toutes les belles histoires ont un début [Terminé]

" il n'y a aucun mort, ils ont tous survécus, soyez tranquille."

Aodhàn marchait silencieusement au travers de son œuvre... Les rues ravagés par les combats d'il y a quelques heures fumaient encore et les blessés n'avaient même pas étés déplacés... Pourquoi se promenait-il au travers des rues désolés alors qu'il était chassé de partout me direz-vous? Et bien le garçon était loin d'être fier de la tournure des évènements. Lui qui avait demandé à ses troupes d'agir dans la discrétion et sans perte civiles, il s'était retrouvé avec un bon pourcentage de la population qui avait été victime directement ou indirectement se sa petite "attaque" en plus des dégâts causés par ce maudit Pierre. Ce salopard de merde avait encore décidé de venir mettre la merde dans ses projets, clamant que ce monde lui appartenait... Conneries, il comprendrait bientôt que seul le peuple d'umbra possède Umbra... Et le jours où il sera dépouillé de tous pouvoirs magiques, à la merci de simple humains qu'il considère comme si faibles, il comprendra ce que c'est de vivre dans l'ombre de plus fort que soi. Il comprendra la fureur que vit Aodhàn en voyant ce tyran régner en maître sur Umbra en prétextant être le libérateur du peuple Umbiren et un roi immortel qui règnera sur les habitants d'une main protectrice. La réalité était toute autre... Ce cruel dictateur contrôlait tous les aspect de la société pour paraître bon et ouvert aux critiques, alors qu'aucun protestataire n'était jamais revenu de la forteresse vivant, alors qu'il faisait assassiner toute personne osant faire des recherches sur la magie Umbrienne sacrée des monts Lunaris... Ce roi avait fait tué tant d'homme simplement pour le plaisir... Il avait déclencher la guerre avec les trois autre mondes pour assouvir sa soif de pouvoir et son besoin croissant de sujet à dominer. Cette guerre qui avait fait tant de morts et qui avait littéralement causé de la perte de terres au peuple d'umbra... Oui, Pierre comprendrait la douleur que vit un citoyen en voyant un peuple souffrir sans sauveur à l'horizon.

Pas qu'Aodhàn se considérait comme le grand sauveur du peuple, serviteur de la paix et tout le tralala... Non, il n'était qu'un homme comme les autres qui avait décidé de se soulever contre ces injustice... Il travaillait sans aide divine ou autre trucs religieux que Jarlath disait posséder. Après tout, le jeune révolutionnaire avait toujours dit vouloir l'égalité humaine... Une égalité sans esprit pour commander et où seuls le mérite donnerait lieu à la puissance... Probablement une Utopie qu'était ce rêve de grandeur, mais il était la seule raison pour le garçon de faire toujours plus de pas dans la direction qu'il à choisi. Il était libre, oui libre est sûrement le bon mot, libre de vivre hors des contraintes de créateurs... Et le besoin de donner cette liberté aux autres avait causé toute cette destruction. Comment un plan si bien préparé et exposé avait tourné à un tel désastre? Cette question n'arrêtait pas d'apparaître dans l'esprit divaguant du garçon alors qu'un de ses fidèle soldat habillé d'un grand cape coloré s'approchât de lui. Il était clair que ce rebelle essayait de faire profil bas, voulant probablement éviter de se faire empaler vivant par la milice ou le peuple. Pour sa part, Aodhàn avait foi en la compréhension du peuple et espérait de tout son cœur que les citoyens voient la faiblesse du régime actuel et comprennent qu'Aodhàn n'avait pas eu un contrôle total sur la situation. Pour cela, il comptait d'ailleurs sur ses supporteurs dans la capitale qui chuchotaient ses idéaux aux gens... Une personne à la fois. Ces supporteurs étaient au courant de l'attaque et pourraient expliquer à ceux qui doutent encore des bonnes intentions du garçon qu'il agissait que pour le peuple, mais que des imprévus peuvent toujours apparaître alors qu'on croit tout sous contrôle. Le garçon soupira et observât son soldat qui lui tendait une cape, insistant.

"Maître, vous devez vous couvrir sinon les gens vont vous reconnaître et vous aurez de graves problèmes."

"Je ne vais pas fuir devant mes erreurs... Si le peuple veut me livrer à ce maudit Jarlath, je leur ferai comprendre que j'ai eu raison d'agir ainsi et que je ne suis pas responsable de tous ces morts..."

"Mais maître... La milice patrouille toujours..."

Aodhàn lui fit signe de se taire, il en avait déjà trop dit... Insister encre plus ne ferait qu'augmenter la douleur que le garçon trainait avec lui pour avoir ainsi détruit sa ville. Bien que le jeune homme paraissait toujours insensible, causer tellement de destruction alors que ses motifs étaient de sauver la populace l'avait tout de même affecter... Mais qu'était-il advenu de l'Umbrien qui ne se mêlait de rien et qui avait quitté Umbra pour ne plus jamais revenir? Qu'était devenu ce garçon qui avait suivi une inconnue retrouvé nue en plein milieu de la rue pour découvrir les mondes... Repartir sur de nouvelle bases et s'essayer au métier d'Aventurier? Vraiment... Visiter les autres mondes et voir à quel point son roi était corrompu avait vraiment modifier la personnalité d'Aodhàn... Voilà maintenant qu'il était affecté par la mort et qu'il laissait presque paraitre sa fureur. Le révolutionnaire avait bien changé depuis ces dernières années... Il laissât son soldat repartir dans une ruelle et aperçu une femme qui pleurait, adossé à un mur... Le garçon soupira puis s'approchât de cette inconnue larmoyante en faisant mine de passer à côté d'elle sans rien faire, les mains dans les poches. Une fois près d'elle, il se mit à parler d'un ton doux et neutre

"Cette ville est d'autant plus déprimante maintenant qu'autant de gens sont mort dans un attaque terroriste..."

quote]"Cette ville est d'autant plus déprimante maintenant qu'autant de gens sont mort dans un attaque terroriste..."[/quote]

" parfois... il suffit de verser un peu de sang pour changer une vie... je n'imagine pas le prix à payer pour changer un monde. Quel sorte de fou se serait permit de verser autant d'ignominie en croyant donner un faible espoir de paix... rhaaa je les hais!"

" Si seulement je pouvait aider ces gens... les soins que je leur prodigue bien que efficace ne peuvent porter le salut à toute une ville... je me sens si inutile."

" Si...dépassée c'est... horrible..."

Adohàn restât silencieux, les yeux fermés alors que l'inconnue commença son petit délire de femme ne connaissant pas la mort, qui ne voyait que la destruction sans la lumière que tous ces évènements causaient. Elle se mit à maudire le jeune garçon, bien-sûr elle ne devait pas savoir qu'il était responsable pour ce qui s'était passé aujourd'hui, mais lui ne bougeât pas. Il restât de marbre, visiblement peu affecté par tout cette haine que jetait sur lui, le jeune Umbrien se contentât d'un simplement petit regard rapide sur la femme à ses côtés. Quelques secondes après avoir ouvert les yeux en direction de Jolene, celle-ci frappa un grand coup sur le mur de la maison en ruine, le fissurant de toutes parts. L'onde de choc créée par le coup fut suffisant pour faire bouger légèrement les cheveux du garçon, il ne bougeait pas... Comme s'il était une statue sans émotions que la vie avait privé du bonheur. Suivit ensuite ces petits geste de dépressions... Beaucoup de larmes et quelques paroles qui semblaient venir de quelqu'un qui ne connaissait pas la mort comme le garçon. Jolene ne comprenait pas encore la nécessite d'un telle attaque... La situation actuelle était triste, oui... Mais comparé aux derniers siècles du règne de ce roi tyrannique, c'était comme lancer une roche en plein milieu d'un océan... Ce n'était qu'une infime part de toute la souffrance que cet homme avait causé au fil de sa vie d'immortel. Au final, le jeune femme se laissât tomber au sol et plaça sa tête sur ses genoux, essuyant quelques larmes qui perlaient le long de ses joues... Aodhàn se baisât au niveau de Jolene puis posa sa main sur son épaule, gardant son expression figée mais parlant toujours d'un ton doux et presque chaleureux.

"Jolene, ne rien faire pour changer les choses est encore pire que de mettre en péril des vies au profit d'un grand cause. Le roi d'umbra est sur le trône depuis des siècles, mettant à mort toute opposition à son pouvoir et ainsi faire croire aux étrangers qu'il est bon et aimé... Mais la réalité est toute autre."

Aodhàn marquât une petit pause, il se retournât en direction de la forteresse pour y voir la caserne qui semblait toujours flamber un peu après les combats qui avaient eu lieu. Le roi devait encore être dans son petit palais... à se prélasser se disant que les menaces du rebelle n'étaient pas vraiment fondés... Il serait étonné. Le garçon se retournât vers Jolene puis continuât ses epxlications.

"Ce... Tyran à fait bruler des vilages entiers parce qu'ils ne voulaient pas accepter les nouvelles taxes excessives qui permettaient à ce gros balourd d'avoir du pain frais tout les matin alors que le peuple meurt de faim. Il rédige tous les mois une liste de gens devant mourir et ceux qui ont la malchance de vivre et fait de nombreuses exécutions publiques de supposés terroriste pour contrôler la populace...

Son régime est un régime de peur et de cruauté, le laisser continuer serait un crime à tout le peuple Umbrien..."

Nouvelle pause, mais cette fois est ne dura que le temps nécessaire à Aodhàn pour baisser la tête et soupirer. Il était claire qu'expliquer tout ça à quelqu'un ne venant pas d'Umbra était compliqué, mais il se devait d'essayer de la convaincre du bien fondé de sa cause.

"En Umbra, nous avons un adage qui dit : «Umbra est un monde où nous faisons la guerre pour amener une paix menant à une nouvelle guerre, c'est le cycle sans fin du peuple Umbrien.» Pour quelqu'un comme toi qui à vu des mondes en paix constante où tout le mondes et heureux et les rois bons et juste, c'est probablement inconcevable que la guerre soit un moyen pour atteindre le bonheur... Mais pour nous, c'est la seule façon d'obtenir la salut. Malgré tous les mort qu'il y a eu durant l'attaque d'aujourd'hui, les centaines de milliers de gens qui vont être sauvés lorsque Jarlath sera détrôner valent amplement les sacrifices. Je peux comprendre que cette façon de pensée semble inhumaine pour toi, mais dans ce monde... Il est coutume de sacrifier pour obtenir un semblant de bonheur."

