Au delà des missions [Terminé]

Du sang coulait abondemment d'entre ses lèvres. Il n'avait jamais été malmené de la sorte juste pour accomplir une mission. Cette fois la, on lui avait donné sa cible, sans préciser qui il était, ni ce qu'il faisait. Tout ce qu'on lui avait dit c'était de l'éliminer au plus vite sans se faire remarquer. Il avait donc suivit sa cible toute la nuit se fichant de son gabarit. Il en avait combattut des biens plus grands, donc cela ne l'avait pas inquiété plus que ça.

Il s'était approché doucement et avait sortit ses lames, mais à sa grande surprise, sa victime s'y attendait et lui retourna un coup de point des plus violents, le majordome tomba sous le choc, mais fut bien vite relevé par une poigne ferme lui tenant le col pret à déchirer son vêtement. Il utilisa ses armes , pour lui entaillé le ventre, le faisant le lacher sous la douleur cinglante, puis Michaëlis ne perdit pas plus de temps croyant sa victime pret à rendre l'âme. mais celle ci n'avait pas dit son dernier mot. Elle se leva brusquement et balança l'homme tout de noir vêtu sur le mur avant que celui ci ne sente une lame froide pénétrer la chaire de son ventre, cette douleur le déchirait délicieusement de part en part, le faisant se tordre sous cette douce torture. un filet de sang sorti de ses lèvres pour glisser doucement sur son menton.

Il se reprit quelque peu et donna un coup de point à sa cible. Il fallait qu'il en finisse, après encore une dizaine de coup échangé, Michaëlis fini par le descendre d'un coup de pied bien placé, lui cassant la nuque telle une execution. Il ressortit de la ruelle titubant, la respiration saccadé et les vêtements souillés. Il ne pourrait pas marcher longtemps en cette nuit de pleine lune, son ombre même reflettait la douleur qui le tenaillait.

Il chercha un endroit ou s'assoir, pour pouvoir se reposer et peut être retourner dans sa demeure, du moins celle de ses maîtres. Un banc prés d'un pauvre ruisseau lui apparut. Il s'y assit sans aucune grace, extenué il posa une main sur son ventre meurtri. Tout ce qu'il voulait, c'était dormir. Tout ses muscles se relachèrent et ses yeux se fermèrent tout seul. il se laissa doucement submergé par le sommeil sachant pertinemment qu'il ne devait pas y céder, mais c'était plus fort que lui: Il s'endormit sur le banc...

Invité

Le rôdeur errait sur les toits des quartiers pauvres de Ténamas revenant de sa deuxième mission dans la jungle des anciens, après avoir récupérer son équipement fraichement restauré et ses trophées, celui du gardien et une pièce du décharné dans son grand sac de toile. Il errait sans but sur les toits pendant cette nuit calme et sombre. Il est tard et là haut sur la toile doucement peinte d’un noir parsemé d’étoiles, la lune regarde les hommes, pas entière mais bien vivante alors que sa jumelle rouge monte dans le ciel de rêve perdu au milieu des toits et des ruelles malodorantes de cet endroit.

Yuurei regardait la lune, le ciel sans nuages, et contemplait cette incomplète qui les surveillait depuis la haut, se remémorant avec délice ce qui c'était passé la dernière fois qu'il avait errer comme cela dans les mauvais quartier de Tenamas. La jeune Fulenn, arborant encore un ventre rebondit à cette époque, elle portait encore un enfant en elle à ce moment la. Ils avaient combattu un Tenolak ensembles, avec l'aide du vieux mage surprenant répondant au nom de Mana. C'était de bons souvenir pour le mercenaire. Le Rôdeur parcourait silencieusement les toits, regardant du haut de sa grande taille, trop grande pour un humain et à travers son masque de porcelaine, quel genre de spectacle réservait les bas quartiers de Tenamas ce soir la.

Il vis un homme, classe, élégant, habillé comme un majordome bien qu'il soit curieusement pale. Il était grand, enfin loin d'atteindre les deux mètres dix du Rôdeur, mais sa taille n'était négligeable pour autant. Grand mais mince, ne témoignant pas d'une grande force ni d'une musculature imposante pour autant ce qui désintéressais le Rôdeur sur son toit. Cependant l'homme semblait poursuivre discrètement quelque chose, ou plutôt quelqu'un... Il put voir le majordome suivre un autre homme d'une carrure plus... imposante que lui, discrètement, se faufilant comme s'il voulait l'attaquer.

Le mercenaire regardât le majordome se battre contre sa cible du haut de son toit. Visiblement il savais y faire, tout en étant un brin brouillon, mais la manière dont il achevât son contrat témoignait d'une certaine force, chose qui intéressât le Rôdeur qui le suivit discrètement, du haut de son toit. Il observât le majordome, blessé au ventre, s'endormir sur un banc et profitât de sa somnolence pour descendre de son toit sans être vus et s'assoir sur le banc à coté de l'homme.. Il attendit un instant adossé au dossier du banc et ayant passé ses bras derrière le dossier, masquant ainsi qu'il avait ses dagues en mains, ses deux dagues longues, ses fidèles trancheuses de chairs prêtes à trancher au cas ou l'homme serais agressif. Regardant la lune avant de lancer d'une phrase sonore, de sa voix caverneuse, destinée à réveille son compagnon. Son sac de toile posé a coté du banc, ne laissant rien filtré de ce qu'il contenait

" Les retours de missions sont toujours agréables quand ils s'achèvent dans une belle nuit d'automne. Un spectacle discret bien qu'un brin brouillon m'as été offert a mon retours de mission en Harmonia... Belle attaque mais défense moyenne, je trouve, manier les lames est un art donc le ventre des victimes se souviennent longtemps..."

Michaëlis sentit une légère brise, mais n'entendit rien, somnolent doucement, sans plonger dans un de ces sommeils devastateur, qui vous garde dans leur monde une fois que vous voue êtes laissé emporter. Son ventre lui faisait mal, mais bien moins qu'il y a quelques minutes. Une voix caverneuses lui fit doucement ouvrir les yeux:

" Les retours de missions sont toujours agréables quand ils s'achèvent dans une belle nuit d'automne. Un spectacle discret bien qu'un brin brouillon m'as été offert a mon retours de mission en Harmonia... Belle attaque mais défense moyenne, je trouve, manier les lames est un art donc le ventre des victimes se souviennent longtemps..."

Le majordome ne savait pas qui se trouvait à côté de lui, mais la façon dont il avait parler de ses fidèles armes l'avait fortement interessé. Il se redressa du mieux qu'il put pour paraître un peu plus en forme, il ne voulai pas que cet individu l'égorge ou autre sans pouvoir se défendre:

-Vous avez raison, surtout quand elles sont bien accompli. Vous semblez vous y connaitre en armes blanches... j'en déduit que vous même en posséder.

Il regarda l'homme qui se tenait à côté de lui. il était largement plus grand que lui et paraissait aussi plus puissant . Son visage était caché par un masque, et il était caché sous une vêtement ample orné d'une capuche.

-Peut être pourriez vous m'aidez à améliorer mon jeu de lames ? Si cela ne vous déranges pas.

Le majordome se leva et comme à son habitude fit une petite courbette pour saluer le nouvel arrivant. Il mit sa main ganté sur son ventre et s'nclina:

-Je me présente : Michaëlis Kuso, majordome. Puis je savoir votre nom ?

Pourquoi s'était il présenté aussi vite? Il ne savait lui même.Peut être cet individu était il un ennemi.Il ne réfléchi pas longtemps et s'assit rapidement, il fut prit d'une légère quinte de toux qui se calma bien vite. Il regarda l'homme à ses côtés en attente d'une réponse...

Invité

le majordome c'était présenté au Rôdeur, d'une manière noble, comme un majordome.
Il dit s'appeler Michaëlis et à compris rapidement que Yuurei utilisait ses trancheuses de chairs bien plus souvent que son Arc. Il a demandé au Rôdeur de l'entrainer, lui montrer comment améliorer son jeu de lames. Le Rôdeur fit passer ses deux bras de l'autre coté du banc et montrât ainsi ses deux lames à l'inconnu. Ses avant bras posés sur ses cuisses et ses lames longues dans les mains, il regardait s'il devait réellement accepter cette demande.

Il toisa l'homme devant lui un peu plus sérieusement, un majordome, fin et rapide, doté d'une curieuse force qui ne se vois pas sous ses muscles. Il ferais un bretteur intéressant et un assassin hors pair s'il y mettait du sien sérieusement. Mais sa requête tombait mal, on ne s'entraine pas avec une blessure au ventre.

Le Rôdeur réfléchit sans dire un mot, pendant de longues minutes, regardant l'homme et ses dagues devant lui. Il plantât les dagues longues au sol, lentement, les faisant glisser entre les plaques de pierres de la rue ou ils se trouvaient. Une fois ses mains débarrassées des dagues il détachât son carquois dans son dos et le posa à plat sur le banc, veillant à ne renverser aucunes de ses précieuses chasseuses. Il retira son arc également et le posa sur le banc a son tour, la ou se trouvait le majordome une minute avant, puis il se leva, ramassant ses dagues longues au passage et s'approchant du gentilhomme, dagues à la main. Il repris de sa voix caverneuse envers le gentilhomme, histoire de lui poser les règles du jeu auquel il l'invitait.

"On ne s'entraine pas avec une plait au ventre, mais si tu y tiens, je ne t'en empêcherais pas. Avant de te donner une leçon sur le maniement des armes blanches, je vais d'abord voir ce que tu vaux, en attaque, puis en défense. C'est en fonction de ce que je verrais que ta leçon s'adaptera. Tu attaquera le premier... Ne te retient surtout pas."

Il se plaçât devant le majordome, les deux dagues dans les mains pointées vers lui, légèrement inclinées vers le bas. Le Rôdeur tournait autour de Michaëlis, croisant ses pas et ne le quittant pas du regard. Il attendait que le majordome attaque le premier, pendant une, deux, peu être trois slaves. Puis il attaquera à son tour, afin de voir ce qu'il vaux en défense. De ce qu'il avait vus dans la ruelle sombre ou il avait abattu l'autre homme, il n'était pas mauvais en attaque, mais sa défense était nettement plus faible.

Le Rôdeur tournait autour du majordome, le public se faisait discret, peu être deux ou trois personnes regardaient silencieusement.... Il lui dit d'attaquer en premier, se préparant à esquiver ou parer les attaques qui allait venir. Yuurei était près et en alerte, comme tout bon mercenaires, il prenait toute raisons de s'entrainer au sérieux.

Michaëlis fut ravi de savoir que le rodeur acceptait sa requête, même si il n'avait pas tord, du fait que se battre avec une blessure n'était pas forcément avantageux. Il lui dit donc d'attaquer en premier. Le majordome connaissait à peu près ses faiblesses et savait lui même que sa défense laissait à desirer. Il prit donc ses lames en mains.

Le jeune homme encapuchonné lui tournait autour. Une chaleur envahi tout l'être du majordome. Il se laissait trop facilement emporté par la violence et à la vue du sang, et il savait que là aussi était son défaut, mais il n'y pouvait rien, du moins c'est ce qu'il croyait .

Il regarda l'homme devant lui qui n'attendait que son attaque, il ne le fit pas attendre plus longtemps, comme à son habitude, il utilisa sa vitesse et son agilité pour s'approcher de son adversaire,qui n'eut aucun mal à l'esquiver. Il se remit en garde. Il était bien trop brouillon, si il continuait comme cela il n'arriverai pas à grand chose. Il tenta une autre attaque, qui cette fois fut un peu plus précise, il réussi à découper net un morceau du vêtement ample de son adversaire mais sans plus.

Il décida alors de ce donner plus malgré sa blessure et joua de ses lames esquivées par les lames du rodeur ou par lui même, puis accula celui ci contre le mur mettant une de ses armes sous le cou de son entraineur et le regarda un moment. Un sourire fendit son visage, il était assez fier de cette attaque, mais savait que ça n'allait pas s'arrêté là et que ça n'était toujours pas suffisant. Il recula et regarda l'homme qui lui faisait face avec une lueur dans les yeux évoquant le défi. Tout en cette soirée le mettait en condition de combat. de plus il remarqua quleques personnes qui les observaient dans un coin de rue de peur surement de se faire repéré , ce qui était déjà fait.

Il se remit en garde en attente d'une attaque quelconque. Il avait hate de voir ce que valait cet homme, même si il était pratiquement sur que celui ci devait le dépasser en matière de maniement d'armes blanches. Michaëlis l'observa bien, en tant "qu'ex assassin", il faisait attention à tout. Il ne se surestimait pas mais surestimait toujours son adversaire. Il ne savait jamais à quoi s'attendre. La preuve en était grace à cette soirée...

Invité

Yuurei vit le majordome jouer de ses lames. Il attaquait de manière plutôt brouillonne au dépars bien que pas vraiment mauvaise, puis de plus en plus rapide et précises au fur et à mesure de cet entrainement improvisé. Finalement l'attaque était son fort, contrairement à la défense et le Rôdeur allait devoir s'entrainer un peu plus sérieusement. Yuurei vit Michaëlis fondre rapidement sur lui, visiblement il était plus puissant que ce que le Rôdeur pensait au départ. Son attaque fut rapide et précise et il ne l'esquivât que de peu, voyant un coin de sa cape tranchée par le majordome. Michaëlis affine visiblement sa manière et réussit à inciter Yuurei a se diriger petit a petit contre un mur avant d'essayer et même de réussir à l'y acculer. Son attaque est bonne puisqu'il a réussit à mettre sa lame sous la gorge du Rôdeur mais sa défense est décidément mauvaise, il n'as pas vus ou est allées se logée la dague longue du rôdeur quand il l'as approché, d'une manière négligée quand on attaque quelqu'un d'aussi près. Œil pour œil et vêtement pour vêtement, le rôdeur souriait sous son masque quand le majordome se retira et se remis en garde, attendant a son tour les attaques de Yuurei.

