Rencontre dans une ruelle sombre... Quelle promesse ! [Pv Eleazar][Terminé]

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A travers cette forêt, Narau n'avait rien à observer. La nature était belle certes, mais la beauté, il la voyait tous les jours parmi son beau miroir qui lui répétait chaque instant qui était le plus beau... C'est à dire lui. Puis enfin les feuillages furent moins dense et une ville effroyablement grande apparut devant ses yeux. C'était beau, soit. Mais au fond de lui, il sentait comme une attirance physique. Il cherchait du changement et sa route se trouvait sous ses yeux. La ville était grande et belle... il avait l'impression de regarder à nouveau dans un miroir et de voir son reflet. Un beau reflet. Du haut de ses deux mètres, le chapeau comprit, il se dirigea sans même prendre la peine de suivre le chemin indiqué ou encore d'attendre son guide. Il s'était déjà lassé de cette personnes et ceci sans même lui avoir adressé la moindre parole. Oui, durant tout le voyage il n'a rien dit au guide, si ce n'est un "Bonjour". Ce guide avait une voix très désagréable, il faut dire. Et enfin la ville, enfin il l'avait atteint et enfin il a pu se séparer de ce guide insupportable.

La ville peinte par les rayons lunaire éclatait emmenait d'une étrange lueur, une sorte d'aura qui la rendait encore plus attirante. Comme à chaque coup de cœur, il ralentit, profitant de ce spectacle. Toute beauté méritait observation et respect. Il hésita de peur de voir s'évaporer cette merveille. Puis enfin, il pénétra la ville, toujours d'un pas lent, observant le moindre détail de cette ville. Rien que poser le pied sur les pavés froid de cette ville tenait du rêve... Le plus beau dans cette ville n'était pas la ville en elle-même, mais le mélange de culture dans cette ville. C'est ca l'équilibre, et l'équilibre c'est beau. Pour une homme comme Narau qui se lasse très vite, seul une ville comme Equillios pourrait lui servir de foyer permanent. La première maison était typiquement humaine, puis quelques mètres plus loin vous trouvez une maison. Si vous avez faim vous pouvez allez manger un steak à la bière, plat nain, ou vous pouvez aller dévorer de l'humain dans un restaurants orc.

La ville était pour le moment déserte. Le grand incube était là, fixant une maison. Aucun individu ne se risquait par ici. C'était l'endroit rêvé pour fantasmer. Fantasmer de quoi ? De la solitude. Ses paupières étaient lourdes. L'appel du sommeil était tentant. La tentation était un fléau. Aucun homme n'a jamais résisté à ses nombreux appels. La tentation est une sensation, un bien existentiel. Aucun homme ne peut vivre sans dormir. Or, le sommeil appellent les hommes, à eux de décider d'y sombrer ou de résister. Pour le moment, Narau résistait. Les choses les plus longues étaient les meilleurs, alors pourquoi ne pas faire durer le plaisir ? A plusieurs reprises, son menton tapa son torse, mais à chaque fois, dans un sursaut il se redressait. Bientôt ses yeux s'habituèrent aux ténèbres et il put jouir des détails que lui cachait l'obscurité. Il vit devant lui une maison à moitié enterré dans le sol. Des murs en pierre brute, une cheminé dans la même matière et un toit triangulaire fait en paille sèche. Vu la hauteur de l'habitation qui est loin d'être grande, Narau était presque aussi grand que la maison, c'était soit de fabrication naine, soit c'était fabriqué par un nain. Seulement voilà, l'inévitable arriva et il finit par s'en lasser. Tant mieux, juste à cotés il y avait un autre bâtiment tout à fait différent. Décidément il adore cette ville. L'Harmonien s'est retourné avant de marcher vers, nan, avant de marcher tout simplement. Pendant qu'il marchait, l'homme a fermé les yeux. Il marchait en dormant...

