besoin d'un majordome ? Majordome pour vous servir

Quelle matinée, il en avait vue de toutes les couleurs.

Il venait de rentrer dans la demeure de ses maîtres, après une dure soirée. encore une mission impossible qu'ol lui avait octoyé, et qu'il avait tant bien que mal réussi à accomplir. Seulement, Michaëlis était toujours rentré à l'aube pour ne pas éveillé de soupçon, mais cette fois là, il n'avait pas fait attention et il avait flané un peu, trouvant la fraicheur du matin agréable. Et la vie s'éveillait dans la ville. Il avait donc prit son temps pour rentrer chez lui. Mais quand il poussa la porte, le maître de maison l'attendait de pied ferme. Il avait le visage déformé par la colère, et c'est une gifle qui l'accueilli. Le majordome ne broncha pas quelque peu surpris. De plus l'homme qui l'avait employé paraissait surpris lui aussi, il regardait Michaëlis de la tête au pied. En effet, celui ci n'était pas en très bon état.Ses vêtements étaient en grande partie déchiré, il avait des égratignures sur le visage et ses deux lames étaient apparentes. Le majordome se redressa et essaya de se donnerun sembkant d'allure. Seulement le mal était fait. On aurait dit que son maître avait inspiré tout l'air qui l'entourait pour lui hurler deçu à plein poumon. Ah ça Michaëlis s'en souviendrait. Comment avait il put être aussi négligeant?

Enfin bref. On lui avait laissé quelques vêtements, de quoi se changer et il avait une petite malette de cuire qui contenait ses effets personnels. Qu'allait il faire à présent ? Il ne savait pas. Il avait bien un chez lui, mais pour le moment, il se trouvait bien loin. Il n'allait tout de même pas se présenté dans une taverne et dire:

-Je suis sans travail, qui a besoin d'un majordome ?

Il secoua la tête, surement pas. Loin de lui cette idée. n'empêche que ça n'était pas une si mauvaise idée, enfin pratiqué autrement. Il gagna le marché et acheta une plume de l'ancre et un morceau de parchemin ancien, cela ferait plus d'effet. Il alla ensuite s'assoir sur un banc et prit sa plus belle écriture: "besoin d'un majordome ?" Il ne marqua que cette phrase sur cette feuille. C'était la première fois qu'il faisait cela, il avait absolument besoin d'un travail, cela lui servait souvent d'alibi lorsqu'il faisait ses méfaits quand la nuit arrivait, il fit un petit dessin d'un homme qui s'incline. il sourit devant son oeuvre. Cela devrait suffir. Il ajouta :"je serai dans cette taverne, et à votre service" Il alla dans la taverne en face du banc et déposa son affiche. Il esperait ne pas tomber sur quelqu'un de mal faisant... Enfin ce qui comptait, c'est qu'il ai du travail avant ce soir. Du moins ça serai le mieux pensa t-il...

Il s'assit à une table, prit un jus de fruits et attendit patiemment...

"Je penses qu'on me reconnaitra vue mon accoutrement..."

« excusez ma venue intempestive, je viens pour embaucher un employé en tant que maître de maison et majordome. J'ai pris soin de déchirer le papier à l'entrée dans le cas ou votre mémoire serait en proie à une amnésie ou une absence relativement aléatoire. Voyez par vous même. »

« Voyez, il se tient exemplairement bien pour un majordome. Mais si vous voulez rester, il vous faudra consommer et je ne parle pas de consommation « naturel » comme l'on dit dans les autres bars mais de consommation de bases. Que désirez vous? »

« Bonsoir monsieur, j'ai reconnue de par votre annonce et votre port vestimentaires que vous rechercher une emplois en tant que majordome, votre requête est elle toujours d'actualité? »

« Quels seraient vos convenances et qu'attendez vous d'un maître, vos attentes et vos prix. J'imagine que vous avez un peu de métier derrière vous pour ainsi porter ce digne accoutrement, quels serait l'idéale dans votre emploi à l'avenir? »

Le majordome resta toute la matinée en cette taverne où il avait déposé son annonce. Il commanda un boiss, qu'il ne but même pas. Il n'avait vraiment rin à faire en cette journée. Si il avait éte chez ses maîtres, il déborderai de tavail. Mais à dire vrai, cela ne l'avait jamais dérangé en fait. Tout ce travail ne lui paraissait pas titanesque,il faisait toujours tout à la perfection, ne laissait jamais rien au hasard. Aucune poussière ne lui resistait, la cuisine, il la faisait divinement. Quand il avait travaillé chez cette fameuse famille, il se sentait dans son élément, bien que ceci n'était qu'un couverture pour avoir des alibis quand il partai en mission. Mais cela lui convenait très bien, de plus , il adorait les vêtements qu'il portait, toujours avec ses gants, sa cravate et sa montre. D'où son surnom connu par la plupart des autorités le "diable de majordome"...
Enfin bref, tout ce qu'il espérait c'était qu'il trouve rapidement un travail, cela l'arrangerait fort.