Des spectateurs se tassent dans la Ruelle, attirés par le spectacle de deux hommes se battant sans se blesser. Le rôdeur prend la parole, de sa voix caverneuse et invite le majordome à regarder le pli de sa belle veste juste au niveau de sa ceinture, un trou y est apparut, un trou causé par une dague qui aurais put aller profondément dans son abdomen plutôt que dans le manteau juste à coté. Yuurei sourit toujours sous son masque et desserre le lien qui maintient la cape longue a capuche qu'il arbore. Il s'adresse à Michaëlis de nouveau de sa voix caverneuse et sonore alors qu'il n'est a deux mètres du majordome.

"Bien, ton attaque n'est pas mauvaise mais ta défense n'est pas du tout au même niveau. Tu concentre trop ton attention sur tes attaques, délaissant ta défense et laissant des trous qui peuvent être fatals. A mon tour d'attaquer, je vais te montrer ce que j'entends pas la, ta défense est un vrai gruyère."

il jète sa cape en long, révélant une longue et ondulante chevelure de couleur ardente et masquant totalement d'où l'attaque allait bien pouvoir venir de la vue du majordome en procédant de cette manière. Sous les regards attentifs des inconnus de plus en plus nombreux.. et bruyants. Yuurei s'allongeât quasiment au sol et fit une attaque croisée, large et circulaire au ras des dalles de pierre pavant la ruelle. Ses lames passèrent juste sous la cape qui n'avait pas encore touchée le sol. ses deux dagues longues à l'envers au cas ou le majordome n'aurait pas eut le réflexe de sauter pour esquiver, qu'il ne lui tranche pas les deux pieds en voulant l'entrainer... Par chance, ou par maitrise, le majordome à le bon réflexe et à choisit de sauter, légèrement en arrière, pensant être ainsi hors de portée. Yuurei put donc continuer son attaque et procéder à la deuxième étape, la mise à mort, du moins une simulation de mise à mort ce coup-ci.

Le Rôdeur se relevât et donnât un double coup de lame en hauteur, circulaire pour celle de droite et en estoc pour celle de gauche, juste au dessus de la cape flottante encore au vent. Une lame à hauteur de la gorge du majordome l'autre à hauteur de son cœur était venue le toucher tandis que le rôdeur avait foncer sur lui à travers la cape pour se retrouver quasiment collé à lui.. Il s'arrête net, la lame à été paré au niveau de la gorge du majordome qui à eut le réflexe de mettre ses lames et ses avant bras croisé au niveau de son visage. Celle au niveau du cœur n'as pas été parée, le majordome s'attendait sans doute à une attaque ou les lames suivraient une courbe symétrique...
Yuurei restât un moment sans bouger, la pointe de la lame longue a un millimètre du buste de Michaëlis, juste au dessus de son cœur. Il aurait put le poignarder sur cette attaque surprise et il attendait que le majordome l'eut compris. Un bruit léger vint, coupant le silence que le public avait émis au moment de cette action, au moment de cette double attaque qui avait durer moins d'une seconde. Ce bruit léger fut le bruit de la cape du Rôdeur s'écrasant au sol.

Yuurei reculât et rengainât ses lames, tournant le dos au majordome, tandis qu'il ramassât et remis sa cape sur ses épaules, et sa capuche pour masquer de nouveau ses cheveux roux foncé et longs ondulants. Le public s'entasse et discute devant le spectacle qui leur est offert, de plus en plus nombreux, de plus en plus bruyant. Yuurei sourit sous son masque et dit au majordome nommé Michaëlis qu'il vas voir sa défense fasse à un autre type d'attaque tandis qu'il embrasait sa main de quelques feux follets, annonçant clairement qu'il vas utiliser de la magie désormais. Le public avait redoublé d'attention et d'intéressement maintenant que leurs tours de passe-passe ne sont plus que seulement acrobatiques mais que le spectacle prend un air de magie, de la magie offensive et spectaculaire.

Yuurei allait donc attaquer à mains nues le majordome armé de ses deux dagues, Sa main droite entourée de feux-follets et sa main gauche masquée dans les plis de sa cape longue. Il fonçât sur le majordome, esquivant une attaque de ses dagues et tend sa main droite en feu vers lui, multipliant les attaques faciles à esquiver de sa main droite. Elles étaient simple et rapide mais peu offensives, comme un leurre. Une simple diversion était née de sa main droite puisqu'il préparait en réalité une boule d'arcane, magie d'ombre gelée, discrètement de sa main gauche... une boule d'arcane glacées qu'il lui fera explosé juste devant le nez. Histoire de lui montrer encore une fois qu'il ne dois pas observer son adversaire et parer ses attaques, mais qu'il dois pouvoir les anticiper et en déduire d'où viendrais les attaques ennemies. Yuurei et le Majordome dansaient dans un ballet endiablé, couvert de flammes et des reflets des dagues, cherchant tout deux une ouverture dans la garde de l'autre, pour le plus grand plaisir de ce public bruyant.

La boule d'arcane ne vint jamais cependant... Le Rôdeur, tout comme le majordome apparemment, ont vus la foule les regardant se changer. Des soldat sont venue, avec eux leur chef, un gradé équipé d'une hachette et d'une lance de combat. L'homme lançât sa hachette entre les deux hommes, hachette que Yuurei saisit au vol de sa main gauche qu'il réservais pour pouvoir asséner la boule d'arcane à Michaëlis. En tournant la tête vers l'homme leur ayant lancé ce projectile, il vit le militaire gradé lui parler. Militaire qu'il connaissait et n'appréciais pas le moins du monde... Au contraire, le combattre puis le tuer serait sans doute un grand plaisir pour le Mercenaire. Il se nommais Jarod et il était impitoyable et sanguinaire aussi bien avec les adultes que les enfants, si bien que son surnom fut rapidement " le faiseur d'orphelins"

"Yuurei Akuma, tiens donc... De tout les Mercenaires de Greil, je tombe sur le plus cinglés. ça doit être mon jour de chance..."

Des hallebardiers, une bonne vingtaine, avec leur hallebarde et leur boucliers encerclaient leur chef tandis que Yuurei lui répond de sa voix caverneuse et insolente, tout en faisant un geste à l'attention de Michaelis pour lui dire de filer sur les toits.

" Jarod, tiens donc... De tout les gradés de la garde d'Umbra, je tombe sur le plus stupide. ça doit être mon jour de chance..."

A l'instant même ou il finit sa phrase, Yuurei lançât la hachette en direction de Jarod, visant sa tête. La Hachette fut bien sur déviée par le bouclier du soldat juste à coté de lui qui essayait tant bien que mal de le protéger. La Hachette percutât le large bouclier de métal et dévia de sa trajectoire pour atterrir figée dans un mur de la bâtisse bordant la ruelle juste à coté du chef de cette garde armée. Jarod saisie le manche de sa hache à pleine main sans même la regarder et la tire du mur avant de la ranger dans son dos et de saisir sa lance de combat, longue et affutée, légère mais mal équilibrée. Une lance qui n'est pas destinée à être lancée mais à servir à un combat d'hallebardiers. Combat qui n'arrangerait ni Yuurei, ni Michaëlis car son allonge, avec une hallebarde est nettement supérieure a se que l'on peut espérer obtenir avec une paire de dagues.
il criât à ses hommes, de sa voix colérique et grave, visiblement insultée par la réponse du Rôdeur.

"Tuer moi cet imbécile !!! Une prime de 50 pièces d'or pour celui qui me ramène la tête du mercenaire, la moitie pour son acolyte."

Yuurei n'attendait pas sagement que les choses se passent, surtout a vingt et un contre deux, ou contre un si Michaëlis avait déjà gagné les toits. Des la seconde ou il avait lancé la hachette, il avait courut vers son arc et son carquois contenant ses flèches, ses précieuses chasseuses, avant de courir à travers la ruelle des bas quartiers de Tenamas, sous les flèches et les épieux mal lancés par les gardes peu doués qui entouraient Jarod. Il courut une bonne dizaine de mètres sans se retourner avant de voir une pile de caisse près de lui sur laquelle il sauta pour accéder aux toits, aux hauteurs des bas quartiers de Tenamas. Il ne marquât pas de temps de pose et courut sur les toits, dans la direction opposée de la ou se trouvaient les gardes. Il vois le majordome courir non loin de lui et Yuurei remit petit à petit son carquois sur son dos, à sa place et attachât sa sangle pour le fixer définitivement sans lâcher son arc.

Ce fut une fois ceci fait que la donne changeât, il se retournât en un brusque dérapage , faisant voler quelques tuiles et se mis instantanément à genoux, prenant une flèche dans son carquois et tirant sa chasseuse envers les gardes qui montaient difficilement sur les toits. Le garde visé eut le réflexe heureux de mettre son bouclier devant lui, une simple targe ronde de bois, sinon il aurait reçut la flèche en pleine tête. La pointe de la chasseuse traversa la targe et le garde poussa un cri aiguë, mélange de peur et de surprise tandis que le Rôdeur reprenait une seconde flèche histoire de les retarder un peu avant de reprendre sa course sur les toits...

Ils étaient a une dizaine de mètre à peine, en tout une bonne quinzaine de gardes ayant lances, hache et épées, plus Jarod qui ne lâchait pas prise. Les autres soldat n'ayant pas réussit à les suivre. ont tout simplement été laissé sur place. Il leur sera facile d'en tuer certains, de semer les autres, maintenant sur les toits de Tenamas... Mais pour ce qui est du Chef de la garde, Jarod, c'était une autre histoire, il ne lâchera pas sa proie aussi facilement...

Grace aux attaques du rodeur, Michaëlis avait clairement vue que sa défense était médiocre. Juste sa première attaque: il avait crue qu'il était le seul à l'avoir touché, seulement, sa veste intacte jusqu'à maintenant avait été entaillé nette. Décidément, il était vraiment mauvais en défense. Après cet assaut, les deux hommes se remirent en garde. Michaëlis attendait avec impatience l'attaque de son adversaire sachant pertinemment qu'il en prendrait pour son grade. Il ne vit pas de suite le rodeur executer son attaque. Elle ne dura que quelques secondes et pourtant , le majordome avait vue chaque mouvement parfaitement maitrisé fait avec une rapidité excellente et sans faille. Il était au ras du sol , Michaëlis réussi à sauter au bon moment observant chaques mouvements, il pensait que l'attaque viendrait d'en haut vue la position du rodeur . En effet, c'était bien cela, mais il visa aussi son coeur. Michaëlis croisa ses bras devant son visage pour protéger sa gorge, mais sentit une lame caressé son abdomen, il sut tout de suite ce que son entraineur voulait lui faire comprendre: il aurait put le tuer quand il voulait tant sa défense était mauvaise.

La poitrine du majordome se levait rapidement, légèrement essoufflé. Il en avait oublié sa blessure tant le combat était interessant, et tout cela sans se blesser. L'homme encapuchonné se mit dos au blesser et reprit une bonne partie de ses affaires avant de se retourner, la main brillant d'une lueur jaune orangé, il allait à présent utiliser la magie. Michaëlis devait faire attention. Une série d'attaque et d'esquive commença. Telle une danse, ils se battaient avec grace et rapidité, sans aucune trève, sans aucune pause. Cherchant le moyen de placer une attaque l'un et l'autre. Comme l'avait pensé précédemment le majordome, le combat était magnifique, et d'une fluidité inégalable. Mais tout de même, il faisait un peu plus attention esquivant, parfois se faisait atteindre de si de là, mais sans jamais être blessé, il faisait surtout attention à cette main chargé de magie qui risquait de le toucher à n'importe quel moment. Mais une chose lui parut bizarre. Les simples citoyens étaient peu à peu remplacé par des gardes.

Le combat cessa peu à peu. Une hachette fut lancé, mais fut bien vite intercepté par son compagnon. Une phrase fut dites et Michaëlis comprit mieux pourquoi il se battait ainsi. Cela ne lui déplut pas, au moins il savait contre qui il se battait. Lui qui avait été longtemps pourchassé, on l'avait même attrappé et enfermé, puis on lui avait demandé de travaillé pour les plus grands, mais il avait refusé et s'était échappé. longtemps il fut appelé le "diable de majordome" puis avait été peu à peu oublié par les autorités, car pour couvrir ses activités douteuses, il s'était présenté en tant que majordome à une famille, ce qui lui donnait un bon alibi la plupart du temps. Mais en ce moment, il n'avait pas la tête à penser à son passé.

Il vit le mercenaire lui faire signe de gagner les toits, surement pour s'enfuir. Bien sur , il s'executa mais ne quitta pas le lieu de la confrontation verbale. Puis il commença à s'en aller se disant qu 'il le rejoindrai plus tard. Mais il le vit lui même monter sur le toit et courir. Il continua donc sans s'arrêté mais regardait tout de même derrière. Dans un dérapage maitrisé, le rodeur tira des flèches, faisant tomber certains soldats. Mais tout de même un homme le poursuivait sans relache. michaëlis attendit son acolyte avant de lui même reprendre sa course. Ils étaient au même niveau, des hachettes fusaient au dessus de leurs têtes pour se planter plus loin sur le toit.

Michaëlis voulait tout de même savoir ce qui poussait leur poursuivant à les courser sans relache, mais le moment n'était pas aux questions. Le majordome glissa sur une tuile et tomba laissant son dos heurter violemment le sol. Il poussa un cri se tordant de douleur pendant quelques secondes. Deux gardes arrivaient sur lui. Il se mit debout tant bien que mal et les attendit avant de les accueillir avec ses lames. Il ne laissa pas le combat s'éterniser voulant rejoindre son acolyte. Il les accula contre le mur et les egorgea d'un coup sec et précis. Il boita pendant quelques secondes se remettant de la douleur cinglante qui lui sciait le dos. Mais il remonta tout de même sur le toit, voulant rattrapper son acolyte qui était à quelques mètres devant lui. Il acceléra et fini par le rejoindre. Ils seraient bientôt obligé de faire face car déjà, les toits se faisaient de plus en plus rare devant eux, bientôt, ils seraient sur une grande place, qui sonnerait le temps du combat...