Se faire arracher de l'étreinte de son amant est l'une des situation les plus douloureuse et les plus tristes, surtout lorsqu'il s'agit du favori et du plus fidèle. Embrassant le corps nu et musclé de Morphée, Narau ne sentit pas la sentence arriver. Un choc. Il percuta un petit être, en fait il avait une taille tout à fait honorable, mais comparé à Narau beaucoup paraissent petits. Le grand homme se releva difficilement et jeta un regard à l'homme en face de lui. On ne voyait pas son visage à cause de sa capuche et de l'obscurité. D'ailleurs il portait une longue robe noir qui le rendait quasi-invisible. L'humain aux cheveux verts dominait l'homme encapuchonné grâce à sa taille, mais un détail le dérangeait. En effet, il sentait le vent caresser ses cheveux, ce qui est impossible vu que normalement il porte un chapeau qui protège sa chevelure verte du vent... Il posa sa main sur sa tête, et effectivement son chapeau a disparut.

" - Je souhaite retrouver mon chapeau. Je ne suis pas du tout ravie de te rencontrer, qui que tu sois. Je te connais depuis même pas trente seconde et déjà tu ne m'as apporter que des ennuis. Je marchait, j'avais mon chapeau. Je te rencontre, je tombe et je perd mon chapeau. Maintenant, je veux mon chapeau. "

Le ton de sa voix était calme, mais l'on sentait aisément de la colère dans sa voix. Le chapeau était, en réalité tombé de la tête de Narau lorsqu'il est tombé (l'arme caché à l'interieur par la même occasion). Mais ce dernier n'avait pas prit la peine de le chercher.

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La lune, cet astre majestieux, brillait d'une éclatante lumière cette nuit là. Depuis combien de temps avait-il quitter Umbra ? Eleazar n'en savait rien, les nuits défilaient aussi rapidement que le sable dans un sablier, trois jours ? Une semaine ? Qui sait... peut-être même plus... Quoi qu'il en soit, il été parvenue la nuit dernière à Equillios, une cité à l'étrange architecture. Chaque habitant s'était construit sa propre maison, avec ses propres formes et couleurs sans tenir compte de ces voisins.

* Quelle étrange coutume que celle-ci... *

Dans les montagnes d'Umbra, les villages étaient tous sans exeptions constitués de pierres grisatres et froides, toutes se ressemblaient, en faite, tous les villages se ressemblaient.

La nuit Equillios était déserte, la seul compagnie qu'avait le presque vampire était la lune qu'il ne se lassait pas de contempler.

* J'ai beau savoir que j'ai changé de monde, j'ai l'impression de voir le même astre... Est-ce normal ou bien juste mon imagination... J'ai tant de questions et si peu de réponses... *

Depuis que son Maitre était mort, Eleazar n'avait plus de réponse à ses questions. Il passait ses nuits à vagabonder seul, lui, la lune et ses pensées. Le jour, il se trouvait un lieu abrité du soleil et tentait de dormir un peu, mais c'était peine perdu avec toute l'agitation qui reignait dans la capitale une fois l'ardent soleil dans le ciel. Mais le soleil n'était rien face au regard des gens, a chaque fois que quelqu'un l'appercevait, il voyait les sourcils se froncer, et les regard se détourner. Lui qui avait toujours vécu seul, la voilà qu'il était plongé dans l'une des plus grandes villes des trois mondes, encore une fois seul face au regards des autres.

En effet, de part son physique, il était plus que facile de retrouver ses origines, des yeux rouges et manteau noir, il ne pouvait venir que D'Umbra, or ce monde, il l'apprit bien vite, n'avait pas très bonne réputation en ville.

Mais à présent il faisait nuit, les gens étaient partis dormir, Eleazar avait donc la ville pour presque lui tout seul, tant qu'il faisait profil bas devant les gardes et autres noctambules...

Le jeune garçon marchait tranquillement dans les rues sombres, observant les différentes bâtisses, tentant de mettre une race sur leur propriétaire, mais c'était, la plupart du temps, peine perdu du fait de sa maigre connaissance du monde. Soudain, à un embranchement, un homme surgis. Il semblait plutôt petit, recroquevillait comme il était, dans son sillage flotait une étrange odeur qu'Eleazar reconnu sans mal, le douce fragence de l'alcool. Le garçon savait qu'il fallait se méfier des ivrognes comme celui qu'il avait en face de lui.

