[Quête] Les Bas Fonds [Terminé]

Chapitre I : Le commencement

~Soleriès est en proie à vilaine rumeurs, des ragots d'un genre lugubre, concernant des enquêtes faites par la gardes civiles. En effet, plusieurs kidnappings se sont produit il y a peu, et la source du mal viendrait d'un être émergeant des profondeurs de la villes, nous n'avons pas pus avoir de détails tant les indices sont rares et la garde civile reste fermés à ces ragots. Mais nous, nous sommes quasiment sûres qu'il existe quelqu'un qui kidnapperait d'innocentes personnes pour n'importes quels obscurs desseins. Ce qui nous manque, c'est un héros qui nous aiderais à résoudre cette affaire des plus sombres qui soit. ~

Le journal clandestin

C'est ainsi que ma journée commençait, en lisant ce petit bout d'article, un café rustique à la main, les quelques clients arrivaient dans l'auberge où je m'était posté pour une nuitée, l'ambiance très étendue me faisait un bien fou. Pour une fois que j'étais à Soleriès, belle capitale d'Harmonia, j'allais pouvoir profiter des bons savoirs vivres de la ville, peut-être même aller courtiser quelques jolies demoiselles qui passeraient devant moi, défier quelques odieux personnages, ou tout simplement faire un tour dans les rues animées. Néanmoins l'article que je venais de lire me paraissait assez étrange, les kidnappings l'être ou la créature devaient être bizarre, mais bon je ne m'attardai pas sur les détails. Je payai alors le tavernier pour la belle nuit que j'avais passé (en l'occurrence avec quelques insectes me titillant les oreilles, une couverture un peu légère et courte, et un coussin miteux) puis, avec élan, je poussais la porte qui me mena à l'extérieur.

Dehors le temps était merveilleux, c'était le marché qui plus est, les passants animaient les petites ruelles, étroite et sinueuse et quelques gamins couraient entres les passants, jouant à des jeux qui m'étais inconnus. Parfois je m'arrêtais à un stand, observant les quelques marchandises à ma disposition, j'achetais d'ailleurs quelques bricoles, comme de pomme, un morceau, pour grignoter un peu plus tard. Puis je draguais quelques fois de belles demoiselles en leurs faisant poliment la cour mais celle-ci ne semblait point comprendre, et elles me mettaient en quelques sortes des vents.Puis je m'étais enquiquiner avec un petit truand qui ne fis pas grand chose face à mon art de l'escrime (sans vouloir me vanter), mais je finis par faire ami-ami avec lui.Bref, j'avais passer une matinée bien tranquille par rapport à ce qui allait se passer.

En fin d'après midi

"Bon qu'est-ce que je pourrais bien encore faire ?"

Et oui, il m'arrivait de poser des questions à voix haute, de plus le soleil se couchait tout doucement déplorant le ciel de ses quelques rayons lumineux et la nuit allait s'imposer. Un petit froid s'installait aussi, mais les rues étaient toujours animées, certes moins que la journée, mais le spectacle était beau à voir du fait des quelques torches postées à chaque coin de rue. D'ailleurs, je marchais tranquillement dans une rue lorsque tout à coup, une gamine me bouscula, sans gêne et avec violence mais manque chance, seul la fille tomba à terre.

"Excuse moi ! Tu vas bien ?"

Sans perdre de temps je l'aidais à se relever, et le détail qui me percutait lorsque je la vis n'était autre que ses grands yeux bleu, d'une profonde transparence et d'une innocence comme on n'en voit guère souvent. Mais la demoiselle me tira la langue, et d'un éclat de malice me répondit, et c'est alors que s'en suivit un assez long discours,

- Ça va pas de bousculer les gens comme ça, disait-elle, excuse toi tout de suite !
- Mais c'est toi qui ma foncer sans prendre la peine de regarder devant soi, lui rétorquais-je
- Meuh non, je peux pas foncer dans quelqu'un de plus grand que moi, comme réponse
- Pff, et bah dis donc tu manque pas d'air pour dire ça, avec une certaine animosité
- Bon on oublie ça si tu me paie quelques choses a manger, me demandait-elle avec une petit gargouillement
- Mouais drôle de façon d'aborder quelqu'un mais faudra que m'expliquer comment t'a fait pour me foncer dedans comme ça, lui répondis-je

C'était ainsi que nous nous étions rencontrées, cette petite et moi, alors nous recherchâmes un petit restaurant pour pouvoir manger car une faim de loup commençait à me tenailler. Après plusieurs minutes, nous pûmes manger dans un petit resto itinérant, nous discutâmes alors pendant un certain temps, même qu'elle m'avouait le fait qu'elle m'ait volontairement foncé dessus juste pour recevoir à manger, et j'étais tomber dans le panneau comme un débutant. Puis, alors que la nuit était bien tombé depuis longtemps, nous repartîmes chacun de notre coté, j'aimais bien cette gamine qui me rappelais mon enfance, toujours entrain de faire des farces ou autres choses. Je rentrais alors à la taverne, assez fatigué de mon "épuisante" journée.

Mais ce que j'allais apprendre le lendemain n'étais que le commencement d'une sombre aventure...