Invité

Le Rôdeur était toujours à genoux sur les toits, visant sa deuxième flèche tandis que les gardes commencent peu à peu à escalader les caisses pour venir les rejoindre, lui et le majordome. Un trait part alors qu'ils ne sont plus qu'as huit mètres du duo, la flèche se loge dans la cheville du garde, passant juste sous son bouclier et le faisant chuter dans un cri de douleur et de panique. Le garde roula sur les tuiles, les arrachant à moitie et manquant de faire basculer un de ses collègues avec lui. Il tombât du toit en un bruit sourd d'armure pour atterrir lourdement sur le sol, laissant sa lance et son bouclier la ou il perdit l'équilibre. son collègue qui avait faillit être entrainer dans sa chute baissât sa garde l'espace d'un instant, reprenant son équilibre. Il baissât sa garde et surtout son boulier, libérant sa gorge qui fut transpercée en un dernier trait alors qu'il n'étaient plus qu'as six mètres désormais. La flèches, la chasseuse fidèle du Rôdeur, avait traversée la gorge du garde et c'est dans un gargouillis sombre qu'il chutât et roula sur le sol, raide mort contrairement à son collègues seulement blessé mais incapable de se relever.

Une main se posa lourdement sur les tuiles derrière les gardes. Jarod se hissât sans mal avec un seul bras sur le toit à partir des caisses et saisit de sa main gauche le petit bouclier rond laissé par le garde au sol, prenant dans sa main droite, sa hachette de lancée. Ils avançaient prudemment maintenant, ne voulant pas subir le même sort que leurs amis. Ils avançaient se cachant derrière de lourd pavois, tandis que Jarod les suivait avec une petite targe légère, lui suffisant amplement.

Yuurei vit une ouverture sur Jarod et tira sa dernière flèche en main avant de devoir de nouveau courir, étant à portée de haches et javelots désormais.
La flèche atteignit la cible, Jarod. Elle heurtât de plein fouet... son bouclier. Jarod était agile, suffisamment pour pouvoir parer une chasseuse avec une simple targe de bois. Les gardes avancent prudemment, ils ne sont plus que treize, plus Jarod pour les diriger. Ceux à l'abri derrière les boucliers de leurs collègues lancent leurs hachettes de lancer et leurs javelots tandis que Yuurei court en arrière garde, le Majordome courant un peu plus devant lui. Une hachette fut lancée avec plus de puissance, plus de violente et Yuurei plongeât au sol pour l'esquiver avant de la voir se planter au sol nettement plus profondément et proche de Michaëlis. Cette hachette avait été jetée par le chef de la garde, témoignant de sa puissance. Rien à voir avec le premier jet qui ressemblait plus à un avertissement, celui la même survenue dans la ruelle ou le Rôdeur et le Majordome se montraient en spectacle. Ce jet n'était pas fait pour les prévenir de sa présence mais bien pour tuer, et vus sa trajectoire légèrement arquée, il visait bien les deux protagonistes en même temps.

Yuurei tourna la tête, le temps de se relever et d'estimé la distance les séparant. Quatre mètres, il ne restait que quatre mètre entre lui et leurs ennemis en surnombre. Ce ne fut pas la seul chose qu'il vit. Le Rôdeur vis également le chef de la garde, Jarod tendre sa main vers un de ses soldats pour qu'il lui donne un javelot, étudié pour le lancer, contrairement à sa lance. Plus par instinct que par stratégie, Yuurei se relevât et décochât une flèche envers son ennemi. Cette chasseuse, chanceuse visiblement, touchât juste, et se logeât dans le poignée de Jarod qui encaissât le coup sans faiblir, et saisit à pleine main le javelot tendu, avant de retirer de son autre main la flèche plantée dans son poignet et de la brisé comme un fétu de paille.

Ce fut dans un crie de Guerre rassurant ses troupes que Jarod incitât ses soldats a pourchasser les deux fuyards sur les toits d'un pas plus... accéléré. C'est ainsi presque au pas de course que les soldats essayaient d'acculer le Rôdeur et le majordome. Yuurei vit une tuile se délogées sous les pieds de son compagnon d'infortune et celui-ci tomber lourdement au Sol dans un cri de douleur, indiquant une réception très difficile. Le Rôdeur s'approchât du bord et regardât au sol, voir si le Majordome avait survécu à sa chute. Il a survécu et il est debout, égorgeant sèchement deux des gardes au sol qui couraient dans les rues adjacentes aux bâtiments. Visiblement sonné est boiteux, il n'as pas l'air d'avoir besoin d'aide cependant et commence déjà à essayer de regagner les toits et ne tardât pas à rejoindre le rôdeur qui le couvrir d'un tir de barrage, une pluie d'une poignée de flèches destinées à ralentir les gardes sans pour autant chercher a les tuer ou les blesser. Le Majordome ne tardât pas a escalader le toit et rattraper son retard et se mettant au même niveau que le Rôdeur.

La course se faisait de plus en plus effrénée et les toits de plus en plus rares et bas, ils étaient sur les toits des maisons à un seul étage, soit à peine quatre mètres au dessus du sol et a peine a un ou deux toits avant la fin. Devant eux se dressait une place circulaire et large, une place immense ornée d'une fontaine. Yuurei courut jusqu'au bord du toit, et se retournât, espérant lancer une dernière flèche avant de sauter dans le vide. Ce fut Jarod qui touchât le Rôdeur, en remerciement de la flèche qu'il avait reçut dans son poignée dont un mince filet de sang coulait dut à la plaie occasionnée.

Un javelot, en plein dans l'épaule gauche percutât le Rôdeur, le faisant tomber lourdement a la renverse sur le sol, quatre mètres en dessous de lui. Yuurei chuta au sol, dans un bruit de métal, son armure avait partiellement amortit le choc mais il était tout de même sérieusement sonné. Il courut difficilement se mettre à l'abri derrière la fontaine, sous une pluie de divers projectiles certains touchant l'armure, d'autres déchirant un peu la cape. Une fois Derrière la fontaine, il put voir l'étendu des dégâts et reprendre un peu ses esprits. Son armure était percée à l'épaule, dut au javelot et à la puissance de Jarod. Par chance il n'était pas grièvement blessé, merci à son armure, mais la plaie était suffisamment profonde pour l'empêcher de manier son arc, et l'handicaperait très sérieusement dans le maniement de la dague de son bras gauche.

sur la grande place, des soldats au sol affluent, une bonne trentaine en tout et une alerte est donnée pour tuer les deux combattants. Jarod, toujours perché sur le toit d'où le rôdeur avait été projeté saute et marche vers sa cible en lui lançant une phrase pleine d'arrogance.

"Que vas tu faire maintenant, Mercenaire, te battre seul contre trente hommes ? "

Michaëlis vit le rodeur tomber et se cacher derrière la fontaine: il avait été atteint à l'épaule par une lance, lancé avec une puissance inouie par l'homme qui paraissait être le chef de cette petite armée. Le majordome descendit aussi, mais ne suivi pas de suite son compagnon de fortune. Loin de lui l'idée de l'abandonné, mais il voulait établir un de ces plans simples et efficaces, qui parfois fonctionnaient à merveilles ou rataient. Il regarda le nombre de personnes qui se tenaient devant lui. Ils étaient à peu près une trentaine une . Le majordome espérait en faire tomber au moins une dizaine. Il devait compter sur sa rapidité et sa discrétion pour y arriver. Il se prépara, dans un mouvement controlé, son dos craqua à cause de sa dernière chute. Il se débarrassa de ses gants, de sa cravate et de son manteau, jugeant ceux ci encombrant, il remonta ses manches et se saisi de ses lames.

L'assassin s'élança alors pour executer son plan. Aucun bruit ne se répercutait dans son espace d'action. Juste un léger sifflement se faisait entendre par le blesser se trouvant derrière la fontaine. Peut être n'y avait il que lui qui l'entendait se déplacer ?car il le regardait, mais avec discretion. Seulement, le chef de la petite armée paraissait fort, et lui aussi surement devait entendre ses pas sur le sol quoique léger. Le majordome faisait tomber un a un les hommes imprudents qui le prenait pour une ombre. Il les egorgeait sans état d'âme. Tout ce qu'il voulait c'était de pouvoir venir en aideà l'homme dont il ne connaissait toujours pas le nom, qui se trouvait à la merci de maintenant une vingtaine d'homme.

Michaëlis avait atteint son but minimum. Il avait tué dix hommes sans se faire remarquer. Mais dans cette assemblée qu'il avait quelque peu sous estimé, un homme le regardait du coin de l'oeil, sans un mot. Puis sans avertir personne, il se déplaça vers l'assassin. Surement, ce soldat avait aperçu la blessure que portait le majordome sur le ventre, car la première chose qu'il fit fut de le frapper à cet endroit précis, réveillant une douleur que lui même avait oublié pendant quelques heures, il essaya du mieux qu'il put d'étouffer son hurlement, mais se fut vint. Il ne resta plus donc discret puisqu'il venait tout juste de se faire remarquer. Michaëlis jeta l'homme a terre avant de lui enfoncer son arme dans le ventre et de lui broyer la gorge avec son pied. En tenant sa plait d'une de ses mains armé, il se déplaça de sorte de se trouver derrière le rodeur et d'un coup sec et maitriser, tua un homme qui était assez lache pour vouloir attaquer son compagnon par derrière.

Bien réfléchi, Michaëlis se dit qu'il n'aurait pas dut se mettre à découvert, de se fait, il aurait put mieux aider l'homme encapuchonné. Mais ce qui était fait était fait. De plus il avait déjà tué une dizaine d'homme. Ca n'était pas beaucoup mais c'était déjà ça de gagné. Tout les regards avaient les yeux braqué sur eux, et surtout le chef, qui apparemment s'appelait Jarod paraissait limite haineux. Son regard renfermait toutes sortes de choses. Mais ce qui était sur c'est que son regard dégageait une aura écrasante, une fierté inégalable, et une force conséquente. Qui était il ? Il aimerait bien le savoir, mais le savait déjà en quelque sorte. Vue les propos que son compagnon et lui avait échangé, ces deux là ne se portaient mutuellements pas dans leurs coeurs. Ils devaient avoir un passé commun pas des plus agréables...

En attendant, ils étaient là, et attendaient, attendaient de voir la suite des évènements qui ne seraient pas de tout repos vue les circonstances...

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Le Rôdeur observe silencieusement, a travers son masque de porcelaine au rictus infernal, le majordome opérer dans la discrétion la plus totale, un léger sifflement, une dague qui parcoure tour à tour la jugulaire de plusieurs hommes. Une véritable danse, un ballet de discrétion de grâce et d'horreur s'offrait devant ses yeux, un ballet prenant l'arrière garde, tour a tour, un par un. L'homme en as abattue dix comme cela, un par un, discrètement, mortellement... Le onzième l'as percé à jour malheureusement et s'approchât discrètement de la position obscure du Majordome avant de lui assener un coup de poings en plein ventre, en plein sur sa plaie qui ornait son rose. Le Majordome poussât un cri étouffé que l'esprit du rôdeur, encore embrumé par la chute du haut du toit, avait parfaitement perçue. Ce cri mis fin a son assaut discret et Létal et relevât ainsi la position de Michaëlis auprès des gardes qui tuât d'un coup de poignard en plein torse et d'un coup de pied sur la gorge celui qui l'avait repérer. Il l'avait tuer bruyamment, relevant définitivement sa position

Les regards des soldats sont sur lui, comme un seul homme les vingts soldats restants regardent le majordome tandis que le regard de Jarod est sur le rôdeur, sa cible d'aujourd'hui, ne le quittant pas un seul instant des yeux.
Tandis qu'il reprenait ses esprits sonné par une telle chute, il vit michaëlis s'approcher rapidement de lui et se battre pour tuer rapidement un homme lâche qui avait eut la bassesse d'esprit de se glisser dans le dos du Rôdeur. Ce fut comme un électrochoc pour Yuurei qui sentit le danger qui l'encerclait de plus en plus. Une poussée d'adrénaline survint, adrénaline qui le réveillât et atténuât légèrement la douleur dans son épaule, très légèrement.
le rôdeur remet lentement son arc dans son dos et se met dos à dos à michaelis pour lui dire, de sa voix caverneuse, de sa voix caverneuse, de sa voix de tueur.

" Cinq soldats chacun, je prend le groupe à gauche, tu prend celui à droite... on aura largement le temps de les défaire avant que Jarod n'essaye de nous empaler avec sa lance. N'essaye pas de l'affronter ici, il est trop dangereux.
Derrière toi, une ruelle étroite et sombre, parfait pour acculer un garde ou deux, prend la troisième à gauche dans cette ruelle puis deux fois sur ta à droite... une petite place avec une bâtisse comprenant une grande porte grise et une petite porte bleu. la porte bleue est ouverte, hésite pas à rentrer dedans. Les gardes vont nous suivre, fait attention, personne ne dois te voir franchir cette porte."

Le Rôdeur fit un pas en avant et dégainant ses deux dagues longues puis il pointât une dague longue vers Jarod, annonçant le début des festivités sur un ton arrogant. Disant une phrase que seul lui et Jarod pouvaient comprendre.
" Sothe ou Heater?"

Le Chef de la garde, celui qu'on appelait " le faiseur d'orphelin" souriait et pointa sa lance vers le Rôdeur avant de lui lancer, sur le même ton qu'as son habitude, orgueilleux, arrogant et cruel
" tu mourras bien avant de savoir lequel des deux j'aurais tuer en premier".

Yuurei restât une seconde immobile avant de charger les soldats sur le coté gauche, une seconde poussées d'adrénaline survint, ivresse de la bataille qui allait venir et plaisir du sang qui allait jaillir de ses ennemis. Tout semblait tourner au ralentit dans ce monde ou on ne pense plus, dans ce monde ou tout deviens blanc. Le Rôdeur, le géant du haut de ces deux mètres dix, chargeât dans un cri rauque dignes de guerriers bersekers. Cinq morts avant de reculer, peu être six, c'était la son objectif. Un coup d'épaule magistral frappa le premier soldat avant même qu'il n'arrive à abattre sa hache sur le Rôdeur. un coup d'épaule du colosse qui le soulevât du sol et le fit chuter sur le dos. Les dagues, tenues lame vers le bas par le rôdeur, se plantèrent dans son torse, visant le cœur et les poumons ce qui le tuât sur le coup, et un jet de sang jaillir de sa blessure au cœur quand il retira la lame brusquement.