Le garçon se releva puis lui tendit la mains afin qu'elle se lève à son tour. Pour la première fois depuis qu'il avait commencé à parlé, Aodhàn semblait légèrement expressif. Il la regardait avec un air chaleureux qui devrait normalement la convaincre que ses paroles étaient fondés et que malgré tout, il avait eu raison d'agir en ce jour funeste. Qui d'autre se dresserait devant les règne actuel si le garçon n,avait pas osé prendre les armes? Il avait donné l'espoir au peuple d'un changement radical, d'une nouvelle ère de prospérité pour le peuple Umbrien. Certains ne comprenaient peut-être pas encore que cette attaque venait de leur donner la liberté que tous attendent depuis des années, mais il était sûr qu'il verraient tous la lumière et qu'ils se joindraient à sa cause en masse. Le jour de la grand attaque approchait... Les populations se rassembleraient déjà et la position de Jarlath sur son trône d'or rouge était plus compromise que jamais... Sa fin était proche

* parce qu'un régime de peur et de cruauté comme tu le dis doit à tout prix dispatître de la surface du monde, il faut faire plus d'un sacrifice? Sincèrement ... le mieux aurait été de bouger tes fesses et de lui foutre une royale correction.*

" dis moi, Aodhan... qu'est-ce qui te permets de penser à cette chose, qu'étant lucinienne je n'ai jamais pu voir de guerre à lucina? Détrompes toi, il eut des guerres, de terribles guerres à lucina, notamment celle opposant les bons esprits aux serviteurs des déchus. Cette guerre a été impitoyable, je ne te permettrais pas de me faire une leçon sur ce qu'est une guerre. Passons ce détail. Je crois avoir comprit ta façon d'agir. Il est immortel n'est-ce pas? ce... Jarlath?"

" et qu'as tu l’intention de faire maintenant que tu y es impliqué? si tu vas jusqu'au bout... ou compte tu aboutir? et qu'arrivera t il à ce monde si son équilibre originel viendrait à sombrer?"

Jolene n'avait pas exactement réagit comme il l'avait espéré... En restant légèrement distant et en expliquant la situation d'un point du vue logique plutôt qu'émotionnel, il espérait fortement qu'elle comprenne la situation. Au lieu de ça, elle lui reprochait de ne pas assez connaître l'histoire de Lucinia puis refusât sa main pour se relever à sa façon, lui demandant d'un regard cruel ce qu'il comptait faire de ce monde. Elle ne devait pas encore savoir tous ses projets futurs, mais seulement le fait qu'il était un membre de la faction rebelle qui avait attaqué la ville... Faut dire qu'il n'avait pas bien démarré la discutions, plutôt que d'annoncer directement ses idéaux, il aurait peut-être dû essayer de comprendre sa position sur le problème. Aodhàn venait de comprendre un de ses problèmes en ce moment... Il comptait trop sur l'acceptation de sa cause par le reste du peuple, alors que beaucoup étaient trop émotifs à cause des gens qu'ils ont perdu pour accepter sa cause... Pour une personne aussi logique et rationnelle que l'Umbrien, les émotions n'entraient jamais dans ses décision et il croyait que les autres pensaient de la même façon... La situation actuelle venait de lui prouver le contraire, pire... Les gens qui observaient un situation de façon émotive voyaient la logique comme une mauvaise alternative... Donc, face à une femme qui avait vécu les horreurs de la guerre en tant que spectateur et qui avait déjà une opinion sur le sujet, essayer de lui faire changer d'avis avec de beaux discours était un totale perte de temps. Cependant, ce soudain rejet avait fait comprendre tout ceci au révolutionnaire, lui qui prenait toujours toutes les variables ne comptes... Il avait oublié l'essentiel... Le cœur des gens. Lorsqu'on brise le cœur d'une personne, peu importe les raisons que l'on pourra invoquer... Sa vision de nous ne changera jamais, car l'esprit peut-être modifier à l'aide de parle et d'actions, mais l'âme et le cœur n'oublierons jamais quelque horreur que ce soit, et cela Aodhàn le comprenait finalement.

Le rebelle baissa la tête un moment puis se retournât, replaçant ses mains dans ses poches. Il déplaça légèrement son corps afin de s'éloigner de la jeune femme, pas qu'il savait qu'elle avait des intention meurtrière en approchant ainsi sa main blanche du cou du garçon, mais plutôt qu'il ne pouvait plus supporter le regarde argenté de son amie. Il ne pouvait pas vraiment s'explique ce fait... Simplement que son corps avait agis seul, probablement qu'il commençait à avoir de la difficulté à supporter tous les malheurs et les responsabilités qui se mettait sur les épaules. Déjà que peu de personne bien intentionnés se risqueraient à attaquer directement le roi, mais encore moins prendraient le lourd fardeau de devoir détruire des vies au profit du bonheur commun. Il y avait déjà eu quelques cas de rebellions, mais soit la personne n,avait pas eu le courage de continuer et s'était retrouvé sur le bucher, soit les remords de ce qu'ils devaient faire pour détrôner le tyran les avait rendu fou ou malades. D'un autre côté, il y avait ceux qui voulaient remplacer le roi pour obtenir son pouvoir et continuer son régime... Ceux qui l'enviaient quoi. Aodhàn se considérait dans le groupe de ceux bien intentionnés qui désiraient du changement, mais il commençait à ressentir les effets néfastes de tous ce qu'il causait... La conscience est vraiment le pire fléau que les mondes aient connus... Enfin bon, le garçon devait aussi répondre aux interrogation de Jolene, il prit donc une grande inspiration puis commença à parler d'un vois calme et neutre.

"Si tu as connu les malheurs de la guerre et de la tyrannie... Alors tu devrais comprendre ce que je ressens... Ce que nous ressentons tous. Tu devrais comprendre la fureur qui m'habite à chaque seconde de ma vie où Jarlath continue à détruire des familles pour son plaisir personnel. Tu devrais comprendre que je n'ai pas tué pour le plaisir aujourd'hui, j'ai agis ainsi parce que tout ça dois cesser. Si je ne le fais pas... Personne n'aura le courage de prendre les armes et de menacer ouvertement un être pouvant te réduire en poussière par un simple claquement de doigts. Je sais parfaitement que ma méthode est plus lente et risque les vies d'innocents, mais c'est le seul moyen de s'assurer d'une victoire complète."

Il poussa un nouveau soupir en baissant légèrement la tête et serrant les poings au point où il aurait probablement des marques pendant des semaines. Même s'il était de dos, l'on pouvait lire la haine qu'il portait pour le roi et ses suivant et à quel point il souhaitait le voir mort, rester silencieux et suivre son plan égalitaire devait être une des plus grandes épreuves de sa vie

"Je ne peux tout simplement plus rester assit pendant qu'il massacre des milliers de gens... Ça dure depuis trop longtemps."

À la fin de sa phrase dite très lentement, il se retournât légèrement en direction de Jolene puis la fixa de ses yeux bleu. Un petite larme s'était formé sur le côté de son œil et il la fixait d'un regard colérique. Le genre de regards qu'envoie une veuve au meurtrier de son mari après qu'il ai été retrouvé et jugé. Bien-sûr, ce regard n'était pas directement envoyé à son amie, mais plutôt au roi tranquillement couché dans son château qui riait de la souffrance de son peuple. Il était clair qu'il ne pouvait pas rester de marbre devant tout ça, la souffrance de son peuple était aussi la sienne. Aodhàn fermât les yeux puis fit face à la cormyr pour répondre à sa question.

"Tu veux savoir ce que je compte faire? Si ça ne tenait qu'à moi... Je brulerait ce salopard de mes mains, mais ce ne serait pas juste. Non, je vais faire arrêter TOUS les membres de son gouvernement tyrannique et le faire juger devant un tribunal populaire. Ainsi il pourra voir la haine dans les yeux de chacun des habitants d'umbra et vivre le restant de sa vie immortel dans une prison souterraine d'où il ne ressortira jamais. Je compte ensuite prendre le pouvoir et mettre sur pied un gouvernement équitable où tous auront leur mot à dire... Je laisserait ensuite la chance au peuple de décider d'un dirigeant qui saura donner aux pauvre paysans malheureux la liberté qu'ils méritent."

" ... je vois..."

pourquoi

comment

" si tu n'en veux pas un second il va te falloir me suivre."

Pourquoi est-ce que tous ses plans géniaux ne marchaient jamais contre cette fille? Il ne l'a connaissait que très peu et déjà, elle pouvait résister à tous ses stratagèmes comme si elle était capable de les détecter à l'avance... Comme un devin quoi. Aodhàn restait certains qu'il réussirait finalement à faire comprendre à ce cheval mutant que sa cause était juste et honorable, pas seulement un simple bain de sang pour le plaisir du pouvoir. Il voulait tellement lui prouver ce fait qu'il s'était laissé emporté dans ses émotions enfouies et avait laissé paraître un semblant d'humanité et de faiblesse, chose qu'il s'était promit de ne jamais montrer. Il devait rester fort pour que ses troupes gardent le moral, pour que tous reconnaissent qu'il peut tout supporter et devenir un grand roi malgré les épreuves, pour que même face à la mort d'un être cher, il reste impartial. Depuis qu'il avait quitté la maison de ses géniteurs, il avait abandonné toute émotions au profit de la rationalité et de la logique... De toute façon, le émotions ne lui avaient fait que du tord depuis toujours... Les nobles sentiments qui éprouvait dans sa jeunesse n'avait apporté que la fureur de son entourage et un désespoir constant. Heureusement, les nombreuses causes qu'il défendait et tout particulièrement celle-ci lui avait donnés une raison de vivre et d'avancer... Comme les stupides héros dans ces romans à l'eau de rose qui perdent leur femme et qui se trouvent un orphelin qui élèvent afin de donner un sens à leur vie, excepté qu'Aodhàn vivait très bien sans cause à défendre... Celles-ci lui donnaient simplement une raison de combattre, plutôt que de rester seul dans son coin et de cuisiner pour les chiens du roi.

