Une simple rencontre ou une amitié naissante ? [Terminé]

Invité

Aprés avoir traversé la vallée des Mégalithes, Lalwendë avait continuer sont chemin vers la grande cité d'Equillios. Cela faisait plusieurs heures qu'elle marchait et commencait à se demander si elle n'avait pas réver cette ville. Le chemin en terre se transforma petit à petit en une allée de pierre rectangulaire, grises. Utilisant ces mains comme "jumelle", Lalwendë discerna ce qui semblait être une auberge au loin. Elle se raprocha et lu l'insigne accroché au mur:

"La chope en folie ... Drôle de nom"

Cette auberge était un ancien batîment fait de pierre. Tout comme le sol, elles étaient grises, poussiéreuses et sales. Les fenêtres étaient quend même en bon état mais les volets laissaient quand même à désirer. Le regard de Lalwendë se baissa et scruta la porte d'entrée. Grande, imposante, en bois d'un marron trés foncé, on la devinait résistante malgrés la vieillesse. La poignée était probablement en bronze et paraissait bien plus propre que le reste. De l'extérieur, l'elfe pouvait entendre des cris, des rires. C'était tés vivant et elle compris alors le nom de cette chope.
Notre elfe hesita un instant, étant solitaire de nature elle n'aimait pas le monde qui se trouvait à l'intérieur. Elle failli renoncer et entrer dans la ville trouver un endroit plus calme, mais l'envie de se poser au chaud fut plus grande. Elle posa donc la main sur la poignée, tourna celle-ci puis entra.
Lalwendë fronça le nez sous l'odeur de l'alcool et de la cigarette, et discerna une troisième odeur de nourriture du coté des cuisine se trouvant derrière le comptoir. L'intérieur n'était pas trés éclairé. Les coins de la pièces était les plus sombre et l'activité des gens se situait principalement au comptoir qui était baigné de lumières et de rires. Du moins avant sont entrée. En effet tous ces bruits avaient céssés une fois qu'elle avait passé la porte, tous les clients regardaient cette étrangère venu de nulle part. Certains chuchotements se firent entendre.
Devant tant d'attention, Lalwendë ésquissa un sourire en coin et émit un petit rire moqueur. Elle s'avança au comptoir. Le tavernier la fixait de ces petits yeux.

"Tavernier, serait t-il possible d'avoir un repas chaud et de l'eau?"

Cette question lui valu encore des regards curieux de la part des ivrognes du comptoir. L'homme lui répondu oui de la tête, et l'invita à s'assoir à une table situé dans un coin sombre de la pièce. Se retournant pour se diriger vers la table, Lalwendë senti une main se glisser vers ces dagues afin de s'en emparé. Elle fit volte face et se contenta de regarder l'homme de ces yeux noirs. Le regard glacial qu'elle lui lança suffit à le faire reculer et c'est sans un mot qu'elle s'assit à l'endroit indiqué.
En attendant son repas, Lalwendë avait commencé à griffoner sur du papier un journal. C'est alors que la porte s'ouvrit en grand, lui faisant faire une tache d'encre sur la feuille. Elle releva la tête afin de voir cette nouvelle arrivée.

Invité

Décidément marcher à pied ce n'était pas évident. C'était même agaçant à de se déplacer avec de sis petites jambes alors que les autres allaient plus vite. Souké n'était pas aidé non plus avec le coffre imposant pour lui sur le dos et aussi de la boue qui lui collait sur l'armure. Il revenait d'une expédition dans la jungle ancienne où il se fit passer pour un guide et emmena toute l'expédition dans divers pièges naturelles pour qu'il puisse s'emparer de ce coffre. Maintenant il devait se réfugier en ville histoire de se faire oublier quelques temps avant de reprendre son travail.
Soudain, le sol devint étrangement dur. Il ouvrit les yeux et vit du pavé. Du pavé !? Non mais ils se fichaient de lui? Avec le poids de son armure, de sa masse et du coffre ça allait devenir un supplice de marcher ! Il dût se résoudre à marcher ce qui l'énerva prodigieusement. Il marcha ainsi un certain temps avant de se redresser et de se mettre à hurler au ciel en brandissant les bras au ciel. Le bruit sourd que fit le coffre le fit exploser de colère. Ce coffre était si lourd que de le mettre sur le dos demandait beaucoup d'effort et juste à l'idée de devoir le re-soulever cela le mit hors de lui. Il se mit à courir autour du coffre en hurlant des choses incompréhensible avant de s'arrêter pour se saisir de sa masse et de gesticuler en tout sens. Soudain, il s'effondra sur le coffre à bout de souffle.
Il leva les yeux entre deux respirations quand il vit l'auberge. Elle tombait à pique celle là ! Il rangea son arme et remit péniblement son fardeau sur le dos pour aller vers la porte. Il l'ouvrit, après trois essais, à grand coup de pied ce qui eut pour résultat de l'ouvrir doucement ce qui l'agaça.