Il regardait l'environnement jovial qui l'entourait. Les grands buveurs s'y trouvaient, mais sans faire de grabuge. Ils étaient au contraire fort respectueux envers cet établissement très sympathique, d'ailleurs, quelques personnes vinrent à sa table et commencèrent à discuter. Michaëlis n'y participa pas. Il se contentait d'écouté un peu distrait les ragots du jour, les histoires toujours plus hilarantes les unes que les autre. Il se leva et sortit un moment, il regarda sa montre une fois de plus et rangea ses cheveux, comme à son habitude. Il faisait beau, il y avait foule dans la rue, les marchands vendant des produits divers et variés faisaient leur publicité en criant de ci de là que leur marchandise était la meilleur. Puis les quelques personnes qui les écoutaient venaient voir de leurs yeux si ce qu'ils disaient était vrai.

N'ayant pas encore payé sa consommation,il retourna dans la taverne, à la place qu'il avait précedemment. Pendant encore des heures, il y resta se disant que peut être une personne viendrait un peu plus tard. Et il ne se tompa pas. Une jeune femme dans la fleur de l'âge se présenta dans la taverne. Elle se distingait de tout le monde. Elle portait une robe rouge s'accordant parfaitement avec sa démarche féline et son charme naturel. Le majordome la suivit du regard. Il se demandait bien ce qu'une femme de sa prestance venait faire ici. Puis il retourna à ses pensés. Mais il en fut bien vite tiré quand la jeune femme en question s'approcha. Elle fit une petite courbette par politesse, puis reprit sa position initial avant de lui parler. Elle avait totalement raison s'était bien lui. Un de ses sourires rares et plus que discret se déssina sur le visage du majordome avait il trouvé employeur ? Ca en avait tout l'air. Elle s'assi sur une chaise etse fut au tour de Michaëlis de s'adonner à quelques politesse. Il se leva et mit un genou à terre avant de baiser la main de la jeune femme. Il se releva ensuite.

La jeune femme lui demanda ce qu'il attendait d'un maître et son prix. Michaëlis n'avait aucun prix, après tout ça n'était qu'une couverture, qu'il prenait très à coeur.

-Avant tout je voudrais me présenter à vous... Je ne suis qu'un majordome qui cherche un travail. Vous fixerai vous même votre prix, cela dépendra de la satisfaction que vous aurez à l'égard de mon travail, de plus, je n'attend rien de mon maître , je n'attend de lui que ses ordres. Ordonnez et je ferais.

Il remit un genou à terre et baissa la tête en signe de respect. Un sourire franc fendit son visage, puis il releva ses yeux rouge sang sur la femme qui lui faisait face,il était réellement content et sa motivation n'en fut que plus grande:

-Michaëlis Kuso, majordome pour vous servir...

Une mission des plus importantes lui avait été confié, non pas tuer ou assassiner une pauvre petite âme en cavale ou quelque chose dans le genre... cela était bien grotesque pour une personne de son rang! mais une quête qui lui vaudrait de revenir dans le passé pour se projeter dans l'avenir. Rien de très émoustillant pour notre Cormyr et elle préférait trouver une personne qui s'occuperait de ses petits "chéris" jusqu'à ce qu'elle revienne de son long voyage de quelques semaines. Elle s'aventurait de bars en bars à la recherche d'une personne apte à répondre à ses attentes sans discuter. Ce Michaëlis lui paraissait conforme à sa sélection... un peu trop. Ces courbettes et gestes galants entraînaient bien plus de malaises chez Jolene en réalité qu'il ne le paraissait. Une légère teinture rouge éclairait ses paumettes et une bouffée de chaleur la prit d'assaut sans qu'elle n'aie eue le temps de dire "ouf". Le genou à terre... Jolene décelait bien là un geste de chevalerie... avait il été conçu pour ce genre de "classe"? Elle aurait tout le monopole d'en parler sans plus tarder. Son gêne était de plus en plus présent, même si elle avait du se montrer respectueuse mais ferme à l'égard de ce Michaëlis, comme tous bons patrons se devaient de faire, il n'en était pas moins qu'il était un individu semblable à elle, un humain ni plus ni moins et ils étaient sur le même point d'égalité. Jolene esquiva malgré tout un sourire inconfortable à ce majordome et tourna la tête vers cette table et son verre, même par respect elle ne pouvait pas se laisser ainsi se soumettre et accepter de la servir... alors qu'elle n'avait encore pas dit son dernier... ni même premier mot.