Au contraire de toutes ses attentes, et malgré sa démonstration d'humanité, Jolene réagit d'une façon plutôt... Inattendue. En effet, elle lui envoya un puissant coup de poing dans le ventre au point où le garçon sentait qu'il pourrait recracher tous ses organes d'un coup. Il traversa la petite ruelle et se retrouvât dans une maison en ruine, ayant passé par ce qu'il restait du mur de la dite maison, il s'était retrouvé à moitié-mort sur un tas de gravas. Attendez... Comment cette totale inconnue qu'il avait retrouvée nue et faible en plein milieu d'une rue pouvait posséder une telle force? Il avait même vu la magie s'emparer de son corps durant le court moment où il pu l'observer avant de recevoir le coup en plein estomac. La possibilité que cette fille ne soit pas qu'une simple Lucinienne traversa soudainement l'esprit un peu troublée du garçon, un être humain ne pouvait simplement pas envoyer valser un homme à quelques mètres sans le moindre effort, c'était impensable. Le garçon se devait donc d'enquêter sur ce fait pendant que Jolene le traînait au sol... Il n'avait pas vraiment compris pourquoi elle avait décidée de le traîner au travers de la ruelle soudainement, le forçant à la suivre... Avec sa force, il n'avait pas vraiment le choix... Non?

"Quand on est capable d'envoyer valser les gens à des kilomètres, je vois pas trop l'utilité de leur demander leur avis... Mais tu t'arrêterait quelques secondes que je puisse me relever? Mes vêtements vont être complètement détruits..."

Spoiler:

" Tous les être vivants ont un avis. N'importe lequel soit il. saches que malgré ce que tu pourrais penser, je ne suis pas ton ennemie, je ne le serais jamais."

" Tu te rappels de ce temps ou tu m'avais sauvé la vie, à cet endroit même... tu as pu constater que les mondes changes, les cultures, les avis, Les espèces absolument tout. Mais pas aussi facilement qu'il n'en est l'air, il faut du temps pour changer. Temps que tu n'as pas eu. Laisses moi t'aider..."

" Si tu pouvais néanmoins prendre conscience de la gravité de la situation et ne pas paraître aussi distant et inhumain, sans doute servirais tu alors réellement à quelque chose ..."

Hrpk]ne tinquiètes pas de la longueur, tant que tu arrives à être satisfait de ce que tu ponds le reste importe peu Wink

]

Toujours trainé par le bras, Jolene n'avait apparemment pas entendu ses demandes... Elle ne lui donnât que très peu de répit pour calmer son festin de poussière et replacer ses vêtements qui tombaient en lambeaux tout au long du chemin. Après quelques minutes de traînage au sol et de douleur au niveau des jambes ensanglantés par les petites roches qui pénétraient sa douce peau de bébé, Jolene stoppa enfin sa marche interminable. à croire qu'elle allait faire un pèlerinage au travers du désert avec Aodhàn accroché à son bras qui traine en arrière! Enfin bon, le jeune révolutionnaire aux jambes en sang se releva lentement en essuyant ce qu'il restait de sa vieille toge... De toute façon, une fois roi... Ces lambeaux de vêtements pourrons être échangés pour des beaux habits volé aux anciens rois, c'est pas parce qu'on est l'investigateur du coup d'état qu'on doit automatiquement jeter les vêtements de l'ancien locataire. Bon, peu importe... Jolene le regardait d'un regard plein de compassion, le genre de regards à faire fondre les plus solides des meurtriers qui qui avait même réussit à faire manquer un battement au petit cœur du garçon, à croire que cette fille était vraiment capable de faire réagir le garçon... Au point où il sentais presque qu'il pourrait se laisser aller en présence de cette presque-inconnue... Elle faisait probablement partie de la classe de personnes à qui toussent veulent conter leurs problèmes parce qu'ils ont l'attitude d'un expert en écoute. Une drôle de phrase suivit ce regard qui avait presque fait rougir le garçon, un phrase qu'il n'avait pas totalement compris. Cependant, avec un peu de recul... L'on pouvait sentir l'intention de supprimer totalement les méfiance dans l'esprit d'Aodhàn... Méfiance qui n'existaient pas vraiment depuis qu'il avait montré un signe d'humanité à cette femme, il était du genre à croire que les personnes pouvant mener un homme à des telles émotions étaient dignes de confiance. D'un autre côté, l'impression de confidente que Jolene lui donnait n'annonçait pas vraiment un menace de la part de cette femme

Aodhàn restait calme et droit, ayant presque un petit filet de bave sur le côté de la bouche à la suite de tout cette déferlante de sentiments qui lui étaient encore inconnus... Lui qui n'avait connu que les horreurs du roi et de ses géniteurs, voir ainsi la compassion dans les yeux d'une inconnue qui était consciente de tous ses crimes, cela le faisait légèrement chavirer... C'était comme donner du pain à un pauvre homme qui n'a pas mangé depuis de semaines et qui à la larme à l'œil devant ce geste. Aodhàn n'avait pas vraiment la larme à l'œil, mais ses battements cardiaques s'étaient accélérés et il avait gagné un peu de couleurs au visage. Jolene pause sa douce main sur la joue du garçon, lui qui était perdu dans ses pensées et qui avait de la difficulté à faire le point... Lui qui était un personne planifiant tous ses geste, ça vous illustre à quel point il était chamboulé. Bref, Aodhàn sursauta légèrement puis écoutât silencieusement en gardant on visage habituel les paroles de Jolene. Elle se mit à remémorer cet mésaventure passée, ce jour où il l'avait retrouvée nue en plein milieu d'une rue et qu'il lui avait offert un logis et un repas chaud durant quelques jours pour qu'elle retombe sur ses pattes. Le révolutionnaire n'étant pas du genre à remémorer constamment les dettes que les gens avaient envers lui... Sinon il ne ferait que ça de sa vie, tout Umbra lui devait quelque chose. Au final de ces quelques paroles, elle lui proposât son aide... Aide pour quoi? Pour régler ses petits problèmes mentaux ou pour conquérir Umbra? Les deux étaient vivement accepté... Étant un bonne confidente, elle pourrait aider psychologiquement le garçon et à voir sa force brute... L'avoir dans on camp n'était pas de refus. Elle attrapât ensuite sa main pour partir au pas de course vers les ruelles au loin, le garçon préférât éviter de parler... Il mettrait le tout au point une fois qu'elle aura terminé son petit manège.

Elle le traînât jusqu'à une grosse tente de toile verdâtre, où les blessés de la dernière attaque s'était réfugies pour y être soignés. Il comprenait maintenant comment Jolene avait été impliqué dans tout ceci, elle était venue soigner les blessés de l'attaque... Elle fit quelques routines de soins, vérifiant les victimes puis rassurant les familles avant d'aller fermer la tente pour empêcher la raison de tous ces mort avec les victimes de ses actions. Aodhàn croisa à de nombreuses reprise le regard avec les gens présents, n'ayant pas peur de leurs possible vengeance et suivit tranquillement son amie qui l'entraînait au fond de la tente. Ils passèrent derrière un grand rideau blanc où était placé des morts et l'observât avec attention. C'était don à son tour de répondre aux différentes demandes de Jolene... Il ne se ferait pas demander deux fois.

"Tu crois qu'être humain va changé les choses? Le roi actuel agit en humain, il se laisse aller à l'avarice et à l'envie des pouvoirs qui corrompt tous ceux qui obtiennent un peu de puissance. Je me détourne des émotions humains pour cette raison, mais aussi car la résistance mentale et une trait de caractère très importants aux grands hommes Umbriens. Ils doivent être capable de résister à tous les cauchemars, car Umbra n'a jamais eu un moment où les gens étaient relativement heureux et ne souffraient pas. Malgré que je travaille pour la délivrance du peuple, je dois aussi vivre avec l'idée qu'un autre fléau vas suivre et que je dois y être prêt... C'est simplement la nature d'umbra. Cependant, je dois dire que rester impartial devant tout travaille vraiment le mental... Je dois t'avouer que je ressent déjà les signes du stress que tout cela cause, mais je ne peux pas lâcher prise... Sinon tout ça aura été vain.

Tu veux m'aider? Surveilles moi... Arranges toi pour que je ne lâche pas... Je suis parfaitement conscient que je suis un être humain et que je peux être victime de la folie à tout moment. Mais je ne te demande qu'une chose, essaye de comprendre la mentalité de mon peuple... Les émotions sont un signe de faiblesse pour nous, et les gens ne se laisserons jamais guider par une faible, même s'il menace tout le monde. Jarlath règne encore parce qu'il n'a jamais démontré sa faiblesse, c'est probablement sa seule qualité."