Une véritable danse s'exposait, un mélange de grâce bestiale et rapidité, un mélange de sang, de violence comme un félin, puissant tigre sombre chargeant ses ennemis. Sa Danse mortelle n'avait rien à voir avec celle du majordome. La ou michaëlis respirait la grâce et la finesse, Yuurei respirait la force brute et la violence, comme s'il avait soif de sang. Deux lances pointent simultanément vers le Rôdeur qui les écartes de ses lames longues sans grande difficulté tant celle-ci lui paraissent lentes et il se faufile entre les deux lances passant entre les deux soldats les tenant et leur caressant la gorge de ses trancheuses de chaire, tranchées nettes, les deux soldat se vidaient de leur sang au sol, mourant à petit feu.

les lames fatales tournent sans un mouvement de poignet tandis qu'il se dirige toujours vers les deux suivants, les deux derniers s'il n'as pas le temps de faire plus, voyant toujours le monde agir lentement autour de lui dans cet endroit, ce monde ou tout deviens blanc à cause de l'adrénaline. Un tour sur lui même permet au Rôdeur, au tueur jouissant de cette bataille, d'esquiver les deux lance qui pointent sur lui de nouveau, les perdant dans sa cape longue. Il approchant avec la même rapidité les deux hommes tenant les lances et les poignardât tout les deux en même temps d'un violent, très violent double poignardage en plein dans le ventre, juste sous la cage thoracique. Son épaule gauche blessée se réveillât soudain et il plantât à peine sa lame longue dans le ventre du soldat à sa gauche tandis que le soldat a sa droite subit soudainement de plein fouet la puissance physique du Rôdeur. se faisant poignarder jusqu'à la garde, les quarante centimètre de métal fois lui pénétrant le torse, sous la cage thoracique, pointant vers le haut.
le soldat décolle du sol avec la poussée de la lame dans son ventre et la lame est retirée sans ménagement, dans une violente gerbe de sang s'écrasant salement au sol. La lame de sa main droit se rabattit dans la gorge de son allier juste a gauche du rôdeur, a peine blessé par le poignard planté dans son ventre sur a peine un ou deux centimètres. Un tour de poignet de la main droite et la gorge montrât un trou béant et sanguinolent. Le Rôdeur retirât ses deux lames en même temps, d'un coup sec, faisant jaillir le sang du cou de sa victime dans un jet horrible. L'homme a sa droite s'agite au sol, pas encore mort visiblement. Les deux lames en plein dans le dos, plantées profondément, achève cet homme, ce soldat, en silence.

Un éclair d'argent arrive de la droite du Rôdeur, rapide et précis et c'est un épieu d'argent qui est esquivé de peu. L'épieu d'argent... Jarod, ainsi que ses hommes qui essayent de tuer yuurei, quatre hommes sur lui plus jarod, qui est a lui seul plus dangereux que son armée au complet. Les autres sont sur le Majordome, les cinq hommes qu'il devait tuer et les cinq restant. Yuurei n'as pas le temps de regarder ce que l'étrange Majordome effectue, il est aux prises avec Jarod, qui nécessite toute sa concentration et ses quatre hommes empêchant d'attaquer. Le combat, la danse du félin, du tueur à la lance et de ses quatre pantins dura quelques secondes avant que Yuurei pris la fuite comme convenus, jouant des ruelles sombres des bas quartier de Ténamas pour semer et essayer de tuer ses poursuivant. Jarod fermais la marche, peu discret mais sachant toujours précisément ou le Rôdeur allait. Yuurei les distançât facilement dans ce dédale. Un recoin sombre ou le Rodeur put se cacher l'espace d'un instant pour souffler et se préparer à partir dans une rue parallèle des qu'il aura... Plus que quelques secondes au bruit des pas... Jarod passe sans le voir et les gardes le suivent, un, deux, trois... Yuurei attrapât le quatrième de sa main gauche, actuellement la plus faible et le poignarda dans le cou dans une gerbe de sang silencieuse. Un coup d'épieu passa et tuât définitivement le garde, le rôdeur eut le réflexe de le lâcher à temps et sauter en arrière si bien que seulement un bruit de métal contre le métal se fit entendre, juste l'épieu d'argent ricochant sur l'armure du Rôdeur avant que Yuurei ne disparaisse dans la rue parallèle, sombre et étroite , suivit par Jarod qui le coursait et ses trois hommes peu rassurés. Le Rôdeur gagnât les toits et attendit, caché par le rebord du toit que les gardes montent avant de se remettre à courir, des que le garde passa la t^te, se fut deux dagues longues qui le tuèrent, passant par ses yeux pour se loger dans son cerveau avant d'être retiré dans un mélange d'effusions de sang et de matière grise. Yuurei repris sa course, sur le toit, arrivant au bord de celui-ci et voyant juste en face de lui la bâtisse avec les deux portes, donc une porte bleue. il n'était qu'à quatre mètres du sol et sauter sera facile. Derrière lui, seulement les deux gardes et pas de traces de Jarod... ou est-il? des pas dans la ruelle se font entendre... Il cherche a monter sur le toit par un autre endroit, pour prendre le Rôdeur à revers et l'acculer une nouvelle fois au bord du toit, pensant qu'il ne sautera pas.

Yuurei fonce sur les deux gardes, terrifiées par le rôdeur sanglant et hésitant. Cette hésitation leur sera fatal car yuurei n'hésitât pas. Les dagues fusèrent vers les deux hallebardiers qui esquivèrent tant bien que mal la première attaque, trop directe mais pas la seconde, du bout des deux lames, leur tranchant la gorge tandis que Yuurei regardait ou se trouvait Jarod... Introuvable.

Le Rôdeur regardât en contrebas et vis le majordome arriver au point de rendez-vous, seul. Il sauta du toit et les deux protagonistes se retrouvèrent sur la petite place juste en face du bâtiment à petite la porte bleu. Des applaudissements se font entendre... Jarod est la aussi, assis calmement sur le banc juste en face du bâtiment, à la porte bleue, juste en dessous, masqué par le rebord du toit que le Rôdeur venait juste de sauter. Les bruits des gardes en renforts qui veulent venir aider leur chef se font entendre au loin. Jarod pointe sa lance tour à tour sur les deux combattant, prenant sa hachette dans l'autre main, oubliant complètement son bouclier au sol arguant de son orgueil les deux assassins

" Vous entendez ça? La garde élite arrive, je dirais bien... cinquante hommes ici d'ici une bonne dizaine de minute. Ce qui signifie qu'on aurait plus beaucoup de temps... Alors lequel des deux en premier? ou les deux à la fois peu être? "

Michaëlis écouta attentivement les recommandations du rodeur. Il n'eut aucun mal à mémoriser ce qu'il lui avait dit. Il regarda alors les cinq gardes aux quels il devait s'attaquer. Le majordome n'hésita pas une seconde et couru vers eux. c'est dans un geste majestueux, qu'il accueilli le premier garde sur le bout de sa lame, le deuxième fut alors égorgé lui aussi, puis Michaëlis décida de commencer cette route tortueuse qui le menerai à cette fameuse porte bleue. Il monta tout d'abord sur les toits, pour perdre un peu ses poursuivanits puis il redescendit pour mieux les tuer. A l'opposé de la ruelle qu'il devait prendre, il y avait un cul-de-sac. Il y emmena un des gardes et lui brisa la nuque d'un coup sec et précis de la main, il ressortit et vit un homme qui lui était inconnue. Il n'avait pas l'allure d'un garde. C'était plutôt un ivrogne qui se trouvait au mauvais endroit au mauvais moment. Pendant quelques secondes, Michaëlis se dit qu'il pourrait l'épargné, mais tout bien réfléchi, il ne voulait pas que sa tête soit mise à prix. Il s'excusa interieurement et l'executa le plus rapidement possible...

Trop concentré sur cet homme qui n'avait surement pas mérité son sort, il en avait oublier pendant quelques minutes qu'il était poursuivi par des gardes mécontents apparemment. Michaëlis se fit pousser violemment contre le mur, le visage collé à la paroi. Cet impact lui avait ouvert la lèvre inferieur. Il se reçu un coup dans le dos. Un gémissement roque sortit de sa gorge. Ils auraient put l'avoir, si ils n'avaient pas fait l'erreur de le remettre face à eux. Michaëlis, prit une dague qui était accroché à la ceinture de l'un des gardes et la fit traverser la machoire de celui ci pour que l'épée atteigne enfin sa son crane. Le deuxième commençait à faire demi tour, mais le majordome ne comptait pas le laissé partir. il retira la dague précedemment utilisé et la lança avec précision dans le dos du fuyard, avant de le rattrapper et de lui tranché la tête. Il en restait un, il ne restait plus qu'à le trouver, et il n'était pas bien loin. Celui ci l'attendait dans le coin de la rue. Mais Michaëlis l'avait vut et le planta dés qu'il se présenta. C'est bon, il avait enfin fini. Il entendit du bruit venir d'en haut, il regarda et vit le Rodeur courir sur le toit.

Il arriva enfin à la porte bleue et vit le Rodeur atterir au même moment. Des applaudissements se firent entendre. Ils se retournèrent tout deux et virent Jarod, qui tapait dans ses mains avec une ironie a peine voilée:

" Vous entendez ça? La garde élite arrive, je dirais bien... cinquante hommes ici d'ici une bonne dizaine de minute. Ce qui signifie qu'on aurait plus beaucoup de temps... Alors lequel des deux en premier? ou les deux à la fois peu être? "

En effet, au loin, on entendait des pas pressés. Michaëlis avait deux choix: soit il decidait de se battre avec le Rodeur contre Jarod, ou soit il retenait les hommes derrières lui qui étaient au moins une cinquantaine. Il décida de retenir les hommes. Il pensait que Jarod n'en avait rien à faire de lui et que peut être l'homme encapuchonné voulait le tuer de ses propres mains. Il se contenta de lancer deux dagues qu'il avait trouvé au sol en direction de Jarod, même si il savait qu'il avait une chance sur mille de le toucher vue comment il avait effectué son lancé. il s'adressa au Rodeur:

-Je ne suis pas sur de tenir, mais si vous voulez en faire votre affaire allez y, moi je vais essayé de retenir ses hommes.

Puis il marcha lentement en direction du vacarme, sachant pertinemment que si il ne faisait pas attention, il se ferait avoir, déjà qu'il était affaibli. Il réfléchissait déjà à un plan d'attaque correct et espérait qu'il réussirait.

Jarod les toisant toujours du regard, il attendait une quelconque action d'un de ces deux gugus avant de choisir sa technique d'attaque. Il n'avait certainement pas envie que la garde d'élite ne viennent interrompre ce moment de jouissance intense, le moment où il pourrait tuer une de ces enflures de Mercenaire de Greil. Surtout que là, c'était le plus fou à lier de tous : Yuurei Akuma. Il avait commit trop d'horreur durant sa vie pour le laisser filer maintenant. Lié à une vengeance personnelle, ce combat ne devra pas être interrompu par ces crétins de la garde d'élite. Ces imbéciles ne sont pas comme Jarod, ils n'ont pas le même point de vue, donc ce sont forcément des idiots.

C'est alors que l'acolyte du tueur prit une direction après avoir lui avoir parlé. Ni une, ni deux, Jarod courut vers ce type en prenant soin de rester loin de Yuurei, histoire de ne pas se faire arrêter dans sa lancée, et lui lança sa hachette vers le torse qui était plus facile à viser que la tête. Ce n'était pas histoire de le tuer, du moins cette fois, mais histoire de le ralentir assez afin de pouvoir être très proche de lui et de lui porter sa prochaine attaque. Saisissant son arme à deux mains, il fit un tour sur lui même pour donner de la puissance à sa lance et de porter un coup en travers en direction des cuisses du majordome. Une fois l'attaque esquivée par ce dernier, Jarod enchaina avec un coup direct vers lui avec une seule main, bref mais puissant histoire de le faire reculer assez pour parer l'attaque de Yuurei qui venait de rejoindre le combat. Celui-ci n'allait pas être simple à terminer, mais qu'est-ce qu'il s'annonçait excitant !

Le Chef de la Garde fit un tour de lance pour repousser l'homme grand et adressa un bref regard vers le deuxième adversaire pour surveiller ses actions. La portée de Jarod étant grande, il est facile de les repousser ou de les maintenir à distance. Mais si l'un d'eux entrait dans la zone d'effet de la lance, Jarod était condamné. C'est pour quoi il fallait qu'il récupère sa hachette. Il fit un mouvement ample avec sa lance avec force et détermination pour repousser un nouvel assaut des deux adversaires et fait une roulage avec maestria pour récupérer sa hachette plantée dans un mur et d'enchainer par une parade rondement bien menée avec celle-ci. Contrairement à Jarod pour le moment, les deux belligérants étaient amoindris par les combats passés. Mais ils étaient quand même deux, avec donc quatre bras et quatre jambes, alors que Jarod n'en avait que la moitié.

Mais le Chef de le Garde n'avait pas peur, au contraire, les défis l'amusaient encore plus, lui qui s'ennuyait dans son quotidien, même en dispensant sa "justice" dans les ruelles de Tenamas. Il fit un autre mouvement ample de la lance suivit dune coup transversal avec la hachette en croyant qu'il allait toucher l'un des deux. Il ne restait plus que 8:30.

Invité

Un combat s'annonce, un combat se prononce, un combat sera la, ici et maintenant.
Yuurei observe Jarod tandis que Michaëlis lui parle, lui disant qu'il fuyait cette bataille pour retenir les gardes. Michaëlis attaque Jarod de deux dagues, attaque peu calculée et maladroite qui sert à faire diversion. Yuurei vit jarod les esquiver et fondre sur le majordome. Il décidât donc de l'attaquer aussi, ne laissant pas Michaëlis se faire tuer sans combattre. Jarod attaque michaëllis d'un lancé de hachette assez peu calculer aussi, visant plus a le retenir qu'as le tuer, prenant garde a la portée qui le sépare de Yuurei qui lui fonce déjà dessus, toutes dagues dehors, près a en découdre aussi.

