez vous à passer à l'attaque..."
Discrètement mais surement, la Cormyr balayait le dessus des nuages de ses ailes rouge pour y faire descendre la température, ne cragnant pas le froid ni le chaud elle devait avant tout penser aux gardes qu'elle avait emmenée, heureusement pour eux qu'ils avaient de bonne cuirasses et des cotes de mailles bien solide entourés de bon pulls sinon ils n'allaient pas pouvoir aller bien loin. Elle fit accélérer le pas, un mauvais pressentiment alors que les nuages sombres et froid de cette nuit cachaient naturellement leur présence, quelque chose allait arriver et elle devait rester prudente, aucune perte d'homme ne devait etre toléré!
Sans perdre de temps la Cormyr dsécidait que le moment d'attaquer était le bon, elle fit signe a son officier de lacher sa pierre au dessus des derniers renforts de bataillons puisqu'ils venaient de passer toute la ligne ennemie, les cavalier, archers qu'ils avaient en grande partie éliminés et cette dernière là qui trainait... Elle se frappa le front: puisqu'il faisait nuit noire, comment le capitaine pouvait il voir son message manuel? mais quelle conne... Elle passa vite ce détail et lacha du lest. Les gros cailloux, morceau de tuiles, chars cassés, fragments de bateaux... tous les objets lourds et encombrants tombèrent du ciel vers le sol, emportant avec eux une bonne cinquantaines de kilomètre par heure dans leur descente vertigineuse...
L'arrière de l'ennemi, au moins une bonne partie allait être décimée pour de bon! finalement la troisième vague fut bientot déposée... un léger coup d'oeil en arrière pour constater l'avancement de l'ennemi et... un froncement de sourcil de frustration... d'une, les cavaliers avaient bien avancés et de deux, la paille n'avait toujours pas été allumée! sans arrêter ses battements d'ailes et en déposant doucement ses hommes à terre, pile derrière le front de l'adversaire, elle joingnait ses mains et dans un court éclair mais intense, fit intervenir une foudre salatrice pile sur la paille qui prit feu au bon moment... la cité d'Erestia était au moins en sureté près du feu...
Les hommes avaient déjà commencés la bataille à coups de poings et d'estocs, elle saluait d'un coups d'oeil admiratif les gardes qu'elle avait tant détesté. MAis autre chose préocupait son regard, le fait qu'un troll bizarrement fait arrivait en courrant comme un dératé, énervé par ce plan fait par surprise. Elle grondait, ronronnait dans ses babines, comme si elle allait le laisser faire et s'attaquer à ses hommes! Sans crier gare, elle descendit en piquer, proprement, d'aidant de son ombre natale de fortune pour accélérer contre le vent et ... dans un mouvement souple et calculée, elle lui arracha la tête d'un coups précis, pas besoin d'épées, sa force et ses ongles maintenaient tout à fait ce travail! Tant qu'elle était prêt du sol, elle en profitait pour s'abaisser au raz le sol au moment ou personne ne s'y attendait et de couper les membres, jambes des hommes, des chevaux et plus encore... à l'aide de ses ailes et de son épée dégainée. Ceci n'avait prit que moins d'une minute, temps assez inquiètant pour lequelle il aurait été simple d'avertir le commandant et de lui demander que faire...
Elle remontait vers le ciel, essuyant toute une flopée de flèche por les renvoyer d'un coups d'aile vers leurs envoyeurs... que de temps perdu! un dernier coups d'oeil en arrière et elle rejoignait ses hommes à l'arrière, se posant tranquillement avant de passer devant et d'éliminer sans aucun effort les adversaires "persistants"...
" METTREZ VOUS EN RONDE, EN RONDE ET VIITE!"
Tout en continuant de manier l'épée, les ailes et de maintenir son ombre atours d'elle, elle terraçait les hommes contre qui elle se battait avec calme, précision et dextérité... il ne manquait plus que ce... cette bête bizarre là bas qui arrivait doucement pour que son plan coincide à merveille... plus les ennemis tombaient et plus ils avançaient vers le lieu propice à leur défaite, les yeux exorbités, à croire qu'ils étaient devant un être celeste qui allait les mener vers une cuisante défaite...
hrp: j'ai fais vite, dsl pas le temps!!! si un pb ou plusieurs se posent, hésitez pas ma boite mp est ouverte 24/24 plan d'attaque :
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Liborio Amico Lucinien
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Sujet: Re: Erestia en guerre [Terminé] Lun 21 Fév - 13:50
Alors que le plan du Lucien semblait se dérouler pour le mieux du monde et que les hommes avaient pris confiance en eux, un événement inattendu se produisit. Le ciel qui était illuminé par la bienveillance de la lune, affichât des reflets d’une brillance pure. Liborio qui menait un bataille acharné, pue apercevoir ses lumières du coin de l’œil, comme à son habitude il enflamma le ciel pour les stopper mais ses choses n’était pas des flèches et leur vitesse était extraordinaire si bien qu’elle passèrent le mur de feu sans même être atteint par les flammes. Elles ailèrent directement se planter dans les archées et protecteurs qui étaient sur le toit. Liborio venait perdre 60 hommes d’un seul coup avec une attaque qu’il ne pouvait expliquer d’autant plus que certains cadavres tombaient des toits assommant ou tuant des soldats alliés ou ennemis. Le mercenaire le remarquât rapidement le moral des troupes venaient de baisser et l’ennemie gagnait du terrain maintenant. Les barrages sur les cotes de la porte tenaient encore seul celui du milieu avait cédé.
*Rahh! On va tous crever si sa continu !*
L’assassin ne croyait pas si bien le dire. Alors que la situation était déjà devenue critique un autre élément qui ne pouvait qu’enfoncer le clou encore plus profondément arrivât. Un troll d’au moins 2 mètre 30 de haut fit son apparition. Il était armé d’une massue énorme et assez dangereuse et d’un bouclier. Il ne faisait pas de distinction entre alliés et ennemies frappant dans tout se qui bougeait. Les regards du Lucien et du Troll se croisèrent durant quelques secondes. Les cheveux argentés de Liborio étaient devait rouge sang comme ses yeux. Alors qu’il était entrain d’avancer vers sa cible deux hommes le chargèrent un sur le coté et un par l’avant. Le mercenaire était bien décidé à affronter se monstre, si il devait mourir autant mourir de la lame d’un homme qui était quelqu’un d’important et pas d’un simple soldat chanceux. Le premier soldat chargea le Lucien de plaine face, celui-ci effectua un petit pas sur le coté pour l’éviter, abattit sa lame gauche au niveau de sa gorge et lui tranchât la tête, avec sa main droite il avait anticipé l’attaque de l’autre soldat il avait bloqué sa lame et transpercer de son katana gauche au niveau du cœur, le Lucien donna un shoot dans son thorax pour pouvoir se dégager ensuite et rependre son chemin. Mais sous son apparence d’ours, le général ennemi était plutôt rapide, Liborio eut juste le temps de mettre ses lames devant lui qu’une massue énorme le frappa, l’éjectant sur plusieurs mètre quand il retomba au sol, un soldat à lui était sur le sol entrain d’agoniser.
« On on va g…g..agné ? »
« Je te le promet mon gars »
D’un coup Liborio abattit sa lame dans le cœur de l’homme pour l’achever, il lui devait bien ça lui qui ne faisait que mentir depuis le début. Le mercenaire rangea ensuite son katana gauche et ramassa le bouclier de l’homme et mit aussi son casque sur sa propre tête. Face à un adversaire pareille il avait besoin de protection, la force brut ne valait rien contre une chose pareille. Maintenant les deux hommes étaient face à face. D’un geste de la main le Lucien créa un cercle de flamme. De 5 mètre de diamètre autour d’eux. Tout les hommes au alentour s’arrêtèrent de se battre, un duel entre chef allait avoir lieu. Le gagnant remporterait la confiance de ses hommes et un peu plus pour leur moral. Ennemis ou alliés étaient maintenant présent autour du cercle de flamme. Le Troll voulut se présenter.
« Moi Mi…
« Toi fermez sa grande guelle, peu importe ton nom. Je te tuerais quand même car tu n’as aucun respect pour tes propres hommes et pour ceux que tu tues. PREPARE TOI ! »
*Et toi alors ? Tu leur as menti pour qu’ils se battent à tes cotées. Tu n’es pas mieux !*
Liborio laissa sortir un grognement et serra son bouclier de toute ses forces et son katana aussi. Dans un crie de rage, il fonça vers sa cible. Certaine elle était imposante et rapide mais elle devait légèrement manquer de souplesse. Arrivé à quelque mètre il se laissa glisser entre ses jambes et lui causât une entaille au niveau de son genou, la bête fut obliger de s’agenouiller. Liborio qui était maintenant derrière ne pue s’empêcher de sourire.
« Ton joli cou de poulet ait à moi ! »
Le mercenaire abattit sa lame pour lui trancher la tête, son bras gauche qui tenait le bouclier et qui était légèrement relève pour protéger sa tête lui sauvât la vie. Effectivement le monstre qui avait gardé son sang froid avait tapé sa massue énorme par-dessus son épaule pour atteindre le Lucien sur le coté. Le coup le projeta au loin. Liborio un peu étonné et surtout sonné se releva quand même. Le général ennemi fit de même. Le Troll ne semblait pas avoir apprécié se petit coup et frappa plusieurs fois son pied au sol en direction de Liborio qui perdit équilibre et qui tomba, Might quant à lui n’avait pas perdu de temps et était déjà au-dessus du Lucien abattant sa massue. Liborio eut juste le temps de mettre le bouclier devant lui, mais la force du coup était tel que le corps du mercenaire s’enfonça dans le sol suivit d’un petit craquement, il devait bouger sinon le prochain coup serait mortel pour lui, il ne mit pas longtemps à trouver une solution faut dire aussi qu’il avait pas vraiment le temps et balança une boule de feu en plein dans les yeux du monstre et roula ensuite sur le coté pour s’éloigné. Le combat ne faisait que commencer et les deux parties avait déjà montré leur ferme attention à en finir rapidement. Liborio reparti à l’attaque vers la force bête, son bouclier para le coup de massue et il porta un coup avec son katana qui fut lui aussi parer les deux chef se regardait maintenant dans les yeux, forçant chacun de leur coté, mais ce duel de force était largement en faveur du troll qui faisait reculer le Lucien. Might retira ses bras en arrière et enchaîna avec un coup de tête faisant perdre ainsi l’équilibre à Liborio qui parti en avant et qui se mangea le coup de pleine face, son arcade commença à saigner. Il du fermer son œil gauche. Mais apparemment Might n’avait pas dit son dernier mot il cracha un jet acide sur le bouclier du Lucien qui fut obligé de s’en débarrasser avait d’être atteint lui-même. Liborio retira son casque, passa sa main gauche sur son arcade et utilisa le feu pour stopper l’écoulement de son sang qui lui troublait la vue, puis il dégaina son katana gauche à nouveau. Les deux « héros » se jetèrent l’un sur l’autre portant des coups dans tout les sens sans jamais atteindre leur cible qui arrivait toujours à parer s’envoyant des jet de flamme, des séismes et jet d’acide. Encore une fois Liborio volant dans les airs et tomba lourdement, mais il devait se relever quoi qu’il arrive. Du sang coulait de sa bouche il l’essuya. Sa respiration était lourde, rapide et courte, la fatigue se faisait ressentir, mais même du coté de Might on le sentait faiblir. Cela faisait déjà plus de 15 minutes que tous les combats avaient cessées sauf le leur. Liborio rangea son katana droit.
« Bien que penses tu de régler sur un assaut ultime ? Pas de bouclier, ni d’armure ! Juste une dernière attaque de front. »
« Bien ! »
Liborio qui n’avait pas d’amure n’eut rien n’as faire, Might lui retira tous se qui pouvait le protéger. Les hommes alliés et ennemis tapaient sur leur bouclier, l’assaut final allait être donné. Le mercenaire regarda et expira un grand coup lentement. Puis il avança son pied, prêt à démarrer. Il avala une dernière fois sa salive, Il attendait le signal de Might, quand celui-ci annonça qu’il était près, Le Lucien fonça vers lui en criant, sa vitesse était digne d’un coureur. Plus il s’approchait de Might plus sa respiration accélérait. Le Troll quand a lui tenait sa massue comme une batte de bassball, près à recevoir le Lucien. Il ne restait plus que quelques mètres quand Liborio sauta se projetant dans les airs. Might quand a lui avait lancé ses bras vers l’avant, le sort en était jeté maintenant. Tout les soldat avait arrêté, de frapper dans leur bouclier plus personne ne disait un mot, Les deux chefs étaient maintenant dos à dos mais le Lucien n’avait pas une apparence humaine, il était fait de flamme. Il se releva et le feu qui le composait avait disparu, la tête de Might roula à ses pieds, il l’attrapa et la souleva en signe de victoire. Tous les soldats de Erestia se mirent à crier.