~ Nouvel enlèvement cette nuit, une jeune demoiselle semblerait avoir disparue alors qu'elle rentrait chez elle, aucun doute que cet enlèvement concerne l'affaire de l'être souterrain mais les forces civiles restent toujours fermés et ne semble pas vouloir agir. Les jeunes parents de la fillette sont désespérés et demandent à ce qu'on les aident, le petite fillette est fort reconnaissable, selon les parents elle possèderait de grand yeux bleu, des cheveux mi-long, brun, et serait vêtue d'une simple robe suivit d'un gilet, si jamais vous l'avez vu, venez en aide à ces parents ~

Le journal clandestin

C'est tôt le matin que je lisais cet article et la stupeur ne pus que me frapper, sans nul doute était-ce la jeune demoiselle que j'avais rencontré la vieille.Je bus alors mon café d'une seule traite, mon esprit bouillonnait à l'idée de ce qu'il me fallait faire, car a mon avis, j'étais la seule personne à l'avoir vu pour la dernière fois. Je jetais alors quelques coup d'œil à la salle, vide pour l'instant, puis j'eus la conviction que je devais faire quelques chose pour venir en aide aux parents de la petite. Ainsi, payant une nouvelle fois le tavernier, je sortis dehors et pus voir les marchands entrain d'installer leurs stands uniques. Le glaive bien calé dans son fourreau, mon journal en main, j'allais voir quelques habitants pour leurs demander où habitaient les parents de la jeune fille très reconnaissable, alors après un long moment de rechercher infructueuse, seul un couple de vieillard pus me répondre. On m'indiqua un coin assez connue de Soleriès, alors je le remerciait très poliment, puis, sans perdre trop de temps, j'allais à la maison dite.

Je vis alors une belle maison, bien décorée dans son ensemble, avec quelques fleurs un peu partout ainsi que des lianes grimpant sur les murs. Les quelques fenêtres étaient bizarre car elle possédait une forme circulaire, et le reflet semblait teinté d'un bleu proche de celui du ciel, et une porte assez massive me faisait face, alors je vérifiais encore une fois l'adresse et ce fut la bonne. Après avoir toqué à la porte, on l'ouvrit et une silhouette assez frêle pus se discerner dans l'ombre de la porte, une femme d'age mure m'accueillis, le visage fatigué. Alors je présentait l'objet de ma visite, et j'espérais pouvoir la rassurer un peu,

- Excusez moi mais je suis là pour parlé de votre fille, disais-je d'une voiw un poil tremblotant, hier je l'ai rencontré et je lui ai payer à manger
- De....de quoi !? , me répondit-elle, vous avez vu ma petite fille hier soir vous savez où elle est ?
- Je... après avoir mangés nous sommes repartis chacun de notre coté, lui répondis-je, elle m'avais dit qu'elle connaissait le chemin, alors je l'ai laissé partir...je suis désolé
- Vous voulez dire que vous êtes le dernier à l'avoir vu, me demandait-elle d'une voix teinté d'une colère, et vous ne l'avez pas raccompagné alors qu'elle est si jeune
- Je vous l'ai dit elle m'a demander de la laisser car elle connaissait le chemin, comme réponse, mais je suis là pour vous aidez je ferais tout ce qui est de mon possible pour la ramener
- J'espère bien que vous allez l'aidez, d'ailleurs son père est partis à sa recherche et je commence a m'inquiéter, avec une étrange mimique, cela fait bien longtemps qu'il est parti
- Vous savez où il est allez ? Il faut que j'aille lui venir en aide
- Euh, il m'avait dit qu'il ferait des recherches près de la Grande flèche mais là je commence à avoir un peu peur

C'est alors que je me mis en route pour la Grande flèche , d'un pas assez pressé, car si jamais il était vrai que les kidnappings avaient tous lieu près de la grande flèche alors il me fallait agir très vite. Le soleil était bien levé à présent, et je me disait alors que le père de la fillette avais du partir très tôt, les habitants pointaient peu à peu le but de leurs nez tandis que je courais vers le symbole de la capitale, la grande flèche. Mon regard virevoltait un peu partout, jusqu'au moment où j'aperçus un homme avec des sortes d'affiches, criant pour qu'on l'aide a retrouver sa fille De là, j'allais le voir pour confirmé mes pensées et ensuite je lui apporterais mon aide,

- Aidez s'il vous plait a retrouver ma petite fille, aidez moi !!! hurlait-il
- Excusez moi mais je veux bien vous donnez un coup de main, disais-je, je crois que je suis le dernier a avoir vu votre fille
- Que...qu'est-ce que vous dites, avec étonnement, vous avez vu ma fille !?
- Oui en fait hier, on s'est rencontré, et elle m'a (en quelque sorte) demander a manger, puis nous nous sommes quitter et je l'ai laisser partie seul à
à sa demande, et quand j'ai lu cet article je ne pus que vous venir en aide

L'homme ne pus répondre tant l'émotion le submergea, il me donna alors quelques affiches a disperser un peu partout, alors je l'aidais dans sa besogne. Faisant tout mon possible pour la retrouver, je demandais à tout les passants s'ils avaient quoique ce soit, mais je fis choux blanc à chaque fois, de même que pour le père. Il semblait ne pas vouloir me parler, mais je continuais à l'aider...

