Hymne of Madness [Pv Deavy]

C'était une étrange découverte que celle de l'Asile oubliée, prenez un embranchement aux milieux des quelques montagnes des Mont Lunaris, et vous vous retrouverez happer par ce lieu si...glauque. En effet, c'est ainsi que je me retrouvais devant cet asile où jadis les plus fous venaient s'y faire enfermés pour ne plus faire de mal à quiconque. Mais je vais vous racontez comment je suis arrivé dans ce lieu, oui avant que la folie vienne m'affecter. C'était à l'issue d'une autre aventure, avec un néko familier, où ce fut l'une de mes pires journées et je voulais m'isoler un peu de reste du monde, ou plutôt de l'humanité. Galopant dans les airs, je m'étais posé à une endroit au beau milieu des monts Lunaris et je m'y trouvais bien. Mais c'était à ce moment-là que j'entendis une voix me souffler à l'oreille, une voix cristalline qui me disait de la suivre et je ne sais pas pourquoi, je l'écoutais et me mis en route sur un grotesque sentier. Celui tournais à gauche, à droite, faisait des zigzague un peu n'importe comment mais la voix insistait pour que je vienne et n'y résistant j'y allais. Sleipnir m'écoutais drôlement, lui qui d'habitude n'en faisait qu'à sa tête, et j'arrivais à un endroit très spécial, je trouvais. Les structures m’avaient l'air tout bonnement construite pour ne laisser s'échapper personne, et c'est là que j'ai compris de quoi il s'agissait. Plutôt, il me fallait avoir la certitude, et la voix dans ma tête me disait que j'arrivais presque à elle.

J'accrochais mon cheval, et ouvris la lourde porte qui se présentait à moi, tout en métal, un peu rouillée par endroit mais néanmoins en bonne état par rapport aux intempéries qui régnaient aux Mont Lunaris. Puis je me retrouvais dans un long couloir, où l'obscurité régnait en maître.

* Quelle étrange sensation, je me demande si c'est ce que je crois *

Oui, j'avais tout bonnement la certitude que c'était un asile, mais oublié de tout le monde, et où proliférais des chimères, les restes d'esprits fous qui subsistais encore en ce lieu. Jadis ce lieu avais due être populaire, mais délaissé pour je ne sais quelles raisons il n'en reste que les structures. Bref, revenons en à mon cas, comment j'ai pus tomber dans cette folie passagère, cette voix continuait de me parler, de me faire venir dans les profondeurs de l'asile, ainsi je passais par d'innombrables cellules d'isolements, où ils y avaient de petites encoches pour voir à travers. Parfois il m'arrivait d'y jeter un coup d'oeil, et bien sur rien ne me surprenait à y voir le matériel le plus stricts, toilettes, lits, de petites fenêtres arrondis grillagées. Alors je passais mon chemin, pour continuer dans le couloir, et plus je continuais plus les murs semblaient se rapprocher, jusqu'au moment une porte vint se planter tout bonnement. Je l'ouvris pour me retrouver dans une immense pièce, et où j'allais me planter au milieu pour je ne sais quelles raisons.

C'est alors qu'un violent maux de tête s'installa, et d'innombrables silhouettes, enfin de ce que je croyais voir, tournaient, dansaient autour de moi alors que j'étais tombé à terre. Puis les murs vinrent se changer, comme une peau qui se déchire, qui pèle si on pouvait l'interpréter comme cela. S'en suivit de profondes entailles dans le murs, des écris de fous parsemaient les murs dégradés. Je tombais alors dans les vapes, laissant s'écouler je ne sais quelques moments. Lorsque je parvenais enfin à me réveiller, j'étais toujours au même endroit mais dans un autre genre, encore plus lugubre, la rouille, le métal prédominait, et des traces de sangs gisaient un peu partout. La voix dans ma tête avait disparut pour en laisser place à une autre,

Salut toi ! Bien est-ce que tu connais mon nom ? Non, normal, mais tu vas m'apprendre à me connaitre, euh non qu'est-ce que je raconte comme bêtise, tu me connais pour sur mais je te laisse le deviner !

Mais qui est-tu !? Pourquoi hanter mon esprit, pour quelles raisons, je veux des réponses !

