Votre destin est sur le point de changé ! [Recrutement de l'Ordre Nouveau] [Termnié]

Capitaine Terestion, voilà un nom qui sonne… faux, creux, vitreux et tout ce que vous voulez sauf bien. Dès que la horde de pirate fantôme arriva, original sur une épave de galion en pleine mer, la panique éclata. Tel un bâton de dynamite mise dans un tas de gravier, son explosion dispersa chaque rocher avec une vitesse, une force et une violence inouïe. Alors que les pauvres esprits, tout dépend des points de vue, se faisaient piétiner par les participants effrayer, Gabnon demeure seul au milieu de la cale tandis que le navire se retourne sur le bâbord.

Savez-vous ce que ça fait de rester seul au milieu d’un décor, totalement calme, et de le voir changer du tout au tout à savoir : se renverser ?
Déjà que c’est le bordel à l’endroit, si en plus faut le mettre à l’étroit et le retourner dans un sens, cela n’a plus aucun sens sauf si on ouvre ses yeux… ce que ne fait pas Gabnon ! L’imbécile fini ! Le crétin attardé ! L’ignorant retardé ! Il s’est endormi pendant le discours, pourtant Bref, de Tet. A croire qu’il n’en n’a fait qu’a sa tête.
Somnolant, les cris de pirates et le grabuge des objets qui roulent avant de s’écraser contre la coque bâbord du navire n’arrivent pas à le sortir de son sommeil jusqu’à ce qu’une bouteille de rhum vide vient se cogner contre lui mais pas aussi bêtement.

Alors que son corps se penche lentement vers l’avant, comme pour se mettre a plat contre le navire, la table a l’autre bout de la salle, déjà vide, se renverse doucement, le pied cède, la bouteille s’émerveille et voit une victime avant de vaciller, tomber et rebondir sur le sol avant de décrire une trajectoire miraculeuse. Passer au ralenti, tournant sur elle-même, vomissant ses dernières gouttes, elle vient en une fois prendre de la vitesse et percuter le crâne du nomade qui se réveille et pousse un cri de douleur avant de se remarquer l’ampleur de la situation.

La situation critique, le bateau arrive enfin à se stabiliser et le calme semble enfin enclin à venir… jusqu'à ce que les cris et le vacarme des combats arrivent à ses oreilles et le force enfin à sortir de la pièce pour arriver dans un long couloir. Un assez long et large qui, au bout, se termine par un escalier qui monte. C’est son billet de sortie parce qu’en ce moment, tout ce qu’il pense est à se barrer d’ici même si il fallait botter l’cul a tout les concurrents ou ennemis. Alors qu’il marche sur les murs, l’eau lui arrivant jusqu'à la cheville, il continue tranquillement jusqu’à ce qu’un fantôme tombe dans les marches et se taule devant lui. Il se relève lentement, remboite sa mâchoire et lance lentement un regard en direction de Gabnon.

Lentement, le nomade lève la main pour faire un petit coucou amical et, en guise de réponse, le pirate fait apparaître un léger sourire amical… et surtout sadique ! Il ramasse son sabre et hurle à la mort en courant vers le vivant qui s’écrie.
- Oh ! Du rhum !
- Koa !? Où Cha !?
- Dans ta *******
Censure l’exige pour âme sensible, l’injure nomade est trop fort pour les étrangers. Non pas qu’il est bon comédien mais surtout que son ennemi est con comme une pigne. Il a réussi à berner l’ennemi, chose qui ne risque pas de se reproduire, et donne un violent coup de… sandale dans la face pour l’envoyer valser au loin avant de l’encastrer dans le mur. Non pas qu’il a beaucoup de force mais surtout que son ennemi est léger comme une plume.

Cette épreuve passée, il continue sa route et là se dresse un obstacle de taille… un escalier mis contre un « mur ». Pour « passer d’un étage » à un autre, il doit juste prendre la « porte »… non je parle pas par énigme ! Le bateau est retourné sur le coté, j’ai rien inventé, tout est un peu changer du coup. Si vous visualiser bien l’truc, vous… vous visualisez bien l’truc et c’tout.
Donc je disais, escalier contre un mur, porte sur la droite donc car couché sur le coté bâbord mais notre jeune ami a un problème avec ça. Au lieu de simplement passer, il se fige et réfléchi alors que l’eau monte.

- Comment je fais pour monter moi ?... hum…hum… hum… c’est une énigme a mon avis ! Voila ! Hum… hum… hummmmmmmmm…
Et il semble mal parti. Au lieu de simplement passer l’embouchure, il se couche sur le « sol » et tente de poser les pieds sur l’escalier mis à la verticale… scène hilare si on oublie qu’il risque sa vie. Mais alors qu’il fait le pitre, il arrive doucement à se glisser et « hisser » d’un étage pour Enfin arriver au niveau supérieur.
Il termine par être dans la salle des canonniers. Fini la solitude ! Des compagnons sont là et… sortent de squelettes qui se battent avec sabre de d’abordage.
- Sans doute des connaissances à eux… enfin… j’espère lance un regard inquiet et recule de quelques pas J'vais les laisser jouer ensemble.

La salle des canons… attachés sur les cotés par des chaînes, soit ils suspendent au dessus de vos têtes, soit ils sont défoncer dans le sol et aide le bateau à sombrer. A l’autre bout, on peut voir un second escalier qui « monte » et signe le billet de sortie de notre intrépide qui marche au milieu des combats un peu à l’étroit.
L’eau non loin du genou, il avance et s’abaisser pour ramasser une pièce d’argent, manquant de se faire couper la tête par un coup d’épée qui fini par se planter dans le mat. Naïvement et tranquillement, tel le héros a l’assurance immortelle, il marche à travers le carnage et n’en a point l’augure… enfin si on oublie qu’il tremble, qu’il se bouche les oreilles et qu’il ferme les yeux.

Il arrive maintenant a plus de la moitié du trajet quand soudain, les chaines des canons cèdent peu à peu et les larguent telles des bombes. Décrivant trajectoire d’une pierre, certains vont se fracasser contre les mats pour rebondir et tomber avec fracas, écrasant quelques malheureux en leur arrachant un cri étouffé.
La secousse des chocs fait sursauter Gabnon qui course aussi vite qu’il peut avant de sauter et plonger !... alors qu’il est hors de danger… pour l’instant. Il a un retard certain sur les premiers et… et quoi ?
- J’ai compris !
Enfin…
- C’est une course ! Faut arriver en haut le premier !
Cas désespéré…

Il se relève avec précipitation et cours avant d’arriver au prochain escalier mais se décourage soudain lorsqu’il voit la difficulté… l’escalier est en miette. Il peut simplement tourner à droite et « monter » mais non ! Il fait demi-tour et se retourne en voyant les restes de carnages et réfléchi à un autre moyen de sortir. On aura beau crier, on ne peut le résonner…
Son regard cherche partout et observer son milieu avant qu’il ne s’attarde sur un canon pointer en sa direction et lui arrache un sourire.

Pointant ce dernier sur le « mur du fond », c'est-à-dire droit devant lui par de la l’escalier, il vérifie le tout et réfléchi un instant. Il a déjà entendu parler de la poudre et comme quoi, humide, elle ne peut exploser. Il pose ses mains sur le fer et se concentre pour évacuer toute l’eau qui a pu rester dans le tube, grâce à son pouvoir, et sors son silex et pyrite pour allumer la mèche tant bien que mal. Mais alors qu’il prend ses pierres de façon spectaculaire, trop exagéré dans des mouvements amples et frimeur, il se stop net au moment de frapper les pierres l’une contre l’autre dans un violent et large mouvement pour se retourner très lentement vers l’arrière…

Une atmosphère s’est posé et il l’a senti, une troupe de 3 fantômes le regarde depuis la tout à l’heure alors qu’ils ont décimés les survivants et c’est au tour de Gabnon alors qu’il a pas pris de ticket pour la file d’attente. Il fait une légère grimace perplexe avant de se reprendre de finir son mouvement, allumant la mèche qui, dans la second, se consume et déclenche une explosion qui retenti dans les restes du navire.
Le canon, non fixé, par en arrière et défonce les 3 non-vivants qui finissent en morceau. Attend… il l’a fait exprès ?! Non, pas venant de Gab… impossible. Autant demander à un troll de réussir une partie d’échec contre un archimage humain.
Mais tout ça pour quoi alors que l’eau monte et arrive finalement au niveau de son genoux ? Pour faire un trou dans l’arrière de la coque du bateau, au-delà l’escalier, et laisser montrer le paysage, la liberté, la sortie.

Prenant son souffle a deux mains, on se demande comment il fait, il court et se couche a terre… il se croit encore dans le renversé de l’a l’endroit et va tenter « d’escalader » pour atteindre « l’étage du dessus » alors que c’est plutôt l’étage d’a coté. Il est complètement dans l’eau en plus et rampe, nage, marche sur le coté épaule au niveau du « sol » avant de « bondir » au niveau du trou et se hisse.
Le voilà enfin sorti et libre. Il se tient enfin debout et regarde le paysage alors que l’épave sombre petit à petit. Et saute sur la droite en s’agrippant au navire… mais qu’est c’qu’il fou !
- j’dois gagner la course… j’dois gagner pour mon clan !

Désespérant, il a enfin retrouvé le nord mais à perdu la raison et continue son périple déjà assez périlleux. Il continue encore et encore et arrive au niveau de la cabine du capitaine. Pour visualiser la situation actuelle, le navire a coulé au point de faire monter l’eau au genou. Sur le bâbord, il est retourné et le nomade se trouve agrippé à l’arrière du bateau au niveau de la caverne du capitaine qui peut donner sur le pont grâce à la porte du fond. Il explose la fenêtre avec une petite quantité d’eau condensée et saute dans la cabine… avant de se remarquer qu’elle est remplie de fantômes et d’esprits. En rangé, juste devant lui mais de dos, ils sont au garde à vous tandis qu’une grande silhouette avec un énorme chapeau se promène devant eux.
- Ecoute-moi bien tas d’canaille ! Ceux qui me désobéiront auront 10 coups de fouet ! Celui qui aura l’audace de… Qui t’es toi ?
- Moi ? J’suis l’moussaillon Terestion Cap’tain !
- Tu m’as l’air bien jeune… et bien dodu pour être sur mon bâtiment ! Dit-il en s’approchant de lui. Le capitaine du navire est impressionnant. Il fait facilement 2 pieds de plus, est en habille de pirate très classe mais un peu délabré et son énorme tricorne avec plume lui donne une fière allure.
- J’viens juste de rejoindre l’équipage ! Cap’tain ! J’serais à la hauteur !
- Hum… bien… écouter moi bien bande de rats d’fond d’cale ! Ceux qui contestent mes ordres, 10 coups d’fouet ! Celui qui aura l’audace de me faire mutinerie, ce sera au fer puis par la planche ! Dit-il en sortant une planche à pain couverte de sang.

Non pas la curiosité qui manque mais l’atrocité qui ne manque pas nous pousseras à ne pas être pousser plus loin dans le questionnement.
Soudain résonnèrent les mots : Mutinerie ! A mort le capitaine ! venant d'un pirate anonyme !
Tout les spectres et squelettes devinrent raides et ne firent plus un geste, de peur du châtiment qui leur serait réservés à cause du chef du bâtiment, furax, se retournant et hurlant.
Tout les spectres et squelettes devinrent raides et ne firent plus un geste, de peur du châtiment qui leur serait réservés à cause du chef du bâtiment, furax, se retournant et hurlant.
- Qui ose faire le mutin !
- Lui Cap’taine !
Fit Gabnon en pointant en direction de son voisin de droite qui contesta vivement et intelligemment.
- Fufuf..Fugugmph !
- Alors comme ça on veut être celui qui donne les ordres, hum !?
- Fufuf ! Mphohggmph ! S’exclame t-il, clairement, en pointant son voisin de gauche ayant encore de la chair sur le os.
- Mais bien entendu monsieur j’ai pas d’mâchoire inférieur. Mutin ! Au fer !
- J’m’en charge Cap’taine ! S’écrie Gab en saisissant le « traître » par le bras et l’entraine au fond de la cabine… en temps normal la porte se trouve 2-3 mètres au dessus mais un impressionnant trou, à leur hauteur, donne sur le pont. Sans doute les pirates qui l’ont fait pour défendre leur navire.

Alors qu’il quitte à peine la pièce et balance le « coupable » par-dessus bord, le Capitaine s’exclame. Enfin qu’il voit la mascarade !
- Ah !... si seulement on pouvait avoir plus de recrue aussi dévouées…
- Cap, il était encore vivant.
- ….. Très long silence…. Comment !?
Escaladant les marches, couché contre la rampe, malgré l’impressionnant serpent géant qui constricte le navire, le nomade compte sur son bas profil pour passer inaperçu surtout qu’il se trouve dans un angle bien dissimulé et non pas sur le « haut » du navire. Alors qu’il arrive non loin du gouvernail, il saute et si agrippe avant de lâcher prise.

- J’ai gagné ! C’est moi l’premier a !... mais qu’est ce qu’ils foutent là bas ? Ne me dites pas que depuis le début je...
Pour la première fois de sa vie, attention, Gabnon Terestion, premier et dernier du nom, s'apprête à faire la première déduction logique sur une des situations de sa vie et d'en voir la conclusion qui en résultera.
- J'suis le dernier ! Noez !... j'ai perdu...
Bon... finalement, je n'ai rien dis, j'vais allez acheter une corde après cette histoire et je laisse un autre narrateur narrer ses histoires ! Mais que soit, il a enfin vu le reste des survivants qui s’éloignent de l’épave à la nage et par bien d’autres moyens. L’eau jusqu'à torse avec l’épave qui coule et vas sombrer d’un instant à l’autre, les pirates déboulent en trombe et risque de grave ennui. Il fourre sa main… dans son sac bien entendu ! Avant de laisser échapper un rire diabolique.
- Muahahah ! Je suis l’Cap’taine Terestion ! Et ceci est… une bombe !
Dit-il en présentant une pomme bien verte avec la tige. Tous les fantômes se mirent à rire, tous à l’exception du chef du navire qui devint pâle… enfin il l’est déjà mais il le devint encore plus qu’avant.

Jouant la comédie, il lèche le bout de ses doigts avant de les poser sur la tige et met sa main… gauche devant sa bouche et masque à peine les mouvements de sa bouche pour imiter le bruit d’une étincelle qui se consume.
- Pschiiiiiiiiiiiit
- Une bombe ! Tous aux abris !
Et la lance en direction du chef qui bascule en arrière et emporte tout ses hommes avant de… ben a moitié immergé, ils font pas une chute spectaculaire et se retrouve à nager mais tous paniquer par leur commandant, ils nagent tant bien que mal en tout sens sauf pour les squelettes qui tombent à pic comme le navire.

C’était d’ailleurs le moment de filer. Marchant sur le bout de rampe, il se met en position pour plonger et plonge… enfin à moitié immergé, il fait rien de folichon et se baigne vite pour ne plus avoir pied et s’éloigne de l’épave qui sombre lentement, entrelacée par ce serpent géant.
- Qu'il est gros ! Je suis innocent ! Epargnez moi !
Et pars loin… très loin… avant de devenir tout petit tout petit… et disparaît dans l’eau durant 30 minutes ! Ca aide de pouvoir respirer sous l’eau.
L’histoire était finie pour lui et fini, en fatigue, par s’échouer sur une rive avant de se relever péniblement en se tenant la tête. Un seul ensemble de mot revenait lui hanter l’esprit : Capitaine Terestion.
… décidemment ça sonne faux, creux, vitreux et tout ce que vous voulez sauf bien !

Dans la cale du Galion, de sombre spécimens bougeaient dans tous les sens, criant, se battant, arrachant ici et là des membres d'autres créatures.
Couchée à terre et encore dans le patté, Jolene se secoua la tête un coups, elle avait oublié le pourquoi est-ce qu'elle demeurait là. Ordre nouveau? Ah oui...faire partir en exil les esprits créateurs...
à peine Jolene avait elle finie de réfléchir qu'une main apparut devant son nez. Sans broncher ni crier, elle leva son corps de femme, 999 années à voir des massacres, et voilà ce que l'on récolte! Des membres d'humains pleuvant de tous les cotés... et pourquoi pas de l'or tant que l'on y est?
Une fois tous ses muscles prêts, son épée bâtarde dégainée, ses canines élargies, elle observa le spectacle.
Des hommes et créatures se battaient d'un peu partout contre des pirates transparents. Des fantômes?
Sans baisser sa garde, elle fit glisser sa lame coutre une table, envoyant des morceaux de bois se figer partout dans la sale, blessant ainsi certains pirates qui se frottaient à elle, et à en attirer d'autre.

Gracieusement, elle tourbillonnait avec sa lame, et fracassa plusieurs objets, envoyant des morceau de vers, de fer ect..se figer contre les hommes.
Au passage, elle fut transporté vers la droite du navire, il tanguait... quelque chose avait du s'accrocher à lui... poussant les hommes collés contre elle, elle observait le plafond: des escaliers s'offraient à perte de vue.
Avec un grognement de mécontentement, Jolene tomba à terre, faute de gravite, mais dans un élan félidé propulsa sa masse de la cale vers le coté le plus proche, se repropulsait tel un chat vers la lampe du plafond, coupa la corde qui tenait le lustre à la fenêtre pour se retrouver aussi sec sur une marche d'escalier sans chuter, continuant sa poursuite vers la sortie, lorsqu'elle vie une pluie de Pirate tomber d'en dessus d'elle. En visant l'homme au dessus d'elle, elle ne pu s'empêcher de sourire mais de faire passer son mécontentement:

"Eh jeune homme! Fait attention à ce que tu fait! Tu n'es pas le seul à vouloir sauver ta peau!"

Aussitôt dit aussitôt fait, lorsque ce dernier ouvrit la porte, elle enfonça ses ongle dans le bois comme une prise d'escalade et en un mouvement de rein, elle plana littéralement jusqu'à la porte. Ses griffes enfoncés avaient rayés les escaliers cependant, elle ouvrait maintenant la porte à coups de pied, le visage presque vers le bas. Une fois le premier niveau finis, elle s'époussetait un grand coups, soufflait et vit se qui se passait devant ses yeux.

L'homme précédant avait disparut. aucunes traces de lui. il s'était envolé, transplané.
Elle avait atteint le niveau des cellules. Les hommes pirates tentais de décapiter les mercenaires dans leurs cellules. Un autre problème fit son apparition: la paille flottait.
Prenant alors un air aguicheur, elle enleva sa cape, se retrouvant en tenue de préteresse, épée bâtarde cachée dans le dos bien évidemment!
Avant que quoi que ce soit ne puisse se passer, le bateau s'écroula encore dans l'eau, pesant encore plus sur son coté droit.
Jolene se faisait donc écraser par les quatre pirates qui s'étaient retournés vers elle. Sans aucunes mise en garde, elle donnait des coups de pieds à droite et à gauche, mordait jusqu'au sang les trois premiers bras qui s'invitait au contacte de sa peau.
Une fois à moitié dégagée, l'eau lui arrivait à sa taille. Décidément, l'eau avait bien monté! Dans un mouvement de colère monumentale, elle balaya les pirates avec son épée, décimant leurs habits, les mettant à nus.
Enfin, dans un rugissement de colère qu'elle fit entendre, les pirate s'écartèrent vers la sortie dans demander leurs restes.

*si j'avais été créature divine à ce moment... je pense que j'aurais tout saccagé sans le moindres scrupule! Et tout cela n'aurait été qu'une fausse blague!*

prenant alors son souffle, elle avançait vers les cages, prenant un moment bref pour ouvrir les portes, en forçant les gondes vers le haut. elle les libérèrent tous, l'eau avait monté d'un cran, lui arrivant alors à la taille. Elle souffla un moment puis s'empara d'un barreau avant de se propulser au dessus de cell-ci et avancer vers la sortie sans encombrement.

Arrivé sur la plate forme, Jolene du s'accrocher pour éviter de tomber, les hommes chutaient par dessus bord, une énorme serpent avait pris le bateau comme un amant pouvait enlacer sa bien aimée.
Jolene prit alors le temps de considérer la chose:
le bateau tanguait à droite, tous le monde était convié à être balayé de ce coté. Le mat du bateau venait de tomber, laissant Jolene sous le rideau de velours. Les cris retentissais de nouveau, projetant ici et là deux trois morceaux d'estomacs, de boyaux...
sous son rideau, Jolene découpait méticuleusement le rideau en forme de cercle. Un fois arrivé à cela, elle s'assayait, rangeait ce large morceau autours de son buste, elle observait les environs, catastrophiques. Un morceau du corps du serpent vint frôler sa cuisse.

"eh va ton chemin Serpent de mes deux! Et puis laisse moi tranquille, je ne suis pas d'humeur Je t'assure que si jamais tu oses ne serais-ce une fois dans ta misérable existence de me toucher ne serais-ce que par méchanceté, tu te souviendras de moi toute ta vie. Et la, se sera ton arrêt de mort laquais infernal!"

le morceau du serpent ne bougeait pas. Elle soupirait très longuement avant de se relever, d'épousseter sa jupe et de sortir son épée et d'abattre un morceau de bois à peine plus grand qu'elle. Elle le prit, le poussa vers la rambarde jusqu'à ce que Jolene soit projetée contre la cabine du chef.
Ce qui la fit saigner au niveau du visage. Et à moitié dans les vapes, elle se relava en titubant, la main sur son visage, l'autre sur son épée qu'elle n'avait pas lâchée.
Elle se leva, énervée par tant de haine et de colère, prit son épée à deux mains, et sans hésiter une seconde, laissa la rage l'envahir, elle leva son épée bien haut, sauta aussi haut que son esprit pouvait lui procurer et s'élança dignement vers ce morceau de queue de serpent.
La lame pénétra dans la peau jusqu'à l'épiderme et même jusqu'à fendre le sol du navire. Le bout qui ne faisait pas plus de quatre mètres de long fouettait l'air,s'en fallait, frappant nerveusement le sol tandis que la créature dans un terrible cri de désespoir s'agitait dans tous les sens. Jo, vit le bateau partir dans le fond de l'océan avec les hommes et elle même. Elle n'eut juste qu'un très court instant pour voir le bateau virer dans la pénombre.

Au dernier moment, Jolene avait attrapée une corde, courrait sur tout le long du bateau, puis in extrémis, avait prit appuie sur la rambarde du Galion avec ses pieds et s'était projetée dans le ciel violine menaçant, tentant de se faire un parapluie avec le voile et la corde qu'elle avait chopée.
Maintenant, elle planait. À environs dix mètres de l'eau mais elle planait. Elle s'autorisait une petite pause, le temps de réfléchir à la suite, le bateau en principe remontrait une seconde fois à l'air, par propulsion hydraulique et resterait au moins cinq minutes aisément à la surface de l'eau, le temps qu'il soit totalement absorbé et engloutie par l'écume.
Et puis... d'ici trois mois, Jolene pourrait asservir sa vengeance personnel avec ce serpent miséricordieux.

Le bateau comme avertit ci contre re-montait un court instant. Jo » enleva alors son parachute, se retrouvant sur le galion de nouveau, cherchant un bout de bois long et solide...
elle entre aperçut ce qui semblait être une barque étroite qui servait certainement lors des embarcations.
Jo" virait les corps qui était dessus, coupa les cordes qui le recouvrait, et avec son incroyable dextérité, mit le radeau à l'eau en le tirant par les anneaux de fers.
Une fois à l'eau, elle remettait son parachute et sauta sur l'embarcation en douceur, retira son attirail, le mettant bien au fond de la barque, décrocha rapidement les rames de la barque et se mit à avancer le plus loin possible afin d'éviter que se faire engloutir par le champs d'eau du galion. Une fois ce la fait, elle voyait quelques personnes tenter de revenir à la surface. Certaines nageait vers elle, d'autres se faisait engloutir par le courant de l'eau, d'autres encore, prit par surprise par le serpent.

Elle encourageait les personnes à venir sur son bateau. Il y avait suffisamment de places pour y mettre une dizaine de personnes. Elle encouragea les personnes qui se trouvaient à quelques mètres d'elle en exclamant des « continuer vous allez bientôt y arriver! » « le plus dur est fait, à vous de ternir! Courage! » « c'est finis, encore deux mètres vous y êtes! »

une fois les personnes arrivées, elles les saluèrent, leurs demandant de se reposer. Elle prit alors le large en ramant, visiblement, son instinct lui ordonnait d'aller vers le nord, sans doute y avait il une terre là bas? Elle s'arrêta un instant, vérifiant son dos... oui, son épée batarde était toujours là, le liquide rouge toujours dessus. Avec un sourire presque immédiat, elle plongea sa main dans l'eau, histoire de prévenir le serpent qu'elle était là, belle et bien vivante et qu'elle n'hésiterais pas à le tuer...

elle reprit les rames et continuait à ramer, laissant les plus exténuer dormir, et les autres parler, raconter cette histoire, lui poser des question et sans ce soucier de quoi que ce soit, elle leurs répondait.

Aodhàn était accoté sur le côté quand tout arriva, enfin... accoté... Il était plutôt placé tranquillement entre deux gros participants qui ne tiendraient pas longtemps s'il tentaient de venir faire chier le pauvre Umbrien pas très patient. Surtout quand on pense que cette présentation interminable n'en fini plus et qu'il ne fait que parler constamment pour rien dire. La grande question était en réalité, pourquoi cet enfant sans pouvoir avait été choisi plutôt qu'Aodhàn et son charisme? Enfin bon, ça ne devrait pas être facile de sortir de ce bateau à la con et d'aller régler le compte à ce petit prétentieux pour ensuite prendre sa place au sein des chef de ce groupe. Il pourrait ensuite aller tuer quelques esprits et chasser toutes créatures légèrement supérieur à lui pour finalement avoir la chance de contrôler un peu les gens. Ces maudits esprits disparaîtraient enfin des mondes (esprit déchus compris) et tout le monde serait content. Mais pour l'instant, il fallait prouver à ces idiot de l'ordre du Nouveau qu'il était le meilleur. Voilà qu'apparemment cette chance était arrivée...

Les garçon disparut, les bateau chavira, les deux gros autour d'Aodhàn vint écraser celui-ci sous leur poids et des méchants fantômes attaquèrent la troupe de joyeux lurons. Bien-sûr, le jeune garçon ne fut pas immédiatement vu comme une cible, étant donné qu'il était occupé à se sortir de deux gros sumo qui l'écrasaient sans broncher. Rapidement, sa faible patience fut détruite et il se contentât de poser les pointes de ses cheveux rouges et brulants sur les fesses d'une des sumos (vous imaginez sa position actuelle) ce qui fit crier le Gros type et il se releva en fonçant dans un "mur". Un fois ce petit détail réglé, le jeune Garçon regardât autour de lui afin de reprendre ses repères et marchât tranquillement sur le mur qui lui servait de plancher à la recherche d'un bon point pour sortir. Alors que beaucoup mouraient et se battaient contre les spectres et le serpent géant, lui empilait quelques tables afin de renforcer le plancher et ainsi pouvoir se propulser sans aucun danger pour le bateau. Il fallait surtout dire qu'il était très difficile de s'envoler avec du feu quand on a les pieds dans l'eau...

Une fois les tables empilés, le jeune homme donna un coup de pied à un des spectres qui était tombé son son empilage maison et grimpa sur les tables pour avoir une belle vue du dessus. Il créa une grosse boule de feu dans sa main et la lança vers le haut où elle brula le boit du côté Tribord puis frappât la peau tout mouillée du serpent. Voyant que l'eau sur les écailles de la créature n,aidait pas vraiment à créer un passage dans on corps, Aodhàn haussa un sourcil, baissant la tête vers un type qui se faisait couper en rondelles près de lui. C'était d'ailleurs assez étrange qu'aucun des squelettes vienne l'attaquer, mais apparemment le narrateur avait notre Héros dans son cœur pour une fois. Le fameux garçon soupira et ferma sa main grande ouverte vers le haut d'un coup. Ceci fit exploser la boule de feu sur la créature qui lâchât un gros cri, mais ne bougeât pas. L'Umbrien baissa à nouveau la tête et la releva avec un air furieux vers la la peau du serpent à moitié cuite.

"Maudit monstre à marde! Vas tu me laisser passer ou je te brule tellement que tu vas rêver que tu nage dans l'eau, même si c'est le cas!" Remarquant que la créature n'entendait pas à cause du raffut autour de lui "Bob ben... Je t'aurai prévenu!"

Dit-il en envoyant autant de feu qu'il pouvait hors de ses pieds pour s'envoler puis d'en lancer tout autant par ses mains afin de bruler un gros trou dans le serpent. Une fois chose faite, le jeune homme se retrouvât sur le côté Tribord du bateau, un serpent fou de rage à côté de lui. Ne portant aucune attention aux squelettes qui criaient au mort en bas et du fait qu'il avait bruler vif certains de ses compatriotes, il se mit à donner quelques coups de pieds au corps du serpent. Celui-ci lâchât littéralement le bateau et poussa un puissant cri avant de casser le navire en deux et de s'enfoncer dans la mer agitée. Adohàn prit bon pied sur la coque coulant et détruite du navire avant de s'essuyer les mains et de regarder vers la lune, comme les grands héros le feraient après avoir faite un acte héroïque. Il remarquât ensuite Elio, qui faisait apparemment des idiotes et qui commença à créer un grand chemin de glace. Il remarquât ensuite le serpent qui revenait, risquant d'exploser le chemin de glace par le fait même.

"Quoi?! T'en veux encore?"

Il se lança en l'air, même si ses petites jambes ne lui permettaient pas vraiment de sauter très haut, se propulsant avec quelques coups de jet de feu. Alors que le serpent sautât hors de l'eau, la grande gueule ouverte, le jeune Umbrien remarquât que ses pouvoirs faiblissait et qu'il n'aurait pas l'énergie pour bruler le serpent. Les choses dévirent encore plus problématiques quand le serpent avala le jeune héros et s'en retourna serrer son navire. Il était clair que ce bateau avait été enduit de phéromones, sinon il n'aurait jamais serrer cette chose comme ça! Malheureusement, ce n'était pas le temps de réfléchir quand on était en train de ce faire manger par un gros serpent... Ainsi, Aodhàn utilisa la Lave dont était fait les pointes de ses cheveux pour bruler l'estomac du serpent. Cette chose ne devrait plus tenir très longtemps et coula au fond de la mer, laissant le jeune garçon sortir par les nombreux trous qu'il avait créer dans la chose. Bien-sûr, il tomba presque dans les pommes et des fermiers le retrouvèrent plus tard, mais ça c'est un autre histoire...

Valiane hurla à la mort. Un sifflement strident et furieux s’échappa de sa gorge. Cependant ne mélangeons pas tout…ce n’était en rien un cri d’impuissance ou de douleur…juste de rage. Cette morveuse venait de l’attaquer par derrière, comme une lâche. Mais elle ne pouvait pas réagir, en accord avec le plan concocté avec Tetsu. N’empêche, s’ils se montraient tous aussi coquelet et agressif elle ne tiendrait plus longtemps. De rogne, elle se contenta de regarder Jolene partir et resserra inconsciemment son étreinte sur sa proie en marmonnant en silence les paroles de cette misérable…

*Serpent de mes deux… misérable existence…me souvenir de toi hein ? Jolene tu n’a pas idée…*

Les yeux du serpent s’animèrent d’une haine difficilement contrôlable. Avec un effort de volonté surhumain elle se reprit sur elle-même et continua son travaille, imperturbablement. Le bateau sombrait peu à peu, il sombrerait dans peu de temps mais Valiane n’en avait cure. Mais elle que le reptile se calmait peu à peu de sa rencontre avec Jolene, il dut retenir un nouveau cri de rage. Cette fois c’était du feu, un gugusse était en train de lui tirer dessus des boules de feux. Sentant l’odeur de d’écailles roussies lui monter au visage le serpent claqua des mâchoires dans un bruit sec et puissant. Cette fois il en était trop. Plan ou pas, Valiane allait écraser ses souris une fois pour toute. Elle n’avait jamais été quelqu’un de patient et n’était pas prête de le devenir. Sa queue amochée claqua sur le pont du navire, faisant exploser au passage quelque planche. D’un geste vif elle tourna la tête vers l’être qu’elle reconnaissait comme étant Aodhan et s’apprêta à le gober tout cru. Mais elle fut arrêtée dans son mouvement par un fantôme au milieu de son chemin. Sans même le vouloir elle l’avala tout cru, surprise par cette proie inattendue. Prise de cour, elle ne vi pas venir le jeune homme qui déboula à fond de balle, un mur d’électricité devant lui. Le reptile inspira profondément, très profondément. Surtout, oui surtout, résister à la tentation de le réduire en miette. Bon gré mal gré le serpent se laissa faire, encaissant presque entièrement l’attaque d’Arcania. Quoique Valiane en ai évité la plus grosse partie, le choc fut tout de même assez violent pour la faire lâcher prise.

Après un regard assassin à Arcania elle se laissa tomber comme une pierre dans les flots. Puisqu’ils avaient tous les dont de vouloir la prendre par surprise, elle allait, elle aussi, jouer un peu. Non mais ! Et que Tetsu aille voir ailleurs si elle y était ! Tel un serpent géant des mers Valiane se déplaça dans les fonds marins invisible de la surface et chercha une proie pataugeant dans l’eau. Une fois cette dernière détectée, elle s’élança telle une flèche sur le pauvre malheureux qui s’apprêtait à se faire engloutir. Se ne fut qu’au dernier moment qu’elle reconnu Elio, pauvre malheureux bougre bien innocent à sa colère. D’un agile cou de queue elle s’écarta de sa trajectoire initiale mais ne put cependant s’empêcher de briser la glace formée par le jeune elf.

Une fois retourné à la surface, Valiane retrouva à son grand jeu son pyromane préféré. Après quelques attaques bien inutile, elle ouvrit un large bec et le goba cul sec. Aaaah quel plaisir de rassasier ainsi sa colère et sa rage. Quoi de mieux que de dévorer celui qui avait osé vous importuner ? Enfin, elle en avait encore deux autres en attente mais un, c’était déjà pas mal. Après un léger soupir d’aise le serpent remarqua que quelque chose clochait…Ça bougeait, juste là, sous sa gorge à hauteur du ventre. Erf, visiblement Aodhan ne lâchait toujours pas les armes. Une chaleur intense l’envahit, la submergea et commença à lui bruler les entrailles. Prise d’une légère panique elle se mit recracher tout le continu de son estomac, faisant travailler les muscles puissant de sa gorge et de son estomac. Avec stupeur le reptile se vit cracher des litres de lave avant d’enfin revoir la bobine de jeune aventurier. Mais alors qu’elle s’apprêtait à le reprendre entre ses crocs, le contact entre la lave et l’eau produisit un important dégagement de fumée. De rage le serpent hurla à nouveau que cette fois on ne l’y prendrait plus.

Elle replongea pour la deuxième fois au milieu des flots, croisant au passage l’un des derniers à tenter l’aventure, un certain Johrmund. Une fois au fond de la mer elle s’autorisa quelques secondes de répit, reprenant le contrôle sur elle-même. Encore un peu et elle allait tous les réduire en miettes. Après une dernière seconde de repos elle s’élança pour la dernière fois. Il était temps de rassembler les troupes, le jeu avait assez duré. Remontant à toute vitesse vers le haut, elle s’empara au passage de Johrmund sans aucun ménagement entre deux de ses crocs et fendit la surface. Loin de vouloir s’arrèter le reptile fonça sur Aodhan et l’attrapa par la jambe, prenant soin au passage de la perforer profondément avec ses crocs pointus.

*C’est c’est pour le lavage d’estomac.*

Elle se jeta ensuite sur la barque de Jolene, le fit exploser en morceau et s’empara de la demoiselle par l’épaule, enfonça cette fois encore ses crocs bien plus que nécessaire dans la chair tendre de la jeune fille.

« Le premier qui bouge je le perforent de bas en haut. Étant donné que vous êtes trois à vous partager ma gueule, vous devrez dès lors assumer votre mort mais celle des deux autres aussi. »

Sans plus aucun commentaire elle fila vers Elio, s’empara de la corde accrocher à l’avant de l’embarcation et le tracta à vive allure jusqu’à la rive. L’embarcation s’élança de peut dans les aires, parcourant presque toute la longueur de la plage. Avec un dédain non contenu elle recracha ses trois proies avant de leur lancer un regard assassin.

« Tetsu…Donnes-moi une seul raison pour que je n’éclate pas en mille éclat leur orgueil et leur vanité… »

C’est alors que le reptile bougea se ramenant peu à peu sur lui-même. À la vue de tous Valiane reprit sa forme originel, celle d’une belle demoiselle aux cheveux noirs de jais. Les dizaines de bijoux, clochettes, perles et autres objets décoratifs qui ornaient ses cheveux s’entrechoquèrent dans un doux bruit cristallin alors qu’elle fixait d’un regard bleu à faire pâlir un saphir son interlocuteur. Pour l’occasion elle s’était vêtue légèrement. Très légèrement. De hautes bottes de cuir couvraient de fines jambes dénudées presque jusqu’à la taille. Elle portait un épaisse ceinture sur laquelle était accrochée plusieurs compartiment plus au moins gros sans oublier les fourreaux de ses deux katanas. Un top, un foulard d’un blanc resplendissant au cou et un air bravache sur le visage. Avec un haussement d’épaule elle s’approcha d’Arcania assoupi sur la rive et shoota dedans avec un plaisir mal dissimulé. La vengeance était un plat qui se mangeait froid, certes. Mais il était tellement jouissif de la dévorer encore chaude…

« Il me semble que les consignes de Tetsuko était claire Arcania. Mourir ou vivre à nos côtés. Alors tu te lèves ou tu veux que je t’achève ? »

Il n’en manquait plus qu’un…mais où est-il ? Mystère. Tant pis pour lui. Sur le coup elle en avait marre de jouer les gardiennes de l’école maternelle. Avec des gestes précis et sûre elle s’empara d’une cigarette et d’une allumette qu’elle craqua. Quelque instants suffirent pour qu’elle se retrouve cloppe un bec, un sourire figé sur les lèvres.

« Bon alors…Avant toute chose je tiens à signaler quelques détails…Jolene : Ici, c’est moi qui décide, que tu le veuilles où non. Je te touche quand je veux, où je veux et tes menaces me font bien rire. Aodhan : je te remercie pour ce lavage d’estomac express, je te revaudrais ça l’ami. Arcania : c’était quoi cette attaque par surprise ? Es-tu lâche ? Et puis la foudre et le vent n’est pas la meilleur des attaques…à ton niveau elle n’est pas encore assez précise et assez puissante. Elio : Bienvenue à bord moussaillon ! Tetsuko : la prochaine fois que tu propose encore un de ses plans foireux, fais-moi penser à te couper tes belles oreilles en petits morceaux. »

Valiane inspira profondément, reprenant sa respiration avec difficulté. Elle ne s’était pas attendue à autant d’opposition, ses misérables s’étaient montré bien plus rebelles et moins soumit que prévu. Il lui faudrait quelques temps pour récupérer sa pleine puissance, elle gardait en bouche le goût âcre de la lave et sentait sa jambe droite saigner dans sa chaussure.

« Je me nomme Valiane Sytry de Trehlnor, représentante et chef de l’Ordre Nouveau et surnommée "la renarde" par certains. Si mon autorité ne vous plaît pas, je ne vous retiens pas. Je tiens cependant à signaler que ceux qui resteront ici s’engage à ne jamais s’opposer à moi ou il en coûtera de votre vie. Je suis impatiente, élitiste, bravache, grande gueule, colérique, insouciante, dédaigneuse et j’en passe. Quant à mes qualités se sera à vous à les découvrir. À vous de choisir… »

Valiane les fixa tour à tour, impassible, la cigarette aux lèvres.

« Une dernière chose tout de même...lui c'est "le chat perché" ou "chaton"»

Dit-elle en lançant un léger clin d'oeil à Tetsuko.

[c'est à tetsu à répondre]

Tetsuko Katho --> 6xp
Valiane De Trehlnor --> 4xp
Johrmund Yggd --> 4xp
Arcania D.Cysique --> 4xp
Aodhán Fernis --> 4xp
Elio Endral --> 4xp
Jolene Barnes --> 4xp
Gabnon Terestion --> 4xp

+ La validation des membres dans la guilde demandé par Tets

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