" Levez vous, sire Michaëlis, je ne veux point vous indisposer ni vous utiliser tant que je n'en saurais pas un minimum sur vous: prudence est mère de sûreté. Vous devriez savoir que Ténamas regorge de malfrats et que cela vous déplaise, je ne préfère pas vous embaucher avant d'avoir un minimum d'information sur vous. Asseyez vous donc... s'il vous plais."

Sans accorder un autre regard sur le majordome, le temps qu'il puisse s’asseoir de nouveau, elle prit son verre et en vida le quart du contenu, il fallait recharger sa langue avant de poursuivre son long discours sur ce qu'elle recherchait. Jolene refixa Michaëlis avec ses yeux aux reflets d'argents et l'incita à se mettre à l'aise, entretient d'embauche ou non, il était humain.

" Allons, ne faites pas cette tête! on dirait que vous sortez d'un asile de fous... ou que vous avez passé la journée au coté d'un poulpe géant ou d'une poule carnivore... ais-je une aussi belle tête que ces deux là pour vous incommodez autant? Je ne l'espère pas du moins... je ne suis pas un monstre... quoi que, cela pourrait se négocier!"

Elle reprit son verre en y faisant tinter les glaçons, un monstre dans une autre vie oui. Elle chassa ses mauvaises pensés, reposa l'objet et reprit.

" allons bon, dites moi donc, vous ne semblez pas si méchant que vous n'en avez l'air. *ton moqueur* je voudrais juste savoir de quoi vous êtes capable, pour cela je vous ferais passer des testes. Votre passé n'engage que vous, votre ancien maître avait ses propres manières de voir les choses comme chaque individus, je ne blâme donc personne, vous pouvez vous tenir tranquille. Dans un premier temps, je vous poserais des questions dont vous me répondrez, puis, je vous ferais passer des testes au sein même de cette auberge pour voir votre niveau d'adaptation et de vos capacités. Êtes vous en accord avec ma manière de procéder? monsieur Kuso!!! êtes vous opérationnel?"

Dans les circonstances, lui répondre "oui chef, bien chef" aurait plutôt été ironique et mal placé à la fois. Il ne restait plus qu'à ce dernier de répondre à la question posée et elle irait tout de suite, vite fait bien fait soudoyer le chef des lieux pour lui expliquer les manigances de son plans. Jolene avait une audace qui lui permettait de faire ce genre d'exercice ou bon lui semblait... même s'ils étaient au sein du château de Ténamas dans la salle de réception en plein milieu d'un banquet elle en aurait fait de même: le même niveau pour tous, pas de quartiers! Dalleurs, elle s’apprêtait déjà, avec son verre en main à aller voir le barman pour lui demander sa requête... au pire des cas, elle lui couperait la tête pour arriver à ses fins, cela n'aurait pas été gênant...

Michaëlis se releva donc sous l'ordre de la jeune femme, le temp qu'il regagne sa place sur sa chaise, elle avait déjà vidée le quart de son verre. Le fait qu'elle voulu savoir un peu plus sur lui ne le rassura pas. Il se tendit légèrement et dessera sa cravate. Mais la jeune femme le mit à l'aise après tout s'était un entretien d'embauche. ll enleva donc ses gants, laissant apparaitre ses tatouages qui en disait long sur son passé, mais seul lui en connaissait les signifcations. Passa lentement ses mains dans ses cheveux, et écouta attentivement . Il fut plutot soulagé de comprendre que la jeune femme était ouverte d'esprit, et qu'elle ne le jugerai pas. La petite phrase "vous ne semblez pas si méchant que vous n'en avez l'air." le fit doucement rigoler, car elle n'avait pas tout à fait tord, sous ses airs de majordome serviable, il pouvait être d'une cruauté sans égale comme il l'avait été dans le passé et comme il était jusqu'à maintenant. Pendant les missions qu'on lui donnait, le sang l'excitait plus que tout, et il faisait preuvre d'une violence maitrisé.

Il continua donc de l'écouter, sans l'interrompre une seule fois. Cette femme était doté d'une finesse féline et agressive. Elle était d'une beauté à la fois fragile et bestiale. Ce mélange étant parfaitement dosé donnait un resultat d'une magnificence sans égale. Mais le majordome constatant cela resta tout de même de marbre. La dernière phrase de la jeune femme lui permit de répondre. Bizarrement, il se dit que le fait qu'il soit un assassin demandé, elle ne lui reprocherai pas mais il voulait tout de même prendre ses précautions, il lui dirait peut un peu plus tard, ou si une de ses questions concernaient ce domaine. Il commença donc:

-Bien, comme je le disait précedemment, je ne suis qu'un majordome cherchant du travail.

Il s'interrompit une minute perturbé. Croirait elle à son histoire ?,qui n'était pas tout à fait fausse, mais quelque peu raccourci nous dirons . Il reprit donc:

-Je n'ai pas grand choseà dire, à part que jusqu'à hier, j'étaits un majordome parfait dans une famille correcte. Je fais de tout et je n'ai jamais rien refusé à mes maitres. Jamais...