A la tombée de la nuit

Nos recherches stagnaient et le père finit par abandonner sa tache pour revenir chez lui, et trouver du réconfort auprès de sa femme. Pour ma part la frustration était-elle que je ne pus me résoudre à abandonner, et j'ajoutais au père comme pour le rassurer

"Je vais continuer les recherches ne vous en faites pas, je retrouverais celui qui a fait ça !"

L'homme acquiesçât brièvement et repartis chez lui, la mine attristé. Alors je continuais, toujours et encore, sous une pale lune qui se ramenait pour dominer cette nuit sinistre. Les habitants s'en étaient retournés chez eux, dans leurs coin douillet, seul quelques animaux nocturnes se faufilèrent dans les sombres rues de la capitale, je regardais un peu partout, une dernière dois, jusqu'au moment où un bruit étrange retentis dans une ruelle sombre, a proximité de la grande flèche. Mes sens alertés, je dégainai rapidement mon glaive puis me dirigeais vers la ruelle où une faible lumière éclairait une faible partie. Alors je vis au loin une silhouette sauvage, encapuchonné, féroce, qui slalomait habilement, et je crus apercevoir qu'il portais quelques chose. Je ne m'attardais pas et je fonçais vers cette bête pour voir ce qu'il se passait quand d'un coup je vis qu'il portais une personne, m'ayant perçut, la bête se retourna vers moi, et je crus voir deux petits yeux jaune, vicieux, sournois.

Elle s'échappa alors, mais je n'abandonnais pas car il était sur et certain que le kidnappeur était cette bête bizarroïde. S'en suivit une course poursuite dans les étroites ruelles d'Equillios et celui que je poursuivait semblait bien connaitre la ville, car peu a peu la distance grandissait, et nous finîmes par retourner, étrangement, vers la grande flèche. Mais là, un bruit assourdissant retentis, perçant presque mes tympans, me faisant plier genou a terre et lorsqu'il s'arrêta, la bête avait disparus de mon champ de vision...

Je tentais en vain de la retrouver mais au bout d'un certain moment mes espoirs disparurent comme cette bête qui allait hanter ma nuit. Je retourna alors l'auberge, me plongeant dans un sommeil agitée...

~ Nouvel enlèvement cette nuit, de nouveau détail sur l'affaire, il semblerait que des rumeurs circulent concernant une créature, mi-humaine mi-bête, qui ferait des expériences sur ses victimes. En effet la garde civile a vraisemblablement trouver des dépouilles d'expériences ratées, mais ils ne veulent pas en dire plus sur l'affaire, mais des sources fiables nous permettent de dire que les victimes aient été transformer en une sorte de rats, ou quelques choses de similaires ? Affaire à suivre ~

Le journal clandestin

Encore un enlèvement et j'étais présent à ce moment et je n'ai rien pus faire de plus que de la perdre de vue. Cette créature ferait des expériences sur ses victimes et serais caché dans les profondeurs de la ville, mais où !? Par quel miracle pouvait-il disparaitre comme ça, cet article me retournait le cœur rien que de penser que la jeune fille aux grands yeux bleu serait un sujet d'expérience. Si c'était vraiment le cas, comment pourrais-je me m'excuser face aux parents ? Il fallait faire vite, alors je bus une nouvelle fois mon café et me mis en route vers la grande flèche, à la rechercher d'indices sur la tanière de la bête. Le tavernier me regardait partir, une énième fois, et me fis au-revoir.

Une fois arrivé là-haut, je vis le père de la jeune fille que j'esquivais le plus possible, pour ne pas avoir à lui parler et voir la tristesse dans ses yeux. Je retournais alors dans la ruelle de la veille, là où la bête avait miraculeusement disparut dans l'unique but de le dénicher, de trouver sa satané tanière. J'examinais alors chaque pans de murs, chaque partie du sol, dans l'espoir de trouver un quelconque indices, et mon enquête semblait pourtant bien futile car au bout d'une heure de recherche, je ne trouvait rien de rien. Alors que je voulus me poser sur un banc pour me reposer, j'entendis des cris manifestement très similaires aux bruits de la bestioles alors je matais tout autour de moi, jusqu'au moment où mes yeux parvinrent à apercevoir une discrète cavité d'où s'illuminaient quelques pastilles jaunes sournoises. D'un bond énergique je me levait et mes pensées devinrent plus fortes que je n'avais crus,

"Mais bien sur !!! J'avais oublier cette histoire de ville souterraines, et ces petits yeux jaunes viennent de se trahir "

Sans perdre de temps les petites créatures s'en allèrent dans des sifflements aigus tandis que je me rapprochais de leurs cachettes. L'espace semblait assez large pour que je puisse passer, mais j'allais, sans aucun doute, être un peu à l'étroit et dieux sait que je n'aime pas les espaces confinés. Mais j'avais donner ma parole aux parents de leurs ramener leurs petites filles chéries, alors je ne pouvais guère abandonner. Je me glissait alors dans l'étroit espace, et je pouvais toujours entendre les couinements sournois, et leurs agiles galopeuses. La lumière abandonnait peu à peu les lieux, et l'obscurité prenait une place récurrente dans le conduit où j'étais, parfois je crus voir les reflets des perles jaunes mais je pris sur moi pour continuer. Rampant, glissant sur le sol visqueux, je continuais ma route, m'aidant de mes mains, poussant sur mes jambes pour trouver un passage qui me mènerait à l'ancienne ville.

