Héhé! Tu crois que c'est ouvert? O.o [Terminé]

Sannen sifflait un petit air joyeux qu'il avait entendu dans une taverne. Il marchait dans les rues de Tenemas, les mains dans les poches et se sentait joyeux pour une fois, même malgré les grosses brutes qui se battaient et les prostitués qui le draguaient autour de lui. Ce jour-là, rien, ou presque rien, ne pourait l'importuner. Il était joyeux car il sortait d'un bar et avait gagné un sacré tas de fric aux dés. Qu'allait-il faire de tout cet argent ? Pour le moment, il n'en savait rien, mais le fais d'avoir tant d'argent était réjouissant.

Il marchait le long de la muraille, frôlant le long mur de grosses pierres du bout de ses doigts. Il était plutôt fréquent de voir passer au-dessus de sa tête des gardes qui le regardaient bizarrement, comme s'il s'attendaient à ce qu'il ne fasses quelque chose de mal. Certains essayaient même d'éloigner l'ange déchu en reniflant bruyamment puis en crachant à côté de lui.

*Si jamais un mollard me tombe dessus, je les jette dans les douves.*

L'être ailé s'occupait en regardant les ombres des gardes : Certaines étaient petites, d'autres grandes, mais elles possédaient toutes une grosse armure avec l'ombre d'une petite plume sur le sommet du casque et une longue lance dans la main. Soudainement une ombre apparut. Cela aurait pu être un garde qui prenait son service mais il n'avait ni l'armure, ni la plume, ni la lance. Peut-être ce "garde" allait-il s'équiper avec l'armure de l'un de ses collègues, mais il semblait éviter tous ses amis. De plus, l'ombre avait une longue queue et de petites oreilles pointues...

*Un neko ! Je vais l'étriper, le massacrer, le déchirer ! Non... Il faut que je garde mon calme. Ce n'est pas forcément mon ennemi. Zen.*

Se concentrant à nouveau sur l'ombre, il remarqua qu'une autre suivait la première, mais très discrètement. Comme si elle ne voulait pas que le neko ne la repères.

Sannen décida après un long moment de grimper la muraille et de voir qui étaient donc ces deux petits intrus. Il déploya ses ailes mais au moment de s'envoler, quelque chose s'agrippa à ses ailes. Il se retourna et fût rassuré de voir que ce 'était pas un garde qui lui demandait ce qu'il s'apprêtait à faire, mais un ivrogne qui tenait à peine debout.

-Z'orez pas une... Hips !... Tite pièce pour un homme dans le b'soin ? Hips !

Le démon ne répondit même pas et se relâcha de l'emprise du clochard avant de s'envoler. Une fois en haut de la muraille, il remarqua que les deux personnes qu'il suivait avait disparues. Il pesta contre l'ivrogne et se mit en marche discrètement, mais à peine avait-il fait un pas que l'homme en bas de la muraille reformula sa demande, mais cette fois-ci en hurlant.

-Aller quoi ! ! ! Juste une petite pièce, monsieur en haut de la muraille ! ! !

*Crétin !*

Les gardes se retournèrent vers Sannen et lorsqu'ils le virent, ils commencèrent tous à courir vers le "visiteur nocturne". Celui-ci jeta une pièce au pauvre pour qu'il arrêtes de le suivre. Il remercia l'ange avec un petit air satisfait avant de s'écrouler. Pendant ce temps, l'être ailé tentait de convaincre les gardes qu'il n'était pas un intrus, mais ils ne voulaient pas le croire et continuaient à courir le long de la muraille, lances pintées en avant. Sannen ne voulait pas les tuer car ils n'avaient rien fait de mal à par leurs sale boulot. Il s'envola donc à toute vitesse.

Il vola pendant un long moment durant lequel il pouvait sentir les flèches des archers et les paroles empoisonnées des gardes lui raser le crane. Une fois qu'il eut enfin atteint la muraille de l'autre côté de la ville, il s'y posa discrètement alors qu'il entendait les gardes faire sonner l'alerte au loin. Heureusement, comme il l'avait prévu, les deux vrais intrus apparurent devant Sannen.

-Tien, tien... Je me doutais bien que c'était toi... Vaiarii. Et avec un nouvel ami en plus. Bien je vais vous laisser vous amuser seuls. Je reviendrai lorsqu'il ne restera plus que de la charpie de vous. Sur ce...

L'umbrien s'envola et observa du ciel les vingtaines de gardes qui étaient partis à la recherche de Sannen repérer les deux nouveaux intrus et en faire leurs nouvelles cibles.

HRP: On est sur les murailles de la cité.

Sannen observait la course poursuite dans la citadelle et sur les toits comme s'il voyait deux petites souris se faire courser par une horde de renard. Non, pas des souris, des rats. Ou des poules. Il observait les gardes tomber les uns après les autres tels des dominos.

