Terre, arme, armure [Terminé]

L'entraînement de la jeune femme l'avait finalement mené ici. Elle aimait tant s'entraîner dans cette contrée qu'elle avait poursuivi son chemin, s'éloignant complètement de la cité de Soleriès. Elle avait tant voulu changer d'air, qu'elle avait ainsi poursuivi son chemin dans une parcelle qui s'appelait plus communément « Plaine Verdoyante ». Cet étendue d'herbe portait excellement bien son nom car en fait elle n'était surplombé que d'herbes assez hautes, allant peut-être à rencontrer quelques grands arbres ou seulement quelques arbustes en cours de route. Toph aimait plutôt bien cette atmosphère, qui lui permettait de ressentir pleinement la nature.

Elle avait favorisé ce lieu pour l'entraînement du don qu'elle venait acquérir. C'était plutôt marrant car depuis quelques jours, elle ne pensait qu'à celui-ci. D'ailleurs, sa vie ne semblait déprendre que de ce pouvoir, aussi magnifique soit-il. Elle souhaitait le contrôler à merveille ressentant le don de ce pouvoir, étrangement au premier qu'elle possédait : la force de bénédiction permettant de soigner des plaies ouvertes légèrement. En fait, elle remarquait qu'elle ne créait que des sphères d'énergies autour des plaies en n'atténuant que rapidement la douleur et commençait à croire qu'elle n'était pas destiné à faire de lui, un très grand pouvoir.

Elle c'était ainsi assise au sol, prête à faire une sorte de « méditation » pour décontracter ces muscles et ouvrir ses sens. Elle sentait la terre sous ses pieds, lui donnant l'impression de ressentir le fait qu'elle soit comme dans un autre monde. Elle leva les mains, restant assisse et sentit arrivé la terre dans ses mains. D'un pied, elle se mit sur un genou, se tenant sur l'autre. Elle appuya son pied pour poser ses deux pieds au sol, et pour bouger ses membres dans différentes directions pour être libre de ces mouvements. Elle attrapa deux nouvelles particules de terre qui vinrent aussitôt dans ses mains. Elle s'agita et décida de créer une nouvelle. Elle fit apparaître de la terre autour de son bras pour créer une sorte de poing de terre. La sensation était ainsi impressionnante et très intéressante. Le reste suivrait...