Peut-ètre en apprendre plus [Terminé]

Après avoir quitter Kalheena , Nalwyn sorti des Hauts quartiers de Soleries et alla se baigner dans la riviere de Crystal, d'une pureté infinie, il paraitrait que ces eaux apportait calme et paix a ceux qui s'y baignait, l'espace d'un instant, comme si le temps s'arretait!

Le centaure rentra dans l'eau, il se sentait bien, a l'aise, mieux que dans ces villes grouillantes ou on ne pouvait meme pas galoper a son aise! Il se sentait mieux ici, dans la nature, qu'a Soleries! Bien que certaines villes était adaptées au gabarit des centaures, il y en avait qui était tres etroite, et Soleries faisait parti de ces villes -la! Et puis les menbres de sa race préférait quand meme l'air libre et le grand air de Dame Nature! Ils ne se sentait pas bien dans les villes, meme quand celle -ci était adaptées aux grandes races! Et puis en plus, les centaures n'y était guere discret!

C'etais une petite pause hors du temps, comme si le temps était figé, l'eau de la Riviere était fraiche et bonne, Nalwyn se baissa quelque peu, puis pris un peu du précieux liquide dans le creux de ses mains puissantes et en but quelques gouttes, avant de s'asperger le visage, son torse musclé et bronzée et son pelage.

Pendant sa baignade, il avait laisser au bord de la rive, ses affaires dans son sac magique, et y jetait un oeil de temp en temp, histoire que quelqun ne lui vole pas le sac enchanté et ce qu'il y avait dedans!Celui qui ferait cela, passerai un sale quart d'heure! Car le courroux de Nalwyn était impressionant!

Au bout d'un moment, il sorti de l'eau pour se sécher au soleil, il se coucha en vache sur le sable chaud de la berge et ferma les yeux en appreciant les chauds rayons du soleil et le vent fouettait son torse halé.

Il poussa un soupir d'aise, un soupir tres grave, il se dit que après cette baignade et cette petite partie de plaisir, il allait reprendre la route, pour chercher une tribu de centaures ou vivre!

Invité

Ce fut le levé du soleil qui le réveilla. Narau s'était endormi dans une cabane abandonné qui se situait et se situe toujours au fin fond du bois de l'innocence. Sa fenêtre donnait directement sur le levant. Et lorsque les premiers rayons atteignirent la cabane, son ami le soleil força Narau à ouvrir ses yeux clos. Tel un tournesol, il se réveilla éclairé et léché par la chaleur du soleil. Il grogna face à ce jeu qui ne l'amusait pas le moins du monde. Qui aime être réveillé tôt le matin ? Personne, ou presque. En tout cas pas lui. Tout ca pour en revenir au premier point : Ce fut le levé du soleil qui le réveilla.

Il commença par quitter ce lieux de malpropre et prit la direction de la rivière. Sur le chemin, Narau se rappela sa mission première. Il devait se laver. Sa tombe bien car normalement il y a une rivière non loin de là... Il était maintenant arrivé à la rivière, un magnifique paysage ! Du vert en vêtu en voilà, car l'Harmonien adore le vert, c'est sa couleur préféré. Et parmi tout ce vert, une ligne d'eau turquoise, c'était juste... Magnifique. Mais l’heure n’était pas à la contemplation. Une odeur toute nouvelle vint alors le taquiner pendant qu’il mettait pied à ce nouveau lieu. Il y avait un cadavre de centaure qui gisait près du fleuve. Narau, lui, était persuadé qu'il s'agissait d'une créature mi-homme, mi-vache. Le grand humain s'est alors approché et la regardait de toute sa hauteur. Le géant vert donna un violent coup de pied dans le centaure...

" - T'es mort ? Tu dors ? "

Au vu de la réaction de l'animal, ce n'était pas le cas... Ce dernier s'est relevé et s'est cambré sur ses pattes arrières, cette foi-ci c'est lui qui dominait Narau de toute sa hauteur. Une étrange grâce émanait de lui, comme un élégance sauvage qui le rendait magnifique. Une fierté bestial qui le rendait élégant.