Pendant son ascension yuurei vois Jarod porté un beau coup de lance circulaire vers les jambes de michaelis qui l'esquive avec souplesse, décidément cet homme maitrise la lance toujours avec autant de brio. Il attaque de front rapidement pour faire reculer le majordome pour parer de sa lance les dagues du tueur, luttant un instant sur la pression de celles-ci avant de le repousser. Un combat magnifique un combat d'étincelles, de métal s'entrechoquant avec du métal. Un tour de lance de nouveau, circulaire de son épieu d'argent aiguisé et il tiens de nouveau les deux hommes en joue... Yuurei observe attentivement, ricanant légèrement du bonheur de cette bataille. Jarod est fort, très fort, et Yuurei aimait ce genre de combats ou sa bestialité, sa folie, son envie de tuer pouvait pleinement s'exprimer. Jarod avait baisser sa garde un instant, parant une attaque simultanée de Yuurei et de Michaëlis puis fait une roulade pour saisir sa hachette et yuurei en profitât pour lui fondre dessus, lui portant un puissant coup de doubles lames vertical qu'il para avec sa hachette fraichement récupérée. Encore un entrechoquement de métal et un combat qui s'annonce... intéressant,sanglant et mortel pour le premier des trois qui fera une erreur.

Un coup de lance fuse vers Yuurei, un coup en piquet ample et circulaire que le rôdeur esquive en se baissant, entendant un bruit de tissu déchiré derrière lui, la lance avait toucher sa cape et l'avait déchirer en deux, révélant son dos protège par son armure légère. Le coup de hache semblait partit vers le Majordome. Yuurei profitât de cette occasion pour fondre sur le soldat et lui assener un double coup de dagues, l'une visant le cou, sa trancheuse de chair logée dans sa main gauche et l'autre, issue de sa main droite, visant son poignet gauche tenant la lance. Un bruit de métal sur du métal survint, jarod avait réussit à contrer le mouvement en direction de son cou en interposant sa hachette et sa lance glissait le long de l'autre dague du Rôdeur qui fut repousser d'un puissant coup de pied dans le ventre. Aucunes douleurs cependant, grâce à son armure, mais yuurei avait été projeter hors de portée de dague et en pleine portée de lance. Il était dangereux pour lui de rester a cet endroit et Yuurei reculât un peu, histoire de prendre de la distance et d'analyser la situation.

Il observât Michaëlis se battre avec Jarod un instant, calmement, méthodiquement, guettant une ouverture pour attaquer de nouveau pour ce ré-engouffrer dans cette bataille qui lui donnais des frissons de plaisir à chaque coups portés ou esquivés. Cette ouverture vint au bout d'une petite minute sur une défense de Jarod d'une belle attaque surprise du majordome et yuurei s'engouffrât dans cette garde ouverte, attaquant Jarod de plein fouet ses deux dagues longues prêtes à portée un coup d'estoc. Contrairement à ce que le Rôdeur pensait, Jarod n'esquiva pas mais contre-attaquât directement, pointant son épieux sur le rôdeur et le faisant glisser. Yuurei esquivât in extremis la pointe du pieu en direction de sa gorge en se décalant un peu et le sentit glisser le long de son épaule, ouvrant l'armure à cet endroit et déchirant encore un peu de tissu de sa longue cape à capuche. Les lames du rôdeur n'étaient pas en reste et touchèrent jarod.. enfin son armure tout du moins, l'une ouvrant la pièce de métal protégeant son avant-bras, pas assez profondément pour toucher la peau malheureusement, l'autre touchât le torse, mais fut déviée par l'esquive du rôdeur, le laissant qu'un simple point de perforation sur son armure. visiblement jarod avait calculer jusqu'à ses esquives.. magnifique! Le Rôdeur lâchât son arme dans sa mais proche du torse, de sa main gauche, et saisit la gorge de jarod à pleine main, voulant lui loger sa dague dans le cou de son autre bras avant que la lance ne revienne sur eux. Curieusement ce ne fut pas la lance mais la main qui tenait la hachette qui le heurta d'un magistral coup de poing ou le Rôdeur put sentir le manche de la hachette à travers les doigts de Jarod, un coup de poing violent en plein sur son épaule, en plein sur sa plaie qui fit pousser un cri rauque de douleur au rôdeur et lui valut un bon coup de pied le projetant dos au sol.

Le Rôdeur vit le soldat lui sauter dessus, l'épieu d'argent en avant et il parât l'attaque venant du ciel de sa dague encore dans sa main droite, envoyant sa main gauche en renfort sur la lame malgré l'intense douleur qu'il avait à l'épaule. Un mouvement de lance vers le haut... Il vois son adversaire attaquer en piquet et il effectue une roulade sur lui même pour esquiver, entendant encore le tissu se déchirer.

Yuurei se relevât et vit que sa cape avait été arrachée par l'épieu, à moitiés en lambeau et qu'elle était toujours sur la lance de son adversaire qui le toisait et toisait le majordome en ricanant. Yuurei avait toujours son masque mais plus sa cape, révélant sa chevelure, longue et rousse, couleur d'un soleil ardent se couchant a l'horizon, ondulant à la brise légère des rues de Tenamas et masquant les limites de son masque au rictus diabolique et aux larmes de sang comme s'il était son vrai visage. Du sang coulais de son épaule et il observait, riant comme un dément, comme un démon... Il observais un moyen de récupérer sa seconde dague et de retourner au combat, profitant à chaque instant de la douleur et du combat qu'on lui offrait.

Michaëlis aurait voulu non se défilé, mais savoir se combat équitable. Il savait parfaitement que Jarod était puissant et que la n'était pas la question, seulement, les gardes qui venaient en renfort l'inquiéta plus qu'autre chose. Il ne voulait abslument pas qu'ils débarquent sur eux et les achèvent par leur nombre. Comme précedemment, il essaya de partir pour les retenir et peut être en tuer une bonne partie, hélas Jarod ne le laissa pas faire lançant une hachette vers lui,vers son torse. Le majordome n'eut aucun mal à l'esquiver, et il savait que cette hachette n'avait pas été là pour le tuer, mais juste pour l'empécher de s'en aller. Il prit donc cette attaque au serieux. Comme l'avait dit précedemment le rodeur, sa défense était lamentable, et sachant cela Michaëlis faisait encore plus attention à ses faits et gestes. Le combat commença alors: Attaque ,esquive et défense étaient de rigueur. Tantot il se trouvait dans la bataille, tantot, il se trouvait sur le banc de touche, du moins sa vigilance n'avait pas baissé,il se méfiait toujours de tout.

Un jeu de lame inimitable commença entre le rodeur et le soldat. Michaëlis en fut émerveillé, bien que le moment n'était pas aux reveries. Mais la lueur des lames qui s'entrechoquaient avait quelque chose d'envoutant, d'excitant. Il vit alors Jarod prendre les dessus, il avait déchiré la cape du rodeur et endoloris son épaule plus qu'elle ne l'était. Il entendit un cris rauque retentir, un cris de douleur tinté d'un plaisir a peine voilé.

Michaëlis se dit que le temps était venu, il voyait bien que le rodeur cherchait quelque chose, et cette chose était à côté de lui. Le majordome couru vers la dague comme si sa vie en dépendait pour l'envoyer vers son précédent possesseur. Il le lança habilement de sorte que celui ci l'attrappe sans difficulté puis il trouva une petite lame rouillé et la lança en direction de l'épaule de Jarod. Il espera de tout coeur que celle ci avait atteint sa cible. C'était son jour de chance, car la petite lame rouillé avait pénétré la chair du soldat, dans un bruit mou et à une vitesse conséquente, et pour la deuxième fois,il tenta d'aller à la rencontre des autres soldats qui s'approchaient de plus en plus. Décidément, il ne pouvait pas supporter de savoir que ce combat put être interrompu par une bande de soldat mal organisé, car se combat de ce qu'il en avait vue promettait. Il monta sur un toit et commença à s'élancer vers son but prochain...

Mais une idée germa dans son esprit. Il fit un dérapg et descendit de son perchoir pour courir, il assena un violent coup de poing a Jarod et couru vers l'édific à la facade bleu. Tout ce qu'il voulait à présent c'est que les deux hommes le suivent, rien que cela...

[H.R.P : Rappel : C'est compliqué à expliquer parce que ce n'est pas cohérent, mais les armures ne servent à rien d'autre qu'à se protéger du froid sur Harmo, je tenais à le rappeler.]

Jarod luttait avec brio contre les deux adversaires en même temps. Son coup n'avait pas touché le majordome car ce diable de Yuurei voulait profiter de ce moment d'écart pour le toucher. Jarod y avait instinctivement pensé et se replia pour éviter de se faire déchiqueter par les dagues. Pour plus de sécurité, il donna un gros coup de pied dans l'armure de son adversaire et retint les deux belligérants en joue. Ce fut au tour du compagnon de Yuurei de faire quelques passes avant que ce dernier ne revienne dans la bataille, profitant d'un trou. Enfin, un trou calculé instinctivement une fois encore. Mais le grand escogriffe possédait une grande force, et l'armure de Jarod ne suffit pas à arrêter complètement les coups qu'il avait atténué et dévié, il se retrouva donc avec un poinçon dans le flanc et un copeau d'armure qui rebiquait.

Soudain, contre toute attente, l'Harmonien se défit d'une de ses dagues pour saisir le Chef des Gardes par la gorge afin de lui asséner un coup mortel. Mais Jarod sourit et lui plaça un coup de poing dans l'épaule, là où il savait que Yuurei avait déjà une blessure, histoire de le déstabiliser fortement. Il asséna aussi un coup de pied en plein plastron pour le faire tomber et prendre l'avantage. Il allait lui asséner un puissant coup de lance, mais c'était sans compter sur l'autre gêneur de majordome qui redonna la dague à son possesseur avant de lancer un bout de ferraille rouillé qui se planta dans l'épaule de Jarod qui n'a pas pu éviter pleinement cette attaque d'une nullité affligeante car sa main, qui avait été transpercée par une flèche un peu plus tôt, avait décidé de ne plus répondre correctement. Lui arrachant donc une grimace de douleur, la colère de Jarod envers le majordome monta d'un cran.

Celui-là voulait à présent s'enfuir après avoir tenté en vain de lui donner un petit coup de poing. Il faisait pile à ce moment-là moins attention à Yuurei, mais se reprit vite en faisant une roulade sur le côté afin d'avoir ses deux adversaires dans son champ de vision au moment où il partait à la poursuite de l'homme qui venait de le blesser. Le combat contre ces deux personnes était encore plus intense que prévu, il ne fallait pas le laisser se terminer par la fuite de l'un des deux adversaires. Il prit appui sur sa lance comme un bâton de ski en la plantant dans le sol et se catapulta sur le majordome pour le rattraper et lui asséner un coup de hachette dans le dos. C'est lâche, mais bon, il ne pouvait pas le rattraper assez pour l'attaquer de front. Son attaque ratant, il lança sa hachette en espérant la loger dans une des cuisses de cet homme avant de se retourner pour tenir Yuurei à distance avec un coup circulaire de lance. Ils se trouvaient à proximité de la bâtisse à la devanture bleue, mais il ne restait plus que 5:30 minutes avant l'arrivée des soldats d'élite.

Invité

Yuurei est au sol tandis que Jarod a la position de supériorité actuellement, sa stratégie c'était retournée contre lui et il cherchait comment récupérer son arme perdu. Une situation épineuse et périlleuse face à un tel adversaire. Le Rôdeur vit Michaelis fuser vers sa dague et la lancer avec brio a sa portée, chose qui n'échappât point au rôdeur... Yuurei s'empressât de la ramasser tandis que le Majordome faisais diversion. Une fois sa précieuse trancheuse de chaire en sa possession, il vis michaelis lancer une lame rouillée vers Jarod, plus une diversion qu'une réelle attaque, du moins Yuurei l'espérait au vus du jet maladroit... En cet instant Yuurei se dit qu'il devrait lui apprendre aussi les rudiments des armes de jets a l'occasion, tel que les lances les dagues courtes et... les flèches, ces précieuses chasseuses que le rôdeur affectionne.

Curieusement Jarod ne l'as pas esquivé, attaque pourtant facilement esquivable pour un combattant de son niveau. Il vit le chef de la garde tremblant de son poignet transpercé et le saignement avait visiblement repris. Apparemment la flèche à travers son poignée l'avait amoché beaucoup plus que ce que Yuurei pensait. La lame rouillée plantée sans son épaule allait sans doute gêner ce combattant, le mettant au même niveau que le rôdeur, s'ils étaient à armes égales.... Pour le Moment Jarod restait avantager avec tout cet espace pour manier sa lance, son épieu d'argent..

Michaelis fuyait dans la direction opposée à la bâtisse, surprenant Yuurei qui lui avait pourtant dit de franchir la porte bleu. il fallait pour eux, pour leur discrétion, y pénétrer pour s'y cacher dans son obscurité, pour combattre dans cet endroit avantageux pour eux... Pour réellement affronter Jarod. A son soulagement, le majordome fit demi tour vers Jarod pour le frapper par surprise et fondre vers la porte bleue, enfin...
Jarod fut aussi surpris que Yuurei et abandonna le Rôdeur une seconde du regard, grossière erreur chef de la garde. Yuurei sautât sur sa proie pour le tuer, le poignarder, lui faire regretter cette erreur de débutant. Ces dagues touchèrent le vent uniquement car Jarod l'esquivât d'une roulade. Le coup que Yuurei lui avait porté en se relevant pour lui faire payer son inattention avait été infructueux mais Jarod et Yuurei étaient face à face et prêt à combattre de nouveau. Yuurei avait ses trancheuses de chaire bien en main et s'apprêtait à bondir quand il vit Jarod changer de cible. Sa nouvelle cible était donc le plus faible. Yuurei ne voulait pas le laisser faire.

Jardo se lançât donc à la poursuite de Michaelis, se servant de sa lance comme tremplin et de sa hachette comme réception dans le dos du majordome qui l'esquivât avec brio. Bien visiblement Michaelis gagne en esquive et a appris à mieux observer, anticipant légèrement les coups. Yuurei fondit sur Jarod, décidé a ne pas laisser Michaelis combattre seul et il s'arrêtât juste au moment, pile a l'instant, ou il vis bouger l'épaule du lancier, signe d'un coup de lance circulaire et anticipant son coup. Il l'esquivât en sautant en arrière in extremis, voyant des étincelles fusées de son abdomen, Jarod venait de fendre le bas du plastron du Rôdeur de la pointe de sa lance, trop éloignée pour toucher la peau, ou même le tissu sous l'armure. Un joli coup qui l'aurait sans doute éventré s'il aurait porté. Ce combat faisait vibrer de plus en plus la corde sensible du Rôdeur, le danger et sa cruautés, son gout prononcé pour le combat et la folie qui en découle. A ce niveau la c'est de l'adrénaline pure qui coulait dans leurs veines, un véritable délice de douleurs et de sentiment de mort imminente à chaque attaques.