Ce fut en tâtonnant les murs que je finis par trouver une importante brèche, au même moment je fus révulsé par quelque chose, en effet je croyais avoir toucher la queue d'un rat. Sentir le mouvement d'une bestiole dans un espace qui se rétrécissait au fur et à mesure m'avait horripiler, le dégout que j'éprouvais était grand, énorme, monstrueux mais je m'engouffrais tout de même dans la brèche qui me soulagea grandement car elle s'ouvrait un peu plus. Je pus prendre une importante bouffée d'air, même si l'atmosphère était écœurant, je pus même me relever et ainsi voir ce qui se profilait devant moi, archaïque et féroce : La ville souterraine

Je scrutais chaque recoins, les monuments croupis, les maisons écroulées, quelques racines s'entremêlaient aux fondements abandonnés, les quelques redondants de terre par-ci, par-là jaillissait férocement. Je fis un petit bond pour me retrouver sur une sorte de chemin, assez boueux je dois dire, où d'énormes détritus pullulaient à diverses endroits. Je me demandais bien comment ils avaient puent atterrir ici mais ce n'est qu'en entendant des couinements familiers au dessus de moi que je pus comprendre, car des canalisations s'éparpillaient aux plafonds un peu partout. Par endroit je pouvais voir les égouts, ou plutôt des ruisseaux de déchets, d'une eaux nauséabonde et putride serpenter à droite, à gauche . Ma main dégainait alors mon fidèle glaive, j'étais convaincus que les monstres n'allaient pas me laisser gambader comme ça. Ainsi je m'enfonçais un peu plus dans les ténèbres de la ville souterraines, à la recherche de la petite fille mais aussi des autres éventuelles victimes

Cet aventure allait sans doute être l'une des plus glauques que j'ai jamais vécu jusqu'à présent.

~ Aucun fait nouveau dans l'affaire, la créature ne semble point avoir fait d'enlèvement, et la garde civile se mobilise, même si nous savons très bien ce qu'il en adviendra, affaire à suivre ~

Mon arme dégainé, mes sens alertés, je ne cessais d'entendre des bruits bizarroïdes, des galopeuses incessants. Comme je n'avais aucun repère, je m'étais mis à longer un ruisseau putride, dont l'eau éxortaient ses bulles nauséabondes, et j'aperçus non loin de là une mesquine silhouette, inerte sur le sol. J'accourus croyant en une victime de la créature mais d'un seul coup, pris de stupeurs, je vis la silhouette se lever devant moi et je pus reconnaitre une abomination que j'avais déjà rencontré auparavant. Il ne faisait aucun doute que j'avais en face de moi un Acnock, ces petites bestioles exorbitantes et intelligentes et munies de leurs sournois harpons. La bête cria d'un seul coup comme si elle appelait d'autre congénères, et une mauvaise surprise s'en suivit,

En effet, ces créatures semblaient pourvus d'une intelligente telle qui m'avaient concocter une embuscade car de nombreux autres semblables vinrent répondre l'appel, tous sortaient du ruisseau que je longeais. A vue d'œil, je pouvais en compter une bonne dizaines, m'encerclant stratégiquement . Leurs petites pointes acérées me menaçaient, leurs yeux globuleux s'extasiaient quand à la réussite de leurs plans.

*Merde ! Il m'ont bien eut *

Sans perdre de temps, les créatures se mirent à foncer sur moi, j'en esquivais quelques unes, leurs donnant d'ailleurs quelques coups d'épées nonchalants puis j'effectuais une roulade sur le sol crasseux pour esquiver l'autre parties de la troupe. La tache n'était guère aisé, car les bestioles se remettaient automatiquement en ordre, à chaque fois, et leurs harpons allaient à ma rencontre. Certains parvint à me toucher, entaillant ma peau, mais ce n'était que des blessures superficielles car leurs armes étaient d'une frêle consistance, autrement dit elle n'avais pas beaucoup de puissance. Mon sang coulait à plusieurs endroit, et l'idée d'utiliser mon pouvoir me vint à l'esprit mais je l'abandonnais aussitôt en pensant à la créature maitresse des lieux. Puis je me concentrait dans la bataille, en donnant de larges coups de mon glaive à certains Acnocks, dont le sang noiraude giclait en plusieurs fois, j'en éliminais ainsi au moins la moitié. Puis les bêtes voyant mon acharnement et ma démonstration à l'épée, prirent la fuite, en sautillant d'un canalisation à une autre, en poussant des cris aiguës comme jadis. Le combat m'avait mis en garde contre les dangers qui rodaient dans cette ville souterraine, puis je repris mon chemin hasardeux, toujours en longeant le ruisseau nauséabond.

Je m'imaginais alors les victimes pris au piège au main d'une bête immonde, voulant leurs faire je ne sais quelles expériences traumatisantes, alors je me hâtais d'aller les trouver, pris d'une peu indicible. Mon regard vaquait vers n'importe quoi, à la recherche d'un détail, puis au bout de quelques minutes je parvins à voir une sorte de ruine beaucoup plus importante que les autres située, il me semble, au centre de la ville. Confiant, je me mis à courir pour l'atteindre au plus vite et m'en allez au plus vite de ce lieu putride.