Comme à son habitude, il ne disait que le stricte minimum, il n'aimais pas tout dire d'un coup à une personnes qu'il connaissait à peine. Mais il pensait bien qu'il devrait approfondir ses dires devant la jeune femme qui lui paraissait d'une prudence inégalable,mais ce qu'il attendait c'était les testes,dans une auberge ça promettait...

-Ceci dit, posez vos questions et j'y répondrait...

"un majordome dans une famille correcte humm? Je vous prierais d'établir de vrais propos à l'avenir, si nous voulions établir un rapport maître-servant, il vous faudra nous respecter l'un l'autre, et le mensonge n'est pas dans mon vocabulaire."

" la prochaine fois que vous ne souhaiteriez pas parler de choses fâcheuses, vous ferez place au silence, je ne vous force à rien avouer dans votre coté historique, vous vous confiez si vous en avez envie point. Espérons que le coté professionnel soit à la hauteur néanmoins. Sachez que je déteste l'hypocrisie, le mensonge et tous les phénomènes humains qui sont aussi bassement représentatif de leurs espèces. Reprenons ou nous en étions, attendez, je vais m'entretenir avec le barman."

" Si le sceau n'est pas suffisant, je peux également vous trancher la gorge ou vous condamner à une peine capitale. Acceptez vou sle marché?"

" bien, votre première mission sera d'accomplir plusieurs taches en une, il va falloir servir une tournée de tequilas à tous les gens qui sont ici sans renverser un seul verre. Nous avons une bonne cinquantaines de personnes, deux plateaux et quelques verres, voici votre première tache, la seconde sera de vérifier l'état de ses gens en même temps que vous les servirez, vous sentirez leurs énergies, certains seront dotés d'une âme plus sombre que d'autres, et quelques rares seront armés de deux dagues, une épée et d'une paire de gants camouflés... menez votre enquête et établissez moi un rapport et surtout, étonnez moi!"

Michaëlis sentit le léger coup de pied qui lui indica qu'il pouvait commencer mais avant, il voulait mettre les choses au clair. Il se leva et regarda sa montre, il la rangea et posa son regard sur la jeune femme avant de se pencher vers son oreille:

-Jeune demoiselle, loin de moi la pensée de vous mentir. Ce mot même n'existe pas dans mon vocabulaire, mais taire des informations, cette expression me convient mieux. Je ne m'adonne pas aux bassesses humaines qui m'ont moi même fait sombrer dans une folie sans précédent ne vous inquiétez de rien. Mais ceci dit ,si vous n'appreciez pas ma façon de faire, je ferais tout, que dis je, cela ne se reproduira pas.

Il dit tout cela sans aucune colère, mais au contraire avec courtoisie souhaitant que cette excuse soit prise au serieux et non pas comme une parole en l'air qu'il avait sortit juste pour se faire apprécier.
Il ft une petite courbette qui en témoigna.

-Si vous permettez.

Il se redressa et enleva sa veste remonta ses manches et se dirigea vers le comptoir, comme l'avait dit la jeune femme, il n'y avait que deux plateaux et quelques verres de ci de là. Il se dit que si il voulait faire ses preuves, il n'y avait pas de temps à perdre. Il respira un bon coup et s'élança. Il prit la boisson alcoolisé et se procura d'autre vers en un coup d'oeil, il avait vue qu'il y avait exactement cinquante deux personnes plus la jeune femme, il prit le nombre de verre adéquat. En quelque secondes, il avait fait une pyramide avec ceux ci sur un seul plateau et les avait déjà rempli. Telle une tempête, il passa dans la salle distribua les boissons a toute les tables, sans en oublier une, puis profita pour désarmer ceux qui l'étaient. Une feuille tronait sur le plateau, il y mit le nom des personnes ayant une aura malsaine et même ceux qui étaient bon,il mit le nom et la profession. Puis il revint avec tout ceci sur le plateau et une tequilas pour la demoiselle. Il déposa le plateau sur la table et lui tendi son verre,un genou a terre nullement essouflé.

-Je vous prit de m'excuser, votre verre n'a pas la même quantité que les autres et j'ai dut me réaprovisionné en verre derrière le bar.

Fit il d'une voix douce relevant son regard rouge sans sur le visage de la jeune femme. Pour ces deux erreurs allait elle le "recaler" ? Il n'éspérait pas. Bien qu'il savait lui même qu'il aurait put faire mieux. Mais sur le moment,il n'avait pas vraiment réfléchi, il n'avait fait qu'éxécuter souhaitant a tout prit être embauché. De plus si il l'était cela promettait d'être fort interessant...

" vous avez oubliés quelques détails... nous sommes tous ici au même niveau, le chef de l'auberge, le barman, les serveurs, les assassins, les gardes en vacances et la royale personne..."