Tout le monde observa le nouvel arrivant. Personne n'avait encore vu d'être si petit, sale et aussi chargé.

"KOUEA? Z'avé zamé bu oun gobélin? Touéa ! L'obarge ! Zé gain ! Porté mouéa à mander !"

L'aubergiste le regarda sans comprendre un traitre mot. Les gens se mirent à pouffer de rire devant tant de difficulté à parler et encore plus quand ils le virent se déplacer si difficilement menaçant une ou deux fois de glisser avec toute la boue sous ses pieds. Soudain, Souké hurla et jeta par dessus lui le coffre qui alla s'écraser lourdement près de Lalwendë. Le gobelin démontra une incroyable vitesse pour sa taille qu'il traversa la salle pour attraper l'aubergiste par le col et lui colla son visage contre le sien.

"Mander !!! MANDER !!!"

L'aubergiste se dégagea devant l'immonde haleine de Souké qui mit les poings sur les hanches quand il aperçut du coin de l'oeil son coffre près de Lalwendë. Il sursauta et se jeta droit sur cette dernière en criant et sauta sur son coffre.
Ce dernier se tint sur la pointe de pieds, la masse levait au dessus de sa tête, la tête ridiculement trop en avant et les dents sorties.

"Ka ouche."

Susurra Souké qui sentit que sa position était assez inconfortable et qu'il allait bientôt tomber en arrière s'il restait ainsi.

Invité

Une créature entra dans l'auberge. Il était tout petit, pas plus d'un mètre cinquante, et avait une peau verte sur laquel il y avait une grosse armure qui devait peser un poid trés lourd. De plus il portait sur le dos un coffre énorme qui, d'aprés les difficultés qu'avait " l'homme " à marcher, devait être aussi trés lourd. Ces oreilles pôintu lui rappellait les oreilles d'elfe, et Lalwendë se demanda un instant si il pouvait avoir une parenté avec la race des elfes mais se ravisa devant son visage aux allures de monstre. La créature se mit à parler trés vite des paroles incompréhensibles ce qui eu pour effet de faire rire la plupart des clients. Il failli tomber à la renverse en tentant de marcher à cause de la boue qui parsemait ces pieds.

* Pathétique * pensa Lalwendë.

Elle se repencha sur sa feuille et tenta de continue d'écrire lorsque le coffre du nouvel arrivant vint s'écraser lourdement à quelques centimètres d'elle. Instinctivement Lalwendë sortit ses dagues et se mit en position de combat à une vitesse phénoménale, elle failli même en lancer une en direction de la créature mais se ravisa au dernier moment. Elle garda son regard fixé sur le gobelin qui c'était jeter sur le pauvre tavernier et lui hurlait dessus à s'en arracher les poumons. Notre elfe rangea ses lames, car cet adversaires n'était rien d'autre qu'un maladroit qui se faisait passer pour plus fort afin d'attirer le respect. Elle jeta un simple coup d'oeil au coffre et se rassie pendant que la créature, qui était d'aprés ces dires, un gobelin continuait de crier sur l'aubergiste. Le silence c'était fait dans la taverne et l'on entendait que les cris assourdissant du gobelin. Celui-ci se tu tout à coup , et regarda Lalwendë avec insistance. Et sans que personne ne s'y attende, il se mit a courir vers elle, brandit sa massue, et il s'arrêta juste devant elle, le corps en arrière sur la pointe des pieds.
Pendant ce temps, Lalwendë n'avait pas bougé d'un brin et regardait la créature avec une grande indifférence. Elle le regarda de haut en bas, puis voyant qu'il se tenait dans une position ou il était déséquilibré, elle eu un sourire moqueur et une lueur d'amusement traversa ces yeux. Elle se leva avec grâce, avança vers le gobelin et lui mit une simple petite tape sur le torse qui eu pour effet de le faire tomber sur les fesses. Elle regarda un instant amusé puis reprit sont masque rigide et ses yeux indifférent et glacial. Ellelui dit:

" Ne me dérange plus pour un coffre aussi futile, je ne serais pas gentille une deuxième fois"

Et elle se rassit comme si il ne c'était rien passé. Et dire qu'elle avait faillit se montré sympathique envers cette créature, heureusement qu'elle avait vite fait de redevenir froide, elle ne voulait en aucun cas se lier avec quelqu'un. Elle regarda le tavernier, qui s'empressa de lui apporter son plat, et pourtant elle ne toucha pas à son plat. Lalwendë était perturbé, cette chose avait réveillé en elle un sentiment de pitié. Elle qui voulait resté une coquille vide sans sentiments, voila qu'elle commençait à vouloir aidé ce gobelin qui vivait apparament une vie plutôt misérable.
Elle avait tenu se discours intérieur tout en fixant le gobelin qui n'avait pas encore bougé. Elle secoua la tête et se mit à manger, décidé à oublier cet épisode de sa vie.

Invité

Souké resta complètement penaud devant la grâce de cette personne. Il voulait faire descendre ses bras pour écraser ce visage mais la femme était d'une beauté surprenante ce qui le fit sourire assez bêtement, qui faisait penser à une grimace, quand elle le poussa. Il tomba à la renverse en tentant de se rattraper. Il voulut se redresser mais l'arrivée de son arme sur son pied lui arracha quelques larmes et rester muet ainsi qu'immobile. Cela lui permit de détailler cette femme très belle mais qui semblait être plus que humaine et cette façon de se déplacer ainsi que d'avoir les cheveux si... Une elfe ! Ca expliquerai bien des choses mais il y a un détail qui le chiffonnait. Soudain, la voix de l'aubergiste se fit entendre et Souké balança la tête en arrière pour le regarder. Plusieurs clients dirent à ce dernier de se calmer, que ce petit être s'était clamé grâce à la gente dame et que s'il ne se tenait pas à carreau ils le vireraient eux mêmes. Souké leur lança un sourire mauvais disant "Essaye gros nigaud" mais il les laissa dans leurs coins et se concentra sur la femme qui mangeait. Les paroles de cette dernière vint lui chatouiller les oreilles, comme si elle venait de les dire. Il haussa les épaules avant de se redresser tout en rangeant son arme. Il se hissa ensuite sur le coffre et se pencha sur ce que faisait la femme.

"Tou écriii kouéa?"

Il piocha sans se gêner dans l'assiette de Lalwendë tout en regardant et tentant de comprendre l'écriture de cette dernière. Difficile pour un illettré de lire quelque chose et encore moins quand l'écriture était si gracieuse. Soudain, il secoua l'elfe et pointa du doigt une partie du parchemin.

"Gosse gouche là !"

Il eut un hoquet avant de s'essuyer la main maladroitement sur son armure la rendant encore plus sale. Il l'a tendit dans un sourire hideux :

"Souké Faireme gante dameu ! Gour vos gervir !"

Il avait fait un effort colossal pour tenter de parler correctement sans trop hacher ses mots. Il s'en voulait de s'être emporter comme ça aussi inutilement envers elle. Mais aussi, étant seul, elle était sa seule alliée potentielle dans cet endroit si jamais ça tournait mal.

"Mouéa pis tendre caisse?"

Ca y est il avait trouvé les bons mots. Encore un peu de patience et il n'aurait plus son accent que tout le monde semble ne pas apprécier. Sans vraiment attendre une réponse, il se jeta sur la première chaise libre et l'approcha de la table et se hissa dessus. Malgré tout ses efforts, Souké devait maintenir la tête haute pour ne pas disparaitre sous la table. Il arbora de nouveau son sourire grimace à la femme.