Non désolé mais il faut que tu l'apprenne par toi même sinon ce sera pas drôle tu sais et puis l'asile psychiatrique me semble tout à fait approprié pour ton cas tu ne crois pas

Que raconte-tu ? Pour mon cas mais je ne suis pas fou, je viens seulement de découvrir cet endroit !

Ah désolé mais tu te trompe crois tu le connais très bien justement, mais je vais te laisser le suspens, je reviendrais un peu plus tard...hé hé

C'est ainsi que je faisais connaissance avec l'une des chimères de cet asile, enfin c'est ce qu'il me semblait à cette petite rencontre. C'était bien la dernière chose dont j'avais besoin après ma dernière mésaventure ! Cet à ce moment que j'avais besoin d'aide mais mon cas s'avérait assez troublant, si seulement quelqu'un pouvait me venir en aide, histoire que je devienne pas véritablement fou...

"Cette pièce est rouge. J'aimais mieux la bleue."

Qu'est-ce que je fait ici ? Je n'en sait pas plus que vous. Cette histoire est d'ailleurs très étrange. Aucuns souvenirs. Cela va bientôt faire une heure que je erre entre les pièces, toutes plus glauques les unes que les autres. Mais il va surement falloir que je vous explique mon "arrivée ici". C'est assez bête. Mes yeux se sont ouverts, petit à petit, très lentement, le temps pour eux de s'habituer à une lumière paraissant éblouissante. Je me suis relevé, observant le paysage plutôt lugubre autour de moi. Les murs étaient bleus, tachés de sang, de crasse et de traces de brûlure. Je ne compris pas tout de suite où est-ce que j'était, mais en poussant la porte qui séparait cette pièce de celle d'à coté, il y avait un écriteau: "Autopsie n°07". J'avait déjà entendu parler de ce lieux. L'asile abandonné, un des endroits les plus étrange de ces trois mondes. Nombreux étaient les voyages que j'avais fait, mais jamais encore je n'étais venu ici. Je n'avais aucuns souvenirs de comment j'était venu ici. Je me posais beaucoup de question, mais à quoi se tracasser avec des questions auxquels on ne peux répondre seul. Pour l'instant, le plus important était que je sorte d'ici. C'est ainsi que je errais entre les pièces et les couloirs.

Me voilà maintenant dans une pièce rouge. Au milieu, un simple lit d'un blanc maculé d'une auréole de sang. Les murs était criblés de traces, comme des griffures, ainsi que des trous rassemblant à des traces de coups de poing. Je m'y approcha, et colla ma main contre ce trou, prenant exactement sa forme. Je regardai alors le bout de mes doigts, comprenant en voyant mes ongles que ces griffures, c'était moi qui les avais faite.

"Quelle perspicacité, effectivement, toutes ces traces sont de toi. Tu n'as rien trouvé de mieux à faire que de te débattre. Tu ne te souviens pas ? C'est surement du au coup que tu a pris sur la tête."

"Qui est là ?"

Mais la voix n'était plus là. La réponse que j’obtins était ma propre voix résonnant contres les parois de la salle. Je touchai ma tête, sentant effectivement une bosse. Encore plus de questions défilaient dans ma tête. Je préférais oublier, continuant mon chemin pour la sortie. Je pris la porte à l'autre bout de la pièce, rentrant dans une pièce où je n'étais plus seul. Il y avait avec moi deux personne. A terre, il y avait un jeune homme, et avec lui en train de le faire boire, une jeune femme. Je décidait de m'approcher pour voir le visage de ces deux personnes. C'est alors que je reconnu le garçon.

"Vàli ! Qu'est-ce qui lui est arrivé ?"

Vàli. Cette personne, je l'avais rencontré il y a de cela quelques mois. Depuis, bien des choses avaient changer. J'avais entendu parler de son nouveau grade au sein de sa guilde, la confrérie des mondes. Nous allions avoir beaucoup à nous raconter lors de son réveil.