Dieux est parmi nous

Assassin

« - Un homme émotif serait un mort né? Et l'homme philosophe...Un mort né également? Puisqu'il n'y a pas d'émotions sans raisons et que l'homme se différencie des animaux par ces derniers, cela voudrait dire que votre peuple est depuis longtemps plongé dans un état animale... mon dieux c'est d'un compliqué! Tu n'aurais pas un bouquin ou une bible pour mieux que je me représente tout cela? »

« - quelle drole de situation... Aodhan... je reconnais comprendre un peu mieux la situation et ses dépends. C'est comme si un énorme dragon avait enfermé ce monde sous un dôme de poussière, de pénurie, de dégénérescence ou aucun individu ne pourrait se sortir de la fumée sans risquer de se retrouver seul ou tué. Et le seul moyen de venir à bout de ce monstre serait de se montrer hostile, désintéressé et impitoyable à ses abords. Si c'est à quoi ressemble Umbra... je pense connaître cette chose à peu prêt. Excuses moi de ne pas avoir pu comprendre plus tôt. »

« - Tu ne lâcheras pas, la folie ne t'auras pas plus que le désespoir, je vais rester à tes cotés aussi longtemps que tu en auras besoin. En retour je veux une promesse, une seule. Celle de ne jamais rien me cacher, en contre partie je tâcherais de me montrer protectrice et gardienne de tes actions. »

Jolene ne savait vraiment pas dans quoi elle s'engageaient en soignant ainsi le pauvre monde... Biens qu'ils étaient les ouvriers du peuples Umbrien et que la majorité des soldats d'Aodhàn sortaient de la rues, les quartiers pauvres étaient remplis de maladies et d'infection qu'elle risquait de faire propager au travers de Tenamas en laissant ainsi les gens du quartiers pauvres venir dans cette "clinique". Les forces révolutionnaires avaient enfoncés quelques murs qui séparaient les deux quartiers principaux de la capitale, permettant ainsi à la vermine et aux habitantes du quartier pauvre de monter dans les quartiers riches... Fait que le garçon avait totalement oublié de prendre en compte. Le garçon observât tranquillement un homme qui semblait avoir les symptômes d'une des grippes mortelles qui court ces temps-ci puis retournât son attention sur les gens présents. Alors que son apparence extérieur restait figée, comme s'il n'était qu'une statue servant à décorer la tente, il réfléchissait tranquillement à la suite des choses. Déjà, cette attaque avait été bien plus meurtrière qu'il ne l'avait prévu au départ, ce qui devait être une petit mission d'infiltration avec un minimum de pertes s'était transformé en véritable carnage. Il ne pouvait tout simplement pas laisser le peuple mourir dans la famine et la maladie pendant qu'il fuit. Tout ceci avait été causé pas ses propres erreurs et son manque de vigilance, il ne pouvait pas laisser le peuple mourir et revenir sur les ruines plus tard pour prendre le contrôle d'un peuple décimé. Donc... Il avait en tête d'aller au son quartier général pour demander à ses troupes de soutiens de prendre en charge les blessés et les épidémies sous la bannière d'un quelconque groupe humanitaire. Ils n'avaient encore participé à aucune bataille, logiquement ils ne seraient pas repérés comme étant des terroristes s'ils venaient aider les gens dans le besoin. Il était clair qu'une seule femme ne pouvait pas soigner tous les blessés et les malades d'Umbra à elle seule.

Bref, au final il n'observât jamais les actions de Jolene qui était occupé à soignés les derniers malades. Le garçon était bien trop occupé à rester tranquillement figé pendant qu'il analysait la situation médicale des sans-abris à l'aide de gens présents dans cette clinique. Bien qu'ils semblaient tous l'observer avec un regard meurtrier ou heureux, il ne s'en importait pas... Aodhàn se disait simplement qu'être affecté par toutes les petites réclamations du peuple en colère durant les temps de grand changements allaient faire qu'il ne changerait jamais rien... Comme personne n'est jamais d'accord sur tout, il ne pourrait jamais faire passer de lois en demandant et en suivant l'avis de tous. Enfin bref, revenons à nos moutons comme dirait le vieil éleveur de chevaux en pleine campagne alors qu'il récolte tranquillement le lait de ses chèvres et en faire du bon lait de vache tout frais à vendre à ses clients. Les deux aventuriers passèrent le rideaux blanc pour parler plus intimement et ainsi commença le dialogue du garçon. Il lui avait expliqué calmement et simplement les différentes méthodes de pensées des Umbriens, s'il elle ne comprenait pas des explications aussi simplistes... Il y avait un problème. Alors qu'il terminait sa dernière phrase, un des patient de Jolene commença à rendre son dernier souffle, après quelques vomissement... Il était mort. Aodhàn remarquât alors quelque chose d'assez important... Depuis le tout début, la cheval mutante ne cessait de lui répéter que montrer ses émotions était important, que les gens émotifs pouvaient diriger facilement un pays. Pourtant, elle venait de prouver que tout ces beaux discours... Toutes ces belles valeurs n'était pas toujours vraies. Comment quelqu'un qui demandait à un Umbrien de diriger avec son cœur plutôt que son cerveau pouvait ne verser aucune larme devant le mort d'un pauvre innocent? Elle n'avait fait que tirer le drap blanc et tourner son attention ailleurs... La jeune femme retournât son attention vers le garçon et recommença avec ses belles paroles de paix et d'émotivité.... Elle ne comprenait toujours pas. Durant la petit pause que Jolene marquât en se frappant la tête, Aodhàn mit quelques chose au clair.

"Chez-nous, la raison doit être dénués de toute émotions afin d'être impartiale, c'est ainsi que notre société avance. Plutôt que d'être mené par les sentiments, elle est dirigée par la logique et la guerre... C'est simplement comme ça qu'on fonctionne."

Finalement, cette explication aura été vaine, puisque, quelques secondes plus tard, Jolene sorti de sa tête pour comprendre finalement tout ce que le garçon avait essayé de lui faire comprendre depuis le début. Bien qu'il n'était pas parfaitement sûr qu'elle avait bien compris tout ses explications, c'était déjà un bon pas en avant. Elle avait expliqué sommairement et à l'aide d'un drôle de métaphore la société Umbirenne, mais tous ce qu'elle avait dit était correct. Umbra est comme un tempête d'où personne ne peut s'élever sans le courage et combattre les forces de la nature. Celui qui saura sortir de la tempête devait être prêt à sacrifier ses proches afin d,atteindre ses objectifs, peu importe ce qu'ils sont. C'est simplement la réalité que tout Umbrien doit accepter, sauf que beaucoup préfèrent rester dans la tempête et mourir malheureux. Jolene s'approchât du garçon puis posa ses douces mains sur ses tempes, Aodhàn ne bougeait pas... Preuve de la bonne confiance qu'il avait en cette femme. Celle-ci posa son front sur le sien en jurant de l'aider à tenir le coup jusqu'à ce que ses projets se réalisent puis utilisât une drôle de magie qui fit donnât l'impression au garçon de flotter sur un nuage durant quelques instants. Mais il devait garder son sérieux malgré l'impression d'avoir enlever un gros poids de sur ses épaules... Il se recula d'un pas puis le fixa dans les yeux, l'air un peu plus reposé que plus tôt.

"Si tu réussit à me faire tenir bon jusqu'au moment de la grande attaque, j'aurai une dette envers toi... Comment je ne dis jamais ça à personne, ça signifie que j'apprécie beaucoup ce que tu fais. Ce sera peut-être le seul moment où tu verra un Umbrien accepter une de ses faiblesses, mais je sent que je n'aurai peut-être pas tenu bon sans ton aide."

" Je me fiche de tes dettes, mon seul but sur l'instant est celui de t'aider, toi Aodhan Fernis. J'ai les épaules assez larges pour porter toutes tes misères. Je te soutiendrais jusqu'au bout, sois en certain."

" brules tous, je t'attendrais dehors."

Spoiler:

Aodhàn restât tranquille pendant les quelques minutes où Jolene l'observait. Elle semblait l'analyser de la tête au pied, se posant sûrement des questions sur sa capacité à tenir son engagement ou qu'elles genre d'informations il serait susceptible de vouloir donner à cette jeune femme et celle qu'il ne voudrait pas donner. Vous savez, le genre d'informations qu'il faut garder loi des femmes... Comme l'adresse de tous les bars et salon à femme de joie du quartier... Ou la recette de tartes aux pommes de votre chère maman, la femme volant généralement la recette pour dire que c'est la sienne... MENSONGE! Bref, elle L'analysait... Ça c'était clair, mais comme il était peu probable que la génitrice d'Aodhàn veuille reconnaître ce petit homme comme étant son fils et lui donner sa recette de tartes aux pommes ou qu'il ai un jour l'envie d'aller se taper quelques putes, les raisons de toute cette analyse et ces regardes pleins de questions restaient un mystère. Au final, elle lui expliquât qu'elle ne comptait pas lui demander quoique ce soit en échange de son aide... Qu'elle lui offrait sans rien demander en échange, un acte de pure générosité quoi. Le genre de choses qui étaient assez inconnues au monde Umbrien en général, ce peuple étant égoïste jusqu'à la moelle. Mais bon, ayant maintenant à côtoyer cette gentille personne pour un bon moment, le jeune homme devrait logiquement s'habituer à toutes ces démonstrations de gentillesse et d'affection, alors qu'il avait vécu dans insensibilité jusque là... Preuve que tout homme peut changer s'il à une femme à ses côté, même si ce petit adage s'applique généralement dans un autre contexte que celui de note histoire.

Bref, le garçon fit un léger sourire et baissât la tête afin de signifier qu'il comprenait que les actions de Jolene n'était menés que par un désir d'aider plutôt que pas besoin de quelque chose en retour. Cependant, le jeune Umbrien lui avait clairement expliqué qu'il ne prenait pas de dettes à la légère. Au moment où il reconnait en avoir une, elle existera pour le reste de sa vie... Ainsi fonctionne le petit esprit du révolutionnaire. Elle comprendra probablement sa personnalité et sa façon d'agir avec les autres au fil du temps, mais pour le moment, il fallait laisser à ce cheval mutant le temps de comprendre la personnalité renfermée du garçon. Vraiment, Aodhàn était tellement fermé dans son propre esprit, ne s'ouvrant jamais à personne... Jolene avait une chance inestimable de pouvoir entrer dans le monde du garçon, espérons qu'elle s'en rende compte rapidement. La jeune femme lui demandât de bruler les dépouilles, logique quand on veut éviter que deux cadavres contaminent toute la ville avec de mauvaises maladies. Il tournât l'œil vers un des morts avant d'être totalement surpris par... Une accolade de la part de Jolene. Il restât totalement bouche-bée, incapable de comprendre la signification ou la raison de ce geste assez inusité, il se contentât de rester droit, le bras totalement tendus. Si l'on avait peinturé son visage à ce moment là, on aurait cru voir le visage d'un homme qui vient de découvrir que le type qu'il côtoie depuis des années est son père... Bref, un visage assez stupéfait. Elle relâchât son étreinte en gardant son regard interrogateur, laissant le garçon à ses incompréhensions pendant qu'elle quittait la salle. Aodhàn laissât sortir quelques balbutiements de sa petite bouche, avant de se secouer la tête et de reprendre ses esprits pour se rappeler la demande de cette femme qui venait tout juste de lui faire un câlin. Il passa son bras sur son front pour essuyer un peu de la sueurs qui coulait puis posa sa main sur la tête du premier cadavre.