Yuurei vis au dessus de l'épaule de Jarod. il vit Michaelis franchir la porte bleue et le rôdeur tournât autour du lancier, ses dagues pointées droit sur lui et ses yeux rivé dans ceux de son adversaire. Yuurei souriait sous son masque, jouissant de cette bataille, sa folie était a son comble et il aimait ce genre de combats, délicieux moment de vie pour lui. Une fois dos à la porte, des bruits de pas se firent entendre au loin... plus que quatre minutes à peu près avant que la garde élite ne soit la... Plus que cinq minutes avant que ces gâcheurs stupides et trop armée pour eux trois ne vienne gâcher cette belle réunion. Prenant toujours garde, yuurei lançât à Jarod de sa voix caverneuse, de son esprit sadique, et de son envie prenante de finir ce combat. yuurei invitât Jarod à franchir également la porte bleue de sa voix empreinte de folies. il l'invitât à entrer dans cet antre dont il connait les recoins.

"Tic-tac, tic-tac, la garde élite arrive et si elle nous trouve ici, ce combat sera interrompue encore une fois, tout comme la dernière fois... tic-tac, tic-tac... Continuons donc l'intérieur, loin des regards indiscrets, finissons ce qu'on a commencé."

Yuurei s'engouffrât dans la salle à travers la porte bleue, pointant toujours ses dagues vers le lancier. Ce fut une petite salle avec une croix sur le mur qui s'offrit à eux. Une grande croix et plein de signes religieux. Elle est composées de vitraux montrant l'extérieur de leurs couleurs criardes et une vieille table de bois pourrissant montrant qu'elle avait accueillir de nombreux repas se trouvait au milieu de la pièces. Une armoire décrépie ou repose de vieux livres trônait sur un mur. La salle était assez basse de plafond, environ deux mètres quarante, pas suffisant pour manier un épieux avec confort. Une porte en bois au fond, de meilleure qualités, en bois noble et ouverte indiquant que Michaelis l'avait franchit, ou qu'il observait derrière la pénombre de celle-ci.

Yuurei attendait Jarod dans la petite salle aux doubles portes, il attendait son adversaire pour en découdre avec lui. Lorsque Jarod rentra dans la pièce le Rôdeur l'attaqua, pas en traitre mais de face. Un véritable ballet s'offrait entre le Rôdeur et le lancier, un combat d'une magnifique prestance se déroulait dans cet endroit clos, éclairé uniquement de quelques vitraux. Un coup de hachette, un coup de dagues, une véritable danse effrénée entrainait les deux combattants. Un tourbillon défensif ou des éclats, des étincelles et des morceaux de métal fusaient. Chacun anticipant presque à la perfection les coups de l'autre. Chacun les parant ou les esquivant en un déluge d'étincelles dut au frottement du métal contre le métal. Si un regard se posait sur eux a ce moment la, il pourrait voir et apprendre... Voir un jeu de dagues, de haches et de lance maitrisé à la perfection. Un jeu d'attaques, d'esquives, de parades et de contre attaques des deux combattants qui effectuaient leurs techniques a un rythme endiablé, parait les coups ou les esquivant avant même qu'ils ne soient portés.

Si le combat était magnifique, le manque de place le rentait plus spectaculaire et plus dangereux. Les coups ne pouvaient pas être réellement totalement esquivés et les armures des combattants se faisaient de plus en plus entaillées, de plus abimées, de plus en plus en lambeau et inutiles dans une myriade d'étincelles. Elles en deviendraient presque gênantes à force et cette danse effrénée semblait durer une éternité pour le plus grand bonheur des deux combattants. Cependant quelque chose les stoppa, Un bruit, des bruits... des bruit de pas en armure.

la garde élite commençait à peine à arriver sur la place proche de la bâtisse et tout le monde regardât les premiers gardes a travers les vitraux leur assurant un anonymat. Yuurei s'éclipsa vers la porte du fond en silence tandis que Jarod avait vus ses collègues arriver doucement et chercher vers ou le rôdeur et le chef de la garde étaient allés.. Derrière la grande et belle porte de bois, on peut voir ce qu'est réellement ce bâtiment. Ce fut une église qui accueillait ce combat et ils avaient pris l'entrée de derrière. Une longue et belle église sombre et parsemée de bancs et de piliers. Nombreux piliers dans les ténèbres offrants ainsi une belle cachette a un rôdeur ou un majordome même si le ton pour le rôdeur ne semblait pas être pour la cachette mais plus pour l'affrontement. Au fond de l'église se tenait un grand échafaudage, indiquant que les vitraux de façade étaient en train d'être restaurés. Le pilier derrière la porte franchit par le rôdeur avait un objet lui appartenant, le carquois du rôdeur est au sol... une flèche sortie, posée par terre indiquant un escalier de sa pointe

En haut, au milieu de cet escalier de bois se trouve l'armure du rôdeur en lambeau, posée au sol avec brassards et plastron, en haut ses vêtements couvrant son torse et ses bras, impliquant ses gants. Cette armure, comme celle du lancier, était en lambeau donc inutile et gênant, le rôdeur s'en était débarrassée. En haut de l'escalier en bois, sur les planches de échafaudage de réparations coller à coté de l'escalier qui menait aux coursives, se trouve le rôdeur, à genoux au milieu des planches de bois, torse nu et ses lames en croix face à lui... son masque éternellement fixé sur son visage.

Il est en face de la rosace géante de la façade de l'église, son verre coloré se projetant sur le sol de bois. Il attend son adversaire qui arrivera en face de lui s'il suit ses traces... Il attend Jarod pour son dernier affrontement.
la garde élite ne tardera pas a envahir les lieux aussi... mais l'heure tourne et d'aussi haut, on ne les entendra pas... surtout que l'heure tourne et tourne encore et que bientôt les cloches sonneront.. masquant les cris des lames et des combattants qui seront les seuls à jouir de ce spectacle, de ce combat, de ce morceau de paradis qui s'offrait à eux... à lui. Oh oui la garde élite vas retrouver quelqu'un ici... le corps de celui qui sera vaincu uniquement...

En voyant Jarod monter sur échafaudage, Yuurei se relève et prend ses dagues, le Rôdeur fait deux mètres dix et échafaudage à des paliers sur à peine deux mètres vingts de hauteur, à peine la largeur de deux hommes et à une structure truffée de tubes de métal immobilisateur d'armes. Cela vas l'handicaper mais handicapera encore plus Jarod qui ne pourra pas jouer de son épieu que se soit en longueur ou en largeur... Hache contre Dagues... un beaux combat, un combat étincelant... un combat mythique. yuurei était a armes égale contre Jarod à cet endroit et leur niveau était tel qu'il ne pourrait jamais le défaire assez rapidement avant que la garde n'arrive. A cette hauteur, il ne leur restait que quatre minutes, peu être quatre minute trente, avant que la garde élite ne les localise... Si Michaelis n'as pas fuit, s'il prend jarod à revers quand il sera sur échafaudage, lancé sur son attaque contre le rôdeur... Ils auraient un gros avantages tactique car cet endroit et trop étroit pour que Jarod puisse fuir ou passer derrière Michaelis il se retrouverait attaquer sur deux front... Mais est-ce que Michaelis était encore la? Est ce que Jarod allait avancer sur l'échafaudage pour combattre son ennemi en face de lui? Son ennemi qui l'attendait souriant de son sourire de porcelaine fixé sur son masque, souriant de son rictus démoniaque montrant une inhumanités aussi élevée chez lui que chez le lancier.

Michaëlis voyait le jeu de lame qui s’opérait devant lui. C’était d’une magnificence sans égale, les étincelles qui giclaient des armes, l’agilité des deux guerriers, la rapidité des coups portés dans cette pièce si étroite, si restreinte qui rendait le combat plus époustouflant encore. Le majordome les regardait avec admiration. Combien de temps cela faisait qu’il n’avait pas vue telle bataille? Il lui semblait une éternité. Jamais ô grand jamais il n’avait put se délecter de tels gestes accomplis avec grâce, avec style. Enfin , le jeune assassin ne pouvait se laisser a de telle rêverie la cavalerie arrivait et dans quelques minutes a peine, ils allaient arriver. Le temps n’était plus à l’admiration, mais à l’action. Tout ce qu’il pouvait faire pour le moment c’était d’établir une stratégie pour bloquer les gardes qui arrivaient, en entrant, il avait repéré un immense morceaux de bois qui , il pensait lui suffirait largement. Il s’en saisi en mettant toute sa force puis bloqua la porte de l’édifice. Cela au moins pourrait les retarder de quelques minutes. Il aurait put aussi sortir, mais l’appelle a la bataille était bien trop tentant.
　
　

A peine avait il tourné la tête, que Jarod était déjà sur un échafaudage en plein attaque contre le rôdeur. Comment de ce petit espace pouvait il intervenir ? Cela était simple, mais il craignait de ne trop abîmer une de ses lames, bien qu’il pourrait la faire réparer. Il se saisi de l’une de ses trancheuse et la lança de sorte qu’elle se plante d’un un bois juste en face du visage de Jarod, histoire de le bloquer pendant quelques minutes. Puis il prit appui sur l’échafaudage qui n’était pas très solide, de sa main droite , il visa le visage de leur assaillant , mais en vain la partie de l’échafaudage ou il s’appuyait venait de s’effondrer, il ne réussi qu’à entailler profondément le joue de celui-ci et gagna une bonne chute sur le dos, la deuxième de la soirée, la douleur partie de son dos pour remonter jusque dans son crane, cette deuxième chue n’était pas des plus agréable. Aucun cris ne sortit d’entre ses lèvres, mais instinctivement, il lacha son arme pour entourer sa tête de ses mains. Il resta comme cela deux minutes puis se reprit. Il reprit sa lame et se remit debout légèrement boiteux, il voyait toujours Jarod en hauteur, semblant le jaugeait. Il avait un air hautin qui lui déplaisait fortement, était ce de la supériorité ou simplement une image que se faisait Michaëlis a cause de son attaque qui aurait put le tuer mais qui avait échoué ? C’était plutôt le deuxième.

Il entendait les gardes arriver de toute part. Le temps pressait. Il fallait faire quelque chose où ce combat n’allait jamais finir. Il regarda Yurei quelques instant et essaya de voir ce qu’il put faire.
Attaquer de front pour qu’enfin le rôdeur attaque en même temps que lui et peut être auraient ils une chance d’en finir. Peu importe, il fallait essayé, après tout, qui ne tente rien n’a rien. Michaëlis chercha un endroit où s’appuyer, il n’y avait pratiquement plus rien, il ne pouvait attaquer que du côté du rôdeur car de l’autre côté la plate forme c’était effondrer. Il espérait que celui-ci allait lui pardonner mais pour cette attaque, il fallait qu’il utilise quelque chose ou plutôt quelqu’un pour se retrouver à côté de Jarod. Il couru , prit un premier appuis sur un morceau de bois pour prendre de l’élan et s’appuya de tout son poids sur son compagnon de fortune afin de récupéré la lame qui était en face de Jarod et de se retrouver a côté de lui, la bataille pouvait continuer, il espérait que sa tentative ne serait pas vaine…

Ce diable de Yuurei lança une provocation évidente à Jarod qui hésita un très court instant. Le suivre dans cette église serait de la folie, vu que cet olibrius doit la connaître. Jarod, lui, en revanche, ne fréquente pas vraiment ce genre de lieux. Mais en même temps, il n'allait pas abandonner le combat maintenant, ça serait faire preuve d'une grande lâcheté, et ce n'était vraiment pas le genre de Jarod, loin de là. Il suivit donc à une certaine distance le rôdeur. L'intérieur ressemblait à celui d'une église, avec ses vitraux tout moches et ses inscriptions qui n'ont aucun sens aux yeux de l'Umbrien. La particularité de la salle est qu'elle était trop basse pour porter des coups verticaux avec la lance, mais cela n'était pas trop contraignant, en fin de compte, vu qu'une lance se manie dans tous les sens. Profitant de cette petite gêne, son adversaire l'attaqua de front avec ses deux lames courtes. Commença alors un échange des plus somptueux entre les deux belligérants. À bien voir, les bibliothèques nuisaient à l'utilisation confortable de la lance, c'est ainsi que le chef des gardes décida d'utiliser plutôt sa hachette et ne faire usage de sa lance qu'en cas de dernier recours.

C'est alors que l'élite investit la place dans laquelle ils se trouvaient l'instant d'avant. Jarod vit ces idiots d'élite commencer à les chercher partout sur la place, ce n'était qu'une question de une ou deux minutes maintenant avant l'interruption du combat, il fallait absolument en finir maintenant ! L'Umbrien suivit sans hésiter Yuurei qui s'enfonçait un peu plus loin dans l'église. Le rôdeur semblait avoir disparu, mais il eut la "gentillesse" d'indiquer le chemin à son adversaire en posant une flèche par terre indiquant un escalier. Et en effet, il se trouvait en haut d'un échafaudage et attendait Jarod. Ce dernier voyait clair : Il voulait réellement le limiter dans ses mouvements. Cependant, toujours question de lâcheté et de défi, il accepta son offre et le suivit en haut des escaliers et sur l'échafaudage. Il retira sa plate et la jeta si violemment que les restes se brisèrent en deux, il va falloir qu'il en refasse fabriquer une. Il lança à son ennemi :

- Je vois... Hache contre dague, hein ? Vu ta taille, tu es aussi limité que moi, ce combat est un véritable défi, tu ne trouves pas ?