Oh, de nouvelles personnes ? Crois-tu qu’elle connaisse ta vrai personnalité Vàli, non et bien je pense que je ne vais pas tarder à leurs montrer hé hé

Cette voix venait, repartais, j’avais l’impression de me faire berner, manipuler mais pourquoi elle continue, qui est-elle ? Et comment me connaît-elle ? Ces questions n’arrêtaient pas de tourbillonné dans ma tête, enchaînant des hypothèses toute aussi farfelues les unes que les autres. Les lieux avaient changés, c’étaient incontestable, ces murs peinturés de sang, je croyais être tomber un de mes cauchemars les plus sombres, oui en particulier un qui me revenait souvent. C’était un rêve banal, je me retrouve planté au milieu d’un village bercé par une épaisse brume, je ne sais pas pour quelle raison je suis ici, mais je continue de marcher jusqu’à arrivé au centre d’une patte d’oie, pas un seul paysans, aucun habitants, ni de marchands. Je suis seul, et c’est à ce moment-là que j’entendis un bruit assourdissant, comme une sirène, un bruit très aigues, vibrant énormément. Je tente d’en trouver la source mais le bruit semble m’entourer totalement, et soudain, je vis cette silhouette au loin se rapprocher de moi, dans un raclement de métal. Je tente de mieux et c’est là, que je le vois cette silhouette gargantuesque, d’une hauteur de géant et le détail le plus choquant était sa tête. En effet elle était recouverte d’un cache en métal, en forme triangulaire, on ne voyait pas sa tête, juste son maigre corps qui laissait apparaître des veines monstrueuses. Il portait une sorte de tenue de boucher, maculer de sang. Il se rapproche de moi, je ne peux bouger, comme paralysé, je le regarde venir à moi, la sirène continue se retentir. C’est à ce moment-là que sa lame s’abat froidement sur moi, glacial et mortelle, je me réveille alors d’un seul coup. Mais dans cette confusion, quelqu’un vint à mon aide, je relève la tête pour voir qui est-ce, et je vois cette jeune demoiselle face à moi.

« Est-ce que tu vas bien ? »

« Je ne sais pas vraiment, je suis un peu perdu, l’endroit à changer, ce maux de tête, ces bouts de murs qui s’épluchent d’un seul coup pour laisser transparaître un visage encore plus lugubre qu’auparavant. Mais merci de ton aide, comment t’appelle tu ? Pourqu’elle raison tu t’es empêtrer dans ces murs ? »

Oui, ce cauchemar n’était que les prémices d’une réalité qui allait sans doute arrivé, dans cet asile, perdu au beau milieu des montagnes, je sentais qu’il allait se passer quelques choses.

Bah oui, qu’est-ce tu crois, que tu vas tranquillement te trimballer dans cet asile, mais tu te trompe largement et crois « il » arrivera bientôt et sache qu’à ce moment-là, tu verra, pour l’heure, moi je reste muet comme une taupe…

Je tentais de me relever fébrilement, pour pouvoir reprendre un peu mes esprits, et voir un peu la situation dans laquelle nous nous étions fourrés, mais je n’y arrivais pas encore. L’obscurité apparente des lieux ne me rassurait guère mais il ne fallait pas que je le montre à cette demoiselle, en aucun point. C’est à ce moment-là, que quelqu’un d’autre apparut dans la pièce, l’image du boucher se figea aussitôt dans ma tête mais finalement ce n’étais pas ce monstre. La surprise était totale quant au nouveau visage qui arrivait, et entendre sa voix me rappelait quelqu’un :

"Vàli ! Qu'est-ce qui lui est arrivé ?"

« Deavy !? Mais qu’est-ce que tu fais ici, ça fait longtemps mon cher, désolé mais je ne vais pas te demander comment tu vas dans cette situation assez cauchemardesque, mais j’ai eu vents de certaine rumeurs, tu a été promu dans une guilde nan ? Enfin, je pense qu’il n’est pas encore l’heure de parler de ç a, je ne sais pas si tu as remarquer mais à première les lieux ont changés, il me semble plus lugubre, je ne sais pas ce qui se passe mais mieux vaut rechercher une sortie »

Cette rencontre m’était très surprenante, mais je ne préferais pas parler de cette voix qui me parle, sinon je passerais pour un fou, alors je me relevait, pour de bon cette fois-ci, et j’allais regarder les quelques portes qui se trouvaient autours de nous, il devait y en avoir trois, mais l’une était parcourus d’épaisses chaînes, comme si elles empêchaient quelques choses de sortir. Soudain, alors que je me retournais vers mes deux camarades, un bruit retentis au loin, dans l'un de couloir, ce bruit de raclement de métal, celui de mes cauchemars : Le Pyramid Head.