" - Je te croyais moche mais en fait t'es plutôt élégant. "

L'homme en vert a examiné le centaure. De haut en bas, puis a observer ses affaires déposé non loin du fleuve. C'était surement un maraudeur, un guerrier errant.

" - Je suis ravie de te rencontrer homme-vache. Je n'ai jamais eu l'honneur de rencontrer une noble créature de ton espèce, au moins ca sera fait. Je peux te chevaucher ? "

« Assieds-toi sur le bord d’une ondante rivière,
Tu la verras fluer d’un perpétuel cours. »

Chassignet, Le Mépris de la vie et consolation de la mort.

Comme il était étonnant de revenir sur les traces de son enfance.
Comme il était doux de reprendre le chemin d’une ancienne maison.
Comme il était doux de sentir les plaisirs simples si souvent oubliés.

Flore s’arrêta dans la plaine et laissa le vent jouer avec ses cheveux. Il était encore très tôt le matin et personne ne s’aventurait jamais à cette heure-ci sur les chemins. La jeune femme contempla la beauté du matin dans le vent, perdue dans une solitude bienfaitrice. Le soleil commença à pointer à l’horizon tandis que le ciel bleu devenait rosé. Les premiers rayons embrasèrent le monde et chassèrent les ténèbres de la nuit. Flore ferma les yeux quelques secondes et profita du silence. Elle aurait souhaité elle aussi pouvoir chasser son côté sombre par quelque lumière chaleureuse. Mais cela relevait de l’impossible. Cette part d’elle-même était l’empreinte qu’elle laissait dans le monde. Elle oublia ces pensées mélancoliques pour se concentrer sur le présent.
Plusieurs odeurs lui montèrent au nez, et celle qui retint le plus son attention fut le parfum enivrant des fleurs sauvages apporté par le vent. Ses mains dérivèrent et caressèrent l’herbe haute. Comme il était doux d’être à nouveau chez soi.

Elle continua de marcher à travers la plaine –flânant plus que marchant réellement d’ailleurs. C’était étrange de se rendre compte à quel point elle avait été malheureuse loin de cet endroit pendant tout ce temps. Finalement, c’était une fois à la maison qu’elle se rendait réellement compte du manque laissé dans son cœur.
Ses pas la menèrent jusqu’à l’endroit d’une forêt. Un lieu qu’elle connaissait bien puisque c’était ici qu’elle était née. Oui, elle avait vu le jour dans cet endroit enchanteur et merveilleux. Elle dépassa les premiers arbres et sentit les larmes lui monter aux yeux. Elle aimait tellement cet endroit…
Mais tout semblait si mystérieux… Finalement, Flore était à l’image de ce lieu : enchanteur et mystérieux. Elle eut envie de courir comme une petite fille et de se rouler dans l’herbe humidifiée par la rosée du matin.

Les souvenirs refirent surface en elle. Une époque ancienne durant laquelle la petite fille qu’elle était avait grandit et avait appris cet art savant de la guerre. Son père et son visage dur lui avaient enseigné comment se battre pour trouver sa voie. Il avait éveillé en elle le côté sombre de son être. Cet aspect repoussant de sa personnalité qu’elle essayait toujours de canaliser. Mais il existait aussi des souvenirs beaucoup moins joyeux dans son esprit. Des souvenirs qu’elle avait tenté de repousser à tout jamais en dehors de sa conscience. Mais c’était chose impossible. Elle se souvenait du jour où elle et ses mercenaires s’étaient fait décimé par une lamentable trahison. Sa famille avait succombé ainsi que tous ses amis. Quel pitoyable commandant elle avait fait ! Elle revit les corps calcinés et brûlés dans son souvenir et faillit hurler de colère.
Heureusement, elle se contint et se laissa glisser dans l’herbe, abattue tout d’un coup. La peur l’avait submergée et elle se sentait à nouveau hésitante, comme si elle avait peur de perdre le contrôle de son corps. Du repos, voilà ce dont la guerrière avait véritablement besoin. Elle pourrait se reposer d’ici quelques minutes.