Il s'avança d'un pas mais il fut interrompu dans son assaut par un jet maladroit de la part du majordome. Il ne fallait pas qu'il intervienne ! Ce combat est celui de Jarod et Yuurei, pas celui en plus d'un stupide être insignifiant ! Il fallait le mettre d'abord hors d'état de nuire. Mais ce qui est bien c'est qu'il le fit tout seul. En s'appuyant sur une partie de l'échafaudage, celui-ci s'écroula en faisant tomber cet homme en arrière. L'Umbrien regarda alors momentanément et avec dédain celui qui l'avait interrompu, puis le vit sauter sur le lieu de belligérance pour récupérer sa lame. Grossière erreur, car Jarod l'a vu arriver et, en plus de lui sectionner le flanc, il lui donna un gros coup de pied pour le virer de l'échafaudage. Il vociféra :

- Comment oses-tu te mettre entre lui est moi ? Ce combat ne te regarde pas, je m'occuperai de toi après alors ne m'interrompt pas !

C'est alors que la grande porte sous eux bougea légèrement dans un bruit sourd. Les gardes d'élites étaient aux portes de l'église et n'attendaient plus que de pouvoir passer pour les interrompre. Alors, Jarod ria au moment où les cloches se mirent à sonner :

- Donnons-nous à fond !

Et il entama la dernière passe de la partie.

Invité

Yuurei attend toujours, à genoux au sol, ses dagues devant lui... Il attend que Jarod avance sur l'échafaudage, le lieu de leur dernier combat. Une fois le lancier en haut de l'escalier et face à cette scène improvisée, le rôdeur se levât doucement, torse nu, n'ayant de son armure que les jambières sur son pantalon de lin et ayant ses deux dagues longues dans les mains, Ses deux précieuses trancheuses de chaires qui ne le quitte jamais. Il est bientôt midi et le soleil est au zénith, éclairant le Rôdeur et le Lancier a travers le vitrail. Leur combat sur cette fine plate forme de bois parsemée de tubes de métal sera retranscrit sur le sol de l'église, leurs ombre colorée par les vitraux recopiant chacun de leurs mouvements. Le lancier se mit dans les même conditions que le Rôdeur, jetant son armure de plate au sol qui se brisa sous l'impact. Jarod lançât une phrase d'orgueil à son adversaire, une phrase de défi indiquant que le dernier combat allait bientôt avoir lieu:

"- Je vois... Hache contre dague, hein ? Vu ta taille, tu es aussi limité que moi, ce combat est un véritable défi, tu ne trouves pas ?"

Yuurei souriait sous son masque et sa voix caverneuse résonnât dans l'église.

" Un véritable défi pour l'un comme pour l'autre, un combat à notre hauteur et à notre valeurs... Le dernier pour toi."

Yuurei observât un moment Jarod s'avancer sur la plateforme puis ils s'avancèrent mutuellement l'un vers l'autre, hache contre lames, ce combat allait être de toutes beautés et Yuurei en frémissait de plaisir par avance. Pendant leur attaque Yuurei observe Michaelis du coin de l'oeil. Celui-ci à posé une poutre contre la porte, cela les retardera mais ne sera malheureusement pas suffisant. Yuurei doit prévenir Michaelis qu'il doit utiliser les bancs de l'église, les empiler contre la porte pour bloquer, gêner le passage autant que possible puis fuir.. Oh oui une fois la garde élite sur place il vaux mieux fuir, sinon ils mourront tout les trois.

Jarod avançât vers Yuurei et celui-ci se prépare à parer l'attaque. Le début du combat entre eux allait commencer, ou presque. Une dague se plantât près de jarod, une dague courte lancée par michaelis qui sauta sur échafaudage qui en tremblât, faisant vaciller les deux combattant sur cet appuis instable et fit chuter michaelis sur le dos encore une fois. Il a réussit cependant à blesser jarod avant de chuter, une entaille sur la joue, peu profonde, peu saignante. Yuurei et Jarod regardent Michaelis. Le Regard du Rôdeur est plein de surprise, celui du lancier plein d'orgueil, en tout cas Yuurei avait d'autre projet pour le majordome et l'un comme l'autre savaient qu'il ne valait mieux pas pour lui qu'il intervienne. Lorsque le majordome grimpât de nouveau sur échafaudage et se plaçât à coté de yuurei celui-ci lui lançât un mot, un simple mot :

"Descend"

Yuurei ne put continuer sa phrase car Jarod attaquât michaelis avant de se remettre en garde contre Yuurei. Il venait de donner un puissant coup de pied au troisième combattants qui venait de voler hors de l'échafaudage, une troisième chute tandis que Jarod lançât ses menaces vers le majordome en se mettant en garde vers le Rôdeur. Yuurei pointât avec grand plaisir ses dagues, ses deux trancheuses de chaire vers Jarod et lançât en criant à michaelis

" Bloque l'entrée avec tout ce que tu trouve, les bancs de l'église, les poteaux, la croix, tout et puis fuit d'ici avant que la garde élite ne défonce la porte !!! Passe par les coursives au niveau de l'escalier des que tu entendra la porte craquer... On ne devra surtout pas rester la !"

La porte bougeât, Yuurei espérait que Michaelis essaye de bloquer celle-ci avec autre chose car la garde n'allait pas tarder à entrer et leur niveau est loin au dessus de celui du rôdeur, du majordome ou même du lancier. Il fallait des obstacle pour les retenir au maximum, histoire de pouvoir fuir tout les trois a leur entrée Jarod lançât une dernière phrase avant de lancer sa première attaque. une invitation à la danse, une invitation au combat... Juste au moment du premier impact un bruit sourd survint, un son de cloche...

Le premier son de cloche survint, un son sourd et puissant doublé d'un coup de hache vertical que Yuurei esquivât en se mettant sur le coté, la hache se bloquât sur l'échafaudage à hauteur de l'aine Et Jarod resta coincé ainsi une seconde. Ce fut le premier coup, le premier son de cloche... Le second suivit dans la seconde, en un splendide coup de dagues croisé partant du bas et remontant vers le haut, esquivé par Jarod et dont les dagues heurtèrent le plafond vraiment trop bas, planté dans cette plate forme supérieure improvisé de cet échafaudage. Les deux premier des douze coup de midi furent deux échecs. Le troisième coup sonna, fort et résonnant, en un splendide coup de pied de Jarod dans l'abdomen du Rôdeur qui poussa un râle rauque et crachat un peu de sang qui coula le long de son masque, de son cou. Le temps n'était pas au repos et le quatrième coup sonna, en un puissant coup de poing vertical, partant du haut vers le bas, un uppercut du géant dans la mâchoire du lancier sonna ainsi le quatrième gong dans un jet de sang également. Les coups s'enchainaient avec une fluidités sans égale, résonnant de leur puissants sons de la cloche de l'église. Ils prenaient de cette manière une autre dimension, une impression de puissance. Deux titans s'affrontaient, leur ombre géante projetée au sol et leurs impacts résonnant jusque dans les cieux.

Ce fut autour du cinquième coup de résonner dans les cieux, son puissant d'une cloche d'église qui résonnât jusque dans leurs armes entrechoquées, les dagues croisées venaient de bloquer le coup vertical de la hache et une myriade d'étincelles jaillirent de ce raclement de métal. Le sixième son de cloche eut un bruit d'os et de chaires qui s'entrecroisent. En même temps, et sur la même direction, Yuurei et Jarod avaient donner un coup de poing de leur main gauche et les deux poings se croisèrent sur les visages en un bruit d'entrechoquement d'os et de tendons qui repoussât les deux combattants de quelques pas. Puis survint le Septième son de cloche ou tous put voir sa puissante sur les ombres au sol des deux titans. Celle-ci fut sous le signe d'une attaque plongeante vers l'avant d'une dague qui fut stopper par la gauche par un malheureux tuyaux de échafaudage et fut esquiver de sa droite d'extrême justesse à la gorge de jarod. Cette esquive eut un pris, la main gauche du lancier, il avait dut l'utiliser pour parer et reçut la pointe de la dague en sa paume créant ainsi une profonde blessure qui coulait à travers le trou, ce véritable poinçon qui saignait abondamment...

Le Huitième impact, la huitième attaque fut un aveuglement aussi assourdissant que le son de cloche qui provoquât son déclenchement. Le lancier avait utiliser son propre sang, coulant de sa main gauche pour aveugler le rôdeur un instant et pour fondre sur lui en un coup horizontal de sa hache. Yuurei put esquiver partiellement ce coup qui aurait put être mortel... partiellement seulement car la hache lui avait toucher et même bien toucher le flanc gauche. Il poussât un cri de douleur lorsqu'il reçut l'impact. Il avait une large entaille entre deux cotes, par chance peu profonde mais il lui fallait recoudre cela une fois la bataille achevée... Pour le moment elle était d'une parfaite beautés, d'une parfaite égalités entre les deux êtres de plus en plus blessé, de plus en plus proche de la mort. Le neuvième et dixièmes gongs frappèrent en même temps, un coup de dague contre un coup de hache, deux coups trop proches pour toucher et se fut la garde de la hache qui touchât le Rôdeur, elle le touchât à l'épaule, en plein la ou la lance l'avait toucher et yuurei tombât à genoux au sol, lâchant ses dagues en un cri de douleur. Il ne fut pas le seul à crier. La dague longue venait de se planter dans l'avant bras de Jarod, précisément la ou la flèche l'avait toucher et il lâchât son arme aussi, en un cri de douleur ou il se saisit le poignet gauche à pleine main...

Se fut Jarod qui initiât le onzième coup de cloche, une série de trois coups de poings de sa main droite encore utilisable sur le rôdeur encore à genoux, le premier coup fut en plein sur les côtes, en plein sur la plaie, ce qui arrachât un cri second a Yuurei. Le deuxième le touchât à l'épaule, de nouveau sur la plaie de la lance en un véritable éclair de douleur. Quand au troisième... Yuurei attrapât le bras de Jarod de ses deux mains et le regardât de son rictus démoniaque, de son sourire de porcelaine avant de le tirer vers lui. Ce fut ainsi que sonna le douzième coup, en un grand coup de poing du bras droit du géant en plein dans l'épaule blessé du lancier qui eut un rictus de douleur et une véritable décharge électrique de douleur. Un deuxième coup, de pied ce coup-ci, en plein dans le ventre de celui-ci le fit reculer et cracher un peu de sang de par sa puissance, sans pour autant que Yuurei ne lâche son bras et se fut le troisième coup que Jarod arrêta au prix d'une immense douleur. Yuurei tenait le bras droit de Jarod de son bras gauche, le plus faible et Jarod lui rendit la pareil en attrapant le bras droit de Yuurei de son bras blessé, avec sa main poinçonné et le serra de toute ses forces.

Le treizième coup de cloche survint, le dernier coup, le coup en trop apparut en un fracas de bois brisé. La Garde élite faisait son entrée avec un de leur chef, visiblement puissant, très puissant, trop puissant pour eux trois. Yuurei toisa Jarod du regard, encore une fois le combat était interrompu, encore une fois ils devaient fuir avant d'avoir pus s'achever...

Cette troisième et l’espérait la dernière chute de cette soirée fut plus violente que les autres, plus appuyée, plus douloureuse aussi pour le dos du majordome qui resta un moment sans rien dire, le souffle coupé. Il n’avait apparemment plus rien à faire ici. Ce n’était pas son combat, et il l’avait comprit dès les premières minutes qui avaient opposé le rôdeur au lancier. Un regard surpris se posa sur lui, mais un regard aussi chargé de menace, il ne devait pas rester, un mince filet de sang s’écoula d’entre ses lèvre. Ce liquide chaud le réveilla. Sa vision se faisait moins précise, si il continuait comme cela , il allai tout simplement lâcher le rôdeur, mais sa voix lui parvint, indistinctement, mais il comprit quelques mots. Le majordome se releva doucement mais surement, s’adossa quelques secondes contre une poutre fragile, puis regarda autour de lui. Il se dirigea vers la croix qui se trouvait au fond de l’église, il la prit et entrava la porte avec, puis un banc, et un deuxième, un troisième, et il ne pouvait faire plus. Il devait sortir de l’église, le combat qui s’annonçait allait être violent. Mais minuit approchait, et la cloche commença sa sombre mélodie. Michaëlis courut vers la sortie que lui avait indiqué son compagnon, mais un bruit, un seul le retint le bruit violent des lames qui se croisaient, il se retourna et vit le combat débuté, à chaque coups de cloches, le combat devenait plus violent, plus dangereux , et les deux êtres qui s’affrontaient n’avaient plus rien d’humain. Une fascination naquit en Michaëlis, il rêvait de croiser le fer de la sorte, mais le moment n’était plus aux rêveries.

La porte craqua une permière fois, la majordome sortit de la bâtisse, pour voir à qui ils auraient bientôt à faire, il resta sur le toit. Ils ne feraient peut être pas le poids. Ils étaient tout trois épuisés par le combat, usé par la douleur, et une petite armée d’une trentaine d’homme plus costaud les uns que les autres les entouraient, et le chef avait une allure monstrueuse. Il était d’une stature digne d’un chef. Les épaules larges, l’air plus que confiant et le sourire carnassier. La cloche continuait de sonnait et faisait approcher immuablement l’heure du dénouement. Les deux combattants auraient ils fini ? On pouvait entendre les lames, les os craquer, la chaire se déchirer. On pouvait sentir la violence, l’acharnement, l’odeur du sang et de la folie de la bataille. Tout cela pouvait être inquiétant pour certain et excitant pour d’autre, pour Michaëlis, c’était les deux à la fois. Qui gagnerait ? On ne pouvait le savoir. Les deux combattants avaient une force sans égale. Ils avaient la technique et la rage qui donnait au combat toute sa beauté, une beauté bestiale, effrayante, mais tellement attirante.