Hrp> C'est cool Deavy, tu verra ça change un peu d'user de la première personne, et pour le Pyramid Head, sachez qu'il est dans l'un des couloirs, soit nous allons faire connaissance, soit on tente de trouver une chtite sortie mais sa vas pas être facile xD

Le raclement était violent, comme dans ce cauchemar de mauvais goût, sans aucune équivoque je montrais ma peur aux deux autres. Se retrouver face à une telle monstruosité de la nature, c’était hors de ma portée, mais bizarrement Deavy me ramenait dans le monde réel avec un discours qui ressemblait plus à un défi, oui tout bonnement un défi personnel entre deux chefs de guildes. En effet par moult rumeurs, j’avais pris connaissance de sa fraîche promotion, personnellement, j’étais content de sa situation compte tenu du fait qu’il ait été l’un de mes premiers compagnons d’aventures. A son discours je lui répondis ceci, d’une voix mêlée de crainte mais aussi d’une certaine envie à propos du défi,

« Oui, j’ai appris pour ton entrée dans l’Ordre, bien joué, nous sommes rivaux à présent mais crois moi, se battre contre le Pyramid Head est hors de notre portée, je le sais que par mes cauchemars, tu vas passer que c’est bizarre mais il n’a rien d’humain, j’ai l’impressions qu’il est la représentation de la folie et la peur des hommes, c’est mon avis et je pense qu’il ne faut s’en approcher »

Mais à peine avais-je dit ma réponse qu’il allait se confronter à cette créature au physique désastreux. Passé la troisième porte, nous pouvions voir sa silhouette se dessiné dans l’obscurité. La masse triangulaire, son arme traînant sur le sol crasseux, son bouquant d’enfer, son maigre physique qui laissait apparaître d’énormes veines bleuâtres, j’avais un monstre m’avait autant répugné.

Spoiler:

Myara nous avais suivit, bien sur et je me demandais si elle n’avait pas peur d’une telle chose, c’est alors que Deavy fut projeté au loin par l’arme titanesque du monstre, j’hurlais alors à Deavy :

« Viens, il faut s’enfuir, nous n’avons aucune chance, ce défi, remettons le à plus tard si tu le veux bien, pour le moment je ne me sens pas très bien »

Laisse le s’affronter avec lui, le voir se faire dépecer me parait honnête tu sais, et puis je suis que ça te plairait ? Non ?
La ferme ! Ne viens pas à ce moment délicat, tu ne fais que de m’énerver, si jamais je te chope, crois moi tu morflera !
Bon bah tant pis, je reviendrais plus tard, hé hé hé…

C’est alors que je prenais mes jambes à mon cou, au moment même où le Pyramid Head me pointait du doigt. Je repassais la porte aussitôt mais étrangement, une lourde barrière commençait à s’abaisser devant moi, avec pour volonté d’emprisonner les autres, de les laisser avec le monstre. Deavy était tout proche, alors je le fis se presser par des hurlements, je ne voulais pas qu’il meure mais pour Myara, c’était une autre histoire, elle semblait paralysée, et elle avait trébuché par terre. Une fois Deavy passé in extremis, la porte se rabattit froidement, laissant Myara, seul face au monstre. Je rapprochais mon oreille pour entendre ce qu’il se passait mais aucun bruit, comme s’il était évanoui. Je regardais alors Deavy, avec une mine triste, fatiguée et lui demanda,

« Nous devons reprendre une autre issue, je crois que je vais devenir fou avec ces événements, et avec ces voix qui me parle, tu ne vas pas me croire mais je dois le dire, il y à une voix qui n’arrête de m’agacer et je crois qu’elle me veut quelque chose »

Oui, ils nous fallait trouver une autre sortie, mais à mon avis, nous allions avoir beaucoup de mal à la trouver, et de plus, quelque chose d’autre m’intriguait encore plus dans cet asile, cette voix féminine qui m’emmena ici, je me demande bien qui est-elle ?