" seconde étape, vous allez devoir gérer les conversations de toutes ces dames environnantes, plus précisément, il me faut savoir lesquelles parlent du château de Ténémas et des affaires royales. étant moi même un assassin, je vous prierais d'utiliser de vos atouts masculins pour les mener dehors et les assassiner impunément. Il y en a cinq ici, vous allez devoir exécuter cet ordre avant que je ne finisse d'écrire votre troisième étape."

* C'est partit! nous allons voir si ces traîtresse sont toujours aussi dévouées à leur roi...*

-Bien j'y vais de ce pas.

Il se concentra et put découvrir quelques conversation et particulièrement celle qui l'interessait. Elles étaient toutes à des tables différentes ce qui allait lui facilité la tache. Il detestait faire cela, utilisé son charme sur les femmes. Dieu seul sait ce qu'il avait du faire pour certaine famille juste pour avoir des informations mais en tant que bon majordom, il se devait de faire ce qu'on lui demandait. Il s'avança devant la première. Dés le premier regard, il sut que celle ci allait être une proie facile. Juste un coup d'oeil dont il avait le secret, puis elle se leva et le suivit sans un mot, une fois dehors, il lui posa quelques questions et elle y répondit sans aucune retenue. Il lui sourit et sans plus de serments, il lui trancha les veines du poignet. Il la porta discretement dans un coin reculé,il veilla lui même à ce qu'elle meurt en bon et du forme. Il revint dans le bar, les yeux voilé par un plaisir sans précédent. Les trois autres femmes furent un peu plus difficile à appaté, mais il réussi tout de même

La dernière par contre paraissait plus méfiante. Alors il se batisa lui même messagé du roi. Il lui dit simplement qu'il avait un message important à lui transmettre. Totalement dévoué à son roi elle se leva et l'accompagna,ils discutèrent un moment. Puis la jeune femme sembla fortement attiré par le majordome. Elle commençait à s'approcher dangereusement. Il se dit que c'était le moment, d'un geste ample, il lui trancha la gorge. Un peu de sang resta sur ses mains, il rentra et sans aucune gène mais tout de même avec sensualité, lécha le fluide rouge qui avait souillé ses mains. Ses yeux étaient plus rouge que d'habitude animé d'un plaisir malsain. Mais il se reprit vite et retourna à sa place.

Les trois jeunes femmes mortes à présent étaient chacune dans un coin différents de la ville. Il avai bien prit soin de les éloigner les unes des autres sans pour autant les sortirs de la ville.Il estima son travail fait et bien fait mais c'était à la jeune demoiselle d'en juger..

Il conta ensuite ce qu'il savait à la demoiselle qui se tenait devant elle espérant qu'elle soit satisfaite...

"... a prospéré au bon service de madame J.L.B. par différents tests, qui, ont ainsi permis de s'en remettre au service de sa majesté La Reine.

Fait à Soleriès, Lucina Le...."

" Je vous donne cela, vous l'ouvrirez lorsque je partirais, pas avant, rangez-le. u=Une dernière tache vous sera acquittée. *ajoute tout bas* Ainsi donc les espions sont partout, je remercie votre dévouement et apprécie grandement vos compétences mais..."

étrangers

Spoiler:

" écoutez moi bien, le Tomeho recherche les étrangers à Lucina, ses proies préférés sont les Umbriens et les Harmoniens, quand ils sont précédés par des gardes c'est qu'ils recherchent une personne. Ce test sera donc le dernier, il va falloir vous montrer pointilleux, sans pitiés... également calculateur et chevaleresque. Sur votre chemin en prenant soin d'ignorer les gardes et le Tomeho il vous faudra tuer cinq personnes, vous ne les louperez pas, elles se tenaient toutes à gauche des femmes. certains d'entre eux détiennent de vieux papiers jaunies par le temps dans leurs poches, il y en a trois, prenez les! Vous risqueriez de rencontrer les gardes...."

" Madame Barnes, vous êtes conviée à être arrêté par notre régiment numéro..."

" Si vous n'avez pas le choix, finissez les, je m'occuperais du Tomeho, rendez vous dehors...allez y maintenant!"