* On ne sait jamais comment ils vont réagir... *

Par crainte d'éveiller l'attention, Eleazar passa à côté de lui en longeant l'autre mur, mais ce ne fut pas suffisant et l'homme se retourna brusquement vers lui, manquant de trébucher.

" EH PEtit... PETIT ! T'aurait pas une p'tite piec'ette à me n'donner par hazard ? "

Le garçon lui fit face, reculant légèrement.

" Désolé, je n'ai pas d'argent sur moi... "

Mais au moment où Eleazar se retournait pour partir, l'homme lui aggripa le bras d'une poigne rendu violente par la boisson.

" Tu serrais pas en train de m'embobiner par hazard ! Vu la façon dont t'es fringué tu dois pas manquer dozaille... Regardez-moi cette épée... "

L'ivrogne approcha sa moins poissseuse de la rapière qui pendait à l'un des côtés du garçon. Aussitôt, ce dernier réagis, d'un coup d'épaule, il se dégagea de l'emprise de l'homme puis lui attrapa le poignet qui ce dirigeait vers son arme.

" Ne touchez pas à ça, elle à moi ! "

D'un geste, Eleazar repoussa l'homme qui s'écroula sur le mur d'en face, faisant tomber une piles de détritus entreposer là. Tout aurait pu se terminer là, mais un des gardes de la ville choisi cet instant pour pointer le bout de son nez et que vis-t-il ? Un jeune garçon habillé douteusement portant une rapière poussait un violement un citoyen rentrant chez lui et ce, en pleine nuit !

" Eh toi ! Qu'est-ce que tu fait ! Reste là ! "

Inutile de préciser qu'Eleazar n'écouta pas un mot du garde et pris ses jambes son cou, une chance pour lui, ses facultés le rendait plus rapide que le garde, de plus son manteau noir le rendait presque invisible dans ces ruelles étroites. Un coup d'oeil en arrière lui appris qu'il avait semé le garde, et un violent choc en avant, qu'il venait de heurter quelque chose...

Surpris, Eleazar faillit tomber à la renverse, une fois son équilibre retrouvé, il observa ce dans quoi il venait de rentrer. Contre attente, c'était un homme, et un grand homme, d'ailleurs, le garçon dû reculer pour pouvoir voir sa tête quand il se fut relevé du sol, et oui, les inconvéniants d'une capuche... La où il se trouvait, l'homme paraissait tout à fait banal, mais, Eleazar en était sûr, s'il avait rencontré cette personne dans une petit village des Lunaris, il l'aurait trouvé vraiment mal assorti au paysage.

Ces vêtements était essentiellement composaient de tissus au couleurs criarde avec une dominante verte. Le garçon aurait aimé pouvoir observer cet individu plus longtemps, néanmoins, il venait de bousculer se dernier...

" Excusez-moi, je ne vous avez pas vu... Vous n'avez rien de cassé au moins ? "

Mais l'homme semblait nullement affecter de part son etat physique, en faite, il semblait omnubilé par une chose...

" - Je souhaite retrouver mon chapeau. Je ne suis pas du tout ravie de te rencontrer, qui que tu sois. Je te connais depuis même pas trente seconde et déjà tu ne m'as apporter que des ennuis. Je marchais, j'avais mon chapeau. Je te rencontre, je tombe et je perd mon chapeau. Maintenant, je veux mon chapeau. "

Le garçon fut très surpris par la réponse de l'homme. Après quelques secondes d'incompréhension, Eleazar chercha du regard le dit chapeau et le trouva sans vraiment chercher, en faite, il était juste derrière le grand homme vert. C'était un grand chapeau, Eleazar n'en n'avait jamais vu de si grand, mais il est vrai que le jeune homme n'avait pas vu grand chose de sa vie...

" Excusez-moi mais... votre chapeau... Il est juste derrinère vous... là. "

Il eu tout juste le temps de montrer l'ascoire du doigt, qu'un bruit dans la ruelle derrière lui attira son attention, des bruits de courses !

* Le garde ! Il est plus têtu qu'il n'en avait l'aire... *

Eleazar se retourna alors vers la ruelle et effectivement, une silhouette s'approchait à grand pas. D'instant, il se recula, si bien qu'il était juste derrière l'étrange homme vert quand le soldat leur apparu pour de bon...