La porte fermé, sourde et muette, nous n’avions plus le choix, nous devions trouver une autre issue pour sortir d’ici, mais à présent que je repensais à cette voix féminine qui m’emmenait dans ce lugubre lieu, je me disais qu’il fallait en trouver la raison. Mais il me fallait attendre encore un peu avant d’en parler à Deavy, vu que lui aussi semblait avoir eut du mal, surtout lorsqu’il me parla de son trou de mémoire et de cette salle d’autopsie. Que diable pouvaient-ils faire aux fous qu’ils emprisonnaient dans ces lieux ? Faisaient-ils des expériences pour les soigner ou pour autres choses, décidément tellement de choses m’intriguait ici. C’est ainsi que je suivais Deavy, prenant la porte d’où il était arrivé, et je repensais au Pyramid Head, pourquoi ne faisait-il plus aucun bruit, ce raclement de métal qui avait cessé me stressait encore plus. Une fois la porte passé, nous nous retrouvions dans un autre couloir aussi sinistre, et j’allais voir si les portes étaient ouvertes, pour pouvoir ainsi avancé. Sur ma gauche, toute étaient verrouillé, encastrées dans les murs où du sang coulait abondamment et d’où des artères pulsaient singulièrement. J’essayais avec d’en toucher une, de la pointe, et je fus horrifié par la réaction de celle-ci, en effet elle convulsa avec violence, qui me fit reculé aussitôt d’un bon pas. Je regardais Deavy avec un air critique, face à une telle chose, puis cette artère se calma après un certain temps. Je repris alors mon inspection, jusqu’à trouver une porte où une encoche, montrant le chiffre « 301 », s’ouvrit.

« Elle s’ouvre, viens il faut voir à l’intérieur, ce couloirs ne m’inspire pas confiance, et on dirais que l’Asile est vivant, la preuve, cette « Artère » dans le mur qui à bouger au contact de mon glaive, quelle horreur ! »

Ensuite je passais la porte de la chambre « 301 », et la surprise m’atteignait en voyant ce qu’il y avait à l’intérieur. Un trou béant, un gouffre immense plantait là, au milieu de la chambre psychiatrique où gisait un lit rouillé, sur roulette, et une simple fenêtre, que l’on ne pouvait atteindre à cause du gouffre. Je m’approchais lentement du trou, pour en voir le fond mais en vain, l’obscurité était tant que l’on n’y voyait absolument rien du tout. Encore une fois, je me retournais vers mon compagnon d’aventure pour lui demander ce qu’il fallait faire :

« Que fais-t-on !? A mon avis les autres portes sont scellées et seul ce gouffre semble mener ailleurs, bien sur ce ne sera pas sans risque mais nous n’avons pas trop le choix, je sens qu’il nous mènerait vers quelques choses, alors !? »

J’attendais alors sa réponse pour pouvoir continuer notre route, et à mon avis elle allait être particulièrement mouvementé, c’était indéniable…

Ouais, ça tu peux le dire qu’elle vas être mouvementé, tu ne sais pas encore sur quoi t’es tombé mon pote…

Flash Back

Le soleil tapait. Je marchais dans une forêt. Oui, je m'en souviens. Une mission. Je rentrais à la guilde. Ces hommes, que font ils ici ? Ils m'enlèvent. ARRÊTEZ ! LÂCHER MOI ! Pourquoi est-ce-qu'ils m'emmènent ? Plus rien. Je suis tombé dans les pommes ? Ces images, je ne suis qu'un fantôme ici, je ne peux pas agir sur un souvenir. Je me réveille, une bosse sur le crâne. Ils m'ont attaché sur cette chaise, à l'intérieur de la salle d'autopsie n°7. Ah, je me débat. Un long combat a lieux. Des boules de feu, des coups de poing. Je comprend mieux ces traces que j'ai retrouver. Il reste un homme. Il a une poudre dans sa main. Il m’attrape et me la fait avaler. J'ai le temps de le tuer. Je marche. Non. Je titube. J'avance jusqu'à une salle rouge, je m'évanoui. Plus rien.

Fin du Flash Back

"Qui êtes vous ? Pourquoi est-ce qu'ils m'ont kidnapper ? Et puis sortez de ma tête !"