Un bruit la fit se relever. Un doux murmure insistant qui résonnait dans son cœur : le clapotis de l’eau, apaisant. Silencieusement elle se releva et marcha dans l’herbe verte. Le bruit de ses pas était étouffé par la verdure. Le soleil passait à peine à travers les arbres et donnait un aspect sombre. Soudain, la clarté du jour l’assaillit en même temps que l’appel de la rivière s’intensifiait. Oui, elle connaissait bien cet endroit pour y être venue de nombreuses fois dans son enfance. Flore s’était souvent baignée dans son eau claire étant plus jeune.

Ses sens aiguisés cherchèrent la moindre présence suspecte. Rien. La voie était donc libre. Flore ne rêvait que d’une chose, se laisser aller dans cette rivière. Puisqu’il n’y avait personne, elle allait donc en profiter. Lentement elle s’avança jusqu’à la rive et déposa son épée, ses habits puis pénétra dans l’eau. Elle nagea quelques brasses puis s’enfonça dans les profondeurs de la rivière. Elle avait gagné en puissance dernièrement avec l’acquisition d’un nouveau pouvoir qui lui correspondait parfaitement : celui d’avoir une maîtrise de l’eau et de la glace. La jeune femme pouvait à présent respirer sous l’eau, avantage considérable. Au fond, on ne pouvait pas la déranger au moins.
Flore nagea jusqu’à ce qu’elle touche le fond de la rivière. Dans cet univers liquide, il n’existait plus de guerrière ou de démon, seulement une femme, une femme humaine dont l’apparence était la même que ses pairs. Elle était seule dans cet endroit, là où personne d’autre ne pouvait la suivre. Ainsi, la jeune femme avait une sensation de bien-être et de plénitude. Elle resta en dessous un long moment avant de se décider à refaire surface. Avec rapidité elle gagne le bord et sortit d’abord sa tête de l’eau. Quelle ne fut pas sa surprise en entendant des éclats de voix plus loin ! Elle n’était plus seule. Le temps qui s’était écoulé avait-il été si long qu’elle ne s’en était même pas aperçue ?
Flore était une personne vive qui savait prendre rapidement des décisions. Sa première réaction fut de vérifier qu’elle n’était pas visible. Heureusement pour elle, ce n’était pas le cas ! Finalement, elle sortit de l’eau et s’avança silencieusement jusqu’à ses habits laissés sur le bord de la rive. Elle les passa en hâte, et sentit le tissu coller à sa peau encore humide. Ses longs cheveux blonds paraissaient encore plus longs que d’habitude. Elle attrapa enfin son épée, Ahnor, qu’elle rattacha dans son dos. Puis, elle se colla contre un arbre afin d’être sûre de rester cachée. Elle regarda autour d’elle et situa les éclats de voix non loin d’ici. Lentement, elle marcha jusqu’à l’arbre suivant et s’y cacha. Et ainsi de suite.

La jeune guerrière parvint à se faufiler de cette manière jusqu’à quelques mètres des éclats de voix. Flore poussa un léger soupir en voyant que ces deux personnages n’étaient pas dangereux. Mais tout de même, il fallait avouer que tous les deux, ils n’étaient pas banals ! Les yeux argentés de la guerrière scrutèrent les deux silhouettes. La première était celle d’une personne mi-homme mi-cheval. C’était étrange de croiser un centaure dans cette région. Quant à la seconde personne, qui était de dos, Flore ne put le détailler à souhait. La jeune femme voulut rebrousser chemin lorsqu’elle commis une erreur de débutante : une branche morte sous son pied droit craqua. Elle maudit son imprudence. Quelques gouttes d’eau tombaient encore de sa longue chevelure dorée.
Il apparaissait deux solutions pour elle : la première était de prendre ses jambes à son coup. C’était tout de même une idée un peu risquée car le centaure était sans aucun doute plus rapide qu’elle. La seconde solution était de simplement se montrer. C’était probablement la plus meilleure chose à faire pour l’heure. La guerrière ferma son visage et reprit un masque d’impassibilité. Lentement elle se montra et ses yeux argentés fixèrent les deux inconnus.