Utilisant son contrôle parfait des flammes, il fit augmenter drastiquement la température à l'intérieur du corps du pauvre homme afin de faire fondre toutes ses entrailles puis faire sécher le tout afin de ne laisser qu'un tapis de cendre noire et si légères que le vent aurait tôt fait de les faire disparaître. Passant au suivant cadavre, il répétât l'opération avant de quitter la sale en observant les quelques femmes heureuse de voir leur maris sains et sauf. Sans démontrer aucune émotion, il s'avançât la tête baissé vers la sortie de la tente quand un puissant éclair frappât les murs de toile. Deux patient horrifiés passèrent très prêt de mourir de brulures, mais le contrôle que le garçon exerça sur les flammes lui permit de minimiser les brulure en envoyant le feu en direction de son créateur. Avec beaucoup de difficulté, il stoppât net l'avancé fulgurante des flammes avant de projeter ceux-ci vers Jolene sans vraiment trop comprendre qu'elle était la cause de toute cette folie. Il criât aux patient apeurés de quitter rapidement les lieux avant que le feu ne ravage tout puis tournât son regard plein de haine vers la silhouette qui se dessinait au travers de flammes rouges. Ce qu'il vit l'horrifiât à un point qu'aucune description serait suffisante pour décrire la peur et l'étonnement dans ses yeux... La femme à qui il avait promis d'ouvrir son cœur venait... De tenter de le tuer? Non... C'était impossible, elle devait viser les patients, sinon elle aurait simplement envoyer l'éclair directement sur lui. Son regard apeuré ce changeât un un regard de haine profonde, le même regard qu'un homme envoie à l'assassin de toute sa famille au moment où il réussit finalement à le retrouver... Aodhàn n'en croyait simplement pas ses yeux... Mais il devait se faire à l'idée, maintenant qu'elle avait prouvé que sa cause n'était que parole pour elle, Jolene devrait mourir. Créant un zone de chaleur intense auteur des deux êtres, le garçon s'avançât d'un pas lent vers la femme qui avait attaqué son peuple. La chaleur dans la zone était si intense que l'air prenait littéralement en feu, pourtant... Il laissait un petit couloir où la chaleur était encore supportable devant lui afin d'englober la jeune femme et de lui donner la chance d'exprimer ses dernière volontés.

"Je croyais vraiment que tu pourrais m'aider... J'avais foi que notre relation serait bénéfique à tout ce que je tentais de créer. Mais je me trompais, attaquer ainsi mon peuple... Même la dette que j'ai envers toi ne te sauvera pas. Ta petite vie va se terminer ici, j'espère que tu est fière de toi... Tu sera probablement la seule à avoir vu toute ma palette d'émotions. Je te présente la haine."

"Si ta raison se borne à un égoïsme aussi profond qu'est celui de tenir ton peuple hors de ma portée, il est clair que tes arguments principaux sont aussi paradoxaux que les miens, Aodhan. N'as tu pas affirmé qu'un sacrifice pouvait mener à de meilleurs jours? «Umbra est un monde où nous faisons la guerre pour amener une paix menant à une nouvelle guerre, c'est le cycle sans fin du peuple Umbrien.» ne viendrais-je pas de te prouver la compréhension de la politique de tout un peuple?"

" Je savais que le feu était ton élément, que tu le générais et le relâchais selon tes envies. T'attaquer avec ta propre force n'était pas mon but. Je suis folle mais pas encore assez pour anéantir le peu de gens que j'apprécie. Tu n'es pas en mesure à avoir de plus amples explications, tout est à constater, je t'estimes bien assez intelligent pour passer au dessus de ce singulier teste. Maintenant, continues ton action, vas au bout de tes idées sans regrets."

" si tu as véritablement besoin de moi, tu n'aurais pas hésité. Si tu avais véritablement besoin de quelqu'un pour te garder les épaules droites et soutenir ta raison dans une quiétude constante, défiant de ce fait la folie à une impossibilité de t'affliger ses tourments, alors ce n'était pas à un humain que tu aurais du t'adresser. Aucun n'en est plus capable que toi."

k]dis moi ce que tu en penses via MP ou box ><" ... merci ]

Aodhàn n'était pas du genre à se laisser insulter par des gens incapable de comprendre ce qu'est un sacrifice. Jolene disait qu'il ne respectait pas ses convictions et qu'il était égoïste? Elle n,avait vraiment rien compris de toute la situation finalement... Umbra est un monde ne guerre oui, mais cela ne donne pas le droit a premier venu de massacrer n'importe qui sans raisons. Le garçon avait bel-et-bien dit que des sacrifices étaient nécessaires à la réussite de son plan, mais tuer des pauvres civils qui viennent tout juste d'être sauver et un gâchis. Cette femme était vraiment tout un phénomène, passant de la gentille fille qui souhaite aider le pauvre type qui risque de mourir sous toute cette tension, elle s'était transformé en véritable belle-mère critiquant tout ce que son "protégé" fait en l'attaquant selon des raisons stupides. Aodhàn avait vraiment cru que la femme devant lui pouvait l'aider, mais maintenant... Elle n'était plus qu'une nuisance qui en savait trop, voilà ce qu'était un sacrifice nécessaire. Afin de préserver l'intégrité de sa personne, le jeune révolutionnaire devait mettre fin à L'existence de cette file... Malgré tout. Il avait toujours dit penser à long terme, que tuer une personne pouvant sauver de vie au final était un erreur, mais en ce moment même... Sa vision à long terme prédisait bien des malheurs si ce cheval mutant restait en vie. Les quelques informations qu'elle avait étaient suffisante pour faire bien du tord au moral des troupes. Le garçon stabilisa la chaleur, puis marchât en direction de Jolene afin que ses murmures puissent être entendus. Étrangement, il parlait d'un ton assez bas, comme s'il avait peur que quelqu'un entende ce qu'il disait... À chacun de ses pas, la poussière s'envolait comme si la gravité n'était plus normale, tant la pression avait chuté à cause du changement de pression soudain. Arrivé à quelques pas de son amie, il l'observait tranquillement alors qu'elle semblait ne plus rien ressentir... Maintenant elle savait ce qu'il devait porter tous les jours...

"Il y a une grande différence entre tuer des civils pour son plaisir personnel et sacrifier les même civils pour un grand cause. La sacrifice mène à quelque chose alors que tuer pour tuer ne créer que du malheur. Bien-sûr, beaucoup m'ont déjà dit que le mot "sacrifice" n'est qu'une excuse pour simplement tuer... Mais il faut bien que homme croit en quelque chose, même si avec cette croyance je vais presque jusqu'à me contre-dire."

Effectivement, il y avait des moment où toutes ces convictions quasi-contradictoires d'Aodhàn allaient à contre courant. Comme sa pensé de ne jamais tuer quelqu'un qui pourrait aider au bien commun dans sa vie future ni se laisser mourir alors qu'on à un grand destin devant soi. Cette pensé allait totalement à l'encontre de ses discours sur les sacrifices nécessaires, surtout quand on se dit que certains des morts dans l'attaque d'aujourd'hui auraient pu devenir grand. Tout ceci n'était qu'une question de grandeur, le bien que causerait un changement de régime était bien plus grand que celui qu'un petit forgeron pourrait causer, alors que beaucoup croient qu'un millions de petits gestes mènent à de grands changements, Aodhàn croyait que seul un gros geste fait vraiment la différence, les petits se perdant généralement dans l'histoire. Bref, le garçon voulait vraiment mettre ça au clair avant de mettre fin à la futile existence de cette femme. Dans un sens, il souhaitait qu'elle puisse réfléchir à tout ça quand elle ira rejoindre ses semblables dans ne peut-être possible vie après la mort. Avec toutes ces histoires sur les esprits et le fait qu'ils semblent de plus en plus faibles, la possibilité qu'ils nous accueillent dans leur quatrième monde céleste était vraiment de plus en plus irréaliste. Le garçon commença alors à rassembler un grand quantité d'énergie dans sa main qu'il ferait s'enflammer afin de bruler Jolene vive, mais il perdit soudainement le contrôle sur l'énergie qui se dissipa. Dans ce soudain moment de faiblesse inexplicable, il ressenti une espèce de boule dans la gorge... Comme si la boule de feu qu'il tentait de créer ne faisait que retourner dans sa gorge pour lui causer toujours plus de problèmes. Dans un sens, l'on pouvait presque dire que son corps refusait qu'il pense avec sa tête et qu'il tue cette femme comme il l'avait crier quelques minutes plus tôt... Un réaction des plus étranges pour un homme qui S'éloigne volontairement de tous sentiments.

Tout ça explique simplement un des fait de la vie, vivre dans l'absence de sentiments est impossible. Bien qu'Aodhàn passait son temps à agir comme si rien ne l'affectait, il faut bien avouer qu'il passait ses moments de solitude à déprimer dans son coin. Comme il l'avait si bien dit, vivre hors de émotions est un parure pour garder le moral de troupes à son extrême, mais ces aussi un moyen d'éviter que les sentiments mettent en danger ses plans. Comme en ce moment même... Malheureusement, il avait juré à Jolene de laisser libre cours à ses tempêtes émotionnelles alors qu'il est avec elle... Maintenant qu'il devait la tuer, tout ceci revenait le hanter. Cependant, son inaction avait causer une drôle de situation du côté de Jolene qui lui demandât de continuer ce qu'il voulait faire, avant de commencer à s'auto-attaquer. Elle utilisait un pouvoir d'ombre Umbrien pour faire bruler ses bras, qui semblaient se régénérer à chaque coups... Ses soupçons tant qu'a l'humanité de cette femme se concrétisaient de plus en plus, aucun humain ne pourrait résister à des attaques aussi violentes et une chaleur aussi mordante. Le garçon avait peu de choix, soit il combattait son refus de la tuer et terminait ce qu'il avait commencer, ou il la sauvait malgré tout ce qu'elle à tenté de faire. Il faut bien avouer qu'il ne comprenait pas tout ce que Jolene disait, Quel test? Elle mettait en doute son besoin de quelqu'un pour le supporter? Alors qu'il lui avait dit des dizaines de fois qu'il avait besoin de son aide? Un fois de plus ne ferait probablement pas de tord. Plutôt que d'aller attaquer directement celle qui se tenait devant lui à le fixer drôlement, il s'approchât rapidement puis l'attrapât par la taille tout en lui attrapant le bras droit avant de faire disparaître toute la chaleur et les flammes de environs. Le garçon se plaça à côté de l'oreille de la jeune femme afin qu'elle comprenne bien ce qu'il allait dire.