L’hésitation me tenaillait énormément quant à ce gouffre qui me faisait de l’œil, mais tout devenait un peu clair lorsque Deavy me répondit, d’un dicton commun, répandu à travers les mondes, « Qui ne tente rien n’a rien ».A ces mots, mon sourire fut large, et moins crispé qu’auparavant. Je le vis me devancer, prenant la posture du saut de l’ange, comme s’il se sacrifiait pour une cause inconnue, je le regardais se faire absorbé par les ténèbres de l’abyme, sans aucun bruit. Puis, je le suivis en m’y prenant un peu de la même façon, mise à part les bras tendus, je pliais juste mes jambes comme pour encaisser le coup de la chute. C’est au moment où je m’empressais dans ce gouffre, qu’une sirène retentie lourdement, grinçante, sifflante, dérangeante. Un nouveau mal de tête s’empara de moi, me faisant sombrer dans une demi inconscience, tandis que je tombais dans le précipice, la sensation d’une chute mortelle était telle que la peur s’emparait peu à peu de moi. C’est alors que je vis cette image troublante et hostile, juste avant de percuter lourdement le mur : Mon sosie, je me voyais comme dans un reflet de miroir sauf qu’il avait sa propre volonté, et autre point percutant, de lugubres veines jugulaient un peu partout sur son visage, ses yeux étaient gorgés de sang, j’en avais froid dans le dos. Puis plus rien, l’inconscience avait réussis son petit tour malicieux.

Un moment plus tard…

Mes yeux se rouvrirent lentement, ma main caressait ma tête pour tenter de faire se dissiper cette migraine, puis je regardais autour de moi. Encore une fois l’obscurité primait, néanmoins j’entendis un peu plus loin, un cris que je pouvais facilement discerner, celui de Deavy. J’accouru tant bien que mal vers lui pour tenter de le raisonner, heureux de le savoir en vie avec une telle chute.
« Pfiou, nous nous sommes évanouis je crois bien, mais c’est étrange, nous n’avons aucune blessure, même bénigne, regarde autour de toi, nous sommes dans une sorte d’impasse, où l’on nous indique la direction à suivre, enfin je pense »

Oui, de petites lumières scintillaient tantôt faiblement, tantôt avec force, rendant de nombreux contraste sur nos deux visages. J’avançais alors avec prudence vers le fon de l’obscurité, jusqu’à parvenir à une lourde porte, d’un blanc maculé de sang, et parcourut de griffes. Une tension venait encore s’installer, pour ne pas changer, et l’image du Pyramid Head s’enfonçait dans mon esprit mais je l’ouvris quand même, après avoir vérifié que Deavy me suivait bien. La porte donnait sur une salle, de taille moyenne, peu éclairé comme le reste d’ailleurs mais à un détail près : Une prison situé au milieu renfermé quelqu’un.

Je jetais un coup d’œil derrière moi, avant de me rapprocher lentement de la « cage » et je vis une demoiselle, toute frêle qui me regardait, d’un air livide. Ma réaction ne se fit pas attendre :

« Mais que faites vous enfermé dans cette prison jeune femme !? Qui vous à fait ça !? Deavy, il faut la sortir de là ! »

« On….m’y….a….enfermé….. »

« Bonté divine ! »

Je regardais alors la serrure de la prison et je fus surpris de voir une sorte d’enfoncement pour placer différents objets, une en forme d’étoiles, une autre en forme de cercle, et une en forme de croix. Je me retournais avec vers Deavy pour lui demander son avis, puis la jeune femme nous raconta autre chose :

« Je ne….me…souviens....plus très bien mais j’ai…trouvé dans cette…cellule…cette…carte, mais je n’arrive pas à la comprendre »

Elle la passa par les barreaux à Deavy, et je me rapprochais alors de lui pour voir d’un peu plus près, et les symboles me sautèrent aux yeux, voilà leurs emplacements, quel travail facile !