Nalwyn senti quelque chose le reveiller pendant qu'il méditait paisiblement, un grand coup de pied dans son flanc droit , puis une voix moqueuse et provocatrice siffla dans les airs:

" - T'es mort ? Tu dors ? "

La colere commença de se faire sentir dans le ventre du centaure qui se releva avec majesté, il depassait le bonhomme, une sorte de lutin vert !Nalwyn degageait une aura sauvage et majestueuse.

il frappa le sol de son sabot anterieur droit de colere tandis que l'imbecile prononcait les deux phrases de trop, les phrases qu'il ne fallait pas dire a un centaure aussi suceptible que Nalwyn :

" - Je te croyais moche mais en fait t'es plutôt élégant. "

" - Je suis ravie de te rencontrer homme-vache. Je n'ai jamais eu l'honneur de rencontrer une noble créature de ton espèce, au moins ca sera fait. Je peux te chevaucher ? "

Alors la, la colere eclata dans le ventre de Nalwyn et jusqu'a son coeur , sans tavergiser, le centaure attrapa l'humain par le col de son habit, se cabra de toute son imposante hauteur et le souleva jusqu'a son visage, qui affichait une grimace de colere, il était furax, dans une colère monstrueuse et le secouait comme un prunier:

-COMMENT OSE TU ME FRAPPER PUIS ENSUITE VENIR M'INSULTER GRATUITEMENT PENDANT QUE JE FAIS UNE PAUSE? ESPECE DE SALE ETRE DE BOUE INDIGNE! ET TU NE ME CHEVAUCHERA JAMAIS. JE NE SUIS PAS UN CHEVAL,MAIS UN FIER ET PUISSANT CENTAURE! PLUTOT MOURIR QUE DE ME LAISSER CHEVAUCHER PAR QUI QUE CE SOIT ET SURTOUT PAR UN SALE SANG DE BOUE INPERTINENT DE TON ESPECE!

Puis il le balanca sans plus de façon et très violement sur le sable de la berge....Puis il senti une présence... méfiant il regarda les alentours.

Il vit une femme sortir des buissons, elle avait de beaux yeux , elle était très belle, il s'approcha d'elle , faisant claquer ses sabots sur la berge puis demanda, en essayant de se calmer, meme si c'etais tres difficile:

-Et vous qui ètes vous?

Invité

Narau se releva telle une fleur. Certes, une fleur qui avait perdu une grande quantité de pétales et quelque peu bossue. Mais à par cela, il s'éleva frottant sa tête chevelu. Il était encore une fois sans son chapeau et avait comme impression, d'être nu. Alors que le centaure questionne une inconnue, l'Harmonien chercha la partie manquante de sa tête. Rien ne pressait, personne n'était là pour interrompre ses recherches. L'ambiance était au plus calme, oui il n'y avait désormais plus de centaure avec des sautes d'humeurs. Il avanca d'un pied dansant sur la berge et se pencha malgré le danger afin d'observer le cour du fleuve. Il continua sa petite enquête et enfin, sa petite merveille brilla parmi tous ses arbres. Il la porta à son cœur et entama une danse de la joie. Ceci terminé, il l'enfonça fortement sur sa tête afin que toute perte ne se reproduise plus. Son arme, quant à elle était avec le chapeau. Retrouvé son chapeau, n'avait pas été facile, le chapeau est vert, comme à peu près tous ici... Mais par chance il a retrouvé son chapeau, qui était à quelques pas de lui.