*Ou des loups, tout compte fait...*

Au bout d'un moment il se rendit compte que s'il se fiait à sa comparaison homme/animal, les deux chassées étaient de tigres du bengale, les gardes des renards, et lui... Un petit moineau.

-Ah, non ! Ca va pas aller, ça !

L'ange déchu était puissant comme un aigle. Ou au-moins rusé comme un corbeau. En fait, quand il y pensait, ce qu'il voulait c'était la mort du neko, pas de l'autre homme qui ne lui avait rien fait. Il plongea à toute vitesse vers l'humain et l'attrapa au col puis décola dans les airs. Les archers visaient à présent le démon, mais le ratèrent, comme sur la muraille.

L'humain était habillé en majeur d'homme et n'arrêtait pas de gigoter dans tous les sens. Une fois qu'ils furent à au moins cinqcents mètres de hauteur, Sannen menaça l'humain de le lâcher s'il n'arrêtait pas de bouger et que toute chute serait mortelle à cette hauteur.

Au bout d'un moment, il posa le majeur d'homme au sol, loin de la course poursuite et décolla aussitôt. Il ne tarda pas à revenir d'où il était parti et ramassa des briques sur le toit d'une bâtisse. Il se positionna juste au-dessus du chat et lâcha les briques qui n'arrêtainent pas de le rater mais le ralentissaient légèrement, le rapprochant petit à petit des gardes, prêts à l'écorcher, à l'étriper. Mais il était rapide, et entre chaque projectile, il reprenait de la distance.

Sannen vida rapidement son stock de biques, et il ne lui en resta plus qu'une seul. Il n'aurait pas le temps de retourner chercher d'autres pierres ou projectiles et il fallait donc qu'il ne l'abattes avec celle-ci. Cela comblerait surement son envie de vengeance et il pourrait enfin passer une vie tranquille, des nuits paisibles. Il visa et ses doigts s'ouvrirent. La brique tomba pendant quelques secondes, des secondes qui semblaient durer des heures. La brique se retrouva rapidement au-dessus de la tête du chat, à seulement quelques millimètres de celle-ci, tombant à une vitesse fulgurante. Il ne pouvait plus l'esquiver, sauf en cas de miracle. Mais il n'y avait ni rien, ni personne pour l'aider.

Il était seul.

*-Rusé comme un corbeau...*

Michaëlis ne comprit pas de suite ce qui lui arrivait. C’est juste quelques minutes plus tard qu’il se rendit compte que l’homme ailé l’avait porté loin de Vaiarii. Il lui en voulait à un ce point ?Il le menaça de le lacher si il continuait de bouger de la sorte, Mais il ne broncha pas. On l’avait menaçait de tant de chose , et puis de toute façon il n’avait rien à perdre. Il se fit déposé sur le sol puis abandonné loin de la bataille, ce qui ne lui plut pas du tout. Il passa une de ses mains dans ses cheveux, signes d’énervement.
　

Il refusait de se faire exclure de la sorte, mais il était tout de même loin du neko. Non pas qu’il craignait pour lui. Il pensait que celui-ci était assez fort, mais une excitation face au combat s’était animé en lui, et il ne voulait pas que cette sensation, les battements de son cœur, l’adrénaline qui le traversait ne s’estompe. Il ne savait pas trop où se diriger, mais il commença tout d’abord à courir, se fiant à son ouïe, mais il était carrément perdu. Il s’arrêta.


*et mince!!! Réfléchi réfléchi!*


Il ne réfléchi pas bien longtemps. Il allait utiliser son agilité. Il trouva un haut point dans la ville, et se hissa sur un toit et sauta de toit en toit. Au loin, il put apercevoir un attroupement . Il descendit un peu trop vite et failli se vautrer , ce n’était pas les gardes ni le neko. C’était une bande d’ivrognes et de jeunes délinquants. Ils devaient surement attendre une cible pour la martyrisé et la vidée de ses biens. Il ne fit aucun bruit, mais malheureusement l’un d’eux se retourna et fit une réflexion qui lui déplut fortement:


-Et bien, regardez moi ça, un larbin, tu cherches ton maître ?


Il ne releva pas et continua son chemin commençant à grimper sur une maison. Mais on le tira en arrière, il tomba au sol en position assise. Ils s’approchèrent tous de lui. Il se reçu une pluie de coups. Il ne broncha pas, mais un énervement sans limite l’avait déjà envahi. Une fois qu’ils en eu assez, il se leva, un sourire inquiétant aux lèvres.


-Vous avez fini ?


Il essuya le sang qui s'échappait d'entre ses lèvres, ils ne le virent pas sortir ses armes, ils les sentirent juste traverser leur chaires pour les laisser mort sur le sol. Il ne s’attarda pas et remonta sur un toit. Le majordome lécha le sang qui avait giclé sur sa main, puis il continua de chercher plus qu’énervé. Il bondit de sommet en sommet, lorsqu’il vit un flash dans le ciel. Il n’hésita pas et couru vers cette source de lumière.