« Deavy, je crois bien que nous devons libérer cette femme, et les symboles sur cette carte semblent correspondre avec les diverses enfoncements, il ne manque plus qu’à y aller »

Hrp> Je sens que l'on vas s'amuser avec cette petite quête, et cette demoiselle, je réserve quelque chose de spécial, si tu veux prévoir quelques chose de spécial en plus préviens par mp, juste pour me prévenir xD

HRP:

Je regardais cette demoiselle qui me semblait si fatigué, et puis son visage puéril mais pourtant si rude me paraissait anormal. Cette boucles grasses descendaient à mi épaules, ses yeux, imprégné d'un marron livide, n'arrivait pas regarder fixement, comme si elle était inquiété par quelque chose, le Pyramid Head par exemple. Au dessus de l'épaule de Deavy, je regardais attentivement la carte manuscrite, que l'on aurais croire faite par la main d'un enfant, et les symboles pointaient en diverses pièces, plus ou moins éloignés des uns des autres.Deavy avait semble-t-il, repris un peu d'aplomb, ce qui me rassurait un peu dans ce lieu où jaillissent des évènements plus fous les que les autres, ainsi nous retournions en arrière, et je suivais le "guide" qui détenait toujours la carte dans les mains, nous passions une porte, puis nous nous retrouvions encore une fois dans l'obscurité où seules quelques brèves lumières venaient nous éclairés. Une fois la porte passé, nous étions vraisemblablement dans une pièce, munie de trois portes, menant elle-même à des couloirs, menant jusqu'aux symboles recherchés.Deavy pris alors la porte de droite, dont la poignée semblait être de matière organique, toute tachée de sang noir. J'emboitais mon pas au sien, le glaive sortis de son fourreau, juste au cas où.

De nouveau dans un couloirs, où des dalles salles faisaient mine de nous montrer le chemin, c'est alors qu'un clac retentit. Dans un premier temps, je crus avoir fait une connerie mais en voyant Deavy tenter d'ouvrir la porte arrière, je me disais qu'on était mal, c'est alors qu'il hurlait, dans la panique, de courir tout droit, ce que je fis aussitôt pour ne pas subir ce gaz mortelle qui jaillissait du plafond.Masqué par les tissus de nos vêtements, nous foncions vers la sortie, une porte que Deavy ouvrit violemment, et nous nous retrouvions ainsi dans une autre étrange salle, encore une fois. Rempli de par et d'autres, de médicaments, d'outils de chirurgiens, et tout un tas d'autre chose plus traumatisant les unes que les autres, je m'assurais de regarder sur la carte quels symboles avions nous affaires. Mais d'un seul coup, une sirène retentissait, en saccade, une alarme comme s'il y avait un incendie et que tout le monde devait évacuer le bâtiment. La pièce changeât alors d'apparence, devenant encore plus sanglant qu'auparavant, et c'est alors que des bruits étranges, un gargouillement, des mouvements saccadés, les silhouettes bougeaient un peu plus loin, entre deux établis.

"Deavy, je crois que nous avons affaires à d'étranges personnes"

Spoiler:

C'est alors que des infirmières firent leurs apparition, munies de leurs seringues gigantesques, l'une d'elle avait quelque chose autour du cou, que je pouvais facilement discerner : Un médaillon en forme de croix. Plus aucun doute, il fallait se farcir cette bande d'infirmières zombies et la tache n'allait pas être plaisant.Je rajoutais alors à Deavy,

"Tu vois celle tout en arrière, regarde elle possède un médaillon intéressant si tu vois ce que je veux dire !"

Oh, facile, ces infirmières sont débiles, ce n'est pas très difficile de leurs choper le médaillon, mais j'ai hâte de te rencontrer mon cher Vàli, et crois moi, tu aura du mal à avoir le mien, hé hé hé...

Quoi, tu possède un symbole, lequel, vais-je te voir ? Crois moi, je ne t'épargnerais pas !

SILENCE....

HRP:

Les belliqueuses infirmières s'avançait peu a peu, avec des mouvements saccadés, commes des marionnettes ou des poupées de chiffons.Mais mon esprit était empêtrer par le mystère de la voix qui résonnait dans ma tête, malgré tout je savais qu'il y avait du grabuge mais je n'avais pas la force de bouger tant mon esprit était confus. Deavy devait sans doute s'occuper a contrer les lentes attaques de ces infirmières monstrueuse, mais d'un seul coup sa voix retentit juste à coté de moi, et là devenait plus clair.

"Excuse moi ! On vas leurs botter le cul a ses gonzesses !"