Michaëlis se redressa et d'un signe de tête fit savoir à la demoiselle qui lui faisait face que ses ordres seraient executé comme il lui plairait. Il s'éloigna donc. le jeune majordome avait vue le coup de pied discret mais destructeur de la jeune femme sur un homme, il se dit simplement qu'il n'aurait pas aimé être à sa place, car a ce qu'il en avait vue,il l'avait sentit passer. Enfin le temps n'était pas à la réfléction. Il commença par aller en direction des personnes qu'il devait exécuter discretement. Ses doubles lames étaient bien trop indiscrette, de ce fait , le majordome prit un couteau bien aiguisé sur une table et le fit entrer dans sa manche. Un des gardes le suivait, lentement mais surement. Michaëlis en fit abstraction pendant un moment et se laissa aller au rôle de serveur. Il prit un plateau et s'approcha du premier hommme, lui demandant si tout allait bien, il se pencha en avant et fit une légère pression sur la nuque de celui ci, il se raidit et son souffle cessa, premier parchemin trouvé. Il le mit dans une de ses poches et continua de marcher, comme si de rien n'était. Sa deuxième proie était plus jeune et paraissait vive d'esprit cependant il n'avait aucun parchemin sur lui, il se dit donc qu'il garderai pour la fin, changeant de direction.

Le garde qui le suivait commençait vraiment à lui taper sur le système, mais il gardait son sang froid tuant un à un ceux qu'ils devaient tuer et prenant les parchemins. Il en avait tué quatre dont celui qu'il avait gardé pour la fin, hélas, il en manquait un qui détenait le dernier parchemin, il le vit se diriger vers ce qui semblait être les toilettes. Il déposa donc son plateau et suivit l'homme. Il n'avait pas fait assez attention et en entrant dans le lieu dit, il avait failli se prendre une lame dans la gorge, sans une esquive, il serait mort. Il regarda la personne qui lui faisait face:

-Le diable de majordome hein ? quelle bonne surprise, on me donnerait beaucoup si je vous ramenait aux autorité, mort ou vif ...dit il avec certitude

Michaëlis fut surpris persuadé que personne dans cette taverne personne ne le connaissait. Ni de nom ni de vue. Il le plaqua contre le mur sans aucune douceur.

-Je ne savais pas que j'étais si connu même dans ces contrés... Mais vous allez vous même gouter à ce que j'ai put faire subir...

Il entreprtit tout d'abord de lui briser les membres un a un mettant sa main à nouveau ganté sur les lèvres de sa victime. Seulement des gémissements suraigue se faisaient entendre. Puis il hésita entre le mutiler doucement et se délécter de ses cris ou d'abréger ses souffrances. Le majordome se rappela les ordres et lui trancha la gorge. Michaëlis laissa le corps sans vie à même le sol, il entreprit de prendre le parchemin, mais en se retournant, il vit le garde qui le regardait, avait il été trop absorbé par son plaisir personnel pour ne pas avoir sentit sa présence ? La question n'était pas là sans une seconde d'hésitation, il lança une de ses lames en direction du garde, faisant la tête de celui si tomber sur le sol. Il se retourna puis sortit des WC. Il n'y avait pas de temps à perdre, il fit en sorte de bloquer l'accés des toilettes avec une de ses techniqe remerciant celui qui lui avait fait cette blague un jour puis regagna la salle. Il regarda autour de lui mais ne vit pas la jeune femme, du moins peut être était elle là mais ne l'avait il pas vue, il sortit donc comme on le lui avait dit...

Il ne lui restait plus qu'à attendre patiemment que la jeune femme arrive, ou qu'un événement perturbateur ne lui parvienne...

"- Vous avez encore fait faux bon à votre cité, votre condamnation sera celle de la peine capitale."
"- Tous ce que vous pouvez garder de ce monde que vous avez rejeté sera le silence."

Avaient ils dis, cheveux blonds au vent en tenant une position dominante devant la Cormyr. Jolene se redressa immédiatement de son occupation, leur confrère était mort et ce petit détail ne leurs avaient pas échappé il fallait croire. Elle se retourna vers les deux compères, une mine de déterrée et un rictus de complaisance se lisaient sur son visage devenu d'une pâleur mortuaire. Elle... elle était née dans cette contrée verdoyante il y avait plus d'un millier d'année, elle, avait combattue aux cotés d'autres luciniens, qui tout comme elle s'étaient battus pour la liberté et la paix de son peuple. Elle... la dernière représentante de sa race était présentée comme un trophée sur une étale de marchandises de premier choix. Elle, rejetait maintenant ses origines pour et contre tous, souhaitant la mort à qui lui dévorait ses petits espoirs et ceux qu'elles aimait. Son regard se durcissait, ses yeux opalescent d'origine devinrent d'un argenté inquiétant, elle était la seul avec les esprits à avoir le droit de vie et de mort sur les individus: pas les gardiens de bas de gamme. Son premier réflexe fut de mettre sa main derrière son dos, attrapant la garde de son épée sans ciller le filin invisible qui s'était créer entre les regards des trois combattants. Les deux gardes firent de même et dégainèrent leurs épées, ils savaient à quoi s'attendre car plusieurs de leurs collègues baignant dans leurs derniers instants de vies leurs avaient racontés ce dont Jolene Ladraël Barnes était capable.