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" Excusez-moi mais... votre chapeau... Il est juste derrière vous... là. "

L'homme pointa ensuite l'immense chapeau vert du bout de son doigt. Les bruits de courses n'avaient pas échappés à Narau, mais franchement il s'en fichait comme de l'an quarante... Lui, ce qu'il voulait, c'était récupérer son chapeau, un point c'est tout. Non loin du chapeau, on pouvait voir une pomme verte comme la tenue de l'Harmonien et aussi trois bâton en métal relié les uns aux autres par une chaine. Le grand personnage tout habillé de vert remis son chapeau et ne manqua pas de remettre la pomme dans le chapeau.

" Oh les mains fils de chien ! Agression à main armé sur un innocent ! Ah ! Tu vas passer pas mal de temps en geôle ! Je m'arrang... "

Et là, vous me dites qu'il y a un problème... Et en effet il y a bien eu un problème, mais ca dépend pour qui. En l'occurrence, il y a eu un problème pour le garde. Narau en donnant un coup sec à transformé les trois bâton disparates en un seul et unique bâton de combat d'un mètre quatre-vingt. Et s'il a fait ca, ce n'est pas seulement pour impressionner son monde... Car une fois le bâton assemblé, l'homme en vert s'en est servi pour donner un violent coup d'estoc dans le visage du garde. Ce tomba sous le choc.

" Si je t'aide, c'est pour te remercier d'avoir retrouvé mon chapeau. "

A peine sa phrase énoncée, Narau sentit sa tête piquer. Il venait de ce recevoir un violent coup sur la tête, il réussit à contenir ses larmes, tentant de garder un minimum de dignité. Un deuxième garde était arrivé, donnant un violent coup de poing à l'arrière du crane de notre Harmonien préféré. Un deuxième garde avait donc fait son apparition. Ils étaient alors quatre sur la scène. Narau, l'inconnu qui a retrouvé le chapeau de Narau et deux gardes. Les deux gardes avait prit nos deux héros en "sandwich". Le grand personnage fit mine de vouloir frapper le garde avec son bâton. N'y voyant que du feux, le garde bloqua le bâton quand soudain ce dernier se divisa en trois à sa plus grand surprise ! Cela surprit son opposant, et ce dernier fut encore surpris quand un boule d'arcane apparut dans sa mains. Mais le spectacle était loin d'être finit ! Contre toute attente, plutôt que de la lancer sur son adversaire, il lança la sphère sur l'autre garde ! L'arcane frôla l'homme aux cheveux blanc, mais ne fit que le frôler ! Par contre elle n'a pas fait que frôler l'autre garde, bien au contraire, la boule d'énergie à toucher le garde en pleine tête provoquant une explosion plus impressionnante qu'autre chose... Plus des engelures sur le visage, rien de bien dangereux, mais quand même assez douloureux.

" Hedwë ?! "

Jamais à court de surprise, Narau rassembla son nunchaku à trois branches, formant ainsi, de nouveau un long bâton d'un mètre quatre-vingt. Le garde, trop occupé à se préoccupé du sort de son compagnon ne vit pas le retour de bâton. Un coup sec et violent sur le visage qui poussa le garde vers la droite. Nous avons donc un garde touché au visage par une mini-bombe et un autre legerement sonné... En les regardant plus attentivement, ca devenait clair... Non, vraiment clair. Ils étaient saouls. L'occasion parfaite pour fuir.

" Il est temps de filer ! "

Narau se saisit de la manche de... C'est dingue, il ne connaissait toujours pas son nom ! En tout cas, qui que soit l'homme aux cheveux blanc, Narau s'est saisit de sa manche et la emmener avec lui. Courant à travers une ruelle pour fuir avec celui sans qui, il n'aurait plus son précieux chapeau ! Mais là encore, il y a eu un évènement pour le moins inattendu... Un homme complètement saoul et surgit de nulle part à percuté les deux fuyards, laissant le temps aux deux gardes de rattraper les deux compères...