Deavy avait cramer la tête d'une infirmière, mais elle se releva tout de suite, alors je m'étais permis de m'en occuper, de la finir, de la ratatiner. Plantant royalement mon glaive dans la gueule, elle poussa des crisde douleurs mais finit par s'étendre sur le sol inerte. Une sourire maciavélique venait se figer sur mon visage, ce fut la première fois que j'avais une envie de tuer, des pulsions meurtrières énormes, et sans que je m'en rende compte je lachais un rire démoniaque intense.Sans doute Deavy allait me regarder bizarrement, mais étrangement je ne pouvais m'en empêcher, alors je fonçais vers l'infirmière au médaillon, pour lui planter mon épée en plein le coeur, et dans ces cris d'agonies, je la martelait violemment de coups.Elle tombat par terre, inerte comme les autres, il n'en restait plus qu'une, que j'envoyais une belle rafale de vent électrique, et je souriais enfin en la voyant se secouer frénétiquement, avant de crever.Aucune pitié.

"Bon prenons la croix et barrons nous, je sens que je vais devenir taré si je reste ici !"

En effet, le lieu était si agaçant, et si dantesque. La voix ne résonnait plus, tant mieux, je pouvais un peu récupéré, mais maintenant ils nous ne nous manquais plus deux symboles et ainsi nous pourrions libéré cette demoiselle. A peine avais-je ouvert la porte, q'un cris profond vint nous secouer, et un bruit familier retentit.Un grissement de métal...

Le crissement de la lame contre les parois rouillées, l'affreux bruit strident qui perçant nos tympans, il était de retour, pour nous hanter, pour nous tuer. On n'avait pas trop de mal à le reconnaître vu la discrétion du bestiaux mais nous regardions la porte, enfin pour ma part, je la regardais en attendant qu'il arrive. C'est alors que Deavy me tira sur le coté pour agir, il déployait devant un talent que je n'avais jamais remarquer chez lui jusqu'à maintenant. De ses mains, de l'air autour d'elle qui bouillonnait, il souda ou plutôt fit fondre la porte comme pour solidifier notre seule barrière contre le Pyramid Head. Celui tambourinait déjà sa lame contre la porte, les assauts firent apparaître de nombreuses bosses, et la porte n'allait pas tarder à céder malgré l'initiative de mon compagnon. Il se préparait à attaquer, avec des fines aiguilles, il me disait qu'il allait lui en cribler et que, pour ma part, j'allais devoir l'affronter au corps à corps. Bon vu la lenteur qu'il possède, je n'aurais peut-être trop de mal à esquiver mais l'idée d'affronter cette chose cauchemardesque me faisait frémir. J'acquiesçai tout de même à son idée, préparant le fil de ma lame à agir, la porte avait maintenant cesser de tambouriner, céder au caprice du cauchemar. Elle s'écroula avec fracas, déployant un nuage de fumée important,

"Il arrive !!!"

Mais ce fut une grande surprise lorsque le nuage de fumée s'estompa laissant un vide considérable devant eux.Embrouillé, stressé, confus, je voyait pertinemment qu'il n'était plus là, du moins il n'y avait plus sa présence, il avait disparut comme un mirage, comme une illusion. Je sentais à ce moment que j'allais craquer mais je me retourne alors brièvement vers Deavy pour lui montrer ma stupeur, ma tête dépité, et j'avançai vers la porte. Mes pas résonnaient contre le bout métal par terre, que je dépassai pour aller dans le couloir. Il n'y avait vraiment rien, plus de sa présence. C'est alors que l'autre revint.

Il te fout la trouille n'est-ce pas ?
.....
Ne t'inquiète pas, t'es pas le seul, et puis tu est loin d'avoir vu le pire, attend que l'on se rencontre, et là, tu verra !
.....

Que pouvait-il bien se passer dans cet asile pour qu'il y est autant de créature bizarre, de problème, et puis nous devions sauver cette jeune demoiselle enfermé dans cette cage, il ne nous manquer plus deux objets. Alors je fis signe à Deavy de venir, lui qui possédait la carte, et nous devions avancer même si nous devions croiser la bête encore une fois. Nous allions devoir être encore plus prudent mais je ne me sentais pas d'humeur à parler tant cette voix qui me hantait me bouleversait. Je me contentais de l'attendre, et de reprendre ma route. Mais à ce moment, la sirène retentit une nouvelle fois, signe qu'il allait arrivé quelques choses de plus glauque...