Narau était aux aguets, dans le seul but de ne pas égarer son couvre chef une seconde fois. C'était sa vie, son corps. Avec ce membre, il avait la sensation d'être entier, d'être lui et d'exister. C'était son petit soleil personnel. Bien sur, personne ne pouvait le toucher. Narau était à lui seul une galaxie et il ne partageait pas son soleil. Les autres galaxies ont qu'à s'en trouver un, s'il veule avoir l'impression de vivre comme il se doit. Au loin une femme attirante titilla son regard. Intrigué, même très intrigué il se tourna vers elle... Se plaçant devant le centaure par la même occasion.

- Tu veux être une pomme ?

Dit-il en soulevant son chapeau. En regardant à l'interieur, il ne vit rien à l'interieur hormis son bâton à trois branches...

- Bon, en fait, désolé mais j'en ai plus.

Il se retourna vers le centaure.

- Quand à vous, homme-vache, chèvre, centaure ou homme-cheval, que sais-je encore, je ne suis pas du tout ravi de vous avoir rencontré. Je vous complimente, disant que j'étaie ravi de rencontrer un membre de votre espèce et de plus... Je vous complimente sur votre élégance et comment vous me remerciez ? En envoyant dans le sable ! Pire que tout j'aurais pu perdre mon château dans la rivière...

Ensuite, il posa avec délicatesse ses mains sur ses yeux et et les frotta, il avait du sable dans les yeux...

- Je suis Narau et pas du tout enchanté, tu es qui toi ? Et surtout tu es quoi, une homme-chèvre, un centaure ou un homme-cheval ? Et vous madame ?

L'Harmonien jeta un regard par terre, en un point précis. Il se dirigea lentement vers la cible de son regard... Le géant vert s'agenouilla lentement, et puis, délicatement, ramassa la sphère verte. Un objet magnifique et vert, comme lui donc !

- Finalement j'ai retrouvé ma pomme, quelqu'un en veux ?

« Et vous, qui êtes-vous ? »

Nalwyn soupira et, tout en tentant de se calmer comme il le pouvait, il pensa qu'il ne s'etais pas présentait, alors il se présenta a la maniere des centaures a la femme, c'est a dire qu'il posa son poing sur son coeur et pencha son buste vers l'avant:

-je m'appel Nalwyn Harkhel Madame!

Le centaure remarqua la froideur de son visage , ses yeux de glaces, sa beauté glaciale et cela le troubla quelque-peu et a présent milles questions se battait dans son esprit, qui était -elle? et pourquoi elle se promenait seule a la riviere de Cristal? pourquoi cet air de froideur et de neutralité? En agitant légèrement la tète, il chassa ses questions de celle-ci, car elle le dirait si elle le voulait! Il agita la queue qui batti l'air.

Il ignora royalement les questions et la remarque du petit homme en vert, qui, non content de l'avoir gravement offensé et insulté, n'avait meme pas eue le courage de ce présenter... pfff, et la politesse , ça existe?!!!!
Et quand l'homme sorti une pomme bien verte de son sac et la proposa a la femme et a lui, il regarda la pomme et lui dit d'un ton sec et agacé en lui donnant un coup de sabot dans les fesses:

-Mangez la toi meme misérable ètre sans honneur!

Il tenta de se calmer, mais la vue de cet individu sans respect et sans sens de l'honneur le mettait en colère.Il se tourna vers la dame et lui dit poliment:

- Damoiselle, je me suis présenté au complet! alors a votre tour de le faire... quand a l'identité de ce petit ètre de boue puant en habit vert, je m'en moque! Il m'a offensé et une offense envers moi est inpardonnable!

Oui, non content d'ètre suceptible, Nalwyn était rancunier.... pas pour tout cependant!