"Je te l'ai déjà dit, j'ai besoin de ton aide... Je veux ton aide. Sinon je n'aurai pas fait tout ce chemin et tu serais déjà morte. De toute façon... Ce n'est pas vraiment à un humain que je m'adresse, pas vrai? Peu importe ce que tu pourra dire, peu importe de quels tests tu parles, il faut que tu comprenne que je veux aider mon peuple, tuer des innocents n'est pas vraiment une bonne idée." Aodhàn se reculât puis se tournât de 90° pour observer la désert sombre qui se profilait au loin. "De toute façon... Je ne peux pas te tuer..."

" je suis d'accord avec toi, tuer des innocents pour une simple envie n'est pas une solution. Omettre un sacrifice pour avoir un monde de paix n'est cependant pas suffisant, c'est ce pourquoi j'ai voulus te faire participer à un seul test ou tu as lamentablement échoué. Dans ce test, tu aurais du déchainer toute ta colère contre moi de façon à ce que mes actes soient purifiés. Mais il n'en est rien. Comme quoi, meme toi tu t'affubles d'émotions et de sentiments pour une cause tout aussi loyale de celle de protéger des innocents. Tu penses vraiment pouvoir sauver tout un peuple ainsi? Tu disais que le roi actuel était un mauvais souverain de par ses actions entainées par ses sentiments. Tu es exactement en train de faire la meme chose Aodhan. J'espère néanmoins que ton … tribunal populaire sera moins clément si tu serais parvenu à te saisir de moi … Au final tu n'auras pas besoin d'une seconde preuve, tu as échoué. "

" tu as échoué et si tu continues ainsi, il est clair que tous tes espoirs s'envoleront. Imagines donc qu'une personne qui t'es cher ou soit a tes cotés te trahisse un jour, que ferais tu? Le tribunal? Ce ne serait meme pas assez rapide pour l'envisager! Et au moment ou tu serais en train de penser, hésitant à l'attaquer, il t'auras sans doute déjà mis K-O..."

" MAIS MERDE! C'EST TOI LE ROI, DONNES TES ORDRES, ENERVES TOI, SERRES TES FESSES, FOU MOI EN UNE, DECLENCHES UN JET DE LAVE SUR MOI... MONTRES MOI QUE TU ES CAPABLE DE MONTER SUR CE PUTAIN DE TRONE BORDEL DE MERDE!!!...

* se calme, se ressaisis, recule de plusieurs pas, laissant de ce fait le pauvre Aodhan à plus de dix mètres d'elle, tout seul... *

un roi sans autorité n'est qu'un incapable... Un roi qui fais passer ses sentiment avant son propre peuple n'est qu'un pantin.. Toi tu es les deux."

" tu compte rester un incapable idiot toute ta vie ou tu vas prendre ton peuple en main, Aodhan? "

Aodhàn laissât la jeune femme faire son discours remplie de philosophie et de sens... Mais en même temps, il était très contradictoire. Le garçon avait remarqué certaines choses depuis que Jolene avait supposément commencé son "test". Premièrement, alors qu'elle avait depuis le début condamner son absence d'émotions face à une situation, elle demandait maintenant qu'il fasse preuve d'autant de neutralité qu'un bout de marbre. Ensuite, malgré cette régénération assez impressionnante et la résistance à la chaleur, pourquoi tenait-elle tant à ce qu'Aodhàn la tue? Était-ce un désir soudain de mourir bruler vive? Ou simplement la finalité du fameux test qu'elle avait mentionné? Le garçon hésitait entre les deux possibilités mentionnée, au départ... Il avait considéré Jolene comme quelqu'un qui avait une certaine joie de vivre et une naïveté presque charmante, mais elle était bien différente en ce moment. Nous avion droit à une femme qui faisait la morale à une homme pour qu'il la tue à cause d'actes fait en connaissance que le garçon saurait sauver ses citoyens. Tout ça n'était pas normal, je ne parlais pas là de ses capacités surhumaines, mais bien du comportement complètement différent de la jeune femme. Il fronça légèrement les sourcils alors qu'elle fini sa dernière phrase à propos des émotions et eu comme un "flash". Elle agissait presque comme... Lui. Jolene avait eu la même descente dépressive que le garçon à un moment, c'était d'ailleurs juste après la rencontre avec notre cheval mutant. Il était alors tombé dans ses pensées et avait été sauvé par une étrange femme qui l'avait attaqué, d'étrange évènement arrivèrent ensuite qui donnèrent vie au garçon que nous connaissons maintenant, Jolene avait peut-être besoin d'un sauveur? Qui sait... Peut-être que sa tentative désespérée pour devenir le confident du révolutionnaire était aussi une tentative pour trouve elle aussi quelqu'un pour l'aider... Mentalement. Mais avant de continuer l'analyse psychologique du Cormyr, répondons à ses allégations par une logique qui sera probablement ignorée.

"Jolene, la haine est aussi un sentiment. Un sentiment qui à porté de nombreux empire Umbirens à leur perte... Un sentiment qui régit actuellement le roi. Tu dis que J,ai échoué? Au contraire... Je dirais avoir réussit, car j'ai réussit à surmonter ma Haine et mon envie de violence et de mort et ainsi t'épargner. Te laissant ainsi aux mains de la justice... Cas quel mauvais roi serais-je si je réglais tout mas mes flammes et ma vengeance... Le peuple à besoin de justice, un tribunal est le meilleur moyen d'apaiser ce besoin. Je veut fonder mon gouvernement sur le peuple et non sur un simple homme qui fait ce qu'il veut de son royaume... C'est ainsi que je vois le futur d'Umbra!"

Ce petit discours patriotique serait probablement passé dans le beurre, comme beaucoup de ses autres paroles qui semblaient être totalement ignorée par notre cervelle d'équidé. Pire qu'une blonde, ce cerveau animal à base de foin et de mélasse ne laissait pas entré grand choses dans son petit espace de calcul. Mais bon, elle ne fit qu'un petit sourire puis l'observât de haut en bas... Elle réagissait vraiment d'une façon... Étrange. Comme si son désir de mourir avait pris le dessus sur l'instinct de survie primaire au point où elle ne savait même plus qui elle était et comment elle réagirait normalement dans une situation pareille. Aodhàn se souvenait parfaitement de la femme qui avait sauvé de la rue il y a plusieurs mois, sa joie de vivre avait presque donné de l'espoir au garçon, le tout avant qu'elle ne le laisse après la petite mission de transport qu'ils avaient pris. Reste tout de même qu'une personne saine mentalement ne peut simplement pas passer de l'amour de la vie à désir d'être tuer douloureusement par celui qu'on à juré d'aider. Surtout que tuer son amie n'aiderait vraiment pas la conscience et le mental d'Aodhàn. Cela il l'avait comprit quand son propre pouvoir avait refusé de réagir, le lien qu'il venait tout juste de créer avec cette quasi-inconnue était suffisamment fort pour outre-passer le sentiment le plus fort des hommes et le faire réfléchir. La colère peut forcer des familles à s'entre-tuer... Elle peut forcer des rois à détruire leur sujets... Elle peut forcer les meilleurs amis à se détruire l'un l'autre. Mais elle ne peut pas forcer l'homme déterminé et idéaliste à tuer une amie, aussi malsaines soient ses actions. Cette pensé est peut-être trop lumineuse pour le garçon sombre, mais il restait que ses convictions étaient très fortes. Ne jamais se laisser dominer par des émotions au point de commettre l'irréparable. Ne jamais tuer quelqu'un pouvant aider au bien commun... Ne jamais aller contre ses promesses. Tels sont les trois commandements principaux d'Aodhàn.

Il se laissât crier dessus sans rien dire... Jolene avait quelques problèmes émotionnels très apparents. Il ne réagit pas quand elle se mit à lui dire que ses sentiments étaient plus fort que son jugement... Au contraire, il venait de prouver que même la haine et la colère n'étaient pas capables de venir brouiller sa logique implacable. Mais il ne réagit pas... Laissant la jeune femme déchainer sa colère et ses sophismes sur la pauvre garçon sans rien dire. C'était assez inusité de sa part, mais il avait un plan... Un peu tiré par les cheveux, mais c'était la meilleure idée qu'il avait trouvé pour finalement faire comprendre les vraies choses à Jolene. Elle qui croyait que la colère devait être dirigé sur elle si l'on voulait se détacher de toutes émotions, au contraire... On ne faisait que les embrasser en se vengeant. Malgré les insultes sur les valeurs de base de son plan politique, il ne laissât pas les mots vides de sens et de force d'argumentation de Jolene l'atteindre. C'est justement parce qu'il ne voulait pas l'immoler vivante qu'il était digne d'être le roi. C'est justement parce qu'il ne laissait pas sa colère le détacher du droit chemin qu'il devait prendre le trône. C'est justement parce qu'il refusait de la tuer qu'il était le seul qualifier pour régner sur Umbra. Il s'approchât de la jeune femme qui avait commencé à lancer sa tempête de sable et l'observât dans les yeux, pour la première fois depuis le début de cette conversation, il parlait d'un ton doux... Presque chaleureux. Ce qui était assez rare pour notre roi de la neutralité.

