Harmonia
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 Lorsque le tonnerre gronde... [Terminé]

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Vasco Honem
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MessageSujet: Lorsque le tonnerre gronde... [Terminé]   Lorsque le tonnerre gronde... [Terminé] EmptyMar 2 Mar - 10:29

La jungle, un paysage dominait par une infinité de teinte verte. Des arbres si yeux aux branches et feuillage si épais qu'ils donnaient l'impression de marcher sous un toit de verdure, une immense cathédrale végétal. Sous cet édifice de dame nature, l'air en était devenu presque irrespirable pour Vasco, de grosses goûtes de sueur lui dégoulinaient sur le visage. Une chance pour lui qu'il n'ait pas pris la chaude et lourde cape rouge qu'il portait habituellement, sinon, il serait sûrement mort d'épuisement depuis déjà un certain temps.

Mais que pouvez bien donc faire le Prince dans ces contrés si reculés, à première vu, il était perdu, il divaguait entre les arbres, trébuchant et avançant lentement. Syrn, le hibou, l'avait abandonné, il avait décrété que:

"... et toute cette humidité détruirai mon splendide plumage, plumage que je viens tout juste de nettoyer qui plus est ! Et regarde, j'ai remarqué que les plumes que j'ai perdus dans le temple ont repoussé, tu vois, ne sont-elle pas magnifique ? Et puis bla bla bla..."

Bref, il s'était tout bonnement et simplement débiné quand Vasco lui avait dit qu'il comptait aller à la forge perdu dans la jungle, tenu par un mystérieux forgerons. D'ailleurs, Vasco venait tout juste de trouver un sentier qui devait être pratiqué assez souvent. Le suivant à petit pas, il fut bientôt en vu de l'édifice. Assez bas de plafond, il se composait de deux cheminées depuis lesquelles s'échaPpaient quelques fumées grisonnantes. Le bâtiment était constitué en grande partie d'impressionnant bloc de pierre, le toit était composé d'ardoises grisâtres. Alors qu'il lui restait une cinquantaine de mètres à parcourir, un coup de tonnerre retentit dans le ciel, et quelques secondes plus tard, un véritable rideau de pluies s'abattu sur la jungle.

Courant aussi vite que possible, Vasco se dirigeait vers l'atelier d'où émanait divers bruits métalliques. Sa course sous la pluie avait duré moins d'une minute, et pourtant il était dégoulinant, au moins, cette pluie avait eu le mérite de la rafraichir. L'atelier dans lequel il avait pénétré était relativement sombre. En face de lui, contre le mur de fond, se trouver un four de pierre aux braises rougeoyantes, mais le maître forgeron n'était pas ici, pourtant, Vasco entendait toujours les bruits métalliques.

* Il doit se trouver dans une autre pièce... *

Balayant l'atelier du regard, il aperçut une cloche qu'il fit sonner une fois. Puis il attendit, en espérant que cela suffirait à faire venir le maître d'arme. Au dehors, l'orage commençait véritablement...


Dernière édition par Vasco Honem le Jeu 20 Mai - 19:31, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: Lorsque le tonnerre gronde... [Terminé]   Lorsque le tonnerre gronde... [Terminé] EmptyMar 2 Mar - 18:59

Des pas. J’attends des pas. Un client. Calmement je pose mes outils de travail. Je remue les braises du feu, m’assurant que celui-ci ne s’éteindra pas. Je n’ai pas envie de voir du monde aujourd’hui, comme chaque jour. Mais un client est un client, je ne peux refuser de l’accueillir dans mon antre. Mes yeux s’illuminent, se reflétant avec intensité dans les flammes rougeoyantes. Aujourd’hui le temps est frais, un brouillard léger s’est abattu dans la jungle très tôt en matinée. Pendant longtemps j’ai écouté le chant des oiseaux, seuls rées compagnons à ma solitude. Voilà maintenant des heures que mon marteau mord le métal, le transformant peu à peu en œuvre d’art. Une œuvre d’art qui sèmera la mort, une œuvre d’art qui appellera toujours le sang par le sang. Je forge depuis une éternité des armes faites pour voler des vies. Je n’en tir aucun gloire mais j’en suis fière. Chacun dans ce monde à sa place, la mienne et d’aider le monde à s’entre tuer. À se défendre aussi. Et moi, combien de fois ais-je déjà tué ? Je n’en sais rien, je n’ai jamais compté.

La mort autant que la naissance est une étape nécessaire dans la vie. Je ne me prends pas pour une faucheuse, ou pour un ange noir ayant le devoir de semer la mort. Je ne crains simplement ni d’être tué, ni de tuer. Parfois je me demande si la mort ne m’a pas oublié, moi, le forgeron perdu au fond d’une jungle. Je devrais un jour l’appeler. Mais pour le moment j’ai toujours ma place dans le cycle de la vie.

La porte s’ouvre, le nouveau s’apprête à franchir la porte. Mes muscles brusquement s’animent d’une énergie nouvelle, je m’élance dans un bruit de tissu froissé vers la porte pour rejoindre la pièce principal. Sans ralentir la cadence je crochète une prise à hauteur des yeux sur le mur du fond. Je m’élance, j’étire mon corps avec souplesse. Ma cape m’entour comme des ailes. Pour peu je donnerais l’impression de voler. Avant que l’intrus n’entre de plein pied dans la pièce, je suis accroupi sur une des nombreuses poutres qui relient les murs entre eux. La pénombre me couvre, seuls mes yeux couleur de feu percent l’obscurité. En contrebas l’étranger s’approche, silencieux. Il n’est jamais venu ici. Je le ne le distingue que de dos, je laisse les odeurs et le silence percer l’âme du nouveau venu. Dans la pièce derrière la porte fermée, là d’où je viens, le grand soufflet continue à produire son son métallique caractéristique. Je n’ai pas pris le temps de l’arrêter. Qu’importe, cela rajoute un certain charme au tout. Deviendrais-je sencible à l’accueil de mes clients ? Peut-être.

Finalement l’étranger se décide et agite la cloche. Je me redresse en silence et je me mets à sauter de poutre en poutre, jusqu’à me retrouver juste au dessus du jeune homme. Mes déplacements n’ont fais aucun bruit, mes pieds ont à peine frôlé le bois. Je l’épie, je l’observe. En bas le feu crépite faiblement, tout est calme et paisible. Alors qu’il attend, je saute silencieusement à terre à moins de quelques mètres de lui dans son dos. Mon regard est fixe, impénétrable. Je ne laisse passer aucun sentiment. Je me tien droit, de toute ma hauteur et j’attends qu’il se retourne vers moi. Quand finalement il se décide à faire demi-tour je suis immobile, comme statufié. Je lui laisse le temps d’analyser la situation, je ne suis pas pressé. Le temps n’a jamais été un ennemi pour moi. Il est le plus grand des artistes de notre ère, il permet au vent et aux forces de la nature de sculpter ce monde. Finalement ma voix s’élève, grave et autoritaire. L’étranger ne peut voir mes lèvres sous ma cape. Mes paroles semble surgir de partout à la fois, comme si un esprit malicieux s’amusait à faire résonner la pièce.

« Bienvenue dans mon antre…Vous désirez ? »

Je ne bouge pas, j’attends.

Attaï Kaïgoshi
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MessageSujet: Re: Lorsque le tonnerre gronde... [Terminé]   Lorsque le tonnerre gronde... [Terminé] EmptyMer 3 Mar - 21:48

Vasco ne savait pas exactement ce qu'il convenait de faire. Il avait sonné la cloche, et pourtant, rien ne semblais indiquer que le maître forgerons arrivait, d'ailleurs, les coups métaliques avaient cessés, mais ces bruits étaient-ils rééls ou les avait-il inventé ? Il ne savait pas vraiment.

* Avec ce tonnerre, je ne sais plus vraiment se que j'entend... *

Ne sachant que faire en attendant son arrivait, Vasco s'intéressa aux différents armes fixés aux murs. Haches, épées, boucliers, casques, cottes de mailles, il avait même une armure complete posée contre un mur. De plus, chacunes des piéces n'étaient pas de simple morceau de métal tordut, loin de là, en y regardant de plus près, le Prince remarqua que chaque arme ou protection possédait de remarquable finitions, tel que des gravures finement ouvragés et des pierres précieuses inscrustés dans le métal. Malgré son observation de la pièce, Vasco ne vit pas se dont il était venue chercher.

* Après tout, peut-être me suis trompé, peut-être n'en fait-il pas... il ou elle d'ailleurs... *

Commençant à s'impacienter, Le Prince décida d'observer le paysage qui subissait sans boncher l'orage que au dehors se déchainait contre les végéteaux sans défences, le vent les secouaient dans tout les sens, la pluie les martelaient sans relache, mais eux restaient là, impassible, attendant sans dire un mot que le calvaire s'arrete et que le soleil leur revienne.

Soudain, un éclaire, puis le tonnerre gronda, surpris, Vasco recula, l'orage, il détestait ça. S'addosant contre un mur, il entendit, prenantexemple sur les plantes du dehors. Mais, pour une raison inconnue, le Prince se santait mal à l'aise,comme si quelqu'un l'épiais. C'est alors qu'un nouvel éclaire illumina l'atelier de plus en plus sombre, c'est à ce moment que Vasco apperçu la porte dans le fond.

* Et bien voilà ! Le forgeron doit se trouver quelque part derrière... *

Lentement, un pas après l'autre, le Prince s'approcha de la porte tout juste découverte. Plus il s'en approchait, et plus la présence se faisait imposante, comme si une conscience extérieur lui interdisait d'approcher un peu plus. Ses pas claquaient contre la pierre, tout doucement, Vasco commença à tendre la main vers la poignée, au moment où ses doigts rentrèrent en contact avec le métal froid, le jeune homme perçu un léger bruit de tissu froisé, puis un déplacement d'air rapide avant un bruit sec, le bruit d'un poid tombant au sol. Un frisson parcourue l'échine du Prince déchu, quelque chose venait d'apparaitre dans son dos, et ce quelque chose ne semblait pas pressé de se présenter. D'un mouvement rapidement, Vasco fit volte face, daigainant son arme d'un tiers, histoire de montrer qu'il était à se battre si necessaire.

En face de lui se trouvait un homme, ou plutôt une ombre. L'atelier étant plongé dans le noir, Vasco ne distinguait que la silhouette sombre d'un manteau recouvrant l'homme supposé dans sa totalité, une capuche lui recouvrant le visage, seul deux yeux persant luisaient d'une étrange lueur, la tension était palpable. Soudain, un nouvel éclaire éclaira la pièce, randant l'ambiance encore plus terrifiante. Soudain, la silhouhaite pris enfin la parele.

« Bienvenue dans mon antre…Vous désirez ? »

Vasco n'était pas bien sur de se qu'était son interlocuteur, du moins en terme de race, puisque de toute évidence se tenait devant lui le gérant de cet endroit. Lentement, le Prince se détendit et rengaina son arme avant de répondre.

" Vous avez une façon bien a vous d'accueillir le client... Je cherche un arc à double courbure, pas trop grands pour qu'il puisse me suivre sans me géner dans mes déplacements. Il me faudrait également un carquoi, de préférence en cuir noir et refermable pas un lacet ainsi qu'une vingtaine de flèches. "

Avant de continuer, Vasco jeta un dernier coup d'oeil aux murs.

" Mais, comme je ne vois pas d'arcs sur les murs, peut-être me suis je adressé à la mauvaise personne... "

Un coup de tonnerre rententi pour la ennième fois, faisant sursauter Vasco, que la présence de l'étrange propriétaire rendant presque plus nerveux que l'orage.

" Et excusez moi pour mon attitude, l'orage me rend mal à l'aise "


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MessageSujet: Re: Lorsque le tonnerre gronde... [Terminé]   Lorsque le tonnerre gronde... [Terminé] EmptyLun 22 Mar - 19:29

L’orage. Savez-vous que c’est ma saison préféré ? Les mortels reprennent enfin conscience de leur place dans ce monde, de leur faiblesse et de leur vulnérabilité. Ils ne sont que poussière, quelques grains de sable que la nature se complaît à balancer à droite et à gauche. J’aime l’orage. J’aime la tempête. J’aime le tonnerre. Temps impétueux qui impose ta loi aussi bien aux rois qu’aux mendiants, aux marins qu’aux fermiers. Certains te vénèrent, d’autres te respecte ou te maudissent. Mais personne ne peut te comprendre, personne ne peut prétendre être ton allier. Tu te suffis à toi-même, tu es un seigneur parmi des serfs. Et moi un doux rêveur qui laisse à nouveau son esprit lui échapper. J’aime rêver. J’aime l’illusion. Ce n’est pas que je déplore ma vie ou ma nature, juste que l’évasion spirituel est une passion chez moi. Certains collectionnent des trophées, des bijoux, des objets précieux,…Moi je collectionne les rêves. Quel beau métier vous ne trouvez-pas ?

Mon invitée observe. Il attend. Tout comme moi. Dehors l’orage gronde, zébrant de lumière l’obscurité de la forge. Brusquement la pluie se met à tomber, chaque goutte percutant la toiture de bâtiments avec un bruit de résonnance. Le tout ressemble à un doux roulement de tambour. Une partie du mur de gauche n’a jamais existé, laisser entrer et venir mille et un courant d’air. Mais étonnamment, la pluie et les vents plus violent son retenu par une masse invisible, comme s’ils étaient in désirés dans mon antre.

Tien, mon invité bouge. Il recule. Il semble avoir été surpris par un éclair. Moi je ne bouge pas, toujours immobile et impassible. Mais voilà qu’à présent il s’approche vers la porte du fond. Mes yeux s’animent d’une lumière malsaine. Je m’apprête à grogner. S’il touche ne fut-ce que d’un doigt la porte cet être est un être mort. Il s’avance encore de quelques pas. Mes muscles se contractent. Je suis tel un prédateur se préparant à sauter sur sa proie. Il tend la main…J’agis. Avec une vitesse surprenante je m’élance dans les airs, prenant appuis sur une table. J’atterris souplement à quelques pas de l’étranger. Cette fois je laisse ma cape claquer légèrement. Premier avertissement. Il n’y en aura pas deux.

Il a dégainé son arme. Ici, chez moi. Est-ce de folie ou de la stupidité ? Désirs-t-il réellement se battre contre moi ? Pour peux je rirais de la situation. Se…se battre…contre moi…dans la forge…quelle drôle d’idée…Mais voilà qu’il rengaine son épée. J’en suis presque déçu. J’aurais pus avoir une histoire cocasse de plus à ajouter à mon tableau. La forge n’et pas le meilleur endroit pour venir chercher la mort. Contrairement à une chute du haut d’une falaise, la mort tarde bien souvent à venir chez moi.

Il désir un arc. Il veut arc. Il parle. Il parle beaucoup. Je ne bouge pas. J’attends. Voilà que maintenant il m’imagine incapable de créer un arc. J’en ai tué pour moi que ça. Nettement moins. Mais les jours d’orage je ne combats pas. Seule la nature à le droit de s’exprimer ces jours-là. Et le mortel observe, en silence. Il est envieux. Je ne suis pas mortel. Je ne suis pas immortel. Je ne tuerais pas cet étranger. Mes yeux se fixent sur les siens. Je suis silencieux et je le laisse continuer. Il m’amuse presque.

Voilà qu’il m’explique que l’orage le rend mal à l’aise. Je souris sous ma capuche. Mon sourire est invisible. Le mortel s’émeu pour si peu de chose. La nature s’exprime et le voilà dans tous ses états. Pourquoi ne suis-je pas comme eux ? Pourquoi suis-je si insensible ? Je n’en sais rien. Et je ne suis pas sûre de vouloir savoir. J’aime entretenir le mystère et l’ignorance. L’Être parfait s’ennuie, il sait déjà tout et n’a plus rien à apprendre.

Je suppose qu’il à finit sa commande. Mais yeux s’animent, je m’écarte de l’étranger et le passe la porte de l’arrière boutique. Je prends soin au passage à refermer la porte derrière moi. Quelques secondes à peine s’écoulent avant que je ressorte. L’orage redouble. Je savoure. Dans ma main droite je tiens un très bel arc en bois d’if. Le bois est aussi lisse et pur qu’une caresse. Aucun nœud, aucune escarmouche, il est presque blanc. Par contraste il est renforcé en son centre et à ses extrémités par un métal aussi sombre que la nuit. Finement ouvragé, ce derniers s’entrelace dans la masse du bois et donne un charme resplendissant à l’arme. De ma main gauche je tiens le carquois. Celui-ci est en peau de daim teinté en noir. Il est renforcé à l’intérieur et au bord par une doublure en cuir clair. Les flèches sont en chêne et leur pointe est constituée du même métal sombre que celui présent sur l’arc.

« L’adresse est exact. Est-ce ce genre d’article que vous recherchez ? »


Attaï Kaïgoshi
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MessageSujet: Re: Lorsque le tonnerre gronde... [Terminé]   Lorsque le tonnerre gronde... [Terminé] EmptyLun 5 Avr - 14:29

Quel être mystérieux pouvais bien se cacher derrière le capuchons de toile sombre que portait l'individu en face du Prince ? Capable de se mouvoir aussi discrètement que silicieusement, Vasco ne saurai le dire, mais à vrais dire, avait-il vraiment envie de le savoir ? Peut-être pas...

Mais l'apparence du vendeur n'était pas un réel soucis, le véritable se trouvait en vérité entre les mains du dit personnage qui après avoir écouté les paroles de Vasco, était passé par la porte que le Prince avait failli ouvrir pour revenir avec un arc de facture splendide qui devait compter plusieurs 0 à son prix. Seulement voilà, la bourse du Prince ne comptait que quelques misérables pièces...

« L'adresse est exact. Est-ce ce genre d'article que vous recherchez ? »

L'arc était relativement simple de forme, mais robuste et finement ouvragé. Il était constitué d'un bois qui ne présentait aucune imperfection et de métal renforsateurs briamment incrusté dans la matière végétale. Evidement, les flêches semblaient avoir été exécutés avec le même soin, tout comme le carquoi.

" Et bien cet arc semble parfait, je m'excuse d'avoir mis votre talent en doute. Par contre, je ne pense pas que ma bourse puisse supporter un tel dépense, car de toute évidence, il doit compter une petite fortune, sauf si vous êtes près à accepter moi aide pour une quelconque tâche qui servirait de paiement... "

Vasco ne savait pas comment allait réagir l'étrange vendeur qui lui faisait froid dans le dos...
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MessageSujet: Re: Lorsque le tonnerre gronde... [Terminé]   Lorsque le tonnerre gronde... [Terminé] EmptyLun 5 Avr - 23:31

Visiblement, il est épaté. À n’en point douter. Pour peu je me sentirai flatter. Mais je n’en fais rien. Tout sentiment de mortel m’est inconnu depuis des années. Je suis comme un robot. Je prends la commande. Je propose. Je vends. Et je passe en client suivant. Parfois le fait d’en avoir conscience me fait peur. Le fait de savoir mais de ne pas vouloir faire changer les choses. Terrifiant non ? J’en déduis qu’après tout ma situation n’est pas si déplaisante. Mais comment peut-on se satisfaire d’une vie de robot ? Peut-être tout simplement parce que je fais ce que j’aime faire. Quoiqu’il faille que je sache ce qu’aimer veut dire. Tant de question…si peux de réponse...Et à nouveau je ne semble pas m’en offusquer. Étonnant n’est-ce pas ?

Voilà que je m’égare à nouveau dans les méandres de mon esprit. C’est effrayant. Peut-être suis-je fou. Ou peut-être ne le suis-je pas. Qui l’est. Qui ne l’est pas. Intriguant n’est-ce pas ? J’ai déjà pensé à écrire un livre savez-vous. Mais la plume est une arme bien trop complexe pour moi. Trop de subtilité et d’agilité dans la langue et les mots et nécessaire. Je préfère le contact sincère et chaleureux du fer chauffé à vif. Depuis combien de temps suis-je forgeron ? Pourquoi moi et pas quelqu’un d’autre ? Pourquoi ne suis-je pas devenu écrivain ou sculpteur par exemple. Hasard ou destin ? Devrais-je croire en une destinée ? Aaaah que de question la solitude nous amène. Le plus étonnant c’est que ne m’ouvre que très rarement à autrui. Je leur parais toujours froid et distant. Comme si je ne réfléchissais pas. Comme si je ne faisais que satisfaire les commandes des clients. Un robot. C’est cela. Un robot. Ce mot sonne étrangement je trouve. Je le fais rouler dans ma bouche, analysant silencieusement chaque syllabe.

Mon client s’excuse. Peut-être croit-il que je me sens blessé par sa remarque. Offusqué même peut-être. Je ne bouge toujours pas d’un cil. J’attends. Tel un robot j’attends. Personne ne m’a demandé d’avoir des sentiments. Je ne vois pas pourquoi je devrais en avoir. Je suis probablement l’un des êtres les plus froids de ce monde. Cette réflexion me fait ni chaud ni froid. Tien ? Un jeu de mot. Plaisant. Divertissant. Mais banal. Rien d’extraordinaire dans tout cela. Un jour je devrais ouvrir une réelle conversation avec quelqu’un. Juste une fois. Pour voir. Par curiosité. Lui paraîtrais-je fou ? Génialissime ? Malade ? Fou à lier ? Aucune idée. Pas la moindre. À croire que tout sentiment humain m’est réellement interdit. Interdit ou ignorer ? Est-ce moi le coupable de ma situation ? Faut-il vraiment parler de « coupable » ? Tant de question et si peu de réponse. Que c’est agréable de se savoir imparfait. Vous ne trouvez pas ?

Maintenant voilà qu’il me parle d’argent. Je ris. Intérieurement bien sûr. Jamais rien d’externe avec un client. Parfois je me demande si certains ne ressortent pas d’ici avec une dépression nerveuse. Je suis si peu expressif que cela doit en devenir agaçant. À moins que la peur ne l’emporte. C’est aussi une solution. Cela doit dépendre des cas et des situations. J’essaye de déceler quel sera la réaction de mon invité. Sans succès. Je ne suis pas devin, je suis forgeron. À ce propos, je tiens toujours l’arc et son carquois en main. Mon client semble hésiter. Ce n’est pas moi qui lui fait peur c’est prix. Ah là, il me devient difficile de rester indifférent à une telle situation…je souris. Sisi je vous assure, un fin sourire s’accroche à mes lèvres. C’est possible. Mais je me décide finalement à aider mon invité. Il semble intimidé par l’arme. Comme si elle allait le mordre. Ah je ris…intérieurement.

« Je n’ai que faire de l’argent ou d’un service. La seule chose qui m’importe est de savoir que le détenteur d’une de mes armes la mérite. Les pointes de ces flèches son assez fines pour suspendre une mouche en plein vol. Prenez l’arc et le carquois. Revenez me voir quand vous serez parvenu à transpercer une mouche avec l’une des ces flèches. Alors l'arme vous appartiendra. »

Le faire payer…quelle bien curieuse idée…

Attaï Kaïgoshi
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MessageSujet: Re: Lorsque le tonnerre gronde... [Terminé]   Lorsque le tonnerre gronde... [Terminé] EmptySam 1 Mai - 15:29

Vasco s'effondra dans un buisson trempé. Le Prince était épuisé, fatigué, jamais il ne réussirait à accomplir la tâche que lui avait demandé d'accomplir l'énigmatique forgeron Attaï. Ce dernier lui avait demander de transpercer d'une flèche un mouche.

Vasco avait alors pris l'arc et s'était aventuré dans la jungle pour en trouver. L'orage avait cessait, une chance pour lui pensait-il, les mouches serons nombreuses avec un tel chaleur et un haut taux d'humidité. Il c'était donc mis en chasse et rapidement, il en trouva quelque unes. Mais alors qu'il commençait à armer l'arc, les mouches avaient tout bonnement disparues et lorsque ces dernières restait en vue, impossible de les viser convenablement, elles étaient trop rapides, les flèches passaient à coté d'elles sans faire le mopindre mal.

Vasco en avait franchement marre. Etalé dans son buisson, il rempensait à tous le chamin qu'il avait parcouru pour parvenir à l'atelier de fer, une marche effroyable sous une lourde chaleur durant laquelle il c'était perdu maint et maint fois. Il lui avait ensuite fallu "affronter" Attaï et voilà que ce dernier avait la possibilité de lui accorder un arc d'exelente facture, d'ailleurs Vasco avait pu s'en rendre compte en chassant la mouche. L'arc était légé et puissant à la fois, il ne demandait pas ennormément de force pour le bander et les flèches étaient parfaitement équilibré. L'arc lui rappelait un peu l'arme avec la quelle Darius, son maitre d'arme à Fanaror, le Royaume caché dans les mont de Lunaris, lui avait enseigné le tir à l'arc.

Cette pensé lui en rappela une autre. Celle du fière guerrier qui c'était sacrifier pour permettre à son Prince de ralier Harmonia pour y trouver de l'aide. Le Prince avait fait une promesse à Darius, il retournerai à Umbra pour récupérer le Royaume qui était le sien et venger tous les hommes qui c'était sacrifiait en combattant sous la bannière des Honem.

"Darius n'aurait pas abandonné... Pas pour si peu... "

Une pensée traversa alors l'esprit du Prince.

* Après tout, à quoi bon me ruiner avec cette quête idiote... Attaï m'a donné l'arc, je pourrais partir avec tout simplement. *

A peine ses mots avaient-il résonnés dans la tête de Vasco que le jeune homme se rendit compte que c'était impossible. Lui qui se disait Prince, même sans Royaume, lui qui se disait vouloir la justice, jamais il ne pourrait commettre un tel acte.

" Il faut que je réussise, c'est la seul façon de faire ! "

Aussitôt, il se releva, pret à accomplir ce pourquoi il était venue. Il resta sur place et ferma les yeux, se concentrant sur l'environnement alentour pour repérer sa proie. Après plus d'un quart d'heure, il repra enfin le bruits carractéristique des mouches. Lentement, il ouvrit les yeux, après avoir passé tant de temps dans le noir, le monde lui semblais différent, des yeux, il chercha l'insecte qu'il repera facilement. Lentement, sans lacher la mouche des yeux, Vasco arma l'arc, le banda puis visa l'insecte qui venait de se poser sur un trons d'arbre. Vasco attendit qu'elle s'immobilise completement puis, d'un geste vif, ses doigts lachèrent la corde qui vibra dans les aires. La flèche fila alors droit vers sa cible qui maleureusement s'envola juste à temps pour éviter une mort certaine.

Vasco fut déçu, il pensait vraiment y arrivé cette fois, mais ne se laissant pas accablé, il partie récupérer la flèche fichait dans le tronc d'arbre. Il suffisait qu'il recommance, tout simplement. Il eu alors une idée, cette fois bien meilleur que la précédente.

Il recommança donc son rituel. En fermant les yeux, il chercha le bruit d'une mouche en vole, quand il en repera enfin une, il arma son arc et visa l'insecte, mais cette fois, avant de décocher le trait mortel, il annalysa le sens du vent, une légère brise chaude soufflé sur la junugle, mais cette dernière n'allait pas dans la direction idéal pour la chance d'avoir la mouche sois optimal. Se concentra, il sentit la magie l'envahir et peu à peu, le vent souffla idéalement en diretion de la mouche. Vasco lacha alors la corde et la flèche partie à une fulgurante, aidé par les vents, et cette fois, la mouche n'eu pas le temps de s'éclipser, l'insecte fut transperçait par le trait...

Lorsque, après une heure de marche, Vasco fut de retour à la forge, il se présenta devant le forgeron.

" La tache fut rude, mais j'ai finalement réussi, j'espère que se résulat vous satisfera."

La voix de Vasco était presque solanelle, la tête basse, il présenta à l'étrange personnage la flèche sur laquelle était accrochée le petit point noir aux ailes translucides...
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MessageSujet: Re: Lorsque le tonnerre gronde... [Terminé]   Lorsque le tonnerre gronde... [Terminé] EmptyVen 14 Mai - 14:49

Les heures s’écoulent. Interminable. J’écoute l’eau s’écouler goutte à goutte d’une feuille à l’autre. Le calme après la tempête. Je le respecte. Je ne travaille pas. Je reste là, debout, à contempler les braises du feu. Mes pensées s’évadent, comme toujours. Je me demande si mon client sera assez rusé pour parvenir à ses fins. Peut-être partira-t-il sans venir me revoir. Certains ont déjà essayé, pourquoi pas lui ? Je ne sais pas. Une impression. Et pourtant, je ne suis pas devin. Je suis forgeron. Je sculpte le fer. Certains disent que je suis un artiste. Mais je suis forgeron. Mes yeux s’illuminent devant la couleur rougeoyante du feu. Je m’empare à main nue d’une braise. Je l’observe. J’attends. Voilà que maintenant je me fais poète. Être ou ne pas être, telle est la question. Le charbon en combustion glisse entre mes doigts. On me dit Maître. Maître de fer. Maître des armes. Mais je ne suis que le serviteur. Je crée ce qu’elles veulent être. Je suis un passeur. J’aide ce qui fait partie de l’imaginaire à entrer dans le réel. Néanmoins est-ce vraiment le monde réel ? Suis-je réel ? Harmonia est-il un monde réel ? La limite entre les deux mondes est floue. J’aime à penser que je ne suis que le rêve d’un autre. Ailleurs. Dans un autre monde. Nos guerres seraient dès lors bien futiles. Nous nous battrions pour un rêve, une illusion.

La braise s’effrite entre mes doigts, elle finit par être broyer sous ma poigne. Les petits morceaux retombent dans le feu. Ils retournent parmi les leurs. Je regarde ce dernier, pensif. Je semble dormir debout. Finalement mes yeux reprennent un peu de couleur. Une petite touffe de poil blanc passe devant mon nez. Elle saute d’une épaule à l’autre. Ses grands yeux m’observent. Je l’observe. La bestiole ne dit rien. Je ne dis rien. Nous nous comprenons. Je lui souris timidement. Elle se frotte contre moi. Son doux pelage me réchauffe, sa petite taille de souris aux grandes oreilles m’amuse. Elle se blottit dans ma capuche avant de reprendre son sommeil. Je ne lui pose aucune question. Je sais ce que cela veut dire. Il va revenir. Mon client revient. Je quitte mes pensée et revient sur la terre ferme. Je m’empare d’un geste vif d’un marteau et je me remets au travail. L’outil mord longtemps encore le fer avant que mon client ne revienne. Je ne sais pas encore se que mes doigts vont façonner. C’est une surprise et une découverte à chaque création.

La porte d’entrée s’ouvre. Se referme. Le marteau continue de frapper le métal. Le jeune homme me présente se flèche. Je n’ai pas besoin de la regarder pour comprendre qu’il a réussit. Il est fier. Cela se sent. Cela se comprend. Je finis par arrêter mon travail. Je me redresse. Je me retourne vers lui. Je m’empare alors de sa flèche. Je l’inspecte. J’inspecte sa proie. Il y est arrivé. Je lui souris discrètement. Mais soudainement j’abats vivement ma main tenant la flèche sur mon plan de travail. La pointe s’enfonce de quelques millimètres dans le bois épais. Je la retire d’un coup sec et je la rends à son nouveau propriétaire. Elle possède maintenant deux mouches sur sa pointe. Sans attendre de réaction de mon client je prends la parole.

« Je n’ai pas triché. »

Je l’analyse, silencieux. Il semble être une fin guerrière. Je laisse l’arc à ses soins avec grand plaisir. Dehors, les rayons du soleil reviennent peu à peu. Je sens la jungle qui se remet à respirer. Bientôt les oiseaux chanteront et la vie reviendra. Elle revient toujours. Ce n’est que le juste équilibre de la nature.

« L’arme est à toi. Je te souhaite bon voyage et bonne chance. »

Après un dernier échange je me retourne vers mon travail. Le marteau se remet à l’ouvrage. Son rythme régulier impose celui de mon cœur. Silencieusement, je continue mon travaille. Je suis forgeron.


Attaï Kaïgoshi
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Vasco Honem
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MessageSujet: Re: Lorsque le tonnerre gronde... [Terminé]   Lorsque le tonnerre gronde... [Terminé] EmptyJeu 20 Mai - 19:28

Vasco était relativement fier de lui, après de longues heures de patiences et d'incertitude, il avait finalement réussi à transpercer une mouches d'une flèche. Lorsqu'il présenta son travail au forgerons, ce dernier ne dit, il observa un moment la flèche avant de lui prendre des mains pour inspecter l'insecte mort. C'est alors que Vasco eu la surprise de distinguer un petit sourire sur le viage à moitier cacher de l'étrange maitre forgeron. Soudain, d'un vif mouvement de bras, il abatie violement le trait de bois sur son plan de travail. Le choc fut si violent et soudain que le jeune prince en sursauta, s'entendant même à voir la flèche se briser entre les mains de son interlocuteur.

Ce n'est que quand il retira la flèche du bois que Vasco remarqua un second point noir quelques millimètres en-dessous de la mouche qu'il avait tué. D'un simple mouvement, et en moin d'une minute, le forgeron avait réalisé ce qui, pour lui, avait duré plusieurs heures.

« Je n’ai pas triché. »

Ca Vasco voulait bien le croire. De part ce geste, la peur que lui inspirait l'homme sembla se dissiper peu à peu pour faire place à de l'estime.

* L'homme que j'ai en face de moi, en plus d'être passé maitre dans l'art de fabriquer des armes, et également assé maitre de l'art des mannier...*

De ses yeux ronds, Vasco comtemplait l'homme mistérieux, sans oser dire quoi que soit.

« L’arme est à toi. Je te souhaite bon voyage et bonne chance. »

Respectueusement, Vasco s'inclina devant le maitre.

" Je vous remercis de m'accorder une telle oeuvre, j'en serai faire un bonne usage. "

Puis, il se dirigea vers la sortie, avant de disparaitre pour de bon, Vasco se retourna une dernière fois vers le forgeron qui était déjà retourné à son travail, ne revant plus que d'une chose, être un jour aussi puissant et sage que lui...
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Mélusyne Shea
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MessageSujet: Re: Lorsque le tonnerre gronde... [Terminé]   Lorsque le tonnerre gronde... [Terminé] EmptyJeu 20 Mai - 20:58

Lorsque le tonnerre gronde... [Terminé] Notati10

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Attaï Kaïgoshi : 6 xp -> perso principal

Ton perso est vraiment trop décalé, j'adore Attaï XD. Bien joué mon petit Vasco !

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