Au même moment, des Acnocks l'observèrent et allèrent, par la suite, avertir le maitre des lieux de sa présence. Le maitre pris alors quelques précautions quand à cet aventurier qui osait pénétrer sur son territoire, en envoyant diverses fruit de ces expérimentations...

J'avançais en direction de ce redondant de ruine, en plein milieu de cette ville sinistre, mon arme serré contre moi, prêts à affronter d'autre ennemis. Je sentais une présence, comme si l'on m'épiait, d'ailleurs je me retournais à plusieurs reprises tant cette angoisse persistait, et bien sur il n'y avais rien. Ces chimères me hantèrent jusqu'au moment où j'atteignis la porte sinistré de l'imposante ruine. Scrutant les murs décrépis, les fenêtres en vrac, la charpente avachis, je me disais qu'il fallait être fou pour vouloir vivre dans un tel endroit. Puis d'un seul coup, les cris familiers vinrent me surprendre et elles se mirent à me faire face, nombreuses. Elles n'étaient pas comme les Acnocks, non celle-ci étaient différentes, elles possédaient autres choses mais je ne savais pas encore ce qu'elles avaient de plus. Ces bêtes là étaient d'une taille moyenne, un peu semblable à la silhouette que j'avais courser la veille, possédant les attributs d'un rat et alors tout fusèrent dans ma tête. Il ne faisait aucun doute que j'avais devant moi les cobayes d'expérimentations du maitre des lieux. Alors l'article disait vrai, alors il me fallait faire encore plus vite pour pouvoir sauver la fille au grand yeux bleu.

Les bêtes m'attaquèrent alors, je pouvais en compter cinq, elles étaient vives et rapides, bizarrement je ne savais pas trop ce que je devais faire. Fallait-il que je me batte contre elle en sachant leurs origines, ou bien les esquiver même si j'étais persuader qu'elle me suivrait dans ma course. Alors je fis le choix de combattre, en ayant la volonté de ne pas tuer mais de les assommer. Une première bête sauta sur moi, s'accrochant férocement à mon armure, d'un coup je tentais de la faire déguerpir quand les autres firent de même. Rapidement je me retrouvais encombrée, bloquer, comme paralysé.

C'est alors que les portes de la ruine se mirent à s'ouvrir dans un vacarme sans fin. Tous arrêtèrent de me tenir, j'en profitait alors pour me dégager de leurs emprises, et de là le personnage tant attendus fis son apparition. Une silhouette se tenait près de lui mais, dans l'obscurité, je ne pouvais en voir les traits précis. Le rat redondant se mit alors à me parler, tous se tuent en écoutant ses paroles comme des hypnotisés,

- Vous ! Nous nous somme déjà croisé si je ne m'abuse, vous me semblez très courageux pour venir dans une endroit comme celui-ci mais sachez tout de même que j'en suis le maitre et que vous feriez un sujet d'expérience très intéressant. Mais bref, passons les bavardages, je pense que vous êtes venus pour la récupérer non ? Alors je vous la laisse, elle ne m'intéresse plus...

Muet devant lui, je regardais le spectacle qui allait s'offrir à moi. Le rat s'écartait alors pour laisser passer la silhouette que je ne pouvais voir jusqu'à présent et l'horreur vint me submerger en la voyant. Toute les autres bêtes s'en allèrent au coté de leur maitre et je vis le visage de la petite fille au grand yeux bleu très clairement. Elle ne possédait plus grand chose de l'être humain, des parties animales étaient greffé à sa peau, une vilaine queue de rat gigoter étrangement, son visage...son visage resterait gravé dans ma mémoire. En effet, la moitié de son visage était couvert de cicatrice, de greffe de peau animale, seul l'un de ses yeux bleu avaient survécu au traitement. J'en tombait à la renverse, m'apitoyant sur mon sort, sur le fait de ne pas avoir pus la sauver à temps. Elle semblait vouloir dire quelque chose mais seuls des cris aigües purent sortir de sa bouche tuméfiés, en voyant comment elle était, je me mis à pleurer.

.....Va...val...vali......

Elle avait prononcer mon prénom une immense tristesse vint s'emparer de mon âme tourmenté , comme une épée en plein cœur. Je vis alors des larmes se dessinaient le long de ses joues et je fus persuadé qu'elle possédait encore une partie humaine. D'un voix triste, sanglotante, je lui adressais ces quelques mots,

-R..rose..je suis désolé, j'ai échouer, je ne pas venir à temps...... je suis désolé...

Je ne savais pas quoi dire, à genou devant elle, je me sentis coupable de son sort. Le rat se mit alors à ricaner en me voyant dans un tel état, et d'un seul coup il tendis quelque chose. Un objet sphérique, où quelques chose qui s'en rapproche, d'un rouge profond. Il prononçait alors quelques mots que je ne pouvais comprendre, et d'un seul coup, elle se mit à briller fortement, d'un flash psychédélique.

-Admirez le pouvoir de la sphère...

Un flash d'une grande intensité vint s'emparer des lieux, illuminants chaque recoins pourries de la ville souterraine. Tandis que je m'apitoyais, Rose, de sa sauvage silhouette, vint à ma rencontre, se baissant comme pour m'adresser quelques mots. Et d'un seul coup, elle me mit une claque d'une surprenante puissance ce qui me fit voltiger à plusieurs mètres,

"Argh !!!"

Le chef grossier ricana de plus belle en voyant ce spectacle, et il retourna dans son laboratoire avec sa bande de rats mutants, me laissant seul face à Rose. On aurais dit qu'il contrôlais les gestes de celle-ci, enfin de ce que je pouvais en voir car elle pleurais tout en me donnant des coups, choses diamétralement opposées non ? Je me relevais alors, me tenant à un mur, la peur m'envahissait peu à peu, que devais-je faire ? Je ne pouvais m'en prendre à cette petite fillette avec qui j'avais tissé quelques liens lors d'un repas, je ne pouvais décevoir ses parents qui comptaient sur moi pour la ramener, mais sous cette forme allaient-ils la reconnaître ? Je ne savais plus quoi faire, comment pouvais-je la sauver ? Peut-être qu'il existerait un moyen de la ramener à son état initial, peut-être en détruisant cet orbe malfaisant, qui contrôle toutes les expériences du Rator. Oui, en fait tout les problèmes venaient de cet orbe, j'en étais persuadé et il me fallais me le détruire. Alors mon regard changeât, la lueur de tristesse disparaissait peu à peu dans les méandres de mon âme tourmentée, tandis qu'une volonté féroce de sauver Rose et les survivants éventuels venait la remplacer. Pour le moment, il me fallait me "débarrasser" de Rose, pour la mettre en sécurité en attendant que je récupère cet orbe maudit. Une lueur sauvage illuminait son regard de rat, elle commençait peu à peu à sombrer dans la bestialité alors je fis vite.

C'est à ce moment-là qu'elle m'attaqua, contre songé à mon avis et nous échangions alors par la suite, attaque, parade, défense, de même qu'elle était équipé de longue griffes, attribut du rat sans aucun doute. Puis à un moment où j'eus l'avantage, grâce à mon expérience du combat je pense, je lui assenai un coup superficiel qui l'assomma sur le coup. Je la rattrapait alors, elle qui sombrait dans l'inconscience, et je lui soufflais ces quelques mots, si jamais elle pouvait m'entendre du moins.

"Je reviendrais vite pour te libérer.... en t'inquiète surtout pas "

Puis je me hâtais d'entrer dans l'antre du maître, afin d'en finir avec cette miséricordieuse histoire. Il devait être loin à présent mais rien ne m’empêcherait de réussir mon plan. Poussant vivement les lourdes portes, j'entendis les grincements familiers des rats, et leurs galops incessants sur le sol ternis. J'atterris en plein dans une grande salle circulaire où qu'un seul escalier prônait, étrangement, la trajet allait être très linéaire. Enfin, c'est comme ça que je le trouvais, à ne pas s'y méprendre. Dans cette salle circulaire il n'y avait rien de plus que des instruments tout aussi étranges les uns que les autres, comme une salle de torture en outre, et on pouvait sentir une forte odeur, dont je ne savais décrire tant elle envahissait vos sinus. Puis j'avançais vers l'escalier, qui semblait monter inexorablement jusqu'à un étage spécifique. D'un coup, les grincements retentirent dans la pièce et là, quatre expériences vinrent m'interpeller.

En garde, je les voyais entrain de discuter dans leurs jargons, et un détail me percutait, il possédait toute une lueur bleue claire dans leurs yeux de rats dégoûtants. Ils semblaient mettre au point une stratégie mais je n’en leurs laissèrent point le temps, alors que je plantais le fil de mon glaive dans le premier venus. Je ne savais pas si ils étaient encore humains mais leurs comportements primitifs ne laissaient aucun doute après examen. De leurs bruits de rats de laboratoire, ils m’attaquèrent tous d’un seul coup, je fus bousculé par terre, et blessé lorsqu’un vint me donner plusieurs coups de griffes, l’opportuniste va ! Je me débattais pour éviter de m’en prendre plein la tête, ainsi je donnais un violent coup de pied dans le ventre, il fut jeter loin le bougre. Aussitôt je me relevais pour refaire face et me battre, après tout ils n’étaient pas si forts que ça, juste un peu rapide. Les trois tournèrent autour de moi en essayant à plusieurs reprises de me lacérer, j’en bloquais plusieurs, mais au bout d’un moment, je ressentis des douleurs un peu partout, bref ils m’avaient bien blesser.

Dans un cris de douleurs, j’abattis férocement ma lame, la plantant dans le corps abjecte de la créature, leurs jetant des regards noirs, emplis de férocité, pour un peu j’allais leurs ressembler. Mais, comme s’ils avaient compris ce qui allait se passer, ils s’échappèrent, en montant l’escalier, peut-être pour aller rejoindre leur maître dans l’espoir d’être sauvé. Mais le pouvoir de cette sphère commençait vraiment à m’inquiéter. Je montais rapidement les escaliers, jusqu'à parvenir au « sommet » et face à une porte. Je l’ouvrit vigoureusement, dans un claquement infernal, et jeta un regard noir à la scène qui se passait devant moi.

« Vous allez arrêter vos conneries !!! »

Des éclairs bleus fusèrent de l’orbe dans une cadence démoniaque, des sortes d’éprouvettes géantes étaient dispersés sur les murs, et lorsque je vis de plus près ce qu’il en était, je fus stupéfait de voir que c’était les villageois disparues dont parlaient les journaux. Et le Rator, sacré rat tout de même, je me demandais même s’il avait déjà été humain avant. Il brandissait l’orbe à tout va, bien droit, au milieu du labo « rat » oire ; et comme il m’avait, il ne pus s’empêcher de me menacer. De plus je remarquais les rats de tout à l’heure qui l’observaient d’un œil hypnotisé.

« Toi !? Comment as-tu osé venir dans mon humble laboratoire, sais-tu ce qui l’en coûte de me chercher querelle !? Tu ne sais pas ce que l’orbe est capable de faire, crois moi, et je vais te montrer de ce pas toute sa puissance »

Bah déjà, je trouvais son discours très typique, comme tous ces fous de laboratoire qui pétaient leurs câbles et de plus son orbe faisait déjà des siennes, avec tous ses éclairs bleu partout, à en perdre la vue. Mais d’un seul coup, pendant que je pensais à ça, une ombre gigantesque plana au-dessus comme celle de la mort lorsqu’elle vous guette. Une voix se mit à parler, tandis que le Rator s’esclaffait,

« Hum, ce jeune guerrier me semble très courageux pour venir nous embrouiller, très bien nous allons voir ce qu’il vaut, n’es-tu pas d’accord Ratus ? »

« Oui, Orbus, ce mécréant vas prendre cher… MouAhAhAha ! »

J’étais bouche bée de voir que l’orbe était une entité à elle-même, mais qui semblait être scellé dans l’orbe. Néanmoins, le rat continuait de rigoler, jusqu’au moment où il arrêta d’un seul coup, me fixant d’un air sombre. Il commençait à s’approcher de moi, et je ne savais pas trop si c’était la perspective, l’odeur nauséabonde, ou l’effet de l’orbe mais il grossissait à vue d’œil. Au point de faire le triple du début, ses yeux étaient exorbités, jaunes perçant, féroce. Mon glaive bien tenu, je le brandis contre lui et dans un élan d’héroïsme je lui sortis ceci,

« Et bien, connais tu la fable de la grenouille ? Celle qui était jalouse de la puissance du bœuf qu’elle en gonfla pour devenir aussi grosse et qu’elle finit par en exploser ? A mon avis, c’est sans doute ce qui va se passer, crois moi ! »

Ayant en tête une fine stratégie, puisant dans mes forces, dans mon « sang », je fis apparaître un arc de Saphir, et décocha une flèche du même matériau grâce à mon pouvoir. Sans trop de précision, je sautais sur le coté pour éviter une rafale d’éclairs bleutés et tira plusieurs flèches à plusieurs reprises. Néanmoins il me fallais faire vite et l’animal était rapide, il en esquiva plusieurs mais l’une d’elle allait toucher sa queue, la coupant net. Le rator poussa un cri de douleur, je rigolais mais il me fonça dessus une nouvelle fois, l’esquivant une nouvelle fois, il s’encastra dans l’une de ses éprouvettes vides. Ma magie commençait à faiblir, je n’en avais plus pour très longtemps en usant de cette technique, alors je me mis à viser l’orbe qu’il tenait toujours fermement dans les mains. Telle une cible à tirer, je fermais l’œil gauche en m’appliquant pour viser tandis qu’il s’approchait de plus en plus. Une fois bien la cible saisi je lachais la corde de Saphir, souple et raide, et la flèche partis d’un seul coup. Transperçant les airs, fendant le vent en deux, elle atteignait pleinement sa cible et de profond éclairs s’éparpillèrent de partout, le Rator poussa un autre cris encore inhumais qu’avant, et une autre voix retentit,

« Moi Orbus je me vengerai !!! »

Une fumée bleue s’échappa alors de l’orbe, un bruit de vitre cassé retentit et il tomba en poussière. Le gros rat répugnant tomba à terre, inconscient mais pas pour très longtemps. Etrangement il n’avait pas repris sa forme originelle, il me fallait faire vite. J’entendis des appels à l’aide, et du mouvement dans les « tubes à essai », de là je fonçais vers eux et vis avec des survivants coincées dans une salle annexe. Mon regard virevoltait d’un coté à un autre à la recherche d’indice et je vis un gros bouton rouge, que je me hâtais d’appuyer. Les tubes s’ouvrirent d’un seul coup, laissant respirer les otages.

« Dépêchez vous de vous enfuir, nous avons pas la temps »

Chacun étaient affolés, mais ils m’écoutèrent tous en descendant les escaliers, je fermais la marche. Nous passions devant la bestiole, elle n’étais toujours pas réveillé, tant mieux, et je bloquais la porte pour ne pas qu’elle puisse sortir. Nous devions alors nous échapper par les tuyau d’égouts et de faire vite. Il y avait aussi Rose, que je devais m’occuper…

Chapitre VIII : Notre fuite, mon échec, sa famille…

Les survivants couraient à vives allures, il y en avait pour toutes les catégories, allant des enfants, aux vieux, au trentenaires. Le Rator en avait pour la diversité, mais pourquoi toutes ces personnes ? Et ces expériences ? Sans doute parce que c'était un détraqué, je n'allais pas tenter de m'immiscer dans un esprit tordu, dans les méandres de la folie. Nous étions entrain de nous enfuir, la chose la plus importante pour l'instant, mais il fallait que je vienne en aide à Rose. Ils ouvrirent alors les portes de la ruine et s'enfuirent à toute vitesse, seules leurs vies importaient à présent. Pour ma part le sort de Rose m’importait le plus, et il fallait que je la ramène à ses parents, même sous cette forme. Mais à mon arrivée, elle n'était plus là, pourquoi ? Où était-elle passée ? Je la recherchais partout, je ne me sentais pas vraiment bien, l'usage de mon pouvoir m'avait peut-être trop épuisé, mais je commençais d'or et déjà à remonter pour voir là-haut, dans ce laboratoire. En montant les escaliers il y eut une énorme secousse, faisant trembler toute la ville souterraine, le laboratoire commençait à émettre des bruits d'un peu partout, et je ne pus que rebrousser chemin, et vite car le sol commençait à se dérober sous mes pieds.

Et au moment où je me retournais pour voir la ruine s'effondrer, je vis la silhouette de cette fille aux grands yeux bleus, dans sa forme d'avant, une jeune fille qui me faisait signe par la fenêtre. Je fus horrifier de la voir à l'intérieur entrain de s'écrouler, par quel maléfice pouvait-elle être la dedans alors que j'avais pris soin de l'assommer ? La ruine s'effondra dans un vacarme assourdissant, un souffle de poussière me projeta un peu plus loin,

« Non ! Rose !!! »

J'allais voir dans les débris, soulevant férocement chaque partie, me donnant du mal mais rien, au bout d'un moment je finis par abandonner, c'est alors que j'entendis un souffle un peu plus loin. J'accourus vers le point spécifique, mais là, une énorme silhouette se souleva des pans de murs et de tube.

« Merde ! Pas encore toi, qu'as tu fait de Rose ! »

Je lui plantai mon glaive, sans qu'il ait le temps de réfléchir et lui lança un regard féroce, ampli de haine à cause de ce qu'il avait fait, de cette fourberie dans laquelle il s'était engouffré. Et, sans doute à bout de force, il tomba d'un seul coup, peut-être trop facile à mon goût mais je n'avais pas trop le temps de rester. Il fallait que je vérifie que les survivants aient réussis à remonter. Je remarquais alors quelques choses, les rats, oui les rats commencèrent tous à remonter, pourquoi ? Avait-il pressentis quelques choses qui traînaient encore dans cette ville, quelques choses de plus terrifiant que tous ce que nous avons pus voir jusqu'à maintenant ? Je n'en menais décidément pas large, la tristesse s'abattait sur moi, lourde et tenace. Je remontais rapidement les sinueux égouts, baigné une nouvelle dans l’obscurité la plus profonde, pendant un long moment. Je finis enfin par sortir et là, le choc, la lumière, la milice, des parents…

Ses parents étaient là, je ne savais que dire, libérer une dizaine de personnes et ne pas réussir à la sauver me mettait hors de moi, et je ne savais que faire à ces parents qui pleuraient de ne pas voir le doux visage de leur fille. Je tentais alors de trouver mes mots,

« Je…je…suis désolé, elle n’a pas survécu à ce monstre, elle…était….transform…. »

Mais ja peine avais-je le temps de finir ma phrase, que la mère vint me gifler, en pleurs, elle défoulait sa rage contre moi, rien de plus normal je pensais. Son père ne faisait rien, en pleurs aussi, il était empli de tristesse, à peine avait-il oser poser un regard sur moi. Sans un mots, je m'en allais, je ne voulais pas encore leurs faire du mal. La garde civile vint à ma rencontre et me proposais la chose suivante,

"Qu'est-ce qui c'est passer là-dessous !? Nous allons organiser une fête en votre honneur pour avoir sauver ces personnes, venez, nous vous décorerons"

"Je suis désolé mais je ne suis pas un héros, je n'ai pas réussis à tenir ma promesse, alors ne me décorais pas, honorez plutôt la mémoire de ce qui sont mort, à cause d'un Rat diabolique, ce sont eux qui en veuille la peine, pas moi "

Sur ce, je m'en allais de cette capitale qui ne m'apportais que sentiments : La tristesse, la haine de ne pas avoir réussis, mon échec...

~ Nouveaux faits dans notre affaire, en effet il semblerait qu'un homme ait résolus une partie du mystère souterrain, en ayant sauvé une dizaine de personnes en proie du Rator. Oui, nous vous parlons bien d'un Rator, devenue vraisemblablement fou à cause d'un orbe dont la garde civile aurait retrouvé brisée. L'homme aurait due être décoré mais il refusa ce privilège et nous citons ces quelques mots prononcées " Honorez plutôt la mémoire de ceux qui sont mort" et la garde l'écoutèrent. La cérémonie s'est passé hier, tout la capitale était réunis pour commémorer cet épisode lugubre, un édifice fut ériger en leurs mémoires et l'homme héroïque aurais disparu dans la nature, tel le vent qui souffle et disparais d'un seul coup. Par ces quelques mots nous remercions le courage de cet homme qui restera anonyme pour tout le monde~