"Peu importe ce que tu pourra dire, je ne vais pas te tuer. Simplement parce que mon corps m'en empêche... Je préfère prendre le risque que tu me trahisse plutôt que de succomber à la colère et d'assouvir ton désir de mort. Non, je vais faire mieux que de te tuer... Je t'avais dis que je rembourse toujours mes dettes non? Et bien je compte rebrousser celle que je te doit pour avoir accepter de m'aider avec mes problèmes. Je vais te la rembourser maintenant. Mais où est passé la gentille et joyeuse Jolene que j'avais sauvé de la froideur de la rue? On ne change pas aussi drastiquement sans raisons, tu souhaite que je te dise tous ce qui m'alourdis le cœur? Et bien je demande que tu fasse pareil... Je serai ton confident comme toi tu est le miens."

Le garçon fit quelque pas en avant, un sourire chaleureux et rassurant, comme les hommes savent si bien le faire, puis enlaçât soudainement Jolene, comme elle l'avait fait plus tôt. En soit ça pouvait paraître comme quelque chose de plutôt inhabituel, mais Aodhàn avait en tête de briser toutes les barrière de cette femme pour l'amener aux larmes comme elle avait fait pour lui... Un simple échange de bons procédés.

"Laisses-moi t'aider comme moi tu m'aides... Vouloir mourir à ce point n'est pas sain..."

" de ... l'aide? ..."

" la jolene que tu as connu est morte, bien qu'une petite part d'elle est logée en moi, je ne peux garantir sa sécurité que si j'arrive ainsi à la compléter, ça peut demander des siècles, elle ne reviendra peut etre pas, mais c'est ainsi que ça fonctionne pour moi. "

" Et vous, quel malin esprit vous a donc changé au point de vouloir prendre en charge toutes les responsabilités d'un peuple sur vos épaules? Que me cachez vous derrière votre coeur glacé?"

Sa stratégie avait fonctionné, Jolene avait complètement été pris de cours par la soudaine action amicale du garçon et ne semblait plus savoir où mettre de la tête. Laissant s'échapper deux mots, la jeune femme se laissât faire et prit même plaisir dans l'action irréfléchie du garçon. Elle se cachât le nez dans la tunique un peu sale d'Aodhàn et restât silencieuse pendant un petit moment. Ce petit moment de silence où la jeune femme appréciait se moment d'affection permit au garçon de constater à quel point les femmes pouvaient être faible à certaines choses. C'est vrai quoi, Jolene était prête à tuer le jeune révolutionnaire ou être tué par lui et soudainement, à cause d'un simple câlin et de quelques phrases bien placés, elle venait de laisser tomber toutes ses résolutions. Soit cette possibilité faisait parti de petit test qui semblait plus un prétexte pour demander la mort qu'autre choses, soit elle avait vraiment été surprise par ce geste. Aodhàn préférait la possibilité de la surprise, comme quoi agir sans trop réfléchir quelques fois pouvait apporter une bon résultat. Il ne bougeât donc pas, laissant son amie profiter de la chaleur puis la laissât lui expliquer où était passé celle qu'il avait secouru il y a quelques années. Calmant ensuite la tempête de sable qui faisait rage autour d'eux, elle vint lui demander pourquoi, lui aussi avait changé autant. La raison était plutôt simple, mais longue... Il pris donc un grand respiration puis commença à expliquer les raison de ce soulèvement et de ces changements de personnalité.

"Quand nous nous sommes rencontrés, je travaillais comme aide-cuisinier à la forteresse, mon supérieur était un philosophe qui contestait l'autorité royale. On à discuté longtemps jusqu'au moment où tu es apparue et que nous sommes allées à Lucinia. Une fois que nous nous sommes séparés, il s'est passés beaucoup de choses... Pour résumé, j'ai été attaqué par un des créateurs et le fait qu'elle m'a piégée dans un cercle de feu m'a laissé le temps de réfléchir. Une fois rentré à Umbra... Le cuisinier était mort et une partie du quartier avait été brulé parce qu'il avait converti des gens dans le coin... C'est ce qui m'a donné l'envie d'agir. J'avais l'impression qu'il m'avait donné le flambeau et que je devais créer son monde à ma façon, un monde de justice et d'égalité... Ensuite, tout n'a été que de réunir des gens et nous voilà."

Le garçon relâchât son emprise et présentât à Jolene un beau sourire. Le genre de sourire qui venait vraiment du fond du cœur et qu'Aodhàn n'avait pas fait depuis.... Toujours. Il détournât le regarde quelques secondes vers sont petit sac qui pendouillait à son épaule et en ressorti un portrait représentant un vieil homme, assez barbu et habillé chiquement. Il observât ce portrait quelques secondes avant de relever le regard vers Jolene.

"Cet homme était mon mentor, l'investigateur de tout ce mouvement... Je lui dois beaucoup... Et toi? Tu as une raison pour avoir laissé mourir ton côté vivant et chaleureux qui m'avait réchauffé le cœur à l'époque?"

" il serait mieux d'avancer pas là bas, la marche permet une meilleur libération de l'esprit.

Je ne me suis pas laissée mourir, j'ai été assassinée.... assassinée par Valiane de Trehlnor et j...'jai du... pactiser avec un dechu pour la reprendre en échange de ses services. La suite.... J'ai errer comme un spectre dans l'ombre qu'un jour je puisse me venger d'elle ça n'est pas glorieux, j'ai abandonner tous espoirs de m'en venger et c'est ainsi que je suis rentree, sans aucunes convictions dans l'Ordre nouveau."

" et vous, pourquoi l'ordre... et ce peulpe, n'est-ce pas totalement contradictoire? travaillez vous pour quelqu'un en particulier? Un autre lourd secret vous ronge t il lui aussi après l'épisode tragique de votre mentor? êtes vous aidés par des esprits errrants?"

Aodhàn avait suivit Jolene durant sa petite marche où elle expliquât comment Valiane avait tué une partie d'elle il y a longtemps. Cette dénommée Valiane était aussi la cheffe de l'ordre dans laquelle le garçon avait postulé il y a quelques mois... Cet ordre de fanatiques était la seule chose qui lui permettait pour le moment de recruter des mercenaires pour son armée. Généralement, les types qui s'inscrivaient dans cette guilde étaient des guerriers sanguinaires qui n'avaient plus rien à perdre, de la chaire à canon parfaite pour une armée de révolutionnaires. Ils ne voulaient pas savoir pourquoi ils se battent... Simplement défoncer des gueules jusqu'à ce qu'il n'y ai plus rien à tuer. Autrement, le jeune homme n'avait aucune autre raison d,être dans cette guilde... Ils aidaient des esprits aussi corrompus et malsains que les créateurs à prendre les dessus dans un pseudo guerre spirituelle. Aodhàn l'avait toujours dit, il préférait de loin voir tous les esprits mourir pour laisser place aux hommes que simplement échanger des aveugles pour des fous dangereux. Drôle de comparaison me direz-vous... Pas vraiment, puisque les esprits créateurs sont complètement aveugles... Il était clair que la seule façon de les faire sortir de leur cachette pour qu'ils viennent en personne régler les problèmes était de mettre le feu à une ville où l'on à coupé les sources d'eaux et où on à forcé une guerre civile et un génocide... De l'autre côté, les déchus passaient leur temps à bruler des gens et à piller les villes pour leur propre plaisir personnel... Aodhàn était loin de ceux qui pensent que les déchus doivent prendre la place des créateurs... L'anarchie peut être une bonne chose pendant quelques heures, mais ce n'est jamais une solution à long terme. Mettre des malades mentaux en manque de sang et de meurtre à la tête des trois mondes? C'est comme mettre un gobelin à la tête d'un pays et penser que la paix va régner.

Si Jolene comptait poser la question... Non, Aodhàn ne resterait pas dans cette guilde de fous et n'irait pas non plus rejoindre les faiblards de l'autre côté. Si ça ne tenait qu'à lui, il irait combattre seul les esprits pour tous es tuer une fois pour toutes... Mais le garçon n'était pas non plus un inconscient, il savait à quel point les déchus étaient puissants et les créateurs encore plus... Foncer sans être préparé n'était pas une solution envisageable. Notre petit révolutionnaire préparait déjà des plans... Des stratégies et des discours pour combattre et détruire une fois pour toute les êtres supérieurs que se donnent le droit de nous diriger. Déjà qu'Aodhàn contre-disait l'autorité de son propre roi immortel, combattre celle des esprits n'était presque rien pour lui. De toute façon, une fois les centre de recherches et l'armée Umbrienne sous son contrôle, le garçon aurait accès à des armes qui pourraient probablement vaincre les esprits à tout jamais. Finalement, la jeune femme aux côtés du garçon sorti celui-si de ses pensés... Elle voulait savoir beaucoup de choses la petite, d'ailleurs... Le garçon n'avait pas nécessairement toutes les réponses, il se contenterait donc d'énoncer les principales raisons de sa présence dans L'ordre... Cependant, un chose le titillait un peu, Jolene souhaitait tuer Valiane pour avoir massacrer une partie d'elle-même? Dans cette quête de vengeance et de destruction elle avait perdue toute convictions? Il N,allait pas croire de telles conneries.

"Je suis entré dans L'ordre pour recruter de fanatiques qui n'ont pas peur de mourir... Ce genre de soldats sont très bon pour une armée révolutionnaire comme la mienne. Et non, je ne cache rien d'autre... Je ne crois pas que je me laisserait aider par ces connards d'esprits."

Il baissât légèrement les yeux puis recommença à fixer ceux de Jolene avec un air sévère, présager d'une séance de morale intensive.

"Et toi? Tu dis avoir perdue toute convictions? Je ne vais pas vraiment croire ça... J'ai vu à quel point tu te démenait pour soigner les pauvre blessés que tuas fait fuir... Les gens sans conviction n'aurait simplement rien fait, ils auraient passés leur chemin se disant que la récompense n'en vaut pas les sacrifices. Ne te fais pas croire que tu n'a aucune convictions... c'est même le contraire. Après avoir vu tout ce que tu as fait simplement pour me venir en aide, je ne compte pas accepter de tels propos de ta part."

Spoiler:

" n'essais pas de comprendre l’immuable, je suis née dans une doctrine ou la compassion éprouvée pour chaque être humain me donne bien plus de forces et d'espoir que personne ne pourrait jamais en avoir. Ne me compares pas à un autre être, ce que tu es en train de faire, car en absoudant ma vengeance vers cette femme, j'ai su remonter les gonds du relativisme et de l'avarice. Sagesse, courage, force... ces trois attraits et qualités que tu pourrais bien trouver en moi te surprendraient."