Il descendit de son perchoir et vit une ombre dans le ciel qui semblait avoir du mal à volé. Mais cela l’importait peu. Il marcha le long d’une ruelle et vie une ombre orné d’oreilles de Neko, il marcha un peu plus vite mais tout de même sur ses gardes et fut vite rassuré.


*Enfin le voilà * se dit il


Apparemment , les gardes n’étaient plus à ses trousses et l’homme ailé non plus. Bref, pour l’instant ils avaient quelques minutes de répit.


*cette mission est plus difficile que je ne le pensais, et puis cet homme…*


-Je vois que tu as fait un peu de ménage. Dit il en reprenant ce discret sourire.


Il enleva le gant qu’il avait garder sur sa main droite et le jeta au loin. Il n’était plus utilisable, il était maculé de sang, de plus, il avait perdu son chapeau…

La brique fonçait à toute vitesse vers le neko, elle allait forcément le toucher, elle commençait déjà à entrer en contact avec sa nuque. Mais malheureusement, il avait de très bon réflexes et lorsqu'il sentit le projectile le toucher, il se jeta à terre. Elle cogna son derrière dans un craquement. Le chat se releva douloureusement, leva un bras et une chose étrange se produit. La citée fût baignée dans une vive lumière blanche.

Sannen était déséquilibré et couvrait ses yeux avec ses mains. Il essaya plusieurs fois de les réouvrir, mais il ne voyait absolument plus rien. Quelque chose heurta soudainement le dos de l'ange déchu et l'empêcha de battre des ailes. Une fois que sa vue se fût enfin réadaptée à l'obscurité de Tenemas, il se rendit compte que ce qu'il avait heurté, c'était un toit. Il se releva doucement en essayant de ne pas perdre son équilibre et secoua la tête.

*Je savais que j'aurais dû manger plus de carottes...*

Il n'était pas vraiment en état de s'envoler à nouveau et sauta du toit. Il atterrit au milieu des gardes qui se tortillaient encore et gémissaient par terre. L'un d'entre eux dit à voix basse que l'ange décu était en état d'arrestation et lui attrapa la cheville, mais l'être ailé se débarrassa facilement de l'emprise de l'homme. Il tourna en rond en cherchant la direction vers ou son ennemi aurai pu partir, mais ne trouva aucun indice pour l'aider à trouver cette piste. Il pourrait essayer toutes les rues à sa recherche vu que Vaiarii était blessé et qu'il ne pourrait pas aller bien loin, mais il n'avait vraiment pas que ça à faire.

Les gardes commençaient à se remetre du flash et se relevaient les uns après les autres. Sannen s'apprêtait à s'enfuir, mais une idée diabolique lui vint à l'esprit lorsqu'il remarqua le majeur d'homme qui arrivait au bout de la rue :

Alors qu'il ne s'y attendrait pas, les gardes lui sauteraient dessus. L'umbrien l'obligerait ensuite à dire vers ou était parti le neko. Discrètement, bien sûr. Etant tout de même "gentil", il tuerait les gardes et relâcherait l'humain. Mais il devait faire ça vite et sans bavure. Il faudrait aussi que le majeur d'homme tombes dans le piège. En gros, il avait vraiment peu de chances pour que cela ne fonctionnes.

Sannen se cacha derrière un mur et lorsque l'ami du neko fût assez proche, il cria au gardes :

-Le voilà ! C'est l'autre intrus, l'ami du chat ! Arrêtez-le ! ! !

Michaëlis regarda le neko s'éloigner. Il sortit donc ses lames doubles et regarda les gardes arriver vers lui. La seule chose qu'il ne voulait pas c'est qu'on le reconnaisse.


Il avait une réputation d'assassin , qui était bien mérité, auprès de toutes les autortités ce qui lui valait son surnom le "diable de majordome". Il ne voulait donc absolument pas qu'on l'attrape.


Il se mit en garde puis attaqua, il tranchait, égorgeait ,transperçait tout ceux qui avait le malheur d'être devant lui. il ne regardait pas ce qu'il faisait, il obéissait juste à cette excitation presque insoutenable face au sang et à la douleur. En cet instant, rien ne semblait pouvoir l'arrêté, il était dans son élément et prenait plaisirs à souiller ses lames de ce fluide si rouge et vital.


Des projectiles passaient à côté de lui sans l'atteindre, il le frolait mais jamais ne l'atteignait. Plus il tuait, plus il retrouvait cette nature qu'il avait pendant quelque temps oublié. Un sourire dure et carnacier marquait son visage. Il en oubliait le temps. Mais il savait qu'il en avait encore devant lui.