" Votre pain n'est donné qu'aux gens qui n'ont qu'une grande estime à vos yeux, les autres se terrent dans l'oublie et souffrent de leur solitude en silence. J'ai vécu pas mal d'année ici, j'ai connu des moments semblable au paradis, d'autre aux enfers mais plus nombreux ont étés ses derniers. Vos lois et vos manières m’incommodes je n'en peux tout simplement plus et c'est en devenant la représentante de ce que vous détestez tous que je vous obligerais à me respecter et non à me chasser."

Elle soupira en donnant un coups d'oeil du coté de Michaëlis, il venait de rentrer dans les toilettes... une envie pressante peut être? Avant que quoi que ce soit ne se soit déroulé dans l'endroit dit, les deux têtes des gardiens de lumières roulèrent sur le sol: ils avaient beau avoir eu le niveau un d'énergie (attaque) de ce monde, il n'en était pas moins que leurs corps s'affaissèrent avec eux, les cris des vivants de Lucina en pleine panique. Elle, transformée à tout jamais par le mensonge la solitude et la terreur de cette soit disante blanche cité, elle plus rien ne semblera plus l'arrêter. Sa lame noire de sa bâtarde aspirée par le sang de vaillants soldats était affichée devant sa tête, les deux parties de son doux visage étaient offertes à la vue de tous, sa tenue provocante attisait les deux derniers gardes tandis que le Tomeho venait également derrière les deux hommes.. un représentant digne du peuple de lucina. Elle fit face aux gardes et à la créature de lumière, les deux gardes étaient aux extrémités de la bête, elle au milieu: elle ne semblait même pas apporter la moindres attention à Michaëlis, un Umbrien, ce qui prouvait bien qu'elle avait définitivement renié ses racines: le Tomeho l'avait sentit. Le majordome sortit sans lancer un seul regard sur la belle, c'était mieux ainsi autant qu'il ne sache pas.

" Je vous salue messieurs, l'un d'entre vous survivra, j'en fait le serment. Trop de sang aura déjà coulé dans cet endroit..."

"... Et vous avez déjà tous dis à nos semblables, nous savons presque tous sur vous: le livre de votre race est entre nos mains. Il manque juste quelques informations..."

"...et pages qui seront vite récupérés par ma bonne grâce. Votre devoir et de protéger votre cité * met sa lame en position de défense et baisse sa tête pour saluer ses adversaires* Aller."

" Pour Lucina"

Elle para sans mal le premier coups et envoya une forte décharge électrique sur l'un tandis que d'un revers, l'autre fut découpé proprement en deux, le sang giclait contre le sol et un long râle mit fin à toute la déambulation de cet endroit surpeuplé. Les dernières pages qui étaient attribués aux autres traîtres d'Umbra furent arrêtés par le Tomeho... la conte s'arrêtait là. Le gars de qui avait prit la décharge avait un simple tatouage sur sa tempe gauche en forme d'éclair: il était tombé, encore conscient, foudroyé par une attaque qu'il n'avait vu arrivé, mais il continuait d'enregistrer les informations: impuissant. Quand il se "réveillera" de son long traumatisme, il devra de conter ce funeste épisode d'une puissante gardienne de Lucina déchue. Jolene Avançait vers les corps que le Tomeho venait de tuer et récupéra ce qui lui revenait avant de... elle observa fixement le Tomeho, il ne disait mots et semblait être dans une période de réflexion intensive: finalement il leva son arme, il la reconnaissait également comme Umbrienne. Quatre pas raisonnèrent contre le sol, lors de son envol vers la bête, Jolene força la puissante dévastatrice qui était en son sein de se manifester dans son bras: en plein vol dans les airs, la lame s'abatut au niveau de son poitrail, coupant le coeur et le réservoir de magie du gardien d'un coups propre et net. les deux corps tombèrent durement, mais celui de Jolene était le seul à être resté debout.

" à la guerre comme à la guerre, je ne fais ni la différence entre toi, un soldat, un roi, un chevalier ou un paysan: c'est ça la véritable diplomatie... c'est ça le véritable geste protagoniste d'une paix progressivement durable: le respect."

Elle récupéra son épée sur le corps encore frêle et chaud du gardien de lumière et se dirigeait vers la sortie: quelqu'un l'attendait. Elle n'avait pas l'habitude de se faire attendre et puis attendre, la porte était grande ouverte, si Michaëlis le voulait, il l'aurait rejoint. Elle s'arrêta en face de lui, épongeait sa lame avec sa robe rouge et la rangeait dans son étuis derrière son dos. Elle lui posa un regard inquiet quand des lumières commençaient à se diffuser de tous les cotés et que des trompettes pour signaler un meurtre venaient de se manifester.

" vous allez bien? pas d’égratignure? Je m'en voudrais si vous étiez mortellement touchés... ce serait de ma faute."

Manifestement le temps leurs manquait, à l'aide de ses sens fins et de son ouïe remarquable, elle pouvait sentir s'approcher les gardes de renforts et leurs grosses armures venant du nord de la ville, il fallait bouger!