Bruit de tonnerre grondant. Est-ce un orage ? Est-ce un tremblement de terre ? Est-ce une tornade ? Non, il s'agit du Roi des Centaures qui galope. Ses amis de la forêt l'ont averti qu'un des siens se reposait non loin de là près de la Rivière de Cristal. Une chance qu'il trainait déjà au Bois de l'Innocence. Plein de somptuosité, il court à travers la forêt, slalomant à une vitesse impressionnante entre les arbres sans faire une seule erreur. Il sait où sont les racines et les cailloux facétieux, il est facile alors de les éviter. Le galop de cet être fabuleux ne saurait être comparé à aucun autre. Lancé à vive allure, le souverain entend alors quelqu'un vociférer avec un accent qu'il connait bien.

Ni une, ni deux, sans changer d'allure, il bifurque en prenant appuis sur un rocher et se dirige vers la sorce de la colère. Il la ressent dans la nature, cette colère, car elle effraie les créatures de la forêt. Il arrive au niveau de la rivière et ralentit avant de s'arrêter en se cabrant. Il regarde autour de lui et aperçoit trois silhouettes dont une dont il reconnait l'intérêt, il s'agit du centaure dont lui avait parlé ses amis des arbres. Il s'approcha légèrement d'eux et lança au centaure, d'un ton doux et bienveillant :

- Et bien, mon ami, il ne faut pas vous énerver ainsi, nos amis de la forêt sont inquiets. Oh ! Je suis Daniil Herlaas, Roi des Centaures.

Sur cette phrase, il effectua une révérence majestueuse et croisa les bras en affirmant :

- Je suppose que vous avez des questions à me poser, allez-y. Quand aux deux autres, une courte présentation serait la bienvenue. Je suis ici pour vous rencontrer, mon ami, quel est votre nom ?

Sa voix était remplie de douceur et il observa discrètement les deux compagnon de son sujet avant de reporter son attention sur ce dernier. Bien que pas aussi beau que certains de ses semblables, il dégageait une prestance et un charisme digne d'un Roi. Il attendait patiemment les réponses de chacun.

« Mon nom est Flore,

»

* Finalement, tout le monde recherche quelque chose. Est-ce que le fait de se donner un but nous permet d’avancer sans se retourner ? *

Nalwyn entendit la jeune femme se présentait, il hocha la tete avec gravité...

Tout d'un coup, un bruit de tonnerre se fit entendre, et arriva devant eux, un frère de race, un centaure!

Il se présenta, c'etais Daniil Herlaas le roi des centaures... et Nalwyn connaissait Daniil! Enfin sa tribu lui en avait parler, quand ils était en vie, c'etais un centaure bon, gentil, sage et doux, il était leur roi, il était le roi de tout les centaures! Quel immense honneur de le rencontrer!

Nalwyn salua Daniil en portant son poing a son coeur et en inclinant son buste vers l'avant,c'etais une marque de respect, et parla de sa voix grave et profonde:

-Seigneur Daniil, je suis Nalwyn Harkhel, c'est un immense honneur pour moi de rencontrer le roi des centaures!

Le centaure se tue, cherchant quelques secondes ces mots avec précisions et justesse, puis , les ayant trouver, il s'exclama:

-Votre Majesté, je n'ai plus de tribu, elle a était tuée par une tribu de gorgone, jai était changer en pierre, et sans cet elfe, j'y serai encore... dites -moi Sire, pourquoi elles ont fais cela? et ou se sont cachés les notres? C'est que je cherche une nouvelle tribu Messire!

Il regarda le roi des centaures, il était fier, beau, digne représentant de la race des centaures! Il fixa avec gravité le roi, tout en ecoutant Flore parlait, elle s'etais appuyer contre un arbre, un peu plus loin...

Seule la jeune fille se présenta parmi les deux compagnons de son semblable. "Flore", se nommait-elle.

- Oh ! Quel joli et agréable nom que vous avez là, ma chère !

Et bien oui, avoir un nom qui fasse autant nature qu'elle était plaisant pour le Roi centaure. Ainsi, certaines personnes étaient dotés d'une poésie assez forte pour nommer son enfant d'un prénom aussi ravissant. Cette Flore s'éloigna, quelle politesse, elle souhaitait sans doute laisser tranquille les deux centaures pour qu'ils puissent discuter sans avoir un tiers qui se mêle de ce qui ne le regardait pas.