"Tou air loin ikki? Et ké bêtement ké tou porteu... arf arf... zont sert zolies..."

Une torture de s'appliquer à parler normalement. Comment les gens font ils?

Invité

Lalwendë continuait à manger tout en relisant ces notes, apportant quelques corrections si nécéssaire. Elle entendait les remarques des clients, et entendit le tavernier dire au gobelin de se calmer. Mais qu'ils étaient faibles ces humains, impossible de faire les choses d'eux même, il fallait leur donné l'exemple.

* Encore plus pitoyable que le gobelin * se dit-elle.

Notre elfe avait à peine remarquer durant ses constatations que la créature s'était relevé et lui avait posé une question. Question auquel d'ailleurs elle ne répondit pas. Elle allait replonger sa fouchette dans son assiette lorsque " l'autre " lui piqua un bout de viande avec ces doigts sales. Lalwendë releva la tête, rouge de colère, c'est qu'il commençait à l'agacer énormément celui-là. Alors qu'elle allait lui répondr d'une réplique cinglante, il là prit de court et lui tendit la main d'un geste sympathique:

" Souké Faireme gante dameu ! Gour vos gervir ! "

La première réaction de Lalwendë fut le dégout devant cette main crasseuse tendu vers elle. Elle ne savait pas trop si elle devait donner son identité à ce personnage si bizarre. Puis son visage changea et c'est un masque dénué d'expréssion qui s'afficha lorsqu'elle lui répondit, le regardant droit dans les yeux:

" Je m'appelle Lalwendë "

Elle se retourna vers son assiette, poussa cette dernière dans un coin de la table et reprit ses feuille afin de continué à noter les évenements passé depuis son réveil dans le Mausolée des Anciens. Si son apparence extérieur donnait l'impression qu'elle se fichait de Souké, à l'intérieur elle était extremement chamboulé. Personne encore n'avait été gentil avec elle, à vrai dire elle n'avait jamais fait d'éffort non plus, mais jusqu'à présent, les gens avaient peur d'elle et avaient reculés dés qu'elle c'était montré désagréable et méchante. Cette amabilité la troublait, car elle n'y était guère habitué et ne savait donc pas comment réagir.
Quand à Souké il avait l'aire assez content qu'elle lui est répondu. Il lui demanda alors avec son accent si déplorable si il pouvait prendre sa caisse, Lalwendë le regarda et lui fit signe que oui de la tête. Pensant qu'il la laisserait en paix, elle continua d'écrire mais il l'a coupa de nouveau en essayant de faire la conversation:

" Tou air loin ikki? Et ké bêtement ké tou porteu... arf arf... zont sert zolies... "

Lalwendë le regarda avec des yeux rond ne s'attendant pas à une question aussi futile. Et en plus il éssayait de faire des effort d'éllocutions maintenant. Notre elfe mit un certains temps à lui répondre ne sachant pas quoi faire, soit elle mettait sa fierté de coté et pour la premièrement fois depuis longtemps aurait une vrai discution, soit elle partait sans rien lui dire. Puis elle pensa à ses recherches, si ce gobelin les ralentissaient, celà allait l'énervé au plus au point. Mais aprés tout si c'était le cas il lui suffirait alors de se débarrasser de lui. Aprés un long monologue intérieur, durant lequel Souké n'avait pas bougé, elle prit une decision qui allait peut être troublé ses projets:

" Viens assie toi. Je n'ai plus faim tu peut finir mon assiette. Ces vêtements sont dans ma famille depuis longtemps et ce que j'écris n'est rien d'autre qu'un
journal de bord. "

Elle avait prononcé ces mots sur un ton neutre sans aucune expression sur le visage.

Une simple rencontre ou une amitié naissante ? [Terminé] Notati10

Lalwendë Ilmarë : 3 xp
Souké Fairme : 2 xp

Rp clôturé pour non réponse

Les xps ont été attribués

» Une Amitié peut-être naissante et Perte d'un ami [Terminé]
» Une vielle amitié [Pv Pearla][Terminé]
» Folle amitié. |Kisa| [Terminé]
» Un duel pour l'amitié [Pv Michaëlis][Terminé]
» [Terminé] La suite, simple fin du commencement. