bonne vielle habitude dans l'auberge [Terminé]

Johnson fut arrivé bizarrement dans cette ville,il demanda a une personne ou se situer t-il.Il eut sa réponse à Equillios.Puis il entendit se bruit si familier et ses odeurs particulières que fut la tavernes.Il scruta l'horizon et vu "la taverne".Il discuta avec Ratus pour savoir si il était encore d'aplomb pour des petit vols et Ratus lui indiqua une réponse positive.Johnson entra dans l'auberge,il repaira quelque personne dont le taux d'alcool était élevé et envoya Ratus prendre quelque bourse de ses hommes.Il se posa a une table et observa le reste des hommes de l'auberge puis ayant repéré ses cible parti leur volé tous se que était possible sans se faire voir.Puis il pensa,réfléchi et se dit:
*si j'organise un combat d'ivrogne je pourrai les dépouiller plus facilement.Cela me semble une bonne idée mais comment,comment pourrais je réussir se plan?peut être en lança une table sur un ivrogne?nan trop visible.Peut être vaudrait il mieux que je démasque un tricheur par accident?nan les villageois n'accepterez pas se geste*
.Il pensa longuement et finis part trouver.Il envoya Ratus mordre une personne complètement ivre.Cette personne s'en pris au premier venus et le combat partit entre les deux individu puis un coup de chaise vola dans le dos et on entendit"touche pas à mon ami" puis d'autre furent indigné de cette lâcheté et frappèrent les deux hommes.Il fut content du résultat une bagarre général se qu'il apprécie le plus.Le pianiste se poussa pour éviter une chaise volante qui volais en sa direction et continua à jouer du piano.Le bar man essaya d'atténuer la bagarre mais il se prit un coup de poing qui l'énerva et il se jeta dans la bagarre.Johnson se cacha et à chaque personne tombé KO près de lui il vola la bourse et les papiers et tous se qui peut avoir de la valeur puis quand il vu qu'il ne rester plus qu'une petite dizaine de personne debout entrain de se battre il sortit comme si de rien était et partit se cacher dans une ruelle en veillant à se que personne ne le suivent pour compter son nouveau butin.