« ERESTIEN BATTEZ VOUS JUSQU’AS LA MORT !! »
Les combats reprirent de plus belle, Liborio qui tenait la tête du général ennemie en main la serra fort, recula en arrière et la lança par-dessus les remparts.
« LA PROCHAINE SERA LA TIENNE ! JE GAGNERAIS CETTE BATAILLE ! TU M’ENTEND QUI QUE TU SOIS RETIEN BIEN MON NOM LIBORIO JE SERAIS TA PERTE ! » *Si cela pouvait être vrai* « ALLEZ SOLDATs ON VA GAGNE.»
Liborio ordonna ensuite de lâchez sa cavalerie dans les troupes ennemie, la formation triangulaire allait mettre un sacré bazar, sur tout que les attaques était porté de chaque coté. Les pertes du Lucien s’affichaient maintenant à plus de 110 hommes, certaine l’ennemie en avait perdu plus mais il était toujours plus facile de défendre un fort que l’attaqué. Et si sa continuait comme ça. Il était sur de perdre. Mais il avait peut être encore une chance il chercha dans le ciel son petit compagnon
"Shiro! Shiro. Va chercher Jolene dit lui que j'ai absolument besoin d'elle ici ou la cité est perdu, ne te fait pas remarqué"
"Tu m'as pris pour ton pigeon voyageur"
"Shiro ce n'es pas la moment de rigoler. FONCE!"
La petite bête s'éxecuta donc.
Spoiler:
Bon dite moi si des trucs vont pas ^^ je changerais
Spoiler:
Dernière édition par Liborio Amico le Lun 21 Fév - 19:43, édité 2 fois
Arcania D.Cysique Harmonien
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Sujet: Re: Erestia en guerre [Terminé] Lun 21 Fév - 19:36
Alors que derrière l'Harmonien, le portail noirâtre continuait de grossir dans cette nuit fraiche, où le sang chaud coulait sur le sol humide, ce dernier fixait l'horizon, le feu qui continuait de consumer les portes d'entrée de la ville siégé, de manière à les repousser. Quoi qu'il pouvait bien arriver, les choses continueraient de la sorte jusqu'à la rédition des habitants, ou lorsque les derniers soldats auraient étés tués, mis à terre sans vie. Les objectifs de l'épéiste étaient clair, et rien ne l'arrêterait en ce jour funeste, où des centaines de braves soldats avaient déjà succombé par la lame de leur adversaire. Le général en chef restait au loin, à l'arrière de cette bataille où ne se trouvait que des faibles. Les quelques paysans qui continuaient tant bien que mal de résister, finiraient bientôt en charpie sous les assauts nombreux et meurtriers des troupes du déchu Pierre. Dans son élan, l'humain au regard émeraude avait oublié un léger détail, c'était que son supérieur, l'unique esprit déchu Pierre, Dieu de la guerre, avait demandé la destruction totale de ce domaine. Il s'exécuterait sans le moindre problème, sans un regret, il arracherait la vie du premier Erestien qui n'aurait pas quitté la demeure de ses ancêtres. Les lâches et fuyards seraient épargnés, les courageux qui feraient face à leur bourreau perdrait leur âme qui appartiendrait à celui au nom de qui ils avaient étés tués. Les 200hommes qui entouraient leur chef restaient silencieux, de marbre face à ce qui pouvait bien se passer sous leur yeux. Ils avaient étés entrainés pour ne pas avoir peur de la mort, pour rester calme quoi qu'il arrive, quelque soit le nombre de leurs pertes. Fort heureusement d'ailleurs, car en ce moment même, les pertes étaient conséquentes, et il faudrait bientôt que le prophète en personne intervienne s'il ne voulait pas que de nouveaux imprévus ne pointent le bout de leur petit museau. Il replaça sa lame avec laquelle il venait en un seul coup puissant de tuer 60hommes au fourreau, cette dernière était très satisfaisante, sa force était impressionnante, il ne regrettait pas les blessures subit pour entrer en possession de celle ci. A l'est, on pouvait voir les troupes volantes ennemis, foncer droit vers les quelques 500hommes et les trois généraux qui leur étaient destinés. Leur nombre était peu impressionnant face à la masse armée qui leur était réservée, mais leur technique semblait bien utile pour les vaincre petit à petit.
Totalement désorganisé face à cette attaque aérienne qui leur avait été portée, une centaine d'homme périrent sous les assauts venus du ciel leur père, des morceaux énormes en tout genre leur étaient tombés dessus, en passant du simple tabouret, en allant jusqu'à l'énorme cheminée. De tout leur tombait sur le crâne, et malgré leur armure très résistante, le poids fit céder, tuant les quelques malheureux qui se trouvaient touchés par les assauts violents venus d'en haut. L'un des généraux, prit du fureur lorsque ses hommes perdirent la vie, se mit à charger dans la masse ennemi qui venait à peine de déposer les semelles sur le sol frais. Il en dégagea quelques uns de son énorme musculature, sans les tuer, quelques légères blessures s'étaient dessinées sur leur corps de simples mortels. Son arme à la main, le monstre, ou plutôt, l'orc vétéran balayait l'air, cherchant à envoyer dans le monde des ténèbres tous les ennemis qui l'approcheraient de trop près. Alors qu'il voulait mettre en sang l'un de ses adversaires, en piqué, descendit vers lui une ombre méconnue de ses yeux, et en quelques instants, sa tête roula sur le sol, découpée par la force seule des ongles de son assassin. Le sang giclait de la gorge du malheureux général sans vie, et son corps, lourdement frappait le sol cru pour faire tirer de grands yeux à ses soldats et aux deux généraux qui étaient censés l'aider. La vitesse à laquelle il avait été tué était ahurissante, mais sans tarder, les troupes reprirent leur sérieux et se remirent à combattre. Ce petit peloton serait sans aucun doute le plus difficile à vaincre, à l'intérieur même d'Erestia, tout semblait plus facile ...
A l'intérieur même de la ville ciblée, les corps mutilés se trouvaient de plus en plus nombreux, les corps ses vie jonchaient le sol, se vidant de leur liquide vital dont ils n'avaient désormais plus aucune utilité. Les affrontements étaient haineux, et le général troll qui se tenait face à Liborio était avec lui entré dans un duel à mort, duel dont l'intensité fit stoppé les combats. En quelques échanges de coups, tout se passa vite, le capitaine mit hors service le général sous les ordres d'Arcania, et donna ainsi un coup de pouce au moral de ses troupes. Alors que ce dernier criait en envoyant vers le général en chef la tête de son soldat, ce dernier du haut de sa colline rigolait à gorge déployée. Pour qui se prenait il ce vulgaire faiblard ? Ne savait il pas qu'il avait devant lui Arcania ? Un homme qu'il avait déjà rencontré et qui avait prouvé sa puissance sous ses yeux sans perdre un instant ? Il se tourna ensuite vers ses hommes, le regard froid et sérieux, on pouvait lire sur son visage l'envie d'aller lui même au front, combattre ces quelques idiots qui avaient osés se dresser face à sa toute puissance. Son regard émeraude plongea dans celui sombre et effrayant de l'un de ses capitaines resté à ses cotés loin de la bataille. Il s'exclama à lui.
- Cet homme, je vais aller lui parler, insuffler en lui cette crainte, lui montrer qui est celui à qui il a à faire - Le connaissez vous Chef ? - On peut dire ça comme ça. Restez ici, faites leur croire que je suis toujours la. - Bien chef, soyez prudent.
Avec un léger ricanement, Arcania disparu dans la noirceur de la nuit, sa ceinture de téléportation toujours utile. Sans crier garde, il était déjà caché, dans l'obscurité d'une ruelle sans combat d'Erestia. Il voyait face à lui ce capitaine, celui qui avait tué Might lors d'un duel tout ce qu'il y avait de plus équitable. Lentement, il posait sa main droite sur le pommeau de sa belle arme, celle qui lui permettait d'inverser la chaleur de n'importe quel objet ou être vivant. Il voyait devant lui, la cavalerie qui fonçait droit sur ses hommes. Il clignait des yeux gardant ce sourire étrange aux lèvres, son calme était presque effrayant, comment pouvait on rester de marbre face à tant de pertes humaines ? Etait il pire qu'un démon ? C'était bien possible en effet, il avait après tout, vu tellement d'hommes mourir sous ses yeux, de ses propres mains. Le sang impure de ses victimes avait tant de fois touché son visage pourtant si beau. Alors que la cavalerie ennemi, en formation triangulaire fonçait sur ses troupes. Il ne comptait pas laisser ses hommes se faire avoir si facilement. Dans un énorme bruissement d'air, il se téléporta directement au milieu de la place où se déroulaient la plupart des combats. Ses paumes dirigées vers la cavalerie ennemie, deux énormes boules arcanique partirent en direction des ennemis. Le contact avec le sol déclencha une explosion qui fit partir la cavalerie dans tous les sens, les soulevant du sol sous la déflagration. Aucune des cibles n'avait perdu la vie dans cette attaque, bien trop faible pour ça, c'était juste une manière de mettre leur technique à terre et pouvoir profiter pleinement de son nouveau ... Jouet ... Liborio Amico ...
Son intervention n'ayant durée qu'une seconde avant qu'il ne disparaisse de nouveau, il n'avait pas pu être remarqué par le capitaine d'Erestia, qui devait sans aucun doute se demander à qui il avait à faire, mais sa réponse viendrait bien vite. Apparaissant de nouveau dans le dos de son adversaire, il passait sa lame meurtrière par dessus l'épaule de ce dernier, ricanent dans le dos de cet homme stupide. Il était fou de vouloir l'affronter, mais sans laisser ce dernier réagir, il disparaissait de nouveau, retrouvant sa place dans une légère explosion de foudre quelques mètres plus loin. Dos à Amico, il levait la tête vers le ciel, l'énorme halo noir, ce portail étrange, toujours à ses cotés, ses lèvres se décollaient, frappant l'air et fouettant les tympans du Lucinien par leur violence.
- Tu veux ma tête Liborio ? Viens donc la chercher ... A moins que tu ne meurt de trouille ...
Son regard émeraude soudain, se plongea dans celui du jeune Amico, lorsqu'il passa sa tête par dessus son épaule, toujours dos tourné au mercenaire, quelques mètres devant lui.
Spoiler:
HRP: Nombre de troupes actuels => Sauf qu'Arcania se trouve avec Liborio et non plus à l'arrière :X
Jolene Ladraël Barnes Lucinienne
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Sujet: Re: Erestia en guerre [Terminé] Mar 22 Fév - 0:06
Tandis que le corps du soit disant géant s'effondrait sur le sol, sans tête ni vie la douce demaoiselle aux ailes battantes continuait de sévir les quelques hommes encore avide de sang sous ses yeux d'argent. Pas de boucliers ni de lourde armure à porté de main et portant si difficile à tailler, si difficile à toucher: La cormyr esquissait tantot des feintes légères allant jusqu'à s’aplatir à terre et à décapiter les hommes se jettant sur elle avec ses immensités pour venir à bout des envahisseurs. les coups donnés sur ses ailes ne lui faisaient ni chaud ni froid, ce n'est pas avec une lame trempée que l'on arrive à percer la peau du plus solide dragon qu'il soit. Ses gardes en rond luttaient les uns avec les autres, repoussant les attaques incessantes, ils étaient pris de tous les cotés cependant une magie bien active les permettaient de rester debout et de profiter de leur force au maximum: la bénédiction de leur ennemie. La plus mince coupure n'était ni affectée ni visible, elle se refermait instantanément leur laissant plein disposition de leur énergie quant à Jolene, elle était encore loin du compte... croyant pouvoir aider sa patrie autant qu'il en faudrait quitte à y donner tout son corps et toute son âme pour les sauver de ce désastre.