" ... .. trouvons un endroit un peu plus fiable et intime qu'une place, s'il te plais..."

* Que comptes tu faire? la race des hommes ne vaut pas celle des esprits, les garder tel un troupeau de mouton ... pour te refaire lâcher dès qu'ils ont eus ce qu'ils souhaitaient... une seule expérience ne t'a -elle pas suffit? *

* tais toi... j'ai confiance..*

* en un humain... milles et trois années de servitude contre douze de libertés et des semaines à ceux d'une piètre femme et te voilà à repactiser pour aider les humains...*

* un humain n'équivaut pas à plus de cent années, je vise l'humanité toute entière. Créateurs, déchus... ne sont que pantins de leurs avarice et envies...*

* et pas les hommes? Ils sont pire!*

* mais malléables et croient au développement et aux évolutions, ils ont juste besoin de...*

" Un ordre, un souhait, un seul pour toute une vie contre mon aide et toute mes forces puisées dans cet univers de dément. C'est tout ce que je vous demande en contre partie. Je ne suis ni un esprit errant ni dechu ni un créateur, mais si vous le souhaitez et vous seul, je peux en venir à bout. Si vous demandez des preuves, je vous emmènes dans un autre lieu pour les faire, à vous d'en décider. Mais sachez que Jolene n'est rien sans moi, ce n'est qu'une enveloppe d'émotions ternie et dépassée par le temps. Vous désirez plus d'explications? Cherchez dans une bibliothèque la race "Comyr" peut etre en sauriez vous plus sur le sujet. A et autre chose... Je suis pour le développement et l'évolution de l'humanité toute entière bien que cela est une chose périlleuse et longue, il est clair qu'elle a déjà pas mal avancé depuis l'aube des temps, vous n'avez donc rien à craindre de moi ma preuve en est l'aide que j'y ai déjà apporté. "

hrp=>[ j'ai reflechis, ce RP pourrait me servir, à trouver une raison pour te suivre dans toutes tes aventures et te suive dans la confrérie Wink

Donc tu seras gentil de ne pas dire non à Ladraël xD ça risque de prendre encore plus de temps pour le RP .... oh quoi que... fais comme tu veux =) ]

Spoiler:

Le garçon écoutât ses quelques phrases avec attention et réalisât un petit chose dans son esprit complexe... Cette femme se considérait comme sur-élevée par-rapport aux autres êtres humains. Bien-sûr, elle avait quelques raisons... Déjà la puissance qu'elle avait fait preuve durant le petit moment de violence qu'ils avaient eu et la force de ses coups en plus de sa capacité à sauver des gens de la mort sans même bouger un sourcil, elle était logiquement plus qu'une simple humaine... Pourtant, il avait la conviction qu'au moment où il l'avait rencontré pour la première fois, elle était revenue à une stade plus humain... Un stade où l'on apprécie chaque moment de son existence car la possibilité que ce soit le dernier nous guètes à tout moment. Un stade où l'on ne fait pas trop attention à l'évolution de notre esprit car la vie ne nous en laisse pas le temps. Il était soudainement très clair, qu'au contraire d'Aodhàn qui n'avait pas le temps de réfléchir au sens de la vie, elle vivait sans la peur de ne plus voir le lendemain... Lui permettant d'évoluer sur le plan de la conscience et ainsi de devenir ce qu'elle est actuellement. Elle se voyait clairement comme supérieure, capable de grandes choses, mais toujours à penser à toutes les conséquences pour réellement agir à temps. Dans ce sens, elle était un peu comme les Elfes... Laissant passer les guerres et les révolutions pour se pencher sur leur propre évolution, car ils ont le temps de se pencher sur ces choses... Alors qu'ils marchaient le long de la route, pendant que Jolene commençait à combattre la créature qui l'habite, le garçon laissât s'échapper quelques mots que la femme n'entendrait peut-être pas, mais il laissât tout de même court à ses pensées.

"Mais tu est vraiment heureuses dans cette "supériorité"? Les rares moments que tu as passé comme humaine ne t'ont pas semblé plus jouissifs?"

Même le garçon pouvait comprendre que la vie ne dure pas éternellement pour un humain normal... C'était probablement pour ça qu'il était devenu si grand à un si jeune âge, Il n'avait vraiment pas de temps à perdre et ce qui faisait de lui une personne si ambitieuse, qui réalise les choses rapidement et correctement bien plus vites que ceux qui se vantent d'une longévité extrême... Vivre moins de 80 ans n'était pas un si gros problème que ça, ça fait prendre conscience du moment présent et de l'importance d'agir pour se faire connaître rapidement, sinon l'on disparait dans l'ignorance sans même avoir eu la chance de faire part de son génie a reste du monde. Le pauvre mentor du garçon avait vécu ce genre de vie, il n'avait seulement laissé sortir sa sagesse et son génie qu'auprès du jeune Umbrien et le tout, quelques mois avant sa fin... Aodhàn serait probablement le seul à se rappeler de ce grand homme qui avait changé sa vie et probablement la face d'Umbra... Sans lui, le peuple sombre serait probablement resté sou le joug du roi tyrannique, où aurait eu droit à un renversement de la part d'un autre roi encore plus tyrannique... Adressant une petit pensée à son chef cuisinier, le garçon retournât son attention vers Jolene qui commençait à agir d'une drôle de façon, levant discrètement un sourcil il tentât d'avancer un peu plus rapidement afin de jeter un meilleur regard sur son visage, mais elle lui fit rapidement un signe disant qu'elle souhaitait aller dans un endroit plus calme... Sans trop comprendre le garçon repris sa place derrière la jeune femme en la regardant d'un air interrogateur. rapidement, elle allât vers un mur pour s'y supporter alors que son état semblait visiblement empirer. Soudainement, alors qu'elle s'était laissé glissée le long du mur, son apparence changeât légèrement e tune vois différente vint lui parler, sans trop comprendre le garçon écoutât, fronçant le sourcils.

"Mon but ultime est de libérer tous les peuples de l'esclavage... Que ce soit celui d'un tyran ou bien d'un esprit... Je ne serait pas mieux que ceux que je veux combattre si j'acceptai de te prendre comme "esclave", toi ou Jolene... Si tu souhaites me suivre, ce sera de ton plein gré... Si tu souhaites suivre mes ordres, alors elles devrons passer par ton jugement avant d'être faites... Je ne souhaite pas faire la même erreur que ceux qui mon précédés, je ne veux pas d'un soldat obéissante que je n'utilise que pour sa puissance et que je jète une fois mon but atteint... Je veux un partenaire dans mes conquêtes, un ami dans le moment difficile et un confident quand je me sentirai tirer vers le ténèbres. Si toi et Jolene, peu importe ce que vous êtes, souhaiter prendre ce rôle, alors je vous accueille avec joie, mais tu sera toujours libre..."

Le garçon marquât un petite pause, laissant soudain tomber son air neutre pour prendre un regard sérieux, qui faisait penser à des menaces si certains ne le connaissaient pas suffisamment.

"Je tiens cependant à te dire que, malgré que toi ou Jolene semblez prétendre avoir un statut d'être supérieur, je ne vous laisserai jamais prendre le place des créateurs ou des déchus pour nous mener en esclavage à nouveau... Je souhaite mener l'humanité dans un chemin où elle sera maître de son propre destin, où chaque habitant pourra avoir un incidence sur le future de son peuple... Où il n'y aura personne pour nous forcer à agir dans un sens ou dans un autre... j'aspire à la libération de tous les peuples mortels, quels qu'ils soient... Considère donc ceci comme un avertissement, j'ai confiance en Jolene, mais pas en toi. Si, dans un élan de grandeur, tu tends à vouloir contrôler les différents peuples, alors tu subira le même sort que les créateurs ou les déchus."

"Respecte l'autorité et ceux qui placent leur foi en toi.
Ne trahis jamais la confiance de tes compagnons d'armes.
Ne mets jamais l'Ordre ou tes compagnons d'armes dans l'embarras.
Chasse le mensonge de ta vie à jamais.
Respecte ta parole et ne la donne pas à la légère.
Sois loyal envers les gens avec qui tu t'engages et les idéaux que tu as choisis.
Ne fais jamais de remarques désobligeantes envers tes compagnons d'armes.
Sois poli, courtois et attentif quoi qu'il arrive.
Fais toujours preuve d'une grande maîtrise de toi.
N'affiche aucune arrogance autant en présence des rois que des gens du peuple.
Comporte-toi avec noblesse et donne le bon exemple.
Recherche toujours l'excellence dans toutes tes entreprises.
Garde la foi et ne cède jamais au désespoir.
N'utilise ta force que pour servir le bien, jamais dans un but de gratification personnelle.
Fais régner la justice où que tu sois, mais demeure humain et miséricordieux.
Ne vante jamais tes propres mérites, laisse plutôt les autres le faire à ta place.
Respecte la vie et la liberté en tout temps
Protège les faibles et les innocents où qu'ils se trouvent et viens-leur en aide si tu le peux.
Soulage la souffrance et l'injustice.
Sois généreux avec ceux qui sont dans le besoin.
Sois prêt à faire des sacrifices pour servir la vérité en toutes circonstances.
Ne recule jamais devant l'ennemi et n'attaque jamais un adversaire désarmé.
N'abandonne jamais un frère ou un allié sur le champ de bataille.
Ne te sépare jamais de ton Maître.
Respecte ton Maître et protège-le contre tous les dangers.
Transmets ta science et tes belles valeurs à tes compagnons avec honnêteté et simplicité.
Par la sueur, le sang et l'acier, je prête serment sur l'honneur, je ne serais vous décevoir, sauf si vous me trahissiez. "

"maison"

" humm.. Aodhan, je te présente Lunitario, un phénix morphing, il pourra t'aider quand bon te semblera. Je te demanderais juste d'accepter son aide pour sceller notre pacte. Je pense qu'il te sera d'une grande aide."

Spoiler:

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