La lune éclairait se balai sanglant reflétant toute sa splendeur dans le sang, et montrant un démon assoifé de violence. Les gardes étaient encore en bon nombre, mais ils avaient déjà perdu plus d'un quart de leur effectif et cela plaisait beaucoup au majordome.


*Cela faisait si longtemps* se dit il *s'en est presque jouissif*


Il retrouvait les joies de ce qu'il avait été pendant longtemps, il riait aux éclats se souciant peu de sang qui giclait sur ses vêtement.


Il fini par ce calmer et s'arrêta devant des gardes appeuré, il marchait d'un pas lent vers eux. Il aiamait cette expression sur le visage de ses prochaines victimes. Il était à deux pas des gardes restants, il s'arrêta puis fit demi- tour, jugeant que ce jeu devait se terminer. Il se dir que les gardes avaient compris que si ils tentaient de le suivre, il serait mort avant même de l'avoir touché.


Il prit une autre rue pour rejoindre Vaiarii. Il ne voulait pas que quelqu'un puisse suivre celui ci en le suivant lui. Il rangea ses dagues et regarda une dernière fois son carnage, satisfait.


*En route*

Le plan rata à cause du neko. Ces trouillards de gardes s'étaient recroquevillés, laissant leurs derrière tremblant dépasser. Une vraie bande d'incapables qui ne bougeaient même pas le petit doigt en voyant leurs compagnons se faire massacrer sous leurs nez, et Sannen n'avait aucunement l'intention de leurs venir en aide. à un contre deux, ce serait du pur suicide. Mais bon, dans tous les cas, même s'il ne risquait rien, il les aurait laissés mourir. Tout compte fait, cela faisait peut-être un fléau de moins, car ils ne se seraient pas gênés de tuer Sannen s'ils l'avaient attrapés. Des dagues volaient ainsi que des têtes et des bras. Très vite, le sang coulait à flot dans les plaques d'égouts et seulement deux gardes restèrent en vie. Leurs ennemis avaient eu tellement pitié d'eux qu'ils ne les avaient pas achevées.

Les deux "visiteurs" s'éloignèrent de la scène de bataille tout heureux, tout ravis de ce qu'ils venaient de faire. L'ange déchu les suivi, mais pas en volant cette fois-ci vu que Vaiarii et son ami n'arrêtaient pas de regarder en l'air, à l'affut du moindre petit oiseau. En passant à côté des deux gardes toujours en vie qui regardaient dans la direction vers où était parti leurs ennemis, Sannen leurs trancha la gorge. Il tua le premier puis patienta pour que le deuxième homme en armure s'en rendes compte. Alors qu'il s'apprêtait à hurler, l'être ailé le fit taire à tout jamais.

Il reprit sa poursuite alors que ses botes faisaient un bruit de succion à chaque fois qu'elles décollaient du sol ensanglanté. Remarquant que ses ennemis regardaient aussi souvent derrière eux, l'umbrien décida de continuer sa marche silencieuse sur les toits plats de la citadelle. Cela lui permettait aussi de se rapprocher un peu plus du groupe et entendre la raison de leurs venue dans une citée si obscure. Une chose était sur, c'était pas pour la visiter...


Après une longue discussion animée, Sannen comprit enfin qu'ils étaient ici pour trouver un trésor caché dans la tour au milieu de Tenemas. L'un faisait ça pour son honneur, l'autre pour de l'argent.

*Un trésor ? Ici ? Incroyable...*

L'argent était, avec la vengeance, une chose passionnante aux yeux du démon. "L'argent ne fait pas le bonheur" disait-on. Franchement, il ne voyait pas où d'autre pouvait être le bonheur. Sans s'en rendre compte, l'ange déchu perdait sa discrétion : il n'était plus penché et marchait bruyamment. Il faisait surement tomber de petits cailloux sur ses ennemis, mais il n'en avait plus rien à faire.

Il fit un petit sifflement d'admiration et s'envola, juste au-dessus des deux amis. Il exécuta quelques vrilles en l'air en tournant en rond autour d'eux, mais en restant toujours assez haut en l'air pour qu'aucun d'eux ne puisses lui sauter dessus.

-Ca va, en bas ? Belle journée, hein ? D'ailleurs, merci pour les renseignements !

Il partit ensuite "à fond la caisse" vers la tour avec un sourire cruel et effrayant.

-Je suis trop méchant... Et c'est ça qui est drôle ! Malin comme un corb... Comme un renard ! Malin comme un renard, merde !

Le jeune majordome était bien content qu'enfin, l'ange déchu soit hors d'état de nuire, du moins pendant un moment. La dernière remarque de son compagnon de route le fit doucement rigolé et calma la tention qui était monté en lui lorsqu'il avait entendu c'est être diabolique les remercier pour les renseignements.


C'était officiel, Michaëlis aimait bien le côté sadique et calculateur de cet homme, cela faisait un adversaire de taille, mais detestait tout de même la façon qu'il avait de les retarder alors qu'ils arrivaient prés du but. Il espérait de tout coeur qu'il allait rester là où il était jusqu'à ce qu'ils aient fini.


Vaiarii fit une petite révérence pour le laisser passer. Ce geste qui était en général le sien le fit sourire, et à la proposition du neko, vue comme les choses étaient partit, il se dit que grimper serait bien mieux, et cela serai un peu plus fun que de rentrer, de s'annoncer et de tuer tout le monde. Il y avait quelques prises sus la tour qui allaient leur permettre de grimper facilement , même si il avait un grapin.


Il commencèrent alors leur ascension, qui fut un peu plus éprouvante que ne le pensait Michaëlis, mais qui fut rapide et pour une fois dans cette soirée, sans encombre. Dire que le jeune homme c'était dit que cette mission serai une balade de santé, ses vêtements étaient déjà souillé par le sang. Enfin, au moins il n'était pas venu pour rien et n'était pas déçu le moins du monde. De l'action, il n'y avait rien de tel. Ils arrivèrent enfin en haut de la tour, par reflexe, Michaëlis regarda le ciel et en bas.

*Ne sait on jamais * se dit il


Il ne savait pas du tout où se diriger dans cette tour, il n'en avait entendue parler que très rarement et ne connaissait rien de son histoire et de ce qu'il y avait dedans, autre que le trésor. Ils avancèrent d'un pas assuré mais aussi tout deux sur leur garde. Personne ne rodait dans ce coin, il était rassuré. Mais une porte se dressait devant eux.


En effet, de tout les côtés de cette tour, il y avait des portes, de sorte de protégé ce qu'elle contenait. Michaëlis n'avait apparemment rien amené pour ce genre de situation, il avait pensé qu'un coup de pied aurait suffi, ou encore de casser des chaines. Mais en fait non, il y avait une serrure et la porte paraissait d'une soldité sans égale.


Il avait déjà vue les compétences de Vaiarii en piège, il se dit que surement, il devait avoir quelque chose pour crocheter cette porte. Il le regarda pendant un moment, puis lui fit la même révérence qu'il lui avait faite tout à l'heure.


-a vous l'honneur mon cher...

Sannen volait à toute vitesse vers la tour au raz du sol. Il tourna la tête pour tirer sa lange au chat et pendant ce quart de seconde, ce tout petit instant, il ne voyait pas où il mettait les pieds. Un énorme filet lui tomba dessus et s'emmêla dans ses ailes. Il regarda, énervé, les deux amis s'enfuir. Il se demanda pourquoi ils ne l'avaient pas achevés, mais il comprit en voyant d'autres troupes armées s'avancer vers lui. Il essaya à son tour de s'enfuir, mais le filet resserra son emprise autour de lui.

-Je suis innocent ! Ce sont ces deux personnes qui ont tué vos amis ! Il faut à tout prix les...

-Mais oui ! L'interrompit le chef de la troupe. Vous ne nous aurez pas une deuxième fois. Maintenant, vous allez gentiment nous dire où sont allés vos deux amis. Sortez-le de ce filet !

Deux hommes musclés découpèrent le filet avec leurs épées et en sortirent l'être ailé. Ils l'attrapèrent au niveau des bras dans une position douloureuse.

-Je n'en ai aucune idée. Et ce ne sont pas mes amis.

-Mensonges !

Le garde essaya de lui mettre un coup de poing, mais l'emprise de ses employés n'était pas assez forte. Sannen dégagea son bras gauche de la prise et attrapa le poing du général à quelques centimètres de son visage.

-Pesonne n'a le droit de me traiter de la sorte.

Son ennemi essaya de hurler de douleur, mais son cri resta coincé dans sa gorge. Ses hommes de main aussi étaient tellement effrayés qu'ils n'osaient pas intervenir en voyant ce qui se produisait : le bras de leurs chef se transforma en une grossière pierre. Une fois que la transformation fût achevée, ce qui se passa plutôt rapidement, le garde s'écroula et réussit à hurler. L'ange déchu pu s'envoler tranquillement, sans que personne ne l'en empeches. Une fois qu'il fût en l'air, les mercenaires se jetèrent tous sur leur général pour lui venir en aide. Mais ils ne pouvaient rien y faire.

L'umbrien se dirigeait à présent vers la tour, mais cette fois-ci en restant bien en hauteur pour ne pas se faire reprendre par un stupide piège.

Michaëlis prit la phrase du jeune neko comme un défi et s'avança devant le dessin qui semblait en tout point vivant. Quel enchanteur aurai put faire cela, il devait être sacrément doué.


Ceci étant dit, le majordome se rappela les devinettes, et le regard plus que diabolique sur lui et ses compagnon la fois où ils avait faillit se faire étripé par l'imprudence de Vaiarii. Mais cela lui avait beaucoup apporté et cette aventure resterait lopngtemps dans sa mémoire.

Mais le temps des souvenirs n'était plus. Il réfléchi quelques minutes.Repassant la devinette plusieurs fois dans sa tête.


Je suis une plante
On ne m'arrose jamais
Quand on m'écrase je ne meurs pas
Quelle sorte de plante suis-je ?


L'humain se dit qu'il n'y avait que cela:

-La plante des pieds...

Le visage sembla le fixer longuement sans lui répondre. Ce serait il trompé ?
Il recula de quelques pas, se préparant à esquiver quelque chose qui n'arriverait peut être pas, mais il préférait prendre ses précautions. Après tout en cette soirée de tout les dangers, rien n'était plus sur. Les deux jeunes gens ne pouvaient compter que sur eux même, et parfois même devaient se couvrir l'un l'autre comme précedemment pour se sortir d'une situation délicate...


Michaëlis s'appuya non chalemment, contre un mur attendant patiemment avec une pointe d'inquiétude la réponse de cette chose qui les regardait avec attention. Il ne les lachait pas des yeux, il les regardait comme une bête curieuse cherchant à savoir qui est ce qui lui faisait face...

Sannen marmonnait dans sa barbe tout en préparant une vengeance égale, voire même pire que ce que le neko venait de lui faire. Non mais pour qui le prenait-il ? Un oiseau en cage ? De plus, à cause de son inattention, ses deux ennemis avaient surement déjà obtenu le trésor qu'il aurait dû avoir. Mais bon, cela ne le gênait pas spécialement. Il les ratrapperaient et leurs voleraient l'argent grâce à un peu d'intelligence ou avec un piège tel que celui que lui avait tendu Vaiarii.

Sannen volait à une vitesse normale, toujours en direction de la tour mais en regardant vers le bas, s'attendant qu'un piège ne l'ait du sol. Le vent sifflait entre ses plumes qui vibraient. Le vent venait de derrière lui ce qui l'aidait à avancer plutôt rapidement sans avoir à se fatiguer. Il imaginait la scène du chef des gardes qui rentrait chez lui et expliquait à sa femme ce qui était arrivé à son bras. Rien que de penser à la tête qu'allait faire sa femme, il éclata de rire. Il se sentait bien diabolique. Peut-être même trop. A force de rigoler les yeux fermés, il ne vit pas qu'il était très proche de la tour. Il arrêta de rire seulement lorsqu'il s'étala sur les tuiles du monument, un peu dans le même style que les personnages de dessins animés qui s'écrasent contre un mur et qui glissent lentement vers le bas, c'est-à-dire dans la plupart des cas, dans le vide. L'ange déchu essaya de s'accrocher aux tuiles qui se présentaient sous sa main, mais elles se décrochaient toutes et allaient dans sa tête. S'il chutait, c'était la mort assurée car au moment de frapper le toit, il avait battu des ailes. Elles avaient donc amorties la chute et devaient surement êtres cassées, les rendant inutiles. Sannen allait tomber dans le vide lorsque, heureusement pour lui, une tuile, celle sous sa main gauche, ne se décrocha pas. Il se tira sur le toit tout en faisant bien attention à ses jestes, car la tuile devait être très légèrement accrochée. Effectivement, une fois en "sécurité", la tuile tomba. L'être ailé fît une petite prière en rigolant pour elle avant qu'elle ne s'éclates au sol.

Ses ailes lui faisaient souffrir le martyre, mais ce n'étaient pas son occupation principale, même si cela allait grandement nuire à ses plans. Il les entoura avec des morceaux de son T-shirt pour qu'elles arrêtent de bouger tel un bras désarticulé. Il repéra ensuite la seule fenêtre de son côté de la tour et escalada la façade vers le bas. Une fois arrivé juste au-dessus de la fenêtre, qui d'ailleurs avait été brisé, il vérifia qu'il n'y ait personne dans la pièce avant d'y renter. Et comme il s'y attendais, les deux compagnons étaient juste là. Il aurait pu les tuer par derrière, mais il voulait voir ce qui allait se produire.

En face d'eux se trouvait une grande porte en pierre comme les autres... A un détail près. Un grand visage d'homme y était incrusté et il parlait.

-Vous avez correctement répondu à mon énigme. Je vous autorise le passage.

Apparament, Sannen avait raté quelque chose qui avait l'air intéressant. Poussé par la curiosité, il entra dans la salle et ne put se retenir de poser une question :

-Quelle énigme ? De quoi parlez vous ?

Il n'avait pas pu se retenir de demander. Se rendant compte qu'il venait de faire une grosse erreur en attirant l'attention de ses deux ennemis, il essaya de sauver la mise en se rappelant qu'ils ne savaient pas qu'il ne pouvait plus voler.

-Cela ne servira à rien de m'attaquer. Je suis juste à côté de la fenêtre et je m'envolerai à la moindre menace.

Il n'avait vraiment rien trouvé de mieux. En même temps, il n'avait pas vraiment eu le temps de réfléchir. Si jamais ses ennemis décidaient tout de même de tenter leurs chance et d'attaquer l'umbrien, alors il serait vraiment mal barré. Il pourrait toujours tenter de se défendre, mais il n'était vraiment pas sur de reussir...

Décidément, le majordome aimait bien ce gars la. Il avait été prit dans un piège, ses ailes semblaient lui faire souffrir et pourtant, il ne reculait devant rien ,les menaçants de sauter et d'utiliser ses capacités de voler si ils avaient le malheur de l'approcher. Un léger sourire en coin anima son visage. Vaiarii lui demanda d'ouvrir la porte pendant que celui ci tenait l'umbrien, il acqiesça. Il regarda tout d'abord ce qui pourrais l'aider, il n'y avait pas grand chose dans cette pièce, et il voulait surtout éviter de casser ses armes.


Il passa derrière l'ange déchu pour passer sa tête par la fenêtre en quête d'un accessoire utile, puis il eut une idée. il y avait près de la fenètre un levier, qui semblait pouvoir accueillir une chaine ou encore une corde. Il chercha une chaine qu'il trouva facilement dans un coin de la salle. Il l'accrocha au levier et aussi au petit crochet qui se trouvait sur la porte entrouverte. Il fit en sorte que celle ci fut bien tendu. Il observa la porte.

*Elle me semble lourde*

Il lui faudrait y mettre beaucoup de force. Il revint vers le levier puis enleva sa cravate qui commençait serieusement à le gener. Il la jeta par terre. Il se dit qu'il aurait bien eut besoin de ses gants à cet instant pour ne pas se blesser, seulement il les avait aussi jeter. Il se craqua les doigts puis tint le levier fermement.


Il tira une première fois, sans succés. La porte était vraiment dure à ouvrir, et si il lachait le levier, il avait peur que celle ci se referme aussitot, il prit une corde et l'attacha au dehors faisant un noeud coulant pour pouvoir garder la porte ouverte même si il lachait tout.


Il se concentra et tira de toute ses forces. La porte sembla tout d'abord le narguer, puis elle bougea doucement mais surement. Elle glissa lentement, son poids pret à dechirer les muscles de quiconque voudrait l'ouvrir, mais le jeune humain en vint à bout. elle s'ouvrit enfin à eux.


Michaëlis fit glisser la corde de sorte que le noeud se resserre, ainsi la porte était ouverte. Il souffla deux minutes, se remettant de son effort puis s'avança doucement vers l'ouverture. Il était stupéfait de ce qu'il voyait mais ne laissa rien paraître. Il dit juste une phrase:


-La salle est vide... complétement vide...

La porte en face de Sannen s'entrouvrit légèrement. Alors que l'humain s'acharnait à trouver des objets qui pourraient lui être utile pour pénétrer dans le coffre fort, le neko, lui, demanda calmement a l'umbrien de jeter son fouet à ses pieds.

-Hahaha ! aucune chance pour que je te le refile. Donnes moi UNE SEULE raison pour que je te fasses confiace, et dans ce cas là, tu pourras le prendre. Par contre, je te promets que tant que tu ne m'attaqueras pas, je ne dégainerai pas mon arme.

Pour prouver que ce qu'il disait était vrai, il attacha son fouet à sa ceinture. Avec l'attache, cela lui prendrait long-temps à la sortir. Par contre, s'il devait se défendre, il utiliserai sa dague. Il fixa ensuite son ennemi avec insistance pour se préparer à la moindre menace.

Pendant ce temps, l'humain avait réussi à trouver une chaine qu'il avait accrochée au levier. Il avait l'air de tirer à s'en exploser les bras dessus. La porte finit par céder et elle se souleva en laissant tomber un nuage de poussière. Sannen se désintéressa de Vaiarii quelques instants pour voir le fameux trésor. Ne voyant rien à cause de la poussière qui bloquait la vue, il se jeta les bras en avant vers la pièce en criant que le trésor était pour lui.

Dans sa course effrénée vers tout cet or, tous ses bijoux et tous ces joyaux qui n'attendaient plus que sa venue, il ne remarqua pas la dalle cassée qui dépassait du sol. Son pied se planta dedans et il se vautra sur le dur carrelage. Heureusement, ses bras avaient amortis sa chute, ce qui était nouveau car lorsqu'il chutait, c'était toujours son visage qui s'écrasait par-terre en premier. Et tout le monde faisait comme ça. Il était donc le premier homme à découvrir que les bras amortissaient la chute !

-Un petit pas pour moi, un grand pas pour l'umbiennetée.

effectivement, il n'avait aucunement l'intention de révéler sa nouvelle découverte aux lucinien et aux harmoniens...

Revenant à sa situation actuelle, l'ange déchu put enfin admirer l'incroyable oeuvre qu'il avait tant attendue de voir. Et ce magnifique trésor c'était... Le vide. Rien-du-tout. Niet. Combien coutait le vide ? Surement des milliards le milligramme ! Le seul problème, c'était que le vide n'avait aucun poids.

Sannen retira ses bras qui le soutenaient et son visage put enfin s'écraser contre les dalles.

-NOOOOON ! Je suis maudit ! Tout ça pour... Pour... RIEN !

Michaëlis s'executa. Il regarda son environnement, tatant les murs, cherchant une porte caché, un passage secret. Il avait fixé toute son attention sur sur les murs et les graphismes qui y étaient. Des frises, montrants des batailles, des victoires et des défaites. Il les caressa du bout des doigts, trouvant ceux ci assez bien faites. Ca devait être de fines mains qui les avaient dessiné.


Il continua sa reherche avec un peu moins d'entrain. Il commançait à desespérer. Ce trésor, existait il vraiment ou était ce vraiment une de ces légendes urbaines qui se transmettaient de génération dans toutes la familles vivant modestement ou aisément ? Il commençait à croire cela, car dans cette pièce, à part l'air ambiant, il n'y avait rien. Pas un objet, pas une trape, pas une porte, pas un levier.


De plus ils ne pouvaient en aucun cas faire demi tour. Un démon surement enragé devait les attendres de pied ferme ou encore manigancer un plan pour les faires échouer dans leur mission. Mais au moin cela donnait du piment à cette aventure.


Michaëlis avait la tête dans le s nuages, il ne pensait plus a ce qu'il était en train de faire, il frolait les murs mais c'est à peine si il s 'en rendait compte. Il marcha sur le sol plat et entendit un léger cliquetit qui ne l'alerta pas pour autant. Il fit encore quelques pas, puis sans le remarquer, une trape s'ouvrit sous ses pieds.


Il se sentit juste tomber. Il s'accrocha au rebord appelant Vaiarii en renfort. Mais avant même que celui ci arrive, Michaëlis se fit happer par une force brut et sauvage qui le jeta au fond du trou où il se trouvait . Son dos cogna violemment contre le sol ce qui lui tira un gémissement de douleur. Ses yeux n'étant pas encore habituer à cette obscurité total, il ne pouvait voir son ennemi.


Un coup l'attegnit au niveau de l'estomac, le faisant tituber vers l'arrière, et une lame semblait lui avoir écorché la joue. Il retrouva son souffle assez rapidement et se mit en garde. Une ombre menaçante se tenait devant lui, elle était plus grande que lui et semblait plus costaud. Le majordome sortit ses armes :

-Qui êtes vous ?

Deux minutes qui semblaient être une eternité passa avant qu'il n'ai une réponse.

-Je suis le gardien de cet endroit, et vous ne passerez pas...

Michaëlis se baissa sous la directive de Vaiarii, la seule pensée qui lui vint à l'esprit quand il entendit celui ci dire qu'il avait peur des bêtes et si il avait vraiment besoin d'aide fut: Boulet.


Apparemment il devrait se débrouiller seul, dans le noir. La bête qui était devant lui était énorme et avait plusieurs pattes. Bon la il se dit qu'il y avait peut être de quoi être effrayé, mais ne sachant toujours pas à quelle genre de créature il avait à faire, il dut ce contenter de son ouïe, pour esquiver , du moins essayé, car plusieurs fois d'affilé, il se prit un coup de patte, tranchant ses vêtement et parfois même sa peau.


Une fois de plus il se remit en garde, cette, la concentration était de rigueur. Il ne devait en aucun cas se faire toucher une fois de plus sinon à ce rythme la, il n'aurait plus aucun vêtement sur le dos. Il joua donc de sa rapidité qui commençait à diminuer, la fatigue se faisant sentir, puis trancha quelque chose de long et de dure. Un long grognement lui répondit, et un liquide poisseux atteri sur son visage d'une pâleur inégalable.


Il continua donc sa besogne, tranchant les membres de la bête un à un, la faisant tomber à même le sol qui semblait poussiereux. Elle n'avait plus aucun appui, et donc, le reste de son corps était à la merci du majordome. Il s'en approcha et d'un geste souple du poignet trancha ce qui restait d'elle pour la laissé morte sur le sol dur et inconfortable.


Il rangea ses armes, essuya du mieux qu'il put le liquide qui avait précedemment atterit sur son visage, et tatat ses vêtements pour voir ce qu'il en restait, et à dire vrai, ils étaient moins endommagé que ne le pensait le porteur, bien que dans le noir, il ne pouvait pas voir exactement ce qui lui restait sur le dos. Il regarda en haut et vit encore le neko en train de le regarder. Il sourit discrètement et lui dit:

-Tu peux déscendre, elle est morte... Tu vois, il n'y a pas que toi qui fais tout le boulot