Guerre d'auberge! [Terminé!!!]

"Hey toi! Oui toi le laiderons avec la toge noire! Ta tête me reviens tu sais! T'a violer ma femme enfant de chienne!"

Le vieil ivrogne s'avança vers Aodhàn, celui-ci bien trop plongé dans ces calepins pour remarquer l'attroupement de vétérans et de saoulons qui s'approchait de lui discrètement. Lorsqu'un des hommes lança une chaise, avec son propriétaire assis dessus, par la fenêtre, le jeune homme leva les yeux vers les hommes. Ceux-ci avaient dégainer leurs gourdins et regardaient le pauvre Aodhàn avec leurs regards noirs. Il détourna les yeux pour apercevoir l'aubergiste se cacher en dessous de son comptoir et les autres visiteurs sortir par les fenêtres en courant. L'umbrien retourna ses yeux vers les quelques ivrognes prêt à lui détruire la tête et le regardât d'un air peu impressionné.

"Plait-il?"

"Qe...Queoi? Bah peu importe! T'a violer ma femme *hic* je vais te le faire payer!"

"Heum... Écoute mon vieux, j'ai pas violé ta femme et je ne veux pas me battre, alors retourne t'asseoir et laisser les gens tranquilles."

"J'en ai rien à foutre des autres moi! Tout ce que je veux c'est que tu payes pour ce que tu a fais à ma femme!"

Un autre homme se leva de sa table et alla en direction du leader des saoulons, il posa sa main sur les épaules du grand gaillard et dit à voix basse.

"Je dois te dire quelque chose... T'a jamais eu de femme l'ami... Tout ça c'est l'alcool qui te fait imaginer pleins de trucs..."

"Quoi! J'ai une femme... Elle... Elle... Elle s'appelle... Elle est à... Bah peu importe! je sais que c'est lui qui l'a violer et il va le payer! Maintenant tasse toi de mon chemin!"

L'homme, visiblement très en colère, donna un puissant cou de gourdin dans le ventre du nouvel arrivant qui fut projeté au loin. Il se retourna vers la table où Aodhàn se trouvait, puis il remarquât qu'elle était maintenant vide. Il se retourna plusieurs fois sur lui-même en criant à ses hommes de chercher dans la taverne. Il continua de crier des âneries tout en poussant quiconque se trouvait sur son chemin.

Pendant ce temps, sous le comptoir de l'auberge, se trouvait Aodhàn et l'aubergiste, visiblement très apeuré.

"Bordel... Il est fou ce type...Heurm..."L'umbrien hésita un moment, cherchant quoi dire pour réconforter le pauvre aubergiste. Il fit un petit sourire visiblement très forcé et repris la parole.Ça va aller, on va rester cacher ici un moment le temps que la garde arrive... Dans le cas où il nous trouverait, vous avez une arme ou quelque chose? J'ai laissé la mienne dans ma chambre.

"Oui, il y a une petite dague sous le comptoir de mon côté, sinon j'ai une réserve d'arme au sous-sol, mais la trappe et dans les cuisines et ils risquent de nous remarquer."

Aodhàn pris la dague dans ses mains puis jeta un petit coup d'oeil sur le bouclier poli accroché au mur face à lui. Les quelques ivrognes cherchaient encore dans la taverne, alors que certains étaient monté en haut et d'autre sorti dehors. Heureusement, aucun d'entre eux n'avait eu l'idée de venir voir sous le comptoir... Mais ça ne saurait tarder.

Ma venue dans ce monde, m’interloqua, où étais je … Je me retournai vers cette porte mystérieuse, mais elle n’était plus, est ce que j’étais dans un rêve, est ce que je devenais folle, puis je me rappelais de cette femme, cette demoiselle à la chevelure violette qui étais ce, je ne savais : une oracle, une déesse, peut importe, je me rappelle de ses mots qu’elle m’avait murmuré : « Le passage entre les mondes a été ouvert... Mettant ainsi en péril le trésor de ce monde. Tout habitant, peuple de ce monde a été transféré dans le monde originel qu'est : Harmonia. Toi Nawel Eménlï, du peuple d'Umbra, tu te dois de ramener l'équilibre entre les différents mondes.... Tu peux maintenant passer comme bon te semble à travers chaque peuple... Mais gars aux représailles de ton camp si tu dévies de ton chemin ... » . La légende était donc vraie, ce n’était point des balivernes, cette terre existait réellement, et le combat persistait toujours, les paroles de cette oracle prit tout son sens quand j’aperçu le décor que ce nouveau monde m’offrait. Tout n’était que désastre, je pouvais contempler les aléas de la guerre qui avaient régné, je ne dis mot, je ne savais comment réagir par ce nouveau chemin qu’on ouvrait à moi. Puis mon petit corbeau se posa délicatement sur mon épaule, je le regardai, puis je lui murmurai :

- pourquoi m’avoir emmené ici ?

Il croassa, je savais très bien qu’il ne pouvait pas me répondre, je devais trouver les réponses à mes question moi-même, mais le sentiment qui m’accompagnait de jour et nuit se réveillai : la vengeance, si la légende disait vrai, des gentils étaient présents sur cette terre, donc ma vengeance pouvait enfin avoir lieu. Un sourire machiavélique se dessina sur mes lèvres, j’avais une nouvelle raison de vivre. Je caressai la petite tête de mon compagnon de route, puis je me suis mise en route. Je marchai pendant longtemps, très longtemps : de plaines lumineuses, aux montagnes vertigineuses, aux jungles tropicales, je passai de décors en décors, parfois somptueux parfois effroyables. De ce périple, j’ai pu m’informer de ces régions dangereuses, et je me dirigeais tout droit vers la capitale de Harmonia. J’avais besoin de voir cette ville, de voir cette fourmilière que tout le monde parle, et que beaucoup fuient.

J’entrai lentement dans cette capitale, les regards se portèrent sur tout et rien, personne ne se regardait, ne se jaugeait, nous étions des millions, pourtant tous étrangers des uns des autres. Je me dirigeai directement vers une auberge, la route avait été longue, et boire une chope de bière bien fraiche me ferait le plus grand bien. Quand j’entrai dans ce lieu, le calme n’était pas la première impression que donnait cet endroit, plutôt le chao.

Un soulard était en pleine crise, tapant sur tout ce qu’il bougeait, criant, hurlant, c’était un vrai bazar. Une chaise vola vers moi, j’eus juste le temps de me baisser pour ne pas me la recevoir en pleine tête. Je me précipitai vers le comptoir, mais l’ivrogne me remarqua :

Vous là à l’aile noir, tu es un jolie brin de fille… il s’avança vers moi, son regard était tous sauf amical. Je restai calme, il ne me faisait point peur, même s’il faisait trois fois mon poids et ma taille, je savais qu’il était trop imbibé d’alcool, pour réagir aussi rapidement que moi. En un bref mouvement je pu prendre mon arbalète qui se situait derrière mon dos, et braqua mon arme face au malotru.

- si tu me touches, cette flèche sera la dernière sensation que tu auras mon ton fut glacial.

Mais je n’avais pas pensée aux autres acolytes qui le suivaient, et tous en cœur, en se frottant les mains ils hurlaient :

- en plus elle est tenace … Appétissant !

La mes yeux s’écarquillaient. Aurais-je été trop présomptueuse de croire que je faisais le poids, surement !

(Bianco vas arriver plus tard)

Aodhàn regardait le grand bouclier rond en argent accroché au mur, heureusement, l'aubergiste venait tout juste de le polir et Aodhàn pouvait facilement voir ce qui se passait dans la taverne. Le jeune homme serrât la dague dans sa main et fit signe à l'aubergiste de bien écouter ses directives sans poser de questions, les méchants approchaient du but et ils ne devaient pas se faire repérer.

"Voilà ce qu'on vs faire... Toi tu te dirigse silencieusement vers la réserve et tu rapportes toutes les armes qui pourraient nous être utile. Ensuite tu attends mon signal avant de passer à l'attaque. Quand les autres visiteurs vont voir qu'on se défend... Ils vont peut-être prendre les armes pour nous. Entre temps, moi je vais faire diversion en essayant d'en avoir le plus possible. Tu as bien compris le plan? Parfait, maintenant vas-y!"

Il releva les yeux vers le bouclier et remarquât un petit guerrier approcher vers lui, c'était un petit nain saoul qui trouvait que l'endroit manquait d'action. Malheureusement pour lui, le petit nain s'approchait du comptoir alors que les autres se rassemblaient autour d'une masse noire près de la porte. Le jeune homme grogna et attendit que le nain soit le plus près possible du comptoir. Aodhàn se lança sur le nain en attrapant sa barbe et tirant pour que le nain soit projeté vers lui, il envoya ensuite son poing en plein dans le visage du petit homme en l'envoyant au pays de rêves. Il sourit, un de moins... Plus qu'une dizaine...

Le jeune garçon se leva discrètement, enjambant le nain puis remarquât la raison de tout cet attroupement. Une femme, sûrement la plus belle qu'il n'avait jamais vu, tenait une arbalète et visait l'attroupement d'homme saouls en manque de sexe. Il resta quelques instants, complètement figé par la vision de Nawel puis secoua la tête visiblement confus. Aodhàn se passa la main dans le visage et retourna son regard vers la jeune ange, il avait presque un peu de bave sur le côté de la bouche. Il clignât des yeux quelques fois pour reprendre ses esprits puis réfléchit pendant quelques secondes.

"Merde... Mais qu'est-ce qui m'arrive... C'est bien la première fois que je fais ça en apercevant une femme... Il va falloir que j'aille chez le guérisseur, ce n'est surement pas normal ce qui m'arrive. Bon ressaisit toi Aodhàn... Allez il ne faut pas oublier le plan. Mais j'y pense! Elle va se faire tuer la fille! Il faudrait que je le sauve... Peut-être.*

Il secoua à nouveau la tête et leva sa dague en criant des bêtises aux hommes qui menaçaient la femme de ses rêves. Il pointa le petit bout de métal qu'il tenait dans ses mains et fixa les hommes de regard noir, encore plu noir qu'à son habitude.

"Lâchez là! Même si je n'ai rien fait, c'est moi que vous voulez! Je vous avertis, si jamais vous touchez à un seul cheveux de la belle 'inconnue qui est là, je vous égorge tous et je vous fais manger vos tripes!"

Bon d'accord s'en était peut-être un peu trop, mais son discours avait fait son effet, le chef des ivrognes se mit à rire comme un fou et fixa le petit héros d'un jour dans les yeux avec un sourire sadique. Il fit signe à un gros balourd de surveiller Nawel et il se dirigeât vers Aodhàn, suivi des autres ivrognes qui le voulait mort. Le jeune garçon aval sa salive et se prépara à se défendre, il devait faire durer le combat le temps que l'aubergiste puisse revenir avec les armes et tous les sauver... D'ailleurs, il était où ce maudit aubergiste? Il tourna délicatement la tête et regardât dans le bouclier poli, le nain avait suivi l'aubergiste! Il avait un petit problème.. Mais un plus gros avait remarquât l'avantage qui venait d'avoir quand le jeune homme tourna la tête et prépara un puissant coup de gourdin se dirigeant vers la tête d'Aodhàn. Il laissa s'échapper un gros jurons et évita de justesse le coup de gourdin, heureusement que l'alcool avait ralentit ses mouvements sinon l'Umbiren serait mort.

Mais dans quelle galère je m’étais fourrée, ce n’était vraiment pas mon jour, et pas le bon lieu. Je devais prendre la seule auberge où il y avait une bagarre et pas la moindre. Je ne comprenais pas pourquoi les hommes avaient autant d’animosités entre eux, pourquoi toujours utiliser les poings, pourquoi autant de violences, le monde est t’il si triste pour que la brutalité et la méchanceté soit les deux premiers arguments indispensables d’une rencontre. J’avais l’impression de regarder cette scène et non pas la vivre, j’étais une spectatrice de cette débâcle inutile et futile. Mais je savais que j’étais en danger, je savais que j’avais été aussi actrice de cette scène, je mettais même ma vie en péril. Mais qu’avais je à perdre, ma vie n’avait pas beaucoup de valeur à mes yeux … Mourir ou vivre n’avait pas grande importance, mais la faisait de perdre mes jours, ne devait pas être du à une vulgaire histoire de bar, quelle médiocrité de finir ses jours comme ceci, quelle stupidité. J’avais un certain honneur, peut être une touche d’orgueil je veux bien le concéder. Je n’allais pas finir comme ça, je n’avais pas décidé, au décide tout le temps les choix de nôtres existences à nous de choisir comment elle devra finir, à nous de choisir où et comment on voudrait partir, vous pensez surement qu’on ne le choisit que très rarement, mais détrompez vous, la mort est un choix, certes les accidents, les attentats nous les prévoyons pas, mais qui a fait le choix d’être à cet endroit à ce moment : vous !

Je ne tremble pas, je n’ai pas peur de ces quelques ivrognes dénués de toute intelligence, je sais que par n’importe quel moyen je m’en sortirais. Le miracle, mon espérance fut vite son apparition, lui, cet homme. Ce qui me fit tomber dans la contemplation chez cet être, ce sont ses yeux, et quels yeux, magnifiques, énigmatiques, et mystérieux. D’un bleu envoutant et déroutant, je ne vous parle pas de ces bleus fades et sans contraste, mais bien de ceux qui nous plonge dans les méandres de cet être, il n’avait rien physiquement de transcendant, mais il avait ce regard, et qui lui donnait une beauté indéfinissable : peut être de la noirceur, peut être de l’arrogance, et surement un soupçon de fragilité. Pendant cette observation, je pensais que le temps s’était arrêté, les secondes devenaient longue, les aiguilles de l’horloge temporelle sortaient telle stoppaient ?! Mais non, j’ai vu le jeune homme partir au loin dans le décor, il voulait prendre ma défendre, j’avais causé ses blessures, une certaine culpabilisation m’envahie, mais ce qui me submergea était un tout autre sentiment : la colère.

En effet, il ne fallait point me mettre dans un état de fureur, je me jeta sur le gros plein de soupe, et je mis mes mains sur son visage, et par jouissance, je pouvais sentir l’énergie de cet être disparaitre, il devenait faible, et incompétent pour faire quoi que ce soit. Le gros lard s’écroula par terre, et j’attrapai une des mes flèches et sans réfléchir, je l’envoyai en plein cœur. Le souffle coupait, une dernière onde vie l’anima, puis plus rien, il n’était que corps sans vie, sans âme, plus rien … Je me tournai alors vers le leader de cette mascarade, puis sans réfléchir je lui crachai ces mots :

- Laisses-le ! Sinon je réserve le même sort pour toi !

L’homme pâlit puis sourit à nouveau sur l’insolence que je représentais, il laissa le jeune homme à terre, et dit avec fureur :

- on n’est jamais mieux servi que par soi même, tu vas voir ma mignonne ce que tu vas subir…

J’attendis qui délaisse le guerrier à terre, pour déployer mes ailes, et survoler la salle, heureusement que le plafond était haut, en quelques secondes, et quelques battement d’ailes, j’étais face à mon sauveur. L’ivrogne ne comprit pas tout de suite, que j’étais plus en face de lui mais derrière, peut être que l’effet de l’alcool ralentissait son cheminement de pensée, ou alors il était habituellement retardé.
Je me penchai sur l’homme aux yeux azurs et en un souffle doux tout en mettant mon regard gris dans les siens, je lui demande :

- ça va aller …

En me préoccupant de cet être je n’avais pas vu que le chef de la bagarre arrivait à grandes enjambées derrière moi. Il ne mit pas longtemps à me prendre par les cheveux et me tirer pour me jeter derrière. J’émis un petit bruit de douleur, mais je ne voulais montrer qu’il me faisait peur, et même mal. Décidément il ne connaissait pas un moment de répits. Qu’allons-nous donc faire ? Est ce que mon compagnon d’infortune aurait une solution ? C’est dans des situations pareilles, qu’on sait si une rencontre sera déterminante pour notre destin… Puis une nouvelle arrivée, une nouvelle venu qui était t’elle, une sauveuse elle aussi qu’allait t’elle faire !?

HJ : J'avais créé mon rp avant que je vois que tu avais posté red, donc j'ai ajouté quelques lignes de ta venue, donc cela ne vous dérange pas que ce qu'il se passe dans ce rp, arrive avant la venu de Red, si cela vous ennuis dites le moi

(Pourquoi tout le monde tripent sur mes yeux :x )

Cette histoire devrait être retranscrite sous le nom de "Comment faire le con avec des Saoulons", non mais c'est vrai! Un Ange, un idiot qui ne sait pas se battre et une folle avec des tartes! De quoi faire un télé-roman. Il serait bien de décrire la scène selon les yeux d'Aodhàn non? En premier lieu, alors que le jeune homme avait évité de justesse un gros coup de massue de la part d'un alcoolique complètement chaud, la tartewoman entrai dans la cuisine pour en ressortir avec plusieurs tartes. Elle s'occupa de l'idiot qui essayait tant bien que mal d'attaquer notre pauvre Umbrien en lui envoyant une tarte en plein visage, ce qui donna un peu faim à Aodhàn, mais trop peu pour l'empêcher de se battre. Il se retourna quelques secondes pour voir sa sauveuse et remarquât l'étrange comportement de cette fille. Comment pouvait-elle s'asseoir et attendre alors que des ivrognes s'attaquaient à tout ce qui bouge dans cette auberge? Au moins elle avait mis K.O. deux des types qui en voulaient à Aodhàn, mais ça ne suffirait pas à les sauver.

Tournons nous maintenant vers la belle Ange. Qu'elle puissance! Elle avait fait littéralement sortir l'énergie de cet être sans importance et il devint rapidement blême jusqu'à tomber par terre. Ce fut très loin de ce que notre Umbrien était capable de faire avec ses boules d'ombres. Mais que dire de ce qui s'était passé quelques secondes avant que le jeune homme contemple la puissance de son âme soeur, il s'était avancé vers la belle ange, lançant une boule d'ombre au hasard sur l'ivrogne qui se battait avec une chaise à côté de lui et continua son chemin. Malheureusement, sa course fut interrompue par un autre saoulons qui avait décidé de lui envoyer une table par la tête. Bien-sûr, le coup-de-foudre avait sûrement baissé sa réaction à la douleur, mais la belle table en bois ancien l'avait quand même envoyé valser quelques mètres plus loin. Vous savez ces magnifiques tables rondes d'auberge en érables ternies par les tempes et l'ouvrage? Et bien laissez-moi vous décrire ces tables .

Tout commence avec un érable d'au moins vingt ans, on le coupe soigneusement en faisant soin de ne casser aucunes branches et on l'apporte à la scierie. Rendu dans ce bâtiment, le billot de bois est coupé en grandes planches et ces planches sont ensuite vernies à la main. Ce bois est ensuite raccordé par des morceaux de métal au-dessous et le tout est coupé à la main pour donner une forme ovale. Bien-sûr ce travail manuel donne un résultat unique souvent très prisé par les aubergistes de ce monde. Vient ensuite les pattes, coupés à partir du haut de l'arbre utilisé pour la table, ces pattes sont coupés, sablés et ensuite travaillé à l'huile de lin et avec une lime, donnant un résultat magnifique. Ensuite... Quoi? Je m'avance trop sur ce sujet idiot? peut-être que tu devrais prendre en compte que je vole actuellement vers un mur et que j'ai pris une table en plein ventre! TU Y A PENSÉ À ÇA! heum... Oui... reprenons.

L'ange volait vers Aodhàn, attendez... Elle vole? Et ben... Drôle de pouvoir, mais logique de la part d'un ange. Enfin bref, il la regardât redescendre vers lui tout en souriant, bavant et saignant bêtement. Étant presque en train de se noyer dans son sang, l'Umbrien ne pus vraiment répondre aux avances de sa belle et sourit en laissant s'échapper quelques balbutiements incompréhensible. Il sourit à nouveau et regardât sa vengeresse se faire attraper par les cheveux, il voulait la violer, ça ne se passera pas comme ça! Aodhàn secoua sa tête et se leva difficilement en grognant au travers du sang qui coulait dans sa bouche et il se lança sur la ceinture du pervers. Il tira de toutes ses forces et essayant de la faire lâcher son âme soeur.

Mais c'est que ... C'est superbement bon le grog qu'elle boit ! Ce truc sa vous revigore en moins de deux, sa vous réchauffe la gorge et vous ampli d'un goût délicieux, tout en vous calant l'estomac ! C'est tout bonnement magnifique ! Il faudrait en boire matin, midi, et soir ! Enfin .. En fait ... peut-être ... "Hic" .. Ha ben non, sa c'est sur c'est beaucoup moins chic ! Hoquetant, Red se leva, avant de pencher sa tête en arrière pour descendre le fond du verre. Remuant sa tête, le fil de ces cheveux se détachas, et toute sa chevelure parti en cacahuètes ... Oh et puis zut, elle étais en pyjama, avec des cernes sous les yeux, mais son teint naturel et ces yeux toujours aussi cyans faisait tout de même d'elle une très belle femme. Plissant les yeux pour vérifier la situation d'la bataille, elle écarquilla soudain les yeux avant de se laisser volontairement tomber au sol. Le socle d'un tabouret venait de frôler l'endroit ou elle se trouvait à l'instant, sauf que la, elle avait bobo. Certes, un peu agile et endurci par des années à trimbaler un énorme marteau, elle avait amorti sa chute avec ces mains. Mais bon, qui dit bagarre de bar, dit bouteilles volantes, dit morceaux de verres brisés, et dit donc ... Ben, morceaux de verre dans la peau ! Elle avait mit la main gauche sur un gros morceau de verre, et saignait. Soupirant, elle se releva, et examinas la situation : Le jeune homme avec des superbes yeux cyans, et l'ange étaient acculés au fond de la salle ... Aucun équilibre, il y avait des bagarres individuelles, un type qui fracassait les côtes d'un autre avec une cuisse de poulet, un autre qui avait la bouche grande ouverte sous un tonneau de bière éventré qu'il tenait bras tendus. Qu'est ce que c'était que ce bruit ? Un tintement ... Des armes ?! Non, pas question, la c'était juste une bagarre de bar, il faut pas que ça vire au massacre sanglant ! Voyant une pile d'armes dépasser d'une trappe dans le sol, Red attrapa la dernière des tartes posées sur le comptoir, et la lança dans sa direction. Le grand boum qui se fit entendre signifiait qu'il avait chuté, restait juste à vérifier qu'il allait bien. Y jetant un coup d'œil, elle vit que ce dernier étais sonné, mais pas de sang, donc pas de mal. Refermant la trappe, elle y fit tomber dessus une table, et y empila des tonneaux, ça, c'est fait !

Souriant, elle trifouilla un peu ces cheveux pour tenter d'y mettre un peu d'ordre, rien à faire, sa faisait comme une grande cascade flamboyante et lumineuse, c'était pas vraiment elle , sa fait trop sensuel en fait. Retournant dans le lieu principal, elle avait l'air surement d'un ours mal léchée, mais c'était pas grave, elle devait faire quelque chose pour rétablir un équilibre précoce, la, ils avaient tous envie de violer l'ange, un fantasme, probablement, mais bon, elle devait se battre, mais dans un beau 2 vs 2, enfin 1,5 Vs 2, le garçon étant trop déconcentré par les envoutement de l'ange pour vraiment se concentrer. Chopant une bouteille d'alcool dont les vapeurs faisait penser qu'il était très, très chaud, elle arracha un bout du tissu du rideau, avant de l'enduire d'alcool, et le fourra dans le goulot de la bouteille. Marchant un peu, elle maugréa contre sa main qui lui rappelait qu'elle étais bel et bien ensanglantée, avant de voir surgir, d'en haut un énième ivrogne, une sorte de cigare à la bouche.

Hé mon pote, t'as pas du feu ?

Ne prêtant pas vraiment attention a ces propos, qui devait être un truc style : " Viens la ma poupée que j'te chauffe ". - Enfin, elle avait vaguement lu sur ces lèvres entre deux rots, et deux hoquètements de sa part. - Ce dernier dévala l'escalier à toute vitesse, tandis qu'elle, de son côté, fonçait sur lui également. Courbant l'échine, elle passa sa tête ainsi que ces deux bras - Prêtant attention a la bouteille -, avant de saisir les cuisses induites d'alcool de l'homme, et basculer en arrière. Pendant un court instant, elle se retrouva suspendue en l'air, emportée grâce au centre de gravité de l'homme. Ce dernier tomba au sol, sur le premier des ivrognes qu'elle avait fait tomber, tandis qu'elle rattrapait au vol la bouteille. Saisissant son cigare dans sa main ensanglantée, elle se dressa sur le bar, aboyant de sa voix claire :

Mon boulot c'est de faire respecter l'équilibre, si vous vous battez, c'est du 2 contre 2, ou du 1 contre 1, je punirais tout débordement !

S'apprêtant à faire un truc qu'elle détestait faire, Red alluma le molotov, dont le mouchoir prit rapidement feu, et visa le groupe tout entier qui voulait s'en prendre à l'ange et au jeune homme. La bouteille siffla dans les airs , suspendue au-dessus du groupe. Suivie de près par un feu follet d'arcane lancé par Red. De sa main ensanglantée, qu'elle venait de pointer, paume vers l'avant, vers le groupe, de l'arcane s'était immiscé entre le sang, la peau et le verre, et jaillissait à toute vitesse vers la bouteille, qui explosa dans une magnifique déflagration. Les habits imbibés d'alcool des ivrognes prirent feu, et ils s'empressèrent de quitter l'endroit pour se jeter dans un bassin d'eau toute proche. Seulement, ils en restaient encore une demi-douzaine, déterminés à se faire l'ange, et aussi surement notre pauvre Red, qui avait le cliché de la femme en détresse avec sa longue chevelure, même si c'était pas vraiment trop le cas. Quelque chose la dérangea, d'abord, des fourmis dans les jambes, puis un petit mal de tête, une fatigue, elle chancela, secoua la tête, et revint à elle ,c'est bien beau les pouvoirs, mais elle n'aimait pas les utiliser, sa la crevait à la vitesse grand V.

Karas avait pas mal marché à Aquillos et la première chose qui lui venait a l'esprit fut d'aller boire un coup. C'est alors que l'illumination parvint à ses yeux en voyant l' emblème d'une auberge, nommée "La chope en folie" . Commençant déjà à sentir ses papilles s'exitées par le gout de l'alcool, il se dépêcha donc d'entrer dans l'endroit tant convoité. Mais quelle fut sa surprise en passant le sentier de la porte. Tout était sans dessus dessous. Des cadavres d'ivrognes jonchaient le sols, les verres et les bouteilles brisés étaient étalés partout, une sorte de crème par endroits, sans parler du remue ménage qui avait lieu ici. On pouvait difficilement faire plus folle comme choppe ...

Mon boulot c'est de faire respecter l'équilibre, si vous vous battez, c'est du 2 contre 2, ou du 1 contre 1, je punirais tout débordement !

Cette voix féminine attira son attention dans tout cette zizanie. Devant lui non loin de l'escalier qui menait à l'étage se trouvait une humaine à la chevelure rousse. Chevelure qui fit lâcher un sourire au lion, en effet, celle ci criait : « Je viens de me lever !». On ne pouvait pas non plus oublier l'étrange pyjama dont elle était parée, avec des motif pour le moins assez ridicule. Mais à qui chevelure de feu, tempérament de feu. Car exactement à ce moment là, la rouquine enflamma un mouchoir, finissant dans le goulot d'une bouteille pleine, et se mit à lancer le cocktail explosif sur un groupe d'ivrognes en pleine bagarre ! Le verre se brisa créant une grande déflagration qui alla enflammer tous les malheureux à proximité. Karas en écarquilla les yeux sous la violence. Les malheureux enflammés vinrent chercher immédiatement de l'eau pour s 'éteindre.

*Mais elle est complètement folle celle là ?!*

Il la vit un bref instant tituber, ce qui ne manqua pas de faire réagir le lion qui fit un pas en avant. Mais celle ci se redressa en se tenant la tête, ce qui, bien sur, le rassura. Son attention se porta sur l'autre groupe qui faisait maintenant tout le bruit de la salle principale. Ni une ni deux, Karas s'avança vers eux qui semblaient contempler ce qui se passait en leur centre. Lorsqu'il s'approcha de ceux qui observaient, ceux ci se retournèrent, pour finalement lever les yeux et voir le géant homme-lion juste a coté d'eux. Ce qui ne manqua pas de leur faire faire quelques pas en arrière. Karas s'avança encore et vit un pathétique spectacle. Une ange aux ailes noires étaient au sol ses cheveux étaient tenus par un homme et qui avait, notons le, le futal a moitié descendu. Un autre était en train de lui tenir la ceinture. Karas avait du mal à en croire ses yeux, on le lui aurait raconter il n'y aurait pas cru .... Karas prit alors le premier, par le cou , qui par surprise lâcha la chevelure noire de la damoiselle ange. Puis son autre main attrapa par le col l'autre jeune homme aux yeux azurés. Karas regarda les deux hommes surélevés dans les yeux l'un après l'autre. Puis, de sa voix profonde et grave, Karas s'exprima.

« Vous allez m'expliquer se qu'il se passe ici ... »

C'est alors que l'un des 5 autres fêtards derrière sauta sur la table pour venir s'accrocher à la crinière du lion, se qui ne manqua pas de le surprendre. Mais il ne s'arrêta pas là, de toute ses forces; il brisa une bouteille sur le crane faisant lâcher un rugissement à sa victime. Puis un autre vint bondir de l'autre coté, brisant à son tour un verre encore plein d'alcool. Sous ce dernier coup, Karas lâcha ses deux prisonniers et se mit à reculer d'un pas, encore à moitié sonner par cette succession de coups vicieux. Entendant, malgré tout, les trois autres arrivés à leur tour par derrière, il fit un vif mouvement circulaire et de son bras et repoussa les trois soiffards de quelques mètres. Puis alors que les deux sur lui continuaient de le frapper à coup de poings, il s'immobilisa un instant pour rugir un grand coup et d'un geste puissant il choppa le premier sur son épaule gauche par le cou attrapant également le bas de sa mâchoire. D'un mouvement en arc, le laissant un instant en pleine course la tête en bas, il le fracassa sur la table de droite brisant celle ci en deux. De nombreux morceaux de verres sur la table vint accompagner le malheureux le recouvrant en partie.
Puis vint le tour du deuxième, Karas se pencha alors en avant pour l'attraper des deux mains par les cotes, et l'envoya devant lui lui faisant gouter la texture du mur. Sous le choc, le trophée de chasse qui servaient de décoration se mit à tomber sur lui l'envoyait tout droit dans les bras de Morphée.

Libéré de ses agresseurs immédiats, Karas se retourna alors d'un coup pour voir les trois autres surgir sur lui. C'est alors qu'en gonflant rapidement sa poitrine, il lâcha un puissant rugissement qui stoppa net la course des trois compères, les laissant dans le doute. Il firent quelques pas timide en arrière puis se regardèrent. Lisant leur hésitation Karas se calma, et se retourna vers les trois autres inconnus. Il s'essuya un instant le sang du coup sur la tête qu'il venait de recevoir et il s'écria.

« Mais c'est le zouk ici ?! »

A peine eut il fini sa phrase, que les trois profitèrent de l'inattention du géant pour repartir à la charge laissant tout juste le temps à Karas de se retourner et de commenter.

« Mais c'est pas vrai ... ils ne s'arrêteront donc jamais ?! »

Il s'apprêta alors à réceptionner ces trois téméraires

(PS :en espérant ne pas avoir loupé certains éléments de toute cette zizanie XD)

C’était vraiment invraisemblable, tout n’était que zizanie, tout n’était que chaos, et paradoxale. J’avais du mal à suivre tous les événements, tout se passait trop vite, trop de protagonistes, trop de péripéties. De plus j’étais moi-même un peu sonnée, entre celui qui me tirait les cheveux, me balançant vers une façade dur, où je perdis partiellement mon esprit. Ces ivrognes étaient de vrais bêtes, de vrais sauvages, j’étais une simple proie pour ces êtres, ils n’avaient envie qu’une chose de me voir me soumettre d’être à leur merci, par la plus ignoble façon qu’y était possible. J’essayais de me débattre, de mordre, de donner des coups, mais en vain j’étais trop faible, avoir utilisé mon pouvoir était dangereux car après je n’étais plus apte à me battre. Aodhàn essaya tant bien que mal à me libérer, mais il semblait trop blessé pour avoir la force nécessaire à me dégager de ces hommes immondes.

Je me demandais pourquoi ces hommes avaient utilisé une telle violence, pourquoi cette bagarre avait eu lieu, pourquoi étais-je parmi ces êtres, pourquoi avais je franchis cette porte de cette auberge ? Que des questions inutiles car en ce moment précis mon esprit était absorbé par que vais-je faire ? Vivre, survivre ? Lutter, résister ou abandonner. Mais par chance d’autres protagonistes commençaient à faire leur entrée.

Je lançai mon regard face à cette jeune femme qui était toutes en contradictions : elle faisait fragile avec son petit pyjama de petite fille, mais avait une force inimaginable, puis elle était espiègle et intelligente, car en quelques minutes, elle rééquilibra les forces. Je la repérais dans ses mouvements par sa belle chevelure rousse, elle était vive et dynamique, mais elle me paraissait si jeune. J’avais peur pour elle, elle risquait sa vie, mais pourquoi faisait elle cela, elle devrait fuir partir, et oublier cette bagarre, mais non elle était là en train de se battre pour nous, pour elle, pour sa patrie je ne savais pas. En tout cas, son idée de cocktail Molotov était une très bonne idée, dangereuse, mais incroyablement ingénieuse, elle élimina par cette action au moins quelques ivrognes dangereux. Je remarquai cependant qu’elle était blessé, décidément personne ne sortirait indemne de ce lieu.

Puis mon regard se porta sur un nouvel protagoniste, c’était un être je ne serais le décrire, tellement il était incroyable, il avait une tête de lion, une allure d’un félin, il était énigmatique, il dégageait la force, et la puissance. Il faut dire qu’on voyait que très peu souvent une personne avec une tête de lion, ce monde offrait des découvertes plus étonnantes de jours en jours. Et la venu de cet homme agrandissait nos forces, je l’avais bien observé il était en effet puissant, l’homme qui me tenait ma tignasse me lâcha immédiatement, j’avais de nouveau tout mes sens, puis une douleur se dessina, je touchai mon crane, et sans surprise du sang était présent. Ce n’était pas possible, ce n’était vraiment pas le bon jour.

J’essayais de me relever, difficilement, j’étais sur mes jambes, il ne restait plus beaucoup d’ivrognes, certains tentaient de se battre, d’autres avaient fuit, mais l’équilibre était de nouveau présent. Un homme essaya de nouveau à m’agripper, mais j’eu le temps de prendre une bouteille sur le bar, et de la jeter sur le visage de l’assaillant, ce qui le coucha à terre. Un en moins ! Ils étaient plus que cinq, on pouvait y arriver. Nous devons nous rassembler, l’union fait la force. Je me précipitai vers la jeune fille à la chevelure rousse, je voulais savoir si elle allait bien. Je me penchai vers elle, et lui demanda :

Ça va aller ?

Je cherchai après les deux autres protagonistes, est ce qu’ils allaient bien, allons nous pouvoir nous rassembler, pour résister une dernière fois contre ces soulards.

Hj : C'est court je le sais, désolé, mais mon personnage n'avait pas beaucoup de champ d'action

Aodhàn était au bord de la perte de conscience, il n'eut à peine le temps de comprendre ce qui se passait. Tout d'abord, lorsqu'il essayait tant bien que mal, vu son état, de sauver l'ange, l'ivrogne donna quelques coups de jambes sur le jeune homme afin de le faire lâcher prise. Il faut dire que se jeter à la ceinture d'un homme n'était pas une très bonne stratégie pour arrêter un gros ivrogne très poilu, surtout quand celui-ci n'avait pas attaché sa ceinture. Rapidement, Aodhàn se retrouva à être projeté par les coups de pieds de l'ivrogne et ceci eu pour effet de baisser les pantalons de 'idiot qui ne comprenait rien de se qui se passait. Il ne restait plus que quelques minutes de conscience au jeune homme, mais il était encore assez réfléchit pour comprendre l'idiotie que cette fille rousse avait faite. Lancer une boule de feu en plein milieu d'une auberge en BOIS! Dans une ville en BOIS! C'était complètement idiot! Cette fille voulait défendre l'harmonie et l'égalité? Alors pourquoi mettre le feu à sa propre ville? Le jeune homme tentait de comprendre, mais ses pensées furent arrêté par un autre homme, très grand et fort, qui le pris par le collet en disant quelques mots incompréhensible. Enfin, impossible à comprendre pour un homme qui avait la tête en sang. Enfin bref, le gros lion sur deux pattes reçut un ivrogne puis une bouteilles sur la tête et ceci eu pour effet de lui faire lâcher pris sur ces deux otages.

Aodhàn tomba directement sur le derrière et se retrouva dans le noir. Plus que quelques secondes de vie... Bientôt son cerveau se déconnecterait et l'ivrogne prisonnier à côté de lui aurait tôt fait de lui exploser la gueule pour un crime qu'il n'avait pas commis. Tout allait au ralenti autour du jeune homme, son ange bienfaiteur s'était jeté sur la rousse folle, l'homme lion saccageait la salle en essayant d'éviter le feu qui surgissait de partout dans l'auberge et l'aubergiste était bloqué dans son sous-sol... Enfin, était, puisqu'il avait trouvé le moyen de sortir et maintenant il sautait dans l'au8berge avec pleins d'armes en se rendant compte du bordel qu'était devenu son auberge paisible. L'aubergiste attrapa le pauvre Umbrien qui allait de faire tuer par le pieds et le tira jusque dans l'arrière boutique. Il laissa le pauvre garçon inconscient dans la salle et sauta dans son auberge en lançant des épées à ceux qui semblaient se battre de son côté. Pour lui, seul les filles qui essayaient tant bien que mal de survivre était de son côté, alors que l'homme lion et les ivrognes étaient les méchants.

L'aubergiste un peu sonné par les attaque plus tôt posa deux grandes arbalètes sur pieds dessus son comptoir et lança un carreau sur un des ivrognes. Le projectile se planta dans le pied du chef de saoulons et les batailles s'arrêtèrent le temps que les gros type remarquent les arbalètes. L'aubergiste barbu leva la tête et cria de toute ses forces sur les ivrognes. Ceux-ci ouvrirent grand les yeux et certains fuirent face aux armes que l'homme portait sur lui. En tout, il ne restait que trois ivrognes, Karas, Nawel et Red dans L'auberge. Bien-sûr, on ne compte pas Aodhàn qui est en train de se vider de son sang de l'autre côté de l'auberge...

"BON! Ceux qui ne quittent pas mon auberge sur le champs vérons leur beau derrière transpercé d'un carreau. Ensuite, vous devrez venir éteindre le feu que vous avez causé et ramasser les morts. Sinon, je vous promet que la mort sera un meilleur châtiment pour vous..."

(c'est faible... Mais je n'avait pas beaucoup de marge de manœuvre)

Spoiler:

Mais ... Mais .. Esprits ... Créateurs .... Un lion ... Un énoooooooooooooorme lion venait de débarquer dans la pièce, il tenait sur ces deux pattes arrière ... Et même que il causait ! Red n'en avait jamais z'yeuter auparavent ... Peut-être que c'était un de ces gardiens de Lucina, des grands dadets qui vous mettent des uppercut à vous en arracher la mâchoire ... Sa doit être marrant, à affronter. Il rentre, il casse tout, et Red, hein ? On y pense même plus, aux petites rousses en pyjama qui déteste être sortie du lit par un boucan pas possible. Nan mais ces gens, de nos jours, ils se croient tout permis, à piquer les ivrognes des autres, c'est sacré, une bagarre. Titubant quelques secondes, Red s'appuya sur le bord du bar, crispant en sentant le verre s'enfoncer dans sa paume, et faire tomber un peu de sang. Rentrant dans la cuisine, elle saisis l'une des énormes marmites de l'aubergiste, le posant sur le plus vif des feux. Elle versa dedans huile, beurre, matière grasse ... En gros, tout ce qui bouille super vite, elle fabriqua une espèce d'huile visqueuse si chaude qu'elle saurait faire fondre la pierre. Après quelques minutes, elle s'empara d'une grande louche incurvée, et traîna la marmite jusque dans la salle principale, un couvercle pour ne pas se faire ébouillanter par les éclaboussures. Il en restait trois, trois petit bonhomme saouls qui cherchait des problèmes, sa allait être ... chaud. Oh oui, très chaud.

- Chaud devant !

Enlevant le couvercle, Red y plongea la louche, la remplissant à rabord de la sulfureuse huile. La tenant à une main, elle se glissa derrière le premier des ivrognes, tirant de sa main libre le bas de ce dernier, elle versa à l'intérieur le liquide fumant, provoquant bon nombre de hurlement, tandis que, derrière elle, l'aubergiste lançait un rappelle à l'ordre. prise d'un mal de crâne soudain, Red tituba légèrement en arrière, tombant au sol sur les fesses. Une ange noir vint se pencher sur elle.

- J'ai été mieux ...

Se relevant, Red fit quelques pas, reprenant en main la louche,,e elle se resservis, et en projeta sur la tête du second avant qu'il ne s'attaque au lion. Le troisième, lui, écarquilla les yeux et s'enfuya. Red vit alors un homme, apparemment rien à voir avec les ivrognes, dont la tête étais pleine de sang.

- Dit, madame la n'ange, emmène ce bonhomme se faire soigner .....

Dit-elle en pointant Aôdhan, sa tête se mit à toourner, bien qu'elle faisait tout pour avoir l'air bien.

- J'vais .. ranger.

Suite à ce balbutiement, Red traînait un cadavre d'ivrogne derrière elle comme elle l'aurait fait pour une brindille d'un arbre, le balançant dans la fontaine. Aidée par le grand lion, un a un, les ivrognes quittèrent les lieux. Jusqu'à ce qu'elle en ait à peu près fini, elle s'adressa au lieu, remettant ces cheveux en place. Elle se planta vaguement devant lui, avant de lever la tête, ce bonhomme faisait un mètre de plus qu'elle.

- Salut, je m'apelle ... Red....

Et a que vous devinez quoi ? Bam. Par terre, la Red, enfin, par terre, par terre, rattrapée par le lion, peut-on espérer. Sa main gauche laissait s'échapper tellement de sang qu'elle ne pouvait plus tenir éveillée.

Le grand lion était face à ses trois soulards qui semblaient n'avoir toute leur raison et animer d'une volonté bien chaotique. L'emprise de l'alcool pouvait avoir de bien ridicule effet, sur ces humains. Toujours est il qu'ils virent se jeter littéralement sur lui. Plus exaspéré que vraiment inquiété, Karas se défendit avec la force dont il savait faire usage et sa taille lui procurait une allonge non négligeable sur ses assaillants. Il balaya les deux premiers d'un coup latéral de son bras gauche, les faisant heurter les restes des rares meubles tenant encore debout. Le troisième fut stopper net, lorsque le fauve lui attrapa la tête de sa main droite qui l'empoignait totalement par sa proportion de géant.

Lorsqu'il allait lui porter le coup de grâce qui allait lui faire rejoindre les bras de Morphée, une voix hurla à travers la salle.

"BON! Ceux qui ne quittent pas mon auberge sur le champs vérons leur beau derrière transpercé d'un carreau. Ensuite, vous devrez venir éteindre le feu que vous avez causé et ramasser les morts. Sinon, je vous promet que la mort sera un meilleur châtiment pour vous..."

Inutile d'être devin pour savoir qu'il s'agissait du propriétaire de l'auberge, Karas tourna la tête vers lui et à sa grande surprise, celui ci semblait avoir sortit l'artillerie lourde et était résolu à stopper lui aussi tout ce Chaos. Malheureusement pour Karas, sa taille et son aspect, ne le rendait pas particulièrement discret. Il eut droit au regard énervé de l'aubergiste, qui ne se priva pas pour lui lancer quelques carreaux. Ni une ni deux, il se jeta instinctivement sur le coté en lâchant son prisonnier, afin de trouver refuge auprès d'une table cassée sur laquelle il vint voir des pointes la transpercée.

*Ola ! et dire que je n'étais venu que pour boire un petit verre ! *

Karas se mit alors à hurler a son tour

« Hey vous vous trompez de cible aubergiste ! J'étais venu ici pour prendre une chopine par pour en recevoir ! » Sa main couverte de fourrure orangée se découvrit et pointa vers les autres qui semaient la pagaille « c'est sur eux qu'il faut tirer ! Moi je vous aide, ok ? »

Comme réponse il ne put qu'entendre le son des carreaux se projeter vers les autres inconnus qui fuyaient de l'auberge le plus vite qu'ils le pouvaient.. Visiblement ses paroles avaient été comprises. Il sortit alors de sa cachette pour se retrouver face aux trois regards familier de ses « compagnons » prêt à récidiver. Alors qu'il se tenait à les réceptionner, la jeune femme à la chevelure rousse et accessoirement vêtu d'une tenue des plus particulière, arriva a la rescousse du lion en projetant un liquide brulant sur l'un de ces hommes qui s'écroula par terre en hurlant. Cependant la rouquine sembla perdre elle aussi perdre pied tombant au près de l'angelle que Karas avait sauver quelques temps plus tôt. L'acte avait stoppé les deux autres en retenant leur attention. Mais la belle inconnue ne s'arrêta pas la et se releva pour jeter de ce fameux liquide sur le visage de l'autre. Le troisième assez terrorisé commença a s'enfuir. Mais il avait fait eut suffisamment d'inattention pour oublier Karas, qui lui donna un bon coup de poing al a mâchoire le tituber dans de petits pas, pour finalement tomber dans les pommes. Il était surement le plus chanceux des trois ...

Les choses s'étaient calmées. Ils étaient quatre encore debout, ou plus ou moins. La rouquine, l'angelle et un autre a moitié conscient, un jeune homme à la crinière noire et aux yeux clairs. La femme en pyjama dit à l'autre d'emmener le blessé, pour finalement revenir vers Karas. Faisant un signe d'au revoir aux deux autres, tous deux aidèrent l'aubergiste a vider l'auberge des soulards qui jonchaient le sol. Les trainant trois par trois à chaque bras, il ne fallut pas longtemps pour lui de vider l'auberge. Alors qu'il revenait de dehors, d'où il y avait déposé les perturbateurs, la jeune femme se posa devant lui afin de se présenter sous le nom pimenté de Red. Mais à peine eut elle fini sa phrase, qu'elle commença a tomber en arrière, rattraper instinctivement par Karas en posant sa main dans dos.

« Ohla attention ! Mademoiselle ... Mademoiselle ? »

Elle avait du sang qui coulait le long de son bras et semblait ainsi plus toucher qu'il ne semblait au départ. Il enferma le petit poignet de la damoiselle pour se soulager du fait qu'elle était encore en vie, et qu'elle étiat simplement tomber dans l'inconscience. C'était bien sa veine ... il n'était venu que pour prendre une petite bière à l'origine ...Karas, soupira un instant, puis la prit dans ses bras et s'adressa à l'aubergiste en lui disant qu'il allait la poser sur un des lits de l'auberge. Celui ci précisa qu'elle était une de ses cliente et qu'elle avait déjà une chambre. Il lui indiqua où elle était avant de reprendre son ménage en soupirant. Un soupir qui en disait long sur le fait que ce genre d'événements n'étaient pas rares ici. Karas ne perdit pas plus de temps et s'exécuta. Il partit dans la chambre de la damoiselle pour l'y déposer en passant par l'escalier ainsi que le couloir qui l'y menaient.

Une fois dans le lieu dit, il trouva une chambre modeste mais surtout un lit dans lequel il déposa la jeune rousse. Ses cheveux s'étaient étalés le long de sa surface. Karas l'examina, pour définir sa santé. Mais rien de grave, elle n'avait que des morceaux de verres incrusté dans sa main. Il parti pour revenir avec le nécessaire aux soins, de l'eau ainsi que du tissu. En ayant prit soin de l'anesthésier par son pouvoir, il extirpa les bouts de verres avec le maximum de précision qu'il savait faire, ses gros doigts n'était pas très pratique mais il avait semble t'il réussit a tous les sortir. Il lava ensuite la main pour finalement la bander à l'aide du tissu.

*Voila qui ira tout pour le mieux pour elle.*

Tout danger écarté, elle gisait sur son lit calmement. Alors qu'il allait partir afin de rejoindre l'aubergiste et ainsi l'aider, celle ci émit un léger gémissement,. Le lion revint alors vers elle et s'assit a ses cotés pour poser sa main sur son front ...

[NRP : Désolé pour le retard XD j'imagine qu'on divise le sujet en deux ?]

(Je vais donc terminer le poste en tant que "Mj" et non mon perso puisqu'il est inconscient ^^)

Les ivrognes fuirent rapidement l'auberge, conscient de leur défaite. Les chef des ivrognes, qui avait démarré tout cette histoire, était assez mal en point et les gardes ne croyaient pas qu'il survivrait. Les pauvres saoulons furent envoyés dans les prisons de la ville et furent soignés à cet endroit, mais peu pourraient encore vivre normalement. Après avoir bien enfermer tout les ivrognes encore debout, les gardes entrèrent dans l'auberge afin d'interroger les clients. Malheureusement, ils n'y trouvèrent qu'un jeune homme inconscient, une ange en plutôt mauvaise état et un aubergiste en furie. Quelques gardes transportèrent les deux Umbriens au soigneur de la ville puis retournèrent pour interroger tranquillement l'aubergiste.

Après quelques heures de questions de la part des gardes, ceux-ci attachèrent l'aubergiste qui fut envoyé en prison. Un des gardes monta donc à l'étage pour y découvrir Red et Karas. Le pauvre soldat cogna à la porte pour signaler son entrée et retira lentement son casque afin de mettre les deux personnes en confiance. Il pris une chaise et commença à parler lentement.

"Vos deux amis qui se sont battu en bas vont bien, le jeune homme est toujours inconscient, mais son état est stable. Pour ce qui est de l'aubergiste, ce petit incident nous à permis de démanteler son trafic d'armes et d'équipements militaire. En effet, il vendait depuis longtemps nos armes aux brigands afin de financer l'achat de sa bière importée. Toute la garde d'Equillios vous remercie et nous vous offrons nos service pour le moment de votre séjour, si vous avez besoin de quoi que se soit, je serai en bas en train de nettoyer. Sur ce, bonne fin de journée, citoyens."

Le garde s'inclinât puis retourna en bas afin de nettoyer les dégâts que les combats avaient causées. Il serait long de trouver un nouvel aubergiste et de reconstruire la taverne, mais les clients pourraient revenir bientôt.

Aodhán Fernis --> 8xp
Nawel Eménlï --> 7xp
Redwane Emerauld --> 7xp
Karas Prima --> 6xp

EDIT BY ADMIN : Xp donnés