Le onzième coup sonna, la porte craqua une nouvelle fois des cris de satisfactions retentirent d’en bas, encore quelques coups et ils réussiraient à entrer dans l’église. Le majordome aurait aimé retarder ce moment, hélas, pour le moment il ne se sentait pas la force de se lancer dans une bataille perdu d’avance. Il essaya de réfléchir, tout ce qu’il pouvait faire, c’était de prévenir. Il descendit de son perchoir, puis entra de là où il était sortit, pour rejoindre le lieu dit. Il resta à l’entré, le douzième coup avait sonné, et le combat continuait, le sang coulait à flot. Michaëlis voulut ouvrir la bouche, mais la porte s’ouvrit dans un bruit assourdissant, les bancs et la croix n’avaient pas résistés, tout avait cédés dans un bruit unique et sec. Tout les regards se tournèrent vers la porte. Comme l’avait précédemment vue Michaëlis, le chef paraissait puissant. Il fallait fuir, la résignation se fit sentir, on voyait bien que le rôdeur aurait voulu finir ce qu’il avait commencé peut importe l’issue, mais encore interrompue, ils devaient s’en aller au risque de se faire écraser par des gardes bien plus en forme qu’eux.

Michaëlis fit demi tour pour ressortir à l’air libre, il resta tout de même devant l’entré près à sacrifier l’une de ses dagues si besoin, de la laisser dans la chaire d’un des gardes avant de s’en aller, mais il espérait qu’il n’en arriverai pas là. Il attendait la réaction du lancier et du rôdeur, qui peut être surpris ou encore déçu de reporter cette bataille si bien commencé, restaient le regard porté vers la porte. Le temps semblait s’être arrêté le temps de quelques secondes…

Autant qu'il jouissait du combat qu'il était en trin de mener, autant il en souffrait du fait qu'il avait un combattant à sa taille. Avec en fond une cloche qui sonne au rythme de leurs passes, ce combat était réellement excitant. Rarement Jarod n'avait connu ça, il se battait pour s'amuser, mais aussi pour satisfaire son orgueil. Il affichait un sourire inébranlable, même lorsqu'il se prenait des coups. Un coup, puis deux, puis trois, puis quatre, cinq, six sept, huit, neuf, dix, il mettait toute son énergie dans ses passes pour tenter de se défaire de son ennemi juré. Enfin, le onzième et le douzième coup firent s'écarter les deux adversaires épuisés. C'est alors qu'un treizième coup retentit dans l'église.

Au delà des missions [Terminé] AvatarGiliascopier

Cette semi-explosion et ce bruit post-coup si caractéristique, les ennuis sont finalement arrivés, et pas des moindres. Il s'agissait de Gilias, le Capitaine des gardes d'élite en personne. Il avait défoncé la porte, la lourde croix et les bancs d'un seul coup avec l'arme qui faisait sa réputation. La briseuse d'os, comme l'appellent certaines personnes. Cette lourde arme est une masse longue comme une lance dont l'embout est rotatif, créant d'énormes dégâts couplé avec la magie de l'homme en armure argentée. Il posa un pied devant lui avant d'ordonner :

- Il y a trois personnes à trouver ! Je les veux vivantes !

Pendant que Gilias discutait, Jarod avait sauté en arrière et, après s'être rattrapé difficilement sur les escaliers derrière lui, il entreprit de monter en haut de la tour rapidement, sans ce soucier de la fuite de son adversaire. Alors que les gardes d'élite investissaient l'église, il était déjà au sommet de la tour. Il descendit sur les toits et retrouva le sol un peu plus loin, hors de vue de la très grande majorité des gardes. Il entendait encore Gilias hurler comme un goret des ordres, frustré de ne trouver personne.

Jaord s'en alla lentement, blessé et fatigué, Il faudra qu'il aille un jour récupérer sa lance. Il murmura alors :

- On se retrouvera, Yuurei Akuma, et cette fois, personne ne viendra nous interrompre !

Sur cette réplique, il se dirigea vers l'hôpital militaire dans lequel l'attendait déjà la seule personne en qui il fait confiance, sans réellement l'apprécier, pour lui penser ses blessures qui étaient un peu plus graves qu'elles n'en avaient l'air. Il se reposa un moment avant d'aller s'expliquer au corps d'élite afin de récupérer sa fidèle partenaire.

Invité

Le treizième coup de midi, le coup en plus, le coup en trop fut celui d'une arme curieuse, ni une lance malgré sa longueur, ni une masse malgré sa forme. Elle fut maniée à travers la massive et résistance grande porte de l'église en bois de chêne qui ne résistât pas à son unique coup. Elle fut maniée à travers la lourde croix de métal et les bancs empilés sans qu'ils n'opposent de résistance pour celui qui la dirigeait. Elle fut manié comme une arme explosive, comme emprunte de la magie du combattant en armure d'argent. Pour Yuurei et malgré la distance, cet homme empestait... il puait la bravoure, la droiture, l'honneur et surtout la puissance. Une puissance emprunte de Justice trop éloignée pour le Rôdeur en ce moment. Yuurei devait sans doute assisté à l'instant à l'entrée du maître de la garde élite, du chef de cette section : le chevalier Gilias, capitaine des Gardes d'élites d'Umbra... un putain de héros pour le peuple de Tenamas. Celui qui défendra la veuve et l'orphelin jusqu'à son dernier souffle sans la moindre hésitation, un des rares gardes d'Umbra à être apprécié du peuple, le héros dans toute sa splendeur.

L'heure n'étais pas a l'observation, même si Yuurei pestât doucement d'un juron significative à voix basse, juste assez basse pour que Jarod l'entende en sachant qu'elle ne lui était pas destinée. L'heure était plutôt à la fuite car, comme le "légendaire" Gilias pestait a ses hommes, Yuurei était actuellement une de ses trois proies. Michaelis et Jarod étant les deux autres. Yuurei pestât et entendit Jarod lui répliquait pendant qu'il prenait la fuite de son coté.

"- On se retrouvera, Yuurei Akuma, et cette fois, personne ne viendra nous interrompre ! "

Yuurei sourie à son adversaire et pensa en lui même:

** ça fait deux fois que tu me le promet promet Jarod, la troisième sera ta dernière **

Cette réflexion faite en son fort intérieur, Yuurei songeât à sa fuite car les gardes n'attendraient pas qu'il récupèrent. Il regardât autour de lui pour trouver une sortie... Jarod avait fuit par les escaliers de pierre et il ne faisait pas bon prendre tout les trois la même issue. Une seconde issue se profilait à lui un étage au dessus, il pouvait sauter sur les coursives de l'autre coté de échafaudage, dans la direction opposée à celle de Jarod, il lui fallait juste escalader un palier de plus de cet échafaudage. Yuurei ramassa ses Dagues longues et les rangeât à sa ceinture, puis il serra des dents sous son masque avant de prendre à pleine mains une des barre de métal du palier au dessus de lui. Yuurei se hissât de toute ses forces restantes vers le haut, vers le palier du dessus, malgré la douleur dans son bras gauche, malgré la douleur dans son flan, malgré la douleur qui le brulait a petit feu en tout son être. Le Rôdeur eut beaucoup de difficultés à se hisser mais fini par y arriver au prix de beaucoup de douleurs et d'énergies. Il regardait en face de lui, au dernier étage de l'Échafaudage. Il regardait la distance de vide qui le séparait des coursives. Il regardait la distance qu'il allait devoir sauter malgré la douleur dans ses cotes, malgré le feu dans ses poumons, malgré le sang perdu qui se rependait au sol...

En contrebas des cris se firent entendent, il était vaguement localisé par leur chef sur échafaudage. Yuurei n'eut plus le temps de réfléchir et courut, ignorant la douleur, ignorant la distance... Il courut et sautât vers les coursives. à l'instant même ou il sautant, à la seconde même ou ses pieds ne touchaient plus le sol, le Rôdeur entendit un bruit de métal broyé par du métal suivit d'un capharnaüm essentiellement composé de fer et de bois. Des flèches fusèrent dans cet espace de vide mais par chance le Rôdeur les avait pris de vitesse. Il atterrit sain et sauf sur les coursives les plus hautes de cette église. Le Rôdeur regardât derrière lui et vit échafaudage détruit, broyé par Gilias et beaucoup de flèches plantées au plafond pas très loin au dessus de lui, lancé par les archers accompagnant leur chef. Yuurei avait eut chaud sur ce coup la et le cœur de l'église se remplissait de cris, d'ordres hurlés aux soldats et d'armures et d'armes qui s'agitent. Il leur faudrait un moment pour venir retrouver Yuurei au dernier étage et a cet instant il espérait de Michaelis ai déjà fuit, car seul contre trente dont un héros au moins dix fois plus puissant que lui, si ce n'est pas quinze, ce combat serait un pur suicide.

Yuurei se tient les cotes et marche en boitant dans les coursives. Il avait une avance de plusieurs minutes sur les gardes avant qu'ils ne le rattrape et il connaissait cette vieille église un peu trop bien. Il connaissait les recoins, ou se cacher et les passage secrets, les escaliers dérobés. Tandis que la Garde élite se rapprochait, Yuurei disparut au détour d'un cul de Sac, les traces de sang le reliant à lui s'arrêtant sur un mur de pierres épaisses, un mur masquant une entrée dérobée dont Yuurei connaissait le mécanisme secret. Un mur dont il faudrait une bonne demi heure à détruire et une heure complète pour trouver son mécanisme caché et y ouvrir la porte dérobé pour la Garde élite qui ne savait pas ou chercher. Ce chemin sombre conduisait Yuurei a un escalier sombre, un escalier en colimaçon descendant directement du troisième étage au sous-sol. Cet escalier menait à plusieurs pièces, les premières chambres des moines... depuis longtemps abandonnées mais dont quelques affaires trainées encore ça et la. Il récupéra deux toges de moines parmi les moins sales, une pour la découper et se faire des bandages de tissu sur ses plaies et une autre comme habit pour s'y dissimuler. Car un Rôdeur boitant torse nu et se vidant de son sang serait facile à trouver, un moine saignant abondamment et tachant ses vieux vêlements ne serait pas discret. Mais un moine marchant lentement sous ses habits, certes vieux et sales, n'attirerais pas plus l'attention. Le Rôdeur retournât au Rez-de-chaussée ainsi vêtu et ouvrir une porte dérobée, prêt de la petite porte bleue servant de seconde entrée. Il s'y engouffra, regardant les Gardes courir sur les coursives et rassembler les armures de Jarod et yuurei en guise de preuve. Yuurei s'engouffra dans cette porte du rez-de-chaussée et avançât discrètement vers la porte bleu pour regagner l'extérieur, la liberté et l'anonymat. Ceci fait, le Rayon de soleil de midi passé vint l'aveugler un instant et il repris silencieusement sa route vers chez lui, ou il se soignerait. Il repris la route doucement, silencieusement comme un moine de recueillant en marchant. Il repris la route sans attiré un seul regard sur lui...

(HRP : Fin du RP pour moi, Michaelis je te conseille grandement de fuir, Gilias est lvl 15 et connait un peu trop bien la magie pour nous trois :p )

Michaëlis avait vue les deux combattants s’en aller, lui-même n’allait pas rester là. Les gardes étaient nombreux et le chef puissant, avec une arme tout aussi puissante que lui voir plus. Michaëlis se contenta juste de faire quelques pas pour se retrouver derrière l’église. Mais il préférait se trouver encore plus loin, il n’était pas en sécurité devant cette batisse. Il sauta de son perchoir pour se réceptionner lourdement sur le sol. Une douleur s’empara de chaque cellule de son corps, mais pour le moment, le temps n’était pas au repos. Il ne se mit pas à courir, il était bien trop fatigué pour cela. Il marcha a une allure soutenue pour s’éloigner le plus possible. Puis au fur et a mesure, il ralentissait, et fini par s’arrêté, à bout de souffle. Il fallait qu’il aille se soigner.
　

Cette soirée avait été très mouvementé. Rencontre avec l’ennemi juré du rôdeur. Combat sur une place puis dans une église, puis enfin, ils se font poursuivre par des gardes lourdement armés. Enfin tout ce que le majordome espérait, c’était de pouvoir un jour revoir le rôdeur qui fut son compagnon rien que pour une nuit. Michaëlis n’avait pas vue où il allait trop plongé dans ses pensées. Il se trouvait devant Le banc où il s’était assis après sa mission. Il le regarda avec un petit sourire, puis le dépassa de quelques kilomètres pour se retrouver dans un coin perdu, où il y avait une grande étendue d’herbe, rafraichi par la soirée et légèrement humide. Ce coin était reculé, donc personne ne viendrait le chercher ici. Son corps était lourd, ses paupières aussi. Il passa sa main sur la blessure qui lui avait été faite pendant sa mission, puis se dit qu’après tout, il s’en occuperai plus tard, ce n’était pas si grave.
　

La lune était haute dans le ciel, les étoiles lui tenaient compagnie, et Michaëlis était une fois de plus leur admirateur, admirateur de leur beauté irréel presque apaisante, qui atténuait la douleur des âmes en peines, et guérissait les blessures intérieur. Le majordome s’assit tout d’abord, la fraicheur du sol était agréable, puis il se laissa tomber en arrière exposant son corps meurtri à la lumière du satellite naturel. Il n’avait plus aucune envie de bougé, ses yeux se fermèrent tout seul. Une fine brise se leva, laissant entendre le bruit des feuilles dans les arbres et les animaux nocturnes en quête de tranquillité où encore de leur repas. Enfin, le jeune homme étendue dans l’herbe se laissa aller à la somnolence pour tomber dans les méandres du sommeil. Une dernière pensée lui vint à l’esprit. Il ne pouvait rentrer dans cet état chez ses maîtres… Mais cela lui importait peu en fin de compte, Le jour allait se lever dans quelques heures, il avait le temps de se reposer un peu pour être à l’entière disposition de ses employeurs par la suite. Comme à son habitude et il le souhaitait malgré sa fatigue, il se réveillerai à temps et rentrerai avant le réveil de la petite famille qu’il servait et une nouvelle journée
recommencerai effaçant les actes de la veille qui resterai en tout cas gravé dans sa mémoire.
　

Il tomba dans un sommeil profond, étendu dans l’herbe fraîche. Sa poitrine se soulevait à un rythme régulier, et la nuit était seul témoin de l’épuisement de cet être. Le jour allait bientôt se lever, et une nouvelle journée allait commencer…
　
　
　
　
　

FIN

Très joli combat, j'ai hâte de voir le prochain affrontement entre Yuurei et Jarod ^^

Michaelis Kuso : 11 xp
Yuurei Akuma : 11 xp
Et un bisou au Meujeu pour son intervention très efficace Kiss

Les xps ont été atribués Wink

(+5 xps pour le Meujeu)

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