Le jeune centaure mit son poing sur sa poitrine et s'inclina avant de se présenter avec honneur. Il laissa un petit silence, sans doute pour se laisser le temps de réfléchir et s'exclama en expliquant sa situation. Le Roi réfléchit alors aux réponses qu'il allait apporter. Il finit par révéler, d'un ton grave mais toujours doux :

- Et bien, je ne connais pas les circonstances exactes vu que je n'étais pas présent... Mais ces gorgones auraient été envoyées par des être abjects. Il s'agit des esprits déchus. Oui, eux.

Il marqua une pause avant de continuer :

- Les nôtres se sont cachés quelque part en Harmonia. Je ne peux pas vous dire où exactement, mais je peux vous y conduire, si vous le souhaitez.

Il attendit une quelconque réponse de Nalwyn... Par contre, cela l'embêterait un peu de devoir abandonner Flore ici, mais il ne savait pas quoi lui dire, pour le moment.

La conversation des deux centaures parvenait aux oreilles de la jeune femme de façon très claire. C’était triste d’apprendre que le centaure nommé Nalwyn n’avait plus de tribu et recherchait la compagnie de ses semblables. Tués par un groupe de gorgones : c’était tout de même surprenant car ça ne courrait pas spécialement les rues comme genre créature. Flore était tout de même intriguée par ce qu’elle venait d’entendre. Savoir que les déchus étaient capables de faire des choses aussi abjectes la répugnait par-dessus tout. Mais, pour obtenir quelque chose dans la vie, il fallait bien entendu savoir faire des concessions.
Quoi qu’il en soit, les autres ne devaient pas connaître ses opinions pour le moment : ça risquait d’être dangereux pour elle et franchement, elle n’avait pas envie de se battre contre des centaures enragés. Bref, le risque de se faire lyncher était plutôt grand à présent.
En revanche, elle pouvait peut-être les aider à faire quelque chose pour les gorgones. Si jamais Nalwyn avait envie de se venger, elle pourrait toujours l’aider à les retrouver. Pour ce qui était de se battre contre elles… Bon elle n’irait probablement pas jusque-là.

Déjà le roi des centaures proposait à son sujet d’aller voir ce groupe de centaure. Au début, Flore se sentit amèrement déçue de cette conversation qui ne lui avait rien appris de plus que ce qu’elle ne savait déjà. Mais il lui restait encore une chance car le roi des centaures semblait un peu ennuyé de devoir la laisser seule ici. S’imaginait-il qu’elle était sans défense ? Si c’était le cas, c’était une grossière erreur de jugement. Mais Flore doutait que c’était ça : il semblait très sage, trop intelligent en fait pour commettre ce genre d’idiotie.
Mais, finalement, elle pouvait parfaitement profiter de cette faiblesse apparente pour suivre les deux centaures dans leur expédition. Bien entendu, elle n’interviendrait en rien, se contentant de les accompagner dans un but purement scientifique. Ainsi, elle pourrait en apprendre plus sur ces fameux centaures ainsi que leur mode de vie. Flore avait toujours été attirée par la connaissance et apprendre de cette manière sur le terrain, c’était une expérience qui la ravissait. Notre jeune Flore, donc devait jouer finement sur cet avantage pour pouvoir suivre le roi des centaures à travers son expédition. Il regardait dans sa direction, de manière discrète comme s’il avait peur qu’elle surprenne son regard. Mais elle faisait semblant de regarder ses pieds et son visage conservait une expression de parfaite neutralité.
Flore redressa alors la tête et demanda d’une voix calme et douce –cette voix qui contrastait avec la sévérité de ses traits :

« Puis-je vous accompagner et vous êtres d’une quelconque utilité ? »

Si le roi des centaures acceptait, Flore devrait alors la jouer encore plus finement et discrètement. Se retrouver au milieu d’une tribu de centaures… ça pouvait devenir risqué !
Après, s’il refusait qu’elle les accompagne pour on ne sait qu’elle obscure raison, tant pis, elle continuerait ce qu’elle faisait auparavant : c’est-à-dire sa baignade dans la rivière, seule avec elle-même.