" J'te reconnais ! T'es le p'tit qui v'lait pas m'donner une piecette ! "

" Tu le connais ? "

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Décidement, le nouvel ami du jeune garçon était des plus surprenant. En effet, quand le chapeau était tombé au sol, ce dernier avait laissé échaper quelques objets pour le moins étrange tel une pomme ou une sorte de nunchaku géant. Enfin bref, ce qui compte après tout, ce qu'il savait ce qu"il fesait, car sitôt le garde arrivé, l'étrange vert ce saisi de son arme hors norme, assembla les trois partie pour former un baton de combat en écrasa la face du garde qui, quelques peu sonné, recula de quelques pas.

" Si je t'aide, c'est pour te remercier d'avoir retrouvé mon chapeau. "

Mais Eleazar n'eu pas le temps de l'en remercier que déjà, un autre garde fesait irruption !

* Il a dû appeler des renforts, il va falloir dégager de là au plus vite si on ne veux pas être submergé ! *

Le nouvel arrivant s'attaqua directement à l'homme vert, d'un coup de poing sur l'arrière du crane. Aussitôt, le défenseur du garçon répliqua d'un coup de baton latérale, mais ce dernier se désolidarisa au contact du bras de l'homme. En même instant, le chapeauté fit apparaitre une sphère verte dans son autre main qu'il lança sur le premier garde, frolant Eleazar de près avant d'exploser en plein sur la figure de la cible, mais elle ne fit que peu de dégat. L'homme vert ne s'était pas arrêter la, son baton de nouveau solide, il profita de la surprise du second pour lui en coler un bon coup sur le crane.

" Il est temps de filer ! "

" Tout à fait d'accord ! "

Lui agripant la manche, l'homme vert entraina Eleazar à sa suite, s'enfonçant dans le dédalle de ruelles que constituait la ville. Malheureusement, leur course fut vite interrompu par un élément perturbateur: le poivrot !

" Attention ! "

Mais ils ne purent l'éviter. La bousculade stopa leur élant, derrière eux, ont entendait distinctement les gardes qui était à leur poursuite.

" J'te reconnais ! T'es le p'tit qui v'lait pas m'donner une piecette ! "

" Tu le connais ? "

Eleazar leva les yeux vers son interocuteur, le souffle court.

" Plus ou moins, c'est de sa faute si le garde me poursuivait... "

" Comment-ça d'MA faute !? S'tu m'avais donner un ch'ti que'que chose... "

" Ils sont là !! "

D'un geste, Eleazar se retourna pour voir les deux gardes daigainer leur sabre.

" Je m'en occupe... "

Le garçon s'envença vers eux, sa rapière toujours au foureau.

" Partez si vous tenez à la vie... "

Les deux gardes se regardèrent avant d'éclater de rire. Finalement, l'un d'eux s'élença vers le garçon, lame en avant. Quelques secondes avant que la pointe ne transperçe sa poitrine, Eleazar tournoya sur lui même juste à temps pour éviter la terrible pointe, en même temps, il daigaina sa rapière qu'il plongea dans le coeur de son adversaire, tout c'était passé trop vite pour qu'il ne puisse réagir. D'un geste, le garçon délegea son arme de la poitrine de sa victime qui tomba en avant.

De l'autre côté de la ruelle, l'autre garde était autant surpris qu'horrifier, de peur, il fit un pas en arrière, prémice d'une fuite...

" Trop tard ! "

Eleazar s'élança vers lui à une vitesse fulgurante, il embrocha le second garde de la même manière que le précédent, à la différence que ce dernier tomba en arrière. D'un geste vif, le garçon essuya sa lame sur les vêtement du cadavre encore chaud avant de ranger son arme à son côté gauche.

Finalement, il se retourna vers l'homme vert.

" Au faite, je m'appelle Eleazar, et vous ? "

Mais soudain, les yeux du jeune homme s'agrandir, dans les mains de l'ivrogne se tenait le chapeau vert de son compagnon...

Eleazar Van Honem --> 4xp
Narau Bestia --> 4xp

Les xps ont été attribués Wink

» Errance dans un brouillard sombre [PV Shiro Kerrigan] [Terminé]
» Dans la pénombre d'une ruelle... [Prio Fulenn]
» Une sombre promenade.... [Terminé]
» [/!\] Un endroit plutôt sombre apporte la lumière! [Terminé]
» Dans les rues. [Terminé.]