"Votre dernière tache s'est accomplie avec brio! ma foi, vous êtes très doués monsieur Kuso! Et si nous allions discuter de tout cela à Ténamas? se serait un endroit tellement plus approprié!"

Michaëlis commença donc à marcher , sans regarder derrière lui. Cette journée lui avait été bénéfique et presque sans accroc. Il aimait ce genre de journée, toutes d'action mais pas fatigante pour un sous. De plus, il avait trouvé un employeur fort à son gout. Avec du caractère bien trempé, mais pas dans l'extreme non plus. Devrait ils se quittaient pour se retrouver un peu plus tard ?
Surement. Il se retourna, et ne vit personne, trop plongé dans sa réfléction, il n'avait pas remarqué qu'il avait perdu de vue la jeune femme et avait aussi oublié sa petite valisette qui ne contenait rien de spécialement important, juste quelques vêtements, mais au pire, il avait assez d'argent dans sa bourse pour se racheter son atiraille de "majordome" et puis rien de compromettant ne se trouvait dans sn bagage,donc au pire si une personne la trouvait ça ne serait pas dramatique

Un bruit sourd se faisait entendre dans la ville. A peine Michaëlis se reconcentra, qu'il vit une horde de gardes. Certains étaient équipés d'une armure lourde, complète et d'autre était habillé au plus simple avec une arme ou deux et un cotte de maille. Ils n'étaient pas beaucoup. Sept tout au plus. Le grabuge de la taverne avait dut s'étendre jusqu'à eux, pour qu'enfin ils arrivent en renfort. La première réaction du majordome fut de faire demi tour pour voir si il pouvait retrouver son employeur,mais en vain.Certainement était elle partie de son côté. Puis Michaëlis se terra dans un coin, histoire de voir où se dirigeait les gardes. Puis comme une ombre, il passa à l'attaque. Il tua d'abord les moins armés, les finissants sans trop de difficulté, puis s'attaqua aux autres, réussissant à percer de ses lames vicieuses et aiguisées les cottes de mailles. Puis leur brisa tout simplement la nuque sans autres formes de procés

Aucun bruit ne se fit entendre, juste le bruit des corps qui tombaient sur le sol Michaëlis ne s'attarda pas prenant directement la direction opposée. Retrouvant la pagaille que la jeune femme et lui même avait semé dans cette taverne qui fut , et c'était bien le cas de le dire, qui fut accueillante avant leurs actions fracassantes. Il passa son chemin aussi vite qu'il était venu ne voulant aucunement se faire remarquer. Puis il se rappela que son employeur lui avait donné une lettre. Tout en marchant ,il la sortit de sa poche. Il l'ouvrit avec soin,comme si il sentait que cette lettre avec une quelconque importance, il la déplia et lut assez surpris les lignes écrites à la plume et d'une écriture raffinée que dorénavant il reconnaitrait

Il fut étonné d'en voir le contenue. C'était elle trompé ? Non surement pas une femme aussi sur d'elle ne pouvait se tromper. En effet, cette lettre disait clairement qu'il allait être au service de la Reine d'Umbra... Michaëlis relu la lettre plusieurs fois. Oui il avait bien lut. Il replia le papier et le rangea soigneusement dans son enveloppe avant de la ranger elle même dans sa poche. Un sourire naquit sur son visage d'une paleur incontestable. En ce jour ensoleillé, il avait fait une belle affaire et avait obtenue bien plus que ce à quoi il s'attendait. Il s'était attendue a une petit famille bourgeoise et capricieuse sans géne et désagréable. Et tout compte fait, il se serait peut être, il avait encore un peu de mal à le croire.
Douce brise et délicieuse journée.

il espérait donc retrouver la jeune femme aux initial J.L.B. Il aurait bien aimé savoir son nom...

Fin

* ma vie est un théâtre ou les drames, les comédies et les sacrifices sont des rites de passages auxquels il me faut absolument changer les proses. Les ténèbres de Lucina ne m'ont que trop écorchés je ne dois plus jamais revenir ici... plus jamais!*

Fin personnelle et sombre... et oui on peu toujours descendre au plus bas même si on croit que l'on ne peut jamais aller aussi mal. Les abysses de la vie sont ainsi avec ses mystères et ses quêtes. Va falloir que je me trouve du monde pour me sauver maintenant XD

Jolene Ladraël Barnes --> 9xp
Michaëlis Kuso --> 9xp

Les xps ont été attribués Wink

» Sykes pour vous servir =p
» Harmonya Alvis'Ysera, pour vous servir =3
» Besoin de chercher des souvenirs...[Libre]
» Besoin de voir du monde...[Terminé]
» Besoin de sommeil...Et de rencontres!![PV Sataka Gintoki]