Le roi des centaures lui expliqua tout, que c'etais les esprits déchus qui les avait envoyer sur sa tribu, la réduisant a néant.Il écouta attentivement les paroles du Roi sans parler, il fit un signe de la tète pour dire qu'il avait compris.Puis le roi fit compliment a Flore de son prénom.

Puis Nalwyn tourna la tète pour regarder Flore qui demandait de venir avec eux, elle n'avait pas bouger de son arbre, elle s'etais juste contenter de lever la voix pour demander.

Il s'approcha d'elle, curieux de savoir pourquoi elle voulait les suivre:

-Pourquoi voulez-vous venir avec nous? voulez-vous voir du pays?

Il se retourna vers le roi des centaures et lui dit gravement:

-Allons retrouver les notres!

Nalwyn était fier, grace au roi, il avait retrouver la trace des siens, tout les 3 allaient se mettre en route pour la ville des centaures, mais il gardait un visage neutre et beau.

Le centaure frappa le sol de son sabot tout en regardant Daniil, il était sage, intelligent, juste, il était connu de tout les centaures, meme de sa tribu défunte, donc oui Nalwyn connaissait bien Daniil.

Le temps était resplendissant, le soleil brillait et la chaleur montée, mais le centaure était a l'aise, en effet, il se promenait toujour le torse nu, il ne mettait jamais de vétements, cela l'emcombrait au plus au point.

À la question posée, le Roi des Centaures commença une réflexion. En effet, il voulait bien qu'elle les accompagne car il aime la compagnie, mais il craignait que les autres Centaures verraient d'un mauvais œil le débarquement d'une étrangère. Il devait donc peser le pour et le contre afin de donner une réponse constructive et qui pourrait satisfaire les deux partis. Nalwyn posa une question assez pertinente et qui méritait réponse. C'est pour quoi Daniil choisit de ne répondre qu'après celle-ci avec sa voix très douce habituelle, sans être mielleuse :

- Et bien, soit, ma chère. Vous pouvez nous accompagner. Cependant, certains de mes confrères ne verraient pas d'un très bon œil votre arrivée. Vous êtes, en quelque sorte,une étrangère, je ne sais pas s'ils vous accepteront. Cependant, avec mon appui et si vous promettez de ne pas révéler l'emplacement du camp, je veux bien tout de même vous y conduire en même temps que mon ami. Cela vous convient-il ?

Puis, il tourna la tête lentement en direction de Nalwyn. Il lui sourit chaleureusement comme le ferait un père, puis lui demande :

- Mon ami, cela vous convient-il à vous aussi ? Si oui, nous pouvons nous mettre en route. Je suis excité à l'idée de vous faire joindre le restant de mes amis.

Lentement, il se retourna pour commencer à se diriger vers... Mais vers où ? Il a emprunté un portail pour venir, mais il n'est pas sûr de le retrouver pour le retour... Il fallait faire semblant de savoir et surtout ne rien montrer, il ne fallait pas que le centaure ou la jeune fille ne le juge incompétent.

Peut-ètre en apprendre plus [Terminé] Notati10

Nalwyn Harkhel : 4 xp
Meujeu : 3 xp
Flore Morinstal : 6 xp

Rp clôturé pour non réponse

Les xps ont été attribués

» Perdue, moi? Euh.... Peut-être bien que oui, en fait. [Terminé]
» Une Amitié peut-être naissante et Perte d'un ami [Terminé]
» apres-midi calme, peut-être pas (PV vali)[Terminé]
» Etre un chat, c'est un art de vivre ! [Terminé]
» Un être déséquilibré à tout jamais ... [Terminé]