Combat contre un envoyé de Lucifer:
Spoiler:
Nuit et jour. Voilà en deux mots la résumé des faits. Après avoir vaincu une assez bonne quantité des créatures de l'ombre, une chose enflammée lui était tombé dessus. A peine arrivé, une chaleur lourde et puissante s'est imposée sur la plaine, tellement que l'herbe s'est transformé en souffre et les yeux d'argent de la Cormyr en furent détournés momentanément. Un feu céleste? Non un feu des enfers, une flamme éphémère mais mortelle. Une fumée épaisse s'échappait de la créature, de ce démon, couvrant le ciel déjà sinistre d'une nouvelle couche d'obscurité... Après quelques instants à peine la chose s'est précipité en courant vers Lady Cormyr avec une gueule avaleuse de mondes et un gourdin à faire craindre n'importe quel être vivant. Ses yeux noirs comme l'âme du diable ont fixés le regard de la Cormyr, pas de doute il était là pour cette dernière. Quelque soit cette bête de feu, il était redoutable. Jolene ne savait pas vraiment à quoi elle avait à faire mais elle était loin d'être sotte et inexpérimentée. Genou à terre, la tête inclinée face à la chaleur pénible qui pesait si lourdement sur l'air, Étouffant, omniprésent et dévastateur. Il lui fallut une bonne dizaines de secondes avant de regagner tout son métabolisme naturel et ne plus sentir cet opressement agressif naturel, quelques secondes ... elle allait retirer sa bénédiction sur ses hommes afin de vaincre cette chose comme elle aurait pu vaincre son phénix de flammes.
Ses Yeux d'argent scrutèrent le terrible visage de son prochain assaillant tandis que les hommes ennemis autours semblaient s’éclipser momentanément, laissant le boss agir comme il le devait... ou bien avertir le gérant de toute la troupe d'une faille avait été créer... qu'importe, il fallait tuer cette colonne de muscles enflammée pour montrer l'exemple et redonner du courage aux gardes de lumière! Elle posa son épée bâtarde, elle risquait de fondre à cause de cet être des enfers, se levait, son mètre soixante dix imposait le respect avec ses ailes et sa prestance, elle observait et sentait la magie autours d'elle, les jambes bien plantés contre le sol et ainsi.... santait l'énergie de cet Orc qui se prenait pour le roi des enfers... il n'était rien en fait, un simple faiseur de pacotille, rien d'autre! Elle le toisait du regard, ses bêtes là ne connaissent pas le respect, seulement la crainte et la domintation son regard opale sertis de diamant s'enfonçait plus profondément dans ce dernier, il n'était pas faible mais pas crétin non plus, il hurla de rage et de douleur alors qu'il reculait son gourdin pour prendre du recul...
"viens, je t'attends..."
Le gourdin fendit rapidement le sol et elle l'esquivait avec une souplesse hors norme, sautant birevement sur la droite en croisant le fer, s'applatissant au sol pour éviter d'autres lames affutés avant de rebondir en avant... prendre du recul pour mieux foncer. Alors que le monstre tenta de la prendre avec sa main libre, esquivant celle ci de ce fait en un coups d'aile, elle sautait dans les airs arrivant sous son menton et sa gorge et lui asséna un bon coups de genou dans l'endroit charnu situé à cet endroit. Un battement d'aile et la voilà sur son crâne, les deux jambes sur chaque épaules, les mains de l'ignoble animal tentait de l'y extraire mais rien à y faire, cette dernière ne touchait que du vide... La vraie Cormyr se situait devant lui, son arme de feu bien empoignée, elle le regardait encore un instant... souriante et confiante: elle courut vers ce dernier avant de lui assener le dernier coups mortel de la droite vers la gauche, tranchant le corps en deux partie distincte, le sang de la bête giclait sur ses ennemis tout comme la masse des deux morceaux du corps.
Sans perdre une seule seconde après avoir tuer ce monstre, elle offrit la paume de ma main vers ses adversaires et attrapait son poignet et son bracelet de l'autre, la main droite vrombissait et s'enlaçait de quelques étincelles...
" Illumine, Amaterasu..."
Ses yeux se fermèrent et une large irruption bleuâtre naissait de cette meme main, un beau mètre de diamètre s'empara de l'armée située sur un peu moins de cent mètres... Le rayon lumineux était assourdissant et attaquait tout, absolument tout ce qui se trouvait sous les yeux de la Cormyr, en a peine quelques secondes déjà une bonne trentaines d'hommes étaient tués. Le rayon bleuâtre s'arrêtait, sa main porteuse d'encore un peu d'électricité se transformait en poing et alla frapper les deux premiers hommes, adversaires tant qu'à faire à sa gauche, ils furent tués sur le coups, la gueule cassée. Un saut en arrière et elle récupéra son arme et celle de l'orc de flamme qu'elle venait de terracer: ses poignets hurlaient de douleur, il fallait mettre un peu son énergie au repos...
Sauf que le moment n'était pas le bon, ce n'était pas le moment approprié pour faire une pause, les hommes en noirs continuait de persévérer comme si un seul de leur gros compagnon ne suffisait pas à les mettre en alerte! il fallait riposter ou bien tout donner maintenant, sachant qu'une mauvaise manipulation pouvait couter cher, très cher!
" FAITES LES RECULER PAR L'EST!!! DIRECTION ARGENT!"
Argent? ni une cité, ni une plaine, une petit court d'eau bien profond ou dormait de belles créatures ensorceleuses et meurtrières, c'était un bon plan! alors les hommes redoublèrent d'effort, sur les cinquante qu'elle avait prit en charge, deux venaient de tomber à cause d'un manque de tact, mauvaise passe!
" AVANCEZ, NE CRAIGNEZ NI LA DOULEUR NI LA MORT, C'EST ELLE QUI VOUS PROUVE QUE VOUS ETES VIVANT ALORS BON DIEUX..... FAITES LES RECULER PUTAINEMENT!"
les luciniens crièrent à en perdre haleine, jamais leur coups n'auraient étés donnés avec autant d'ardeur et de force qu'à ce moment, ils repoussaient à coups de lame et décapitaient avec les boucliers, avançant en une seule et unique masse, un bloc officiel affrontant les coups de l'ennemi comme une mauvaise pluie, il fallait tenir... Le soleil allait bientot se lever et il fallait lui faire honneur. Les cris des hommes retrouvant espoir et vivacité réussirent à mettre encore quarentaine hommes au lac, avec un peu de mal cependant mais ils réussirent à sombrer dans les eux infernales ou de jolies petits corps sans vies revenaient à la surface... Jolene qui était occupée, un corps sur deux des soldats morts sur son dos, il n'avait que le coeur de tranché... repoussait avec dix autres hommes les attaques des autres à l'arrière pour éviter de tomber à l'eau à leur tour... elle grommelait, ça aurait été plus facile si...
"Yosh poupé t'as l'autre blaireau qui te demande de rappliquer ton cul parce qu'ils ont chaud au leurs là!"
une bête des plus bizarre vint se présenter sous son nez comme une mouche, le premier geste: éradiquer la mouche d'un revers de main, ensuite mieux observer la chose volante en train d'injurier son monde pour voir qu'elle avait un physique de félin tout comme elle. Un petit sourire sur le coin de la lèvre et elle ouvrit ses mains pour accueillir le petit animal l'espace d'un instant pendant que le combat continuait de faire rage... une calamité, une perte de 2 hommes face à ... plus d'une centaine pour cet adversaire sanglant.
" ouais ben attends, j'ai presque finis, il m'en reste pas meme cent cinquante à claquer!"
" Yoh eh! jfais que dsuivre les ordre moi! c'pas un monde..."
Elle lui déposa un petit baiser sur le front avant de lever l'arme de feu de l'orc tué devant son armée amie: les gardes savaient ce qu'il restait à faire... et aussi simplement, ils rengainèrent leurs épées et présentèrent leurs boucliers aux ennemis pour éviter les coups. même s'il fallait éviter d'utiliser la magie, Dame Jolene n'avait pas le choix, il ne fallait pas discuter la vie de cent soldats en perdition! Elle se faufilait au milieu des gardes de lucinia et fermait les yeux pour se concentrer... se concentrer... soudain, le vent se mit à tourner et un nuage sombre à l'envelopper, son énergie bridée tentait de s'évader, ses mains saignèrent, elle grimaçait mais ne fut pas destabilisée pour autant... le nuage noir causait de sérieux dégats aux adversaires, coupait leur membres s'ils s'avançaient et tuaient tout simplement s'il voulaient traverser la tornade... Soudain le cyclone se stoppa et explosa: vingts hommes furent mort et ou gravement blessés, mais pas ceux de la Cormyr...
Alors que le Lucien se battait et donnait ses quelques directives Arcania pris la parole. La première pensé qui traversa l’esprit de Liborio était qu’enfaîte il n’avait pas changé, il était toujours aussi péteux et mesquin, il avait juste choisit son camp et son opinion. Le mercenaire replanta ses yeux dans ceux de Arcania. Quelques choses venaient de traverser son esprit. Il venait de comprendre que cet homme se battait pour toute une nation et pas que pour lui. Il défendait ses propres opinions politiques avec beaucoup de violence mais au moyen sa vie avait un but. Le mercenaire pouvait il en dire autant ? Avoir un but. Il était devenu gardien car il n’avait pas eut le choix et surtout pour venger son meilleur ami. Dans un sens cet homme était beaucoup plus noble que lui.
« Arcania ! Ce n’est pas le meilleur moment pour discuter, mais sachent quelques choses. Mourir aujourd’hui ou demain ne changera rien pour moi, c’est vrai je t’ai crains il y a peine quelques minute. Cette bataille était déjà perdue d’avance, Je le savais avant même de la commencer, ses gens le savent aussi et se battent pourtant à mes cotées me faisant confiance comme si j’était leur héros et aucun Lien nous unis l’un à l’autre, mais se soir je ne pleurais pourtant aucune de ses vies si devais survivre. ALORS je t’en prie Arcania je te le demanderais même à genoux s’il le faut, laisse moi sauver au moins les enfants et les civils et je te promet de revenir pour t’affronté et mourir sous ta lame si cela peux t’apaiser, MAIS NE LAISSE PAS MOURIRE DES INNONCENTS POUR DE SIMPLE OPINIONS POLITIQUES, Prouve moi que tu es un humain et pas une simple marionnette à la soldes des esprits, prouve moi que tu vaux mieux que moi… Un vulgaire assassin. »
C’est dans un crie de rage que le Lucien cracha ses avant derniers paroles suivit d’un peu de tristesse. Il semblait avoir oublié où il se trouvait durant quelques minutes avant d’être rappelé à la raison par un crie d’homme qui lui fonçait dessus. Liborio s’abaissait pour éviter le coup d’épée. Il colla un coup de poing dans l’estomac de l’homme, se releva donna un coup de coude dans l’arcade de son assaillant, attrapa son bras lui brisa en deux, rattrapa l’épée avant qu’elle ne tombe et lui planta dans son gorge. Puis il regarda Arcania une dernière fois dans les yeux. Au fond, Arcania était un grand homme pour son peuple et Liborio un simple mercenaire qui exécutait les contrats donné par les gardiens. C’est alors que Jolene arriva.
" LIBORIO AVANCEZ, NE CRAIGNEZ PAS LA MORT, ELLE NE VOUS AFFECTERA PAS!"
D’un coup le Lucien se rappela les paroles de jolene, elle lui avait accordé sa bénédiction, depuis le début il se battait donc sans risque ? Pourquoi lui, Et les hommes qui mourrait autour de lui n’avait il pas mérité une telle protection.
« Jolene retirez moi cette bénédiction et donna la à quelqu’un qui la mérite. Je me bat pour sauver ma vie, à QUOI cela me sert il donc de me battre si je ne peux affronter la mort ! Shiro ! Mode Protecteur»
Spoiler:
Sur ses quelques mots le petit Lionceau devint une boule de Lumière et grossit, pendant se temps Liborio venait d’abattre 5 hommes. Une fois la transformation terminé Liborio sauta sur le dos de Shiro et partie vers la place laissant Arcania et jolene s’arrangé. Une fois arrivée sur la dite place. Les gens étaient affolés et prêt à partir.
« Bien, Voici Shiro ! Il sera votre chef d’expédition suivez le sans poser de question. »
Le petit cortège allait donc vers la route d’une sortie secrète qui donnait sur l’arrière du village. Quand un bruit de cheval se fit entendre, un cavalier fonçait vers eux à toute vitesse, le sol tremblait sous la puissance de la bête. Liborio dégaina ses katanas et souffla calmement. Ordonnant à Shiro de partir, mais une boule de feu frappa le Lucien qui avait baissé sa garde quelques secondes l’éjectant et le faisant traverser une maison.
« A l’aide ! A l’aide, il va tuer le lion. »
Liborio se releva péniblement des décombres, du sang coulait un peu de sa tête. Et sa vision était troublée, il chercha ses katana quand un coffre énorme tomba sur le sol et s’ouvrit laissant découvrir une magnifique lame (signature), les mots « seishin' kujo » était gravé sur la lame. Un signe du destin ? Liborio ne le savait pas trop mais il devait se dépêcher et sauver Shiro. Il sortit de la battisse et lança une boule de feu sur son agresseur. Celui-ci la para d’un coup d’épée sans même regarder dans la direction du Lucien.
« Hoooo, tu es encore en vie ? »
« Ta gueule! Cest moi ton ennemi »
« Libo ! Il est trop puissant pour toi, combattons à deux ! Rappelle toi se que nous a dit l’animalier. »
« Désolé Shiro, j’ai fait une autre promesse à l’animalier ! Ce combat sera le mien, je t’ai confié une mission accomplie la ! »
Sur ce Liborio fonça vers son nouvel ennemi. Shiro quand à lui se releva, il était un peu blessé mais il pouvait continué sa quête. Il partie donc avec le cortège après que les deux hommes se soit éloigné.
« Bouffon ! Ne meurt pas…»
Arcania D.Cysique Harmonien
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Sujet: Re: Erestia en guerre [Terminé] Dim 6 Mar - 15:57
Arcania restait debout, son visage affichant toujours cette rage de vaincre, l'envie d'aller jusqu'au bout et de mettre fin à la vie de ceux qui se dressaient sur sa route et qui osaient remettre en question sa puissance, sa détermination d'acier. La férocité qui émanait de sa voix montrait qu'il ne reculerait pas, que le moindre humain qui tenterait de s'imposer devant lui pour le mettre à mal. Liborio malgré la fureur qu'il affichait au moment où il avait appelé à la rescousse ses hommes restait face à l'épéiste, il voulait simplement parler, lui donner son avis, ou simplement le prier, lui confier quelque chose, lui demander une faveur malgré le fait qu'ils soient ennemis dans une guerre où la pitié n'existait pas. Lui demander d'épargner des innocents pour prouver son humanité n'était pas vraiment ce que l'on pouvait appeler quelque chose d'intelligent. Demander à son ennemi, celui qui voulait votre mort et votre défaite, de laisser à la vie à des vivants qui pourraient prendre les armes contre lui ? Entre temps, Jolene avait déjà continuée sa route pour combattre sur le coté. Elle semblait peut être ne pas l'avoir vu, pas reconnu. Liborio de son coté, lorsque ses paroles furent enfin terminées, disparu de son coté, cherchant en premier lieu à sauver ces civils pour qui il avait prié la survie. Même si le prophète n'avait pas répondu à sa demande, il semblait croire qu'il allait les laisser en vie. Lui ne les tueraient pas, mais son armée ne se résumait pas seulement à lui. Des centaines d'autres soldats de l'armée déchue pourraient tenter d'ôter cette précieuse vie qui animait le corps des habitants d'Erestia qui bientôt serait envahit par les flammes infernales dignes des enfers abyssaux. Le regard noir du jeune homme, l'éclat émeraude de ses yeux disparu, la froideur d'un regard de gladiateur quotidienne face à la mort. Il se trouvait seul, isolé devant cet homme qui venait de décocher une flèche dans sa joue, celui qui avait laissé son sang couler sur sa joue avec la force de ce bout de fer et ce morceau de bois. Lentement, il serra dans sa main droite sa lame bénie, avançant vers celui à cause de qui ce liquide rouge vitale tombait sur le sol déjà imbibé par ce dernier. Une puissance destructrice s'évadait du corps de l'Harmonien à chacun de ses pas, et l'archer restait devant lui bloqué sur place par cette peur qui envahissait tout son être. On pouvait voir son bas qui commençait lentement à se mouiller, devenir trempé et laissant sortir une odeur si dérangeante que celle de l'urine chaude. Il ne fallut pas plus de deux secondes supplémentaires pour que la lame mortelle de l'homme à la brune chevelure ne s'abatte sur le torse de l'archer, pour verticalement faire gicler son sang. Il s'écrasait lourdement sur le sol, sans vie. C'était un faible ennemi en moins.
Sur le coté, la chaleur commençait à férocement augmenter, les bruits de pas d'un cheval au galop résonnaient. Cette atmosphère lourde qui enveloppait la zone de combat entre les deux camps. Au milieu, tout le monde se reculait, l'armée d'Arcania sentant ce qu'il se passait. Wider, le cavalier des flammes était la, il était arrivé à l'avant du peloton de cavaliers qu'avait appelé l'humain pour en finir plus vite. Ce général à la force moyenne avait tué bien plus d'homme en une année de service que certains vétéran après plus de vingt années de combats enchainés. Sa monture aux pieds de lave, lui à l'armure de titane. Sa force titanesque et ses pouvoirs effrayants. Il fonçait sans s'arrêter vers les lieux où les civiles étaient rassemblés pour leur fuite vers la capitale. Il avait pour habitude de désobéir à son chef et faisait les choses à sa mode. Lui qui adorait la destruction et la violence gratuite s'amusait à massacrer les habitants des villes qu'il avait l'occasion d'attaquer avec ses hommes. Les quelques lieux où se posaient les sabots de son cheval de flammes s'embrasaient et le sol fondait de manière impressionnante. Bien vite il disparaissait derrière les bâtisses hors de la vue de son chef qui ricanait en voyant ce dernier faire comme bon lui semblait. Ca lui rappelait son passé avant qu'il ne devienne prophète, à faire ce qu'il voulait malgré les ordres de sa très puissante supérieur. Désormais, il ne se préoccupait plus de lui, il pourrait reprendre ses occupations dans cette guerre. Et surtout, il allait chercher la cormyr qui avait disparu quelques instants plus tôt pour partir de son coté. Il grinça des dents en repensant au fait que cette traitresse était la, toute proche de lui, et qu'il pourrait si jamais elle se dressait face à lui arracher sa misérable vie pour laver cette affront qu'elle avait fait à la famille des ennemis des créateurs. Fier et dangereux, Arcania ne reculerait pas même devant une femme dont il avait partagé le lit et dont il avait visité les parties les plus intimes. Il y a peu de temps, il n'aurait osé lever la main sur une femme, mais lorsque ces dernières se trouvaient être de la trempe de la cheffe de la confrérie, il n'avait pas vraiment d'autre choix. Il se tourna lentement sur le coté, puis vit de face la Lucinienne, cette dernière semblait un peu perdue, et au lieu de l'attaquer, elle restait la, plantée telle une idiote, quelques simples mots, sortant d'entre ces lèvres qu'il avait touché, goutté.
" Qui êtes vous?! "
Moquerie ? Provocation ? Amnésie ? Etait elle si stupide au point d'oublier celui qu'elle avait trahit en se retournant contre cette guilde qu'était l'ordre. Au loin, il entendait les cors de guerre des cavaliers qui arrivaient en renfort résonner dans cette journée qui commençait à peine avec le levé du soleil. Plus le temps s'écoulait, et plus le danger de voir surgir la pièce maitresse d'Arcania était grand. Ce portail ouvert, s'étant déjà teinté de rouge, cette couleur qui annonçait son arrivée, celle de ce grand combattant qui y résidait. Ces cors frappant ses tympans étaient le signal qu'il fallait leur ouvrir. Il était hors de question que les choses continuent ainsi. Leur armée, si nombreuse ne pouvait pas être mise en difficulté par si peu de soldats même sous une bénédiction aussi puissante pouvait elle être. Après tout, eux étaient bénis par le grand déchu Pierre, Dieu de la guerre, ennemi héréditaire des gardiens et des créateurs. Fixant Jolene jusqu'au plus profond des yeux, il leva la paume de sa main vers la muraille qui protégeait encore la ville. Cette dernière toujours debout malgré le passage de déjà plusieurs centaines d'hommes. Avec force et rapidité, une dizaine de boule d'arcane partirent se loger sur la pierre du grand mur protecteur, ce dernier cédant et explosant en mille morceau. La vague d'énergie repoussant en arrière les soldats des deux camps qui combattaient au pied de celui ci. Aucun d'entre eux, même balayés par cette énergie pure ne mourraient, ils seraient au pire sonnés par le choc, mais le but n'était pas de blesser qui que ce soit. L'épéiste n'était pas attiré par les petites frappes de soldats, mais seulement par leur dirigeant, comme Jolene ici présente devant lui. La cavalerie au loin arriverait bientôt, et ils pourraient passer facilement avec ces murs détruits et une route toute tracée pour leur arrivée. Son bras retomba le long de son corps, son regard froid restant plongé sur la jeune femme, du moins physiquement. Son visage arborant une sévérité et une haine hors du commun n'échapperait sans doute pas à la pauvre Cormyr qui subirait sans doute très vite sa colère. Sa voix, froide et violente résonna, laissant la demoiselle sous ces assauts verbaux, qui pourraient faire reculer quiconque sous la violence qu'elle émettait.
- Tu ose me demander qui je suis ? Tu n'es même pas capable de te rappeler ce genre de choses ? La stupidité t'as t'elle envahit Jolene ?
Il avança d'un pas en serrant le pommeau de sa lame qui laissait le sang de l'archer qu'il venait de tuer tomber sur le sol frais du matin d'une bataille sans aucune pitié. Il fronça les sourcils avant de se mettre en garde. A sa ceinture restait encore deux autres lames qu'il n'hésiterait pas à utiliser s'il le fallait pour ôtant la vie de cette traitresse sans aucune loyauté. Ses lèvres se décollèrent une nouvelle fois, frappant la jeune femme aux oreilles. Une nouvelle fois, il était froid, sévère, agressif. La rancoeur s'enlaçait autour de son être, et la colère déchirait son coeur au point de lui faire oublier que Jolene était normalement sous sa protection jusqu'à la mort de ce dernier.
- Trahissant Valiane, Trahissant l'ordre nouveau, ME TRAHISSANT. COMMENT PEUX TU OUBLIER CA ???
Il serrant le poing très fort, serrant les dents à tel point que ses lèvres se relevaient légèrement. Tout autour de lui, l'air devint lourd, le courant s'intensifia et la foudre commençait à crépiter enroulant son corps dans une danse foudroyante. L'approcher à moins d'un mètre sans savoir maitriser la foudre aurait été plus que suicidaire. Gardant cette position défensive qu'il avait prise juste avant, il hurla une dernière fois.
- COMMENT AS TU PU M'OUBLIER MOI ???
Sans une seconde supplémentaire de perdue, sa lame s'illumina, et une vague d'arcane fila droit vers la jeune femme. La haine de l'Harmonien était grande, pour ne pas dire colossale.
Jolene Ladraël Barnes Lucinienne
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Sujet: Re: Erestia en guerre [Terminé] Lun 7 Mar - 15:24
L'univers est si petit, si macabre et tellement détestable... le monde encore plus miséricordieux et faible que l'humain se doit de se rabattre sur sa seule vie et celle de ceux qui l'accompagne pour éviter d'être écrasé par le poids pesant de l'immensité galactique. Les guerres ne sont menés que dans le but de celui qui les mènes à exister, se sentir vivant grâce à la souffrance qui émane des troubles de ses infamies, sans souffrances il n'y a pas de vie, pas de mort, pas d'hommes... faut il pour autant être masochiste? Cet homme debout au milieu de tant d'autre et cet autre, bientot submergé par la force d'une vague humaine semblent tellement être enveloppé par cette miséricordieuse haine. Ô temps, couvre les meurs des hommes avec ta duveteuse absence afin de les engourdir dans une lente agonie, ce qu'ils sont ne se perpétuera pas dans l'éternel. Que les ailes flamboyantes qui m'ont permis d'arracher les cris agonisant des défunts m'aident à trouver la voix de celui que j'ai jadis soulevé de mon coeur et porté confiance aveugle en me languissant de ses bras.
dix mètres. Une distance longue couverte d’embûches s'il on s'y prend mal. Pourtant si longue mais palpable, c'était à cette distance qu'elle se tenait telle une véritable statue vivante défiant le vent et la colère de son ami du passé. Ils ne se quittaient pas des yeux, comme si un filin invisible les liaient sur l'espace d'une seconde ou d'un temps; comme s'ils étaient de nouveau liés le temps d'un affrontement mental qui allait bien au delà des espérances. Il n'y avait rien de joyeux seulement une lente et longue étreinte visuelle ayant pour but de soumettre l'un à la force de l'autre. Pas de bruits, de vaines espérances ni de promesse de survie seulement une angoisse et une envie qui demeuraient dans l'incompréhension permanente. L'un grelottant et frissonnant d'une rage incommensurable empoignant une simple épée au nom à coucher dehors pour se laisser passer ses nerfs dessus... Dix mètres, elle pouvait le voir crisper sa mâchoire et maintenir fermement cette épée dont la main rougissait de son étau. L'iris des yeux ne prévoyaient pas de mort lente et douloureuse a destination d'une agonie sans fin, non il y avait autre chose dans cet émeraude tendre mais glacé, une chose que jamais une Cormyr n'aurait pu soupçonner voir un jour dans l'oeil d'un humain ordinaire et cela la paralysait, resserrant encore plus les gonds d'une prison de chaire autours de son coeur désemparé.
Tout, elle devait s’apprêter à tout de la part de cet humain si peu ordinaire mais son premier geste fut d'abord de planter la lame de sa batarde à terre sans lacher le divin regard de l'homme aussi sauvage et ténébreux pouvait il être. Sa mémoire ne lui revenait toujours pas. Elle daignait avancer, un pas après l'autre sans ce soucier de ce qui était à l'arrière comme hypnotisée par l'iris du serpent au mortel venin elle passait en esquivant les coups des épées et des boucliers qui lui étaient destinés au passage, pas assez rapide pour elle et user du poing ou de la foudre à ce moment aurait été stupide, lui était là... elle se tenait si prêt... si proche... Une simple étincelle dans cet océan de vert couvrirait ce champs de bataille d'une marée pourpre d'innocent il ne fallait pas omettre d’idiotie. l'Ordre... une belle connerie, la plus belle de sa vie! une lame passait devant sa poitrine l'obligeant à s'arrêter et attendre que le bras se lève pour asseiner un second coups, elle passa en se courbant vers le sol évitant la lame blanche qui venait éventer sa chevelure sanguine. il ne lui restait plus tellement de distance et sa mémoire ne faisait que de lui revenir alors que le ton de l'humain montait, montait... Les animaux sont fragile aux ondes et intonations des paroles qu'on leur porte, d'ou leur reflexe d’obéir ou de feinter quand l'ordre n'est pas assez bien dit.
Dans une intonation digne du plus grand des monarques le but frappait la moelle et ce qui servait de petite cervelle à la jeune Cormyr. Stupéfaite, ses mains se placèrent instantanément au niveau de son visage comme par réflexe, elle ne craignait pas, seulement obéissait tel avait servit la vacuité passé au milieu de cet ordre nouveau, un groupe qui n'enjandrerait rien. Le vent soufflait fort mais les paroles elles ne se perdirent pas dans l'énorme vide de ce moment fatidique; il lui fallait réussir coute que coute et meme au prix de sa tête sur un piquet de ses monstres à l'ordre de ce piètre déchu. Subitement l'assassin d’albâtre eu une sorte de rictus malsain sur ses lèvres mordante à souhait, comme un loup prévenant d'une attaque défensive face à un ennemi histoire de le prévenir que son attaque faute d'être menaçante n'était pas à prendre à la lègère. Elle s'arretait, se situant à une distance bien suffisante maintenant pour lui parler en face à face. moins de trois mètres respectif la liait à son Némésis.
Citation :
- COMMENT AS TU PU M'OUBLIER MOI ???
L'étincelle... celle qu'elle s'apprêtait à voir dans les yeux du ténébreux personnage en face d'elle s'illuminait enfin désignant ce moment fatidique tant redouté. Elle osa aventurer ses jambes, encore deux pas arrivant de ce fait à une distance ou, bras joins vers Arcania elle aurait pu le toucher mais s'abstenait de faire cela et au lieu de cela, sentit une énergie forte, aussi forte que celle d'un déchu en plus haissante et rigoureuse encore lui toucher le bout des lèvres. Ses yeux se froncèrent d'autant plus que sa divine mémoire li revenait enfin, ENFIN! au moment ou une vague d'arcane venait l'anéantir...
Arcania D.Cysique, l'ordre puis Valiane, cette chienne de ménage qui avait osée pourfendre son âme, la dissocier et la tournée en désirision devant le dieux de la guerre lui meme, poussant Jolene à devenir humain pour quatre jour, une piètre humaine sans mémoire ni attaches, laissée seule au dépit de tous alors qu'elle avait toujours été fidèle à l'ordre. Une attaque d'une telle puissance qu'il était hors de question pour jolene de continuer d'être sous les ordres de cette dernière et pourtant elle avait acceptée cette mission pour être cheffe de l'ordre... sous les ordres de sa pire ennemie... oui un jour elle lui ferait payer cet affront! La colère montait en elle autant qu'Arcania en avait pour déferler sa vague puissante d'Arcane, ses yeux commencèrent à larmoyer et sa peau à se couvrir d'un filet sombre et coupant, l'air autours d'elle n'était pas respirable, les pans de sa robe et étoffes se déchiraient face aux deux espèces d'attaques montés l'une contre l'autre. Depuis elle avait été cherché son âme chez pierre le dechu en contre partie elle devait lui donner un enfant... elle avait du faire tourner pierre en dérision une fois l'ame revenue et l'assomer pour retourner chez elle et cela avant valiane... et Arcania par la suite, elle n'aurait jamais du tenter de revenir dans l'ordre et encore moins connaitre cet homme ombrageux.
La vague d'Arcane arrachait la peau de ses jambes, si peu néanmoins, sa peau couverte de cette légèe fumée noire la protégeait doucement de cette attaque dévastatrice mais pas totalement. Elle attendait que l'attaque soit finie, repensant inlassablement à cette Valiane en serrant les crocs et subissant l'attaque sans rien dire. A cause d'une haine elle avait entraînée une personne qui lui était cher dans une autre haine, il était juste qu'il se venge, d'ou le pourquoi elle ne répliquerait certainement pas. L'attaque était passé mais la rage et l'atmosphère était toujours pesante, électrique et horriblement lourde! Jolene fermait un instant ses yeux en baissant sa tête, se soumettant entièrement à son adversaire, elle lui avait causé plus de tord qu'elle n'aurait pu y songer et tout cela pour l'histoire d'une nuit. le temps de retrouver tout son bon sens et rétablir une certaine paix dans son âme, un silence arrivait comme s'il n'y avait plus une mouche sur ce champs de bataille... Sa respiration se faisait longue et son corps était déjà en grande partie régénérée, brillant doucement sous le soleil matinale.
" je comprends votre haine mais je ne peux y remédier j'ai moi même le coeur trop serré pour vous avouer quoi que ce soit. "
Le problème avec les mots c'est qu'il faut du temps pour choisir les bons et durant les combat on n'en dispose que de très peu, parler bref pour parler bien était une bonne chose mais insuffisante lorsqu'il s'agissait d'exorciser un démon qui pourrit les entrailles de celui que vous aimez. Elle remonta brièvement sa tête et la posa hautement comme une reine, il lui fallait un peu de dignité pour mourir en tant que dernière représentante de son espèce, son regard argenté se faisait froid mais apaisant, compatissant montrant de ce fait qu'elle comprenait cette crise et en souffrait autant.
" Nous devrions recoudre les cicatrices et oublier le passé. Vous n'êtes pas mon ennemi Arcania D.Cysique vous avez reçu ma bénédiction, vous n'êtes pas comme ces déchus sans émotions ni séquelles, vous avez des convictions et n'avez pas besoin d'eux! Marchez indépendamment d'eux et non sous leur joug! Laissez les habitants de cette ville partir et gardez moi en otage, mais ne continuez pas ce carnage."
Elle fronça lentement ses sourcils tandis que le portail rouge et les combats se répercutèrent. Dans un coin de sa tête elle était certaine que son ami décline toutes les offres, trop fier et orgueilleux pour accepter une quelconque négociation, néanmoins elle aurait essayé de faire quelque chose... si petite mais une chose tout de meme. Une explosion à l'arrière des rangs fit frissonner ses ailes et l'inquiétait tout autant, si cette guerre se perpétuait... il n'y aurait jamais assez d'homme pour maintenir cette cité: ils étaient tous perdu d'avance et leur destin reposaient entre les mains d'Arcania et de Jolene.
Liborio Amico Lucinien
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Sujet: Re: Erestia en guerre [Terminé] Jeu 10 Mar - 20:58
La bataille ne faisait que commencer, mais elle était déjà très intense, les deux hommes maitrisaient le feu, il n’y avait pour le moment encore eu aucun contact physique, mais la magie avait envahit la place.
Liborio passait de maison en maison lançant des boules ou des vagues de flamme vers son ennemi, son adversaire répondait avec la même vivacité. La place devient rapidement un barbecue géant, les flammes dévoraient les maisons de plus en plus et comme si l’adversaire n’était pas suffisamment puissant, il fallait aussi que le destrier maitrise le pouvoir de la terre, à chaque fois qu’il se cabrait et retombait sur le sol un bâtiment s’écroulait. Autant dire que l’assassin fut rapidement à découvert.
Liborio était maintenant sur la place face à son ennemi. Le vent venait de se lever, balayant les flammes et leur donnant un air encore plus agressif. Le Lucien posa un regard autour de lui, cette simple mission était devenue une boucherie. Erestia était donc destiner à tomber et à mourir. Le Lucien fit une grimace et serra ses poings.
*Rien n’est encore perdu. Je dois survivre et aller à la capitale. A Pa…*
« Et bien quoi ? Tu compte resta là ! Je me présente Wider. Un des meilleurs hommes de Arcania et voici Argos. »
L’homme désigna sa monture, puis la caressa, celle-ci semblait vouloir tuer le Lucien le plus rapidement possible, d’ailleurs Liborio ne savait pas trop de qui entre les deux la était le plus terrifiant. Pour rester poli, le lycan se présenta lui aussi, mais quelque chose n’allait pas, comme un mauvais pressentiment.
« Je vois. Tu voulais m’attirer ici pour que tes hommes m’encerclent. Peur de se salir les mains ? »
Wider ne répondit pas et ordonna à ses quatre cavaliers d’attaquer Liborio, dans un même temps le soleil avait disparu et les cieux faisait entendre leurs colères, des éclaires déchiraient le ciel. Dans un mouvement rapide le mercenaire plongea vers l’avant pour éviter le premier cavalier, il leva ensuite son arme au-dessus de sa tête pour bloquer une nouvelle attaque.
« Quatre contre un, quel courage ! »
Le cavalier passa pour laisser place à un nouvel assaillant. Cette fois-ci le Lucien plaça sa lame sur son coté gauche, l’impact fut tellement fort qu’il recula, mais les hommes de Wind avec bien roder leur stratégie, alors que Liborio bloquait le coup, un autre cavalier l’attaqua dans son dos, instantanément le mercenaire s’enflamma, l’attaque lui passa au travers, il s’abaissa en tournant et tranchât les pattes avant des deux chevaux faisant s’écrouler les deux cavalier. Les deux hommes se relevèrent rapidement, pendant se temps les deux autres cavalier foncèrent sur le Lucien qui venait de reprendre sa forme humaine, l’un arrivait du sud et l’autre du nord, Liborio sourit, il fit un demi-tour sur lui, lancant ses mains vers le bas dans la direction des cavaliers, d’un coup les chevaux s’écroulèrent, faisant mordre la poussière au guerrier qui les montaient, le jeune mercenaire se releva et montra sa main contenant une étoila de ninja.
« Bien ! Maintenant le combat sera un peu plus équilibré. »
Liborio rangea sa nouvelle lame dans son dos et dégaina ses fidèles katanas.
« Deux lames de mercenaire contre quatre lame de débutants »
L’assasin bloqua deux lames qui allaient s’abattre sur sa tête, mais un des guerrier la porta un coup de pied dans le thorax, l’éjectant sur le sol. Quand à Wind il n’avait pas bougé de sa place et se contentait d’admirer. Liborio se releva difficilement, recrachant du sang, il ne fallait pas se voiler la face, ses hommes était encore frais et wider aussi tandis que le Lucien se battait déjà depuis hier. Les coups et la fatigue commençait à prendre le dessus sur ses capacités. Il était jeune, stupide et surtout borné, c’était pour cela qu’il ne pouvait abandonner maintenant. Des larmes commencèrent à couler le long de son visage.
*Père, Chiyo, Sensei et toi Shiro mon frère, je suis désolé, tous s’arrête ici pour moi, dans cette bataille.*
D’un coup le corps du Lucien commençait à surchauffé, ses larme s’évaporaient et tout autour de lui commençait à roussir. Alors que Liborio pensait mener le dernier combat de sa vie, quatre flèches transpercèrent le crane des hommes. Le lucien ne comprenait pas quand soudain un homme apparu, marchant tranquillement, même Wider avait bougé en retraite. Liborio avait fait descendre la température de son corps maintenant et se trouvait face à son sauveur.
« Mais qui est tu ? »
« Je me nomme Hira, Ancien héro de guerre d’Erestia, quand tout à commencé, je me suis caché parmi les civils. Je ne voulais plus combattre et voir tous ses amies mourir, mais toi et cette jeune femme m’avez rendu la foi ! Vous vous battez alors que vous n’y êtes pas obligé. Laisse moi m’occuper se monstre et fui avec les civils. »
« Non ! Je le combattrais moi-même, question d’honneur ! Si tu veux te racheter va combattre leur chef. Tu es le plus frais de nous tous et le plus expérimenté. »
« Bien si telle est ta décision ! »
« Je ne vous dérange pas ? »
« A nous deux Wider et merci encore Hira. A dieu »
« A bientôt tu veux dire, on se retrouvera en enfer ne t’inquiète pas ! »
Liborio rigola, puis repris son sérieux et dégaina sa nouvelle épée. Hira quand à lui fonça vers la position de Arcania. Mais alors que le véritable allait commencer pour le Lucien Wider pris la parole.
« La jeune femme qui est avec toi. »
« Ben Quoi ? »
« Elle va mourir, Shalina est là ! »
« Je m'en tape. Tais toi et bats toi maintenant ! »
Mais c’était bien vrai une sorte d’ange survolait le ciel. Jolene allait devoir encore se battre et faire preuve d’encore plus de courage. Mais l’espoir venait de renaitre dans le cœur de Liborio, arca allais peut être tombé.
*Dame jolene vous devez vaincre sinon je tout est perdu. Bon Je dois le faire tomber de cheval, sinon je suis mort*
Spoiler:
possède necro et égide lvl 5 il est lvl 15
Spoiler:
Ne la juge pas sous ses airs d'enfant :d Elle est lvl 20, elle maitrise Egide, air et foudre, poison, illussion et son arme peut prendre n'importe qu'elle forme
Arcania D.Cysique Harmonien
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Sujet: Re: Erestia en guerre [Terminé] Ven 11 Mar - 15:38
L'attaque du jeune homme n'avait pas été stoppée, comme si la Lucinienne par ce sacrifice de sang et de chaire voulait montrer la vérité de ses propos à celui qui se croyait comme étant son adversaire, ils étaient ennemis depuis qu'elle avait trahit la guilde dont Arcania avait prit les rennes aux cotés de Valiane pour rejoindre la confrérie avec Aodhan, cet autre traitre de malheur. Bien sur, l'Harmonien ignorait encore l'existence de cette détestable guilde, mais rien que le fait d'avoir quitté les rangs de l'épéiste faisait d'eux des ennemis, des vermines à éliminer de la surface des mondes. Le fait d'offrir son sang à sa rage pour tenter de l'apaiser n'était pas vraiment ce qui serait le plus utile face au prophète. Ce n'était pas ce genre de petit cadeau qui allait faire disparaitre ce mépris qu'il avait pour elle. Elle le dégoutait et même son envie de rester neutre face à lui faisait de plus en plus monter la colère dans son être de faible humain. Elle avait choisit son camp, elle s'était dressée face à lui, l'empêchant de mettre à terre un autre opposant, elle s'était dès lors classée dans la liste des prochaines victimes de l'Equiliosien. Mais malgré tout, il connaissait la force de celle qui était face à lui, il savait qu'elle ne périrait pas pour une si petite offensive, il en faudrait bien plus. Geler son coeur et le détruire en le réduisant en des milliers de morceaux, voilà une idée bien intéressante. Il suffisait à sa lame de pénétrer la peau puis la chaire de la jeune femme pour y glacer tout ce qu'elle toucherait de chaud. La violence de cette bataille était cruelle pour le corps et pour l'âme. D'un coté ses sentiments le mettaient en déception et le faisait entrer dans une colère noir, tandis que de l'autre son devoir et ses obligations le poussaient encore plus dans la rage, rendant ses actes incontrôlables et le poussant à vouloir la mort de cette femme qui quelques semaines avant partageait encore son lit et ses bras avec lui. Serrant plus fort encore sa lame en main, celle qui venait d'assener un coup qui aurait tuer n'importe quel être faible, pouvant même mettre à terre un régiment de soldats d'élite complet, il vit cette cormyr, cette Jolene qu'il portait toujours dans son coeur comme une amie se remettre droit devant lui. Les paroles de cette dernière le firent froncer les sourcils et serrer encore plus les dents. Il était presque près à envoyer une nouvelle attaque sur cette femme qui semblait vraiment être de plus en plus détestable. Quelques instants s'écoulèrent avant qu'elle n'en remette une couche, ses paroles, ses mots semblaient tous êtres choisis pour le faire sortir de ses gongs, mais les seuls qu'il retint vraiment étaient ceux qui allaient lui faire le plus de mal ...
Citation :
Nous devrions recoudre les cicatrices et oublier le passé.
Il crachait en direction de Jolene, sa salive s'écrasant sur le sol devant elle. Jamais il ne réduirait quelqu'un en esclavage, surtout pas si cela pouvait sauver ses autres adversaires. Ce carnage n'aurait de cesse que lorsque la ville toute entière serait en feu, que lorsque tous ceux qui restaient encore fièrement entre ses murailles n'auraient péris par la lame guerrière des soldats du Déchu. Dans le portail juste derrière le prophète, un nouveau cri de rage surgit au moment même où les muscles du prophète se voyaient se crisper. Une patte, une seul, faite de trois doigts s'agrippa férocement à l'extérieur du portail, tandis que l'intérieur restait invisible de cette couleur rougeâtre qu'était celle du sang de l'Harmonien qui l'avait ouvert. Ces trois doigts bruns, presque rouges foncés ou l'inverse étaient inquiétant, ils appartenaient à la bête qui allait en sortir, celle qu'Arcania voulait depuis le début de cette bataille invoquer, elle était enfin réveillée, prête à venir apporter son soutien au général des armées de Pierre même s'il n'en avait pas réellement besoin. Ce démon diabolique qui allait détruire tout sur son passage serait bientôt la, il se chargerait de tuer, de torturer ceux qui étaient encore debout et qui osaient toujours tenir face aux assauts du prophète en rage. Ses doigts continuaient à serrer la lame, tandis qu'une deuxième patte s'attachait au portail. Ce n'était plus qu'une question de minutes avant qu'il n'apparaisse. Tout était finit, tout était scellé, la victoire était sienne, les corps ennemis seraient bientôt brulés et dévorés par les enfers où les ignobles bêtes de Satan joueraient avec leurs âmes en souffrance. C'était finit. Au coucher du soleil, la mort aurait prit place dans l'être de chacun et la peur envahirait ceux qui par miracle se seraient enfuit du champ de bataille. De sa seconde main, il dégaina Fatal, une autre de son trio d'arme, dont il rafale de vent déchiquetant s'évada pour entrer en contact avec une maison. Elle détruit toutes les maisons sur son passages sur toute la longueur de la ville, avant de s'écraser sur la muraille de l'autre coté. La puissance de l'offensive avait très certainement du passer tout près de Liborio et du lieu de son combat. Si un civil était passé à ce moment la, la faucheuse l'aurait sans aucun doute attrapé pour l'emmener avec elle. Reposant son regard froid et haineux sur la Lucinienne, il finit par entrouvrir la bouche pour s'adresser à nouveau à elle.
- Je ne peux effacer le passé, je ne puis oublier ... Jamais ... Je ne suis pas sous leur joug ... Je suis ... JE SUIS LIBRE DE MES CHOIX !!!
Le hurlement qui termina sa phrase fut suivit de très près par une énorme vague d'air, qui sortait tout droit de l'être d'Arcania. Le sol se fissura lentement, se renfonçant par endroit, ou pouvait voir tout autour des pieds de ce dernier le sol se renfoncer jusqu'à exploser pour créer une crevasse d'une vingtaine de centimètres dans laquelle les pieds du prophète s'enfoncèrent. Il en sortit sans trop de difficulté. Une mini tornade se leva, arrachant du sol les cadavres qui trainaient tout près. Pas assez puissante pour tuer, elle l'était assez pour casser et détruire. Refermant le poing autour de son pommeau, la tornade explosa, laissant le sang arraché au cadavre retomber sur Jolene et lui même telle une pluie torrentielle. Leurs corps seraient recouverts du sang de leur alliés et de leur ennemis tombés au combat, une bénédiction ou une malédiction, chacun pouvait le prendre comme il le voulait. Tel un monstre, il montrait les dents, son pouvoir commençait à déborder et à se relâcher tout autour de lui. De lui aurait pu être déclenché l'apocalypse. Il pointait Jolene de l'extrémité de sa lame magique, avant de continuer à discuter, le ton de sa voix était agressif mais pourtant, la douceur de ses paroles pouvaient être ressentit pour ceux qui le connaissaient vraiment.
- Si je ne peux l'accepter c'est parce que je ...
Sa phrase ne put être terminée, venu de plus loin, un homme avait bondit sur lui, tentant de lui planter son épée dans le flanc avant d'être intercepté par la lame d'Arcania. Il avait enfin un duel réel avec quelqu'un de la ville. Son regard se posait une dernière fois sur Jolene, qui de son coté semblait assaillit par l'ange Shalina, guerrière ailée sous les ordres direct du prophète, qui sur demande de ce dernier était restée cachée au sein de la cavalerie qui était en train d'arriver au galop. Elle serait un adversaire à la hauteur de la cormyr, tandis que de son coté, l'Harmonien devait en duel se manger un homme qui ne semblait pas extrêmement fort, du moins pas comparé à lui. Aucune pitié ... Pas de quartier et pas de prisonnier ... Tout le monde mourrait jusqu'au dernier.
Jolene Ladraël Barnes Lucinienne
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Sujet: Re: Erestia en guerre [Terminé] Dim 13 Mar - 22:52
Le vent se faisait plus insistant et violent que jamais, comme s'il rejetait de toute sa force monumentale la présence de la Jeune Cormyr souillée par ses illusions douteuses. Trompée par ses propres émotions et espoirs, de ses illusions et de sa force, tout lui retombait littéralement dessus comme en temps de chevalerie juste, tout juste avant sa propre rébellion contre le saint empire de Soleries d'ou elle avait été jugé et condamnée au scellé durant milles années. Tout cela ne lui revenait pas en immédiat sur le moment, mais une bonne partie des faits s'éclipsaient dans sa petite cervelle. Ses yeux compatissant d'un argent parfait continuèrent d'admirer son ami, comment pouvait elle concevoir qu'il soit un jour son ennemi alors que son coeur était bon? Il suffisait s'écouter le vent et de sentir les battements de son coeur déchiré dans la terre pour découvrir cette pesante vérité. Cependant elle ne ce souciait pas que le sacrifice de son sang attirait encore plus l'envie de sang du jeune Hamonien, elle continuait a lui faire face en restant le plus neutre possible. Ce n'était pas facile d'endosser les dires et l’atmosphère lugubre que lui envoyait Arcania, mais au moins pour ce dernier elle continuait de le faire. Et parce que s'occuper des humains fait partit de son job, elle ne recula pas meme lorsqu'un cracha vint se déposer à quelques centimètres de sa botte vermillon.
Elle n'abaissait pas meme le regard sur cette feinte, prouvant le respect et la compréhension de cet homme déchainé. Elle le regarda manier son arme avec une force imposante, tuant d'autant plus d'hommes et de batiments autours d'eux sans qu'elle ne fasse quoi que ce soit, et que pouvait elle faire à ce moment là? Exorbiter ses yeux et plaquer ses mains devant sa bouche en aspirant fortement? Non, ce n'était pas la manière dont elle avait été conçue pour. Elle devait attendre que la tempête se calme et essuyer toutes les pluies brutales incessantes jusqu'à ce que ce ciel noir n'en puisse plus. Sans espérer quoi que ce soit de particulier ni émettre le moindres son, elle attendait en observant les faits et gestes de cet humain tant admiré. Se débattant contre lui meme, ses opinions, son destin et sa vie, il donna un violent coups de fouet à Jolene en parlant sur le ton employé et surtout avec l'autorité dont il faisait preuve. Elle ne pouvait admirer ce splendide visage et cet allure de chef d'une autre manière, pas comme un Aodhan dépassé et encore trop peu expérimenté ... non ... et maintenant elle en était sur!
Cet homme, cette Némésis, cette chose se tenant de toute sa splendeur devant elle... ses lettres et paroles d'allégeances auraient du lui être adressés à lui. Le pourquoi il avait été si attirant comme un aimant et aussi fort avait soudain toute une logique devant elle et comme une fatalité, un poignard à deux tranchants, elle se disait qu'elle ne pourrait rien pour et contre lui. Qu'elle ne pourrait jamais rien faire. Ses yeux d'argents se fermèrent lorsque le tremblement de terre se fissura jusqu'à ses pieds, la nature divine lui obéissait ainsi aurait elle du être avec cet Arcania. Ses cils humides répendirent le liquide salé qui fit briller ses joues sur l'instant, une énigme se souleva, son "ami" souleva une tornade imposante de par sa haine, les corps morts et semi vivants se levèrent autours d'eux en une funeste symphonie. D'un revers de main elle essuyait son visage et laissa la paume de ses mains dans l'air environnante, la tornade ne la prit pas dans son sein. Trop naive cependant, elle continua d'observer le ciel et ses cadavres fumants alors que le premier tombait à coté d'elle. Enfin de compte elle comprit bien vite et ses cinq mètres d'ailes rouges vinrent l'entourés du haut de sa tête, la protégeant de toutes attaques physiques et de certaines magies. Seule partie organique de son entité, les ailes se faisaient dure et chaude comme de la lave endormie, seule la couleur d'un rouge affolant dont une petite parcelle de brume s'en dégageait. Dans son cocon la jeune femme écoutait l'assonance des corps tomber sur son voile rouge, un bruit de pluie assourdissant, elle se focalisa sur le sol pour y percuter le rythme des tambours de guerre. A la place elle y décela le rythme cardiaque du jeune maître de l'air.
* non, ce n'est pas possible...*
La pluie cessa et aussitot ses ailes déblayèrent les gouttes de sang qui s'étaient posés sur ses plumes duveteuses. Collantes, ses dernières prirent une teinte marron du à la chaleur des ailes de la jeune femme ailée. Elle écoutait attentivement les dernières paroles de son ? puis décida que cela en était assez, qu'elle n'aurait rien de satisfaisant pour aujourd'hui. Le vent siffla fort dans ses oreilles, comme si l'être devant elle lui avait soufflé dans le cou et remonté cette source de chaleur jusque dans le creux de son oreille. Cette sensation, elle la connaissait, dommage pour elle. Jolene s'abaissait tout à coups, ses ailes se plaquèrent à meme le sol, assomant un des hommes d'Arcania qui venait l'attaquer. Une chose noire lui était apparut juste au dessus de la tete en prenant un air de harpie. Elle sentit un regard se poser à nouveau sur elle et ne pu résister à l'envie de le regarder de nouveau. Cet émeraude à l'apparence froid mais tellement agréable à regarder, à admirer. Ce fin visage, ses cheveux foisonnant balayés par le vent ou cette bouche si fine ou l'on aurait encore une fois envie d'y replonger ses lèvres. De coeur battant à tout rompre et cette incroyable prestance.
Son bras droit se tendit alors et un filet électrique foudroyant s'élevait vers la femme oiseau qui revenait vers elle, sourire mystérieux au coin du visage. D'un revers de bras la mutante balaya la foudre et fondit vers la cormyr, épée au poing. Le premier contacte avec cette lame fut stupéfiante et inévitable. Percutée au flanc droit jusqu'à ce que les genoux de la cormyr fléchissent un tantinet, l'ange noire remontait dans les airs pour refaire un autre pic très certainement. Jolene porta sa main à son flan sans pour autant faire appel a sa bénediction. Si elle l'utilisait, Liborio n'en aurait pas le plein usage et Arcania non plus. C'était cette armée l'ennemi numeros un et non un sous-fifre! Elle serra fort ses dents et observa le combat d'Arcania versus l'Erestien quelques instants. L'épée de la belle guerrière noire rentra une fois encore avec sa chaire. Seulement c'était la main de la Cormyr cette fois qui au bon moment avait attrapé la lame d'une coups sec et prompt. Cependant Elle fut projetté par la violence de l'attaque et passa entre les deux combattants un moment pour arriver contre un bout de mur détruit auparavant. La lame lui rentra dans le haut de l'épaule avant de s'enfoncer dans le bois. La harpie rigola bien haut tandis que la Cormyr lui envoya un coups de poing la renversant juste de quelques centimètres, elle porta sa main a l'épée de la femme aux ailes noires pour y extraire la lame mais ne put y arriver, elle était déjà sur elle à lui enfoncer cette chose qui prit la forme d'un serpent dont les crocs étaient déjà bien sortis...
" Pas assez rapide, tu parles d'une menace potentielle! tu mfais bien rire, c'est bien toi qui a fourbé le grand esprit Chrisme a deux reprises? Jolene Ladraël Barnes, la grande Cormyr? laisses moi te dire un truc..."
" tien.... .... je suis heureuse que tu me reconnaisses, il était temps..."
" Valiane et pierre se feront un plaisir malin de te torturer comme il se doit..."
" torturer? la souffrance est synonyme de vivant... arch"
du venin coulait dans son sang et la prise de crocs proche de sa poitrine lui faisait si mal... comme si tout son être allait rapidement mourir brûlé. Elle qui aurait voulut savoir quel goût avait les patisseries chez tafinny à Soleries, la voilà un peu mal en point.
" pas si elle est précédé et émise par la mort elle meme. Tu vois mon maître là bas? J'ai reçu l'ordre de te ..."
La tete du serpent rentra directement dans la chaire et le sang bleu en sortit comme une chute d'eau, un cri féminin de souffrance horrible émana de la bouche de Jolene au moment ou l'ange allait finir sa phrase, au moins si Amico ne l'avait pas entendu, Arcania oui, au moins! Ses poings se cripèrent tandis que l'ange attrapa la tete de la cormyr entre ses mains.
jour moins 2... une nuit très longue:
Son courage la maintenait en vie douloureusement, sa sagesse commençait à décliner comme ce soleil mais sa rage et sa force bouillonnaient en elle comme l'arrivé imminent de cette lune blanche déjà dessinée dans le ciel rosé. Les gardes luciniens se battaient malgré leur fatigue, ils étaient révolus à se defendre coute que coute aux cotés de Liborio, animés d'un espoir sans fin. L'armée ennemie était aussi dur a repoussée qu'à tuer, une vraie fourmilière de tueurs! et pourtant, ils tombaient abondamment. Criblé contre le mur à cause d'une ange noire qui allait lui faire subir toutes choses, Jolene se disait intérieurement que rien n'allait survivre en Erestia si personne ne venait à leur rencontre pour les aider. Personne ne résisterait à une attaque d'une telle puissance, pas meme les civils... sauf si...
" tu transmettras mes amitiés à Pierrot de ma part!"
Sa magie était annihilée, sa souffrance loin d'être tolérable, elle en divaguait et le poison qui coulait lentement à l'instar de ses veines la ralentissait. Comment avait elle pu donner l'evenstar à la pire personne qui soit? Un menteur égoïste, un con, un salaud! Sa main droite ne tenant pas la lame qui traversait son épaule attrapa la main de l'ange noire tout comme elle, sauf qu'elle ne transmit pas de magie, qu'elle n'en fit rien mise à part sortir ses crocs luisants et ... La veine jugulaire de l'ange noire fut mordue su le champs, pas de cris, juste un long ricanement, mais que cela pouvait il signifier? La cormyr n'avalait rien, elle mordait à plein crocs, laissant le liquide vitale s'échapper petit à petit de cette gorge empoisonnée.
[nuit]
Aucune des deux combattantes ne mourraient, l'une mordante tel une sangsue, et l'autre plus sociable, l'empoignant fortement.
"- tu .. devrais revoir la conception des choses.... traitresse!"
Les yeux de la cormyr s'éteignaient petit à petit, comme si une puissante dose de morphine lui était promise. Elle ne quqitta pas la gorge mais s'effondra sur le sol, entrainant avec elle le corps de cette fichue ange noire.
" tu le sais... la mort est douce et clémente... laisses toi faire... c'est bien... c'est ça, lâche... lâche donc...."
Les crocs se serrèrent dans la nuit mais continuaient de luire dangereusement. La lame fut extraite de son épaule et remise tel quelle, Shalina poussa ses yeux sur le ciel étoilé et dégagea d'elle meme la Cormyr avec ses mains douces, laissant la plaie béante se creuser au lieu ou la morsure avait été faite. En vacillant elle prit une lotion se situant dans une poche proche se sa poitrine et l'applicait sur la plaie: comme si de rien n'était.
" je passerais le bonjour à Pierre et embrasserait Arcania et Valiane de ta part. Meurt bien, meurt vite, chienne!"
En ricanant elle tourna le dos à sa principale ennemie avant de rejoindre pestemment Arcania. Sans son bain de sang bleu Jolene bouillonnait, elle n'avait rien pu faire et avait été comme paralysée face à ce serpent. Son sang continuait de couler à une vitesse stupéfiante. Elle porta sa main à son épaule et descendit jusqu'à son flan, les yeux clos, elle ne toussait pas mais une légère nausée ne lui permettait pas de se lever pour le moment.
Spoiler:
alors, jsuis K-O pour le moment. Faites ce que bon vous semble, au besoin, Mp
Arcania D.Cysique Harmonien
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Sujet: Re: Erestia en guerre [Terminé] Mar 12 Avr - 13:42
<< On dit que si le ciel est rouge, c'est pour rendre hommage aux morts de la veille. Si demain il l'est, ce sera a cause de nous. >>
La lame du jeune prophète était à ce moment même, écrasée contre celle de son assaillant, cet homme qui s'était caché depuis si longtemps. Certes, en rapport à Arcania, cet homme ne valait pas plus qu'une vulgaire crevette, et il en viendrait facilement à bout, mais il était tout de même à travers tout Erestia la seconde personne la plus puissante. Et juste pour cela, il méritait que l'épéiste d'Equilios le respecte, ce qu'il ferait sans le moindre soucis. Son regard d'émeraude plongé dans celui de son adversaire, il lui souriait tout en posant fermement sa seconde main sur la garde de son sabre magique. Y mettant le plus de force possible, il parvint sans difficulté à repousser cet homme en armure, et lentement, tout autour de sa main, se créait de légers filets de foudre, qui commençaient petit à petit à remonter sur son bras jusqu'à son épaule, donnant cette impression de puissance. Il n'avait aucune idée des pouvoirs que pouvait bien maitriser son opposant, et à moins qu'il ne possède le même don que lui pour l'égide, il n'avait aucune crainte à avoir. Les quelques heureux élus à posséder ce pouvoir, cette bénédiction pouvaient se montrer fier d'être dans ces quelques exceptions, car au moins, ils pouvaient sans aucun problème mettre leurs adversaires plus bas que terre en les privant de toute leur magie. Oui mais voilà, ce qu'ignorait cet allié des déchus, c'était que celui qui se tenait à moins de trois mètres de lui était l'un de ces heureux détenteur de l'égide. Les choses se compliqueraient si ce dernier venait à en user avant lui, mais ignorant qu'il était l'un des rares possesseurs de ce don, il ne prenait pas de réelles précautions face à cela. Crachant sur le coté, un fin filet de son sang noble, il levait sa lame vers le haut, l'abaissant à pleine vitesse, contrée une nouvelle fois par son adversaire qui le repoussait avec force grâce à son bouclier bien ancré dans la paume de sa main gauche. Prit par surprise de cette contre attaque étrange, il fut déséquilibré et tomba à la renverse en reculant d'une dizaine de pas. Dos au sol, il évita de justesse a pointe de l'épée de son adversaire qui se plantait dans le sol en roulant sur le coté. Il avait en face de lui quelqu'un de malin et de rapide, il ne devait pas baisser sa garde juste parce qu'il était magicalement inférieur à son niveau à lui. Il se relevait rapidement, reprenant une position plus neutre, alliant les possibilités défensives et offensives à la perfection. Il ne devait pas se laisser avoir, ce combat était le sien, la victoire était proche. Il était le dernier capable de se dresser encore face à lui, sa tête, il la perdrait s'il ne fuyait pas devant le prophète, cet ennemi des créateurs.
Il fixait à nouveau cet adversaire qui extirpait du sol sa lame vengeresse. Aucun des deux n'émettaient de bruits, aucun des deux combattants n'adressait une parole à l'autre, rien ne se passait, c'était comme s'ils gardaient ce silence mortuaire en vue de la mort de l'un d'entre eux. L'humain, frappant du poing dans le vide, déchargea toute la foudre emmagasinée dans son bras, qui partit rapidement en direction de son adversaire. Ce dernier, d'un saut sur le coté était parvenu à l'esquiver malgré la rapidité de l'attaque. Le filet de foudre très concentré, partit s'écraser contre le mur d'une autre bâtisse, qui dans un éclat énorme explosa, envoyant les débris voler partout sur la zone de combat. Fonçant les sourcils, le prophète plongea à nouveau en avant sur son opposant, abattant sa lame meurtrière sur cet Erestien courageux. Le choc des deux lames se fit violent, les deux guerriers montrant les premiers signes de fatigue alors que le combat venait à peine de commencer. Tout autour du prophète, une sorte de cercle bleu se mit à se dessiner, en réaction, un autre cercle de même couleur se créa tout autour du guerrier en armure. Le choc des deux cercles se fit lui aussi puissant, une légère explosion magique éjectant les deux combattants se créa, et tout autour des deux protagonistes, une immense étendue bleutée s'était dessinée. Chacun avait utilisé l'égide au même moment, tout deux stupéfait, ils tentaient d'utiliser leurs pouvoirs respectifs, aucun de fonctionnait. Ils étaient désormais à armes égales, obligés de combattre uniquement par la force du fer et du mental. Un nouveau défi pour tous les deux, qui devrait jusqu'à l'apogée de leur puissance combattre sans jamais faillir sous peine de perdre la vie. Comme dans les arènes, les gladiateurs allaient s'affronter sans peur, sans laisser de répit à l'ennemi, pour le vaincre en déversant son sang sur le sol déjà bien imprégné de ce liquide vital qui permettait à l'homme de vivre. D'un geste vif sur le coté, l'homme en armure éjecta son bouclier pour ne plus combattre que lame à lame avec le prophète qui gardait son sourire au coin des lèvres. Son opposant était un adversaire de valeur, comme on en faisait plus nombreux à travers les trois mondes. S'il gagnait, peut être lui épargnerait il la vie, en récompense de sa valeur et de son courage qui semblaient sans failles.
Dans un nouvel élan ravageur, les deux guerriers s'élançaient, le choc du fer une nouvelle fois se présentait, mais cette fois-ci, le jeune Arcania avait commit un erreur qui pourrait s'avérer fatale. Oubliant déjà que ses pouvoirs n'étaient plus en fonction à cause de l'égide adverse, il n'avait préparé aucun garde si jamais il ne pouvait pas contrer son opposant, ce qui ne donna lieu qu'à une chose, la lame de son opposant glissa le long de la sienne, les deux puissantes lames se dirigeants vers le visage de l'autre. Celle du prophète passa le long de la joue du guerrier d'Erestia, laissant son sang couler le long de cette dernière, mais Arcania avait moins de chance, en effet, la lame du Lucinien montait vers le ciel, et tranchait en diagonale en plein dans l'oeil droit du jeune homme. Un cri fort, un recul énorme, du sang qui coulait en grande quantité. Il venait d'être touché. C'était dangereux même pour lui de baisser sa garde, il le comprenait maintenant. Il posait sa main gauche sur son oeil, la lueur émeraude de ce dernier disparaissant alors que son sang se répandait dans sa paume. Il voyait ce liquide vital s'évader. Il venait d'offrir un sacrifice pour cette victoire. C'était le prix à payer pour que Pierre voit enfin qu'il était prêt à tout pour venir à bout de ses idéaux. Il hurlait de douleur, de haine. Gardant à une main sa lame magique, il avançait vers son adversaire en titubant. Devant la fureur qu'il laissait évader de lui, devant cet énervement, tout éclata. Le portail positionné derrière lui explosa en mille morceaux noirâtre en laissant une fumée grisâtre se répandre sur la zone entière. Un cri de rage, très grave résonna. Des flammes partirent dans tous les sens, et enfin, l'enfer en personne venait de s'ouvrir devant les yeux de tous. Sa couleur horrible, ses cornes, son envie de détruire. Tout était présent pour rappeler quel était le visage de l'Apocalypse.
Spoiler:
D'un coup de poing dans le vide, des flammes projetèrent l'Erestien en arrière, brulés dans toutes les parties du corps, son armure déjà en lambeaux. La bête commençait ses ravages infernaux. Hurlant à vive voix, il s'adressait à tous ceux qui encore, étaient en vie malgré ses assauts toujours plus nombreux.
- ERESTIEN, JE VOUS LAISSE LA VIE, FUYEZ, LOIN D'ICI. C'EST VOTRE DERNIERE CHANCE.
A ces mots, la plupart des soldats encore vivant, prirent la fuite en direction de l'arrière de la ville, tandis que les flammes commençaient à ravager la ville. Au centre de tout cela, Arcania, avec en face de lui, ce guerrier noble et puissant. Un sourire aux lèvres, il s'adressa à lui en regardant Jolene, cheffe de la confrérie.
- Fuis, emmène la, votre jour n'est pas encore venu. Notre prochaine rencontre arrivera bientôt.
A ces mots, il souleva Jolene, à moitié morte, à mi-chemin entre les vivants et le monde des enfers. Tout était finit. Tout le monde avait disparu. Tenant son oeil droit, il levait le regard vers le ciel. A vive voix, il hurlait.
- PIERRE, OU ES TU, MA MISSION EST REMPLIT, VIENS DONC ICI, VOIR CES SACRIFICES QUI POUR TOI ONT ETES FAIT.
A ces mots, la bête diabolique disparu, et les hommes de l'armée Déchue qu'il avait rassemblé rangèrent les armes, leur grand chef, Pierre, ne tarderait plus à arriver.
Jolene Ladraël Barnes Lucinienne
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Sujet: Re: Erestia en guerre [Terminé] Sam 16 Avr - 8:38
Nuit.
* Quelques jours à passer en enfer, quelques jours à espérer une victoire dérisoire, inutile. Ô Comme le monde des hommes me parait sombre! Tout n'est que ténèbres et obscurité dans ce long chemin qu'est la vie. *
Elle s'affaisse lentement contre terre trouvant une position plus confortable pour passer ses derniers instants dans un moment moins pénible. La lueur de ses crocs s'éteignent lentement tout comme l'étoile qui la suivait elle se meurt. Son instinct lui avait insufflé dès les débuts de ne pas poursuivre trop longtemps cette guerre, cette querelle qui ne la regardait pas; faute d'avoir encore voulue jouer les héros la voilà maintenant aux portes des ombres avec pour seul compagnie ce poison qui la dévorait de l'intérieur sans qu'elle ne puisse faire le moindres geste pour le consumer.
Trop faible pour continuer, trop faible pour se relever, elle abandonne la vie lâchement. Ses yeux empoisonnés et cernés s'éteignent, elle cligne lentement des yeux telle une droguée pour distinguer les corps frêles autours d'elle en prenant un air ahuris, sur ses conquantes soldats il n'en restait qu'une vingtaine, c'était déjà pas mal... Sauf s'il on considérait qu'ils fuyaient le combat et se dirigeaient vers les limbes de la ville a la recherche d'une sortie afin de s'échapper à cette bataille infernale. Quelques hommes tiennent le front encore... et Amico? Il semblerait qu'il ait également battu en retraite; ses cavaliers fonce vers le fond de la ville sauvant les derniers civils: tout est finit ils ont perdus.
Un sang grisâtre s'écoule lentement de sa bouche divine elle n'ose pas même enlever cette gêne de sa main, elle est vide de vie et d'envie. Qu'avait elle pu peser en s'acharnant de la sorte? Dès la vue de cette porte menant aux inferis elle aurait du battre en retraite. La folle cracha son sang, lui brulant la gorge et l'étouffait de par son épaisseur. Elle n'avait pas même assez de vitalité pour se transformer, l'énergie magique ça elle en avait à bloc mais inutile dans de tel circonstances. Alors elle regarde en silence, admire les lames qui s'entrechoquent une dernière fois devant ses yeux humide, écoute le bruit des sanglots et de rage, elle tente de se pencher en avant pour tenter d'entre apperçevoir dans le flou d'un songe maléfique le magnifique Arcania, les bruissements qu'elle entend et les ondes dans la terre indique que ce dernier est encore vivant, blessé mais vivant.
Elle sent également qu'il a prit un certain poids sur l'espace de quelques secondes, rugissant tel un ours devant sa tanière, il n'a plus rien d'humain et pourtant elle sent encore le palpitant battre encore et encore le même rythme d'une douce symphonie. Elle a oublié et oublie encore, Les noms se confondent mais les images restent présente; Elle se porte trop en avant et tombe au sol lentement tant son corps est fatigué par la pression de poison exercé en son sang. Ses ailes frémissent une dernière fois, soulevés par la poussière environnante, elle tousse encore une longue fois, vomit son liquide vitale grisatre sans prendre la peine de fermer les yeux, il lui faut garder un minimum d'énergie pour le voir.
Sa bouche a semie ouverte, comme une bête de somme couchée sur le flan agonisante, elle respire bruyamment puis ferme ses yeux, l'énorme créature devant ses yeux rugit férocement. A ce moment, le seul regret qu'elle a est celui de n'avoir pu touver or pour se mener d'elle même à un suicide salvateur ou elle aurait retrouvé sa forme ancestrale. Elle déglutit avant de resserrer ses crocs, personne n'aime perdre mais est-ce pour autant que l'on doit détester son prochain? une bataille est une chose cruelle en elle même dont tuer en est la règle essentiel afin d'arriver a la victoire. Retrouver sa forme céleste n'aurait fait qu'engendrer mort et désespoir; cela n'aurait pas été juste d'autant plus qu'il n'y avait pas eu d'esprits, seulement des humains et des créatures toute aussi facile à tuer.
* quatre milles années ... pour... tourner autours d'une même chose... ... je ne ...vaut pas mieux... Qu'eux finalement...*
La lueur de ses yeux s'estompe progressivement, son corps s'affaisse de droite à gauche, il se durcit et son coeur saignant ne bat que très rarement, elle est arrivé dans une phase d'inconscience; tout ce qu'elle voit et entend ne fait plus partit de la réalité, seul ses mains encore chaude de "vie" sentent les autres palpitants vivre et les déplacements de faire. Elle n'est plus qu'une vulgaire peluche de plusieurs kilos, une roche dont il faut se débarasser. Malgré tout elle sent la terre quitter ses blanche mains avec une douceur désespérée, tout cela ne sera plus que néant. Elle n'entend plus énormément de choses, pas même le nom qu'on lui donne, elle fait pourtant un effort, tente de bouger ses yeux et sa bouche; ses ailes rouge immenses trainent dans la poussière, elle ne sent plus Arcania, elle ne sent plus les monstres... ni même le monde des hommes qui l'entours.
L'homme qui la porte sent le poids de l'ange qu'il porte, il sent qu'elle est partie, elle s'alourdie de plus en plus et l'enpiètre dans sa fuite. Il observe encore son ennemi de dos, il avait gagné un duel mais cela ne lui suffisait pas, il lui fallait plus! Les Hommes sont avide de victoire, ils sont orgueilleux et fourbe, il attend d'être suffisamment loin de la porte d'Erestia pour poser le corps de l'ange rouge a terre, livide, blafarde mais toujours resplendissante. Il ne cherche pas à la couvrir ni a l'enterrer, il l'abandonne là et continue sa fuite vers Soleriès. Même les plus grand héros ont leur moment de faiblesse, leur défauts et leur propre éducation, il n'y a pas de "bon" Héros, seulement des personnes normale dont le courage et l'expérience surpasse cette normalité.
La carcasse semble attendre étrangement, les corbeaux fuient sa blancheur comme si elle était porteuse de maléfice, les loups sentent et s'en vont, la vie et l'espoir couleraient ils encore en elle?
Pierre Chrisme
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Sujet: Re: Erestia en guerre [Terminé] Dim 8 Mai - 8:33
Les cris de la foule, la charge de la cavalerie et de l’infanterie, les fracas des armes, le sang, la mort. Pierre ressentait au fond de lui une immense fierté pour cette œuvre, c’était le signe que la guerre avait encore quelques droits sur les cœurs des mortels. Dans sa salle de vision, il observait l’armée d’Arcania triompher de tout ses ennemis, renverser cette citée qui se mettait en travers de son chemin, Lucina allait sombrer dans l’angoisse et la peur. Le déchu affichait un sourire ravis, ses yeux luisaient au dessus du globe qui lui servait d’œil à travers les mondes. Sa victoire était proche, il le savait, bientôt, il pourrait récupérer ce qu’il lui manquait de divinité. Le déchu créa un portail qui se matérialisa devant Arcania, il le traversa, et tous ressentirent une vague de respect les envahir, d’un geste, il força les soldats à se mettre à genoux face à lui, ses yeux vairons fixèrent Arcania d’un air amusé. Le corps de Jolene gisait là, quelque part, son affront été vengé. Son épée se matérialisa dans sa main et se plaça sur l’épaule d’Arcania, puis sur l’autre et enfin sur sa tête, brillant d’un éclat surnaturel, envoutant. Il s’éleva dans les airs grâce à deux immenses ailes.
-Aujourd’hui est un jour de gloire! Vous avez triomphé de Lucina. Mais ne sombrez pas encore dans les excès d’après victoire. Car la campagne ne fait que commencer. ARCANIA! PAR MES POUVOIRS DE DECHU JE TE NOMME GENERAL DES ARMEES DANS LE CADRE DE LA CAMPAGNE DE LUCINA! TU SERA SOUS MON COMMANDEMENT ET SOUS CELUI DE VALIANE SYTRIS DE TREHLNOR MON ELUE! EN CETTE OCCASION JE T’ACCORDERAIT UN SOUHAIT TANT QU’IL M’EST POSSIBLE DE L’ACCOMPLIR! PARLE!
Le déchu se posa au sol, ses ailes disparaissant au fur et à mesure de la descente, toute l’armée avait entendue le discours du déchu sans que celui-ci ne doivent parler, sa voix résonnant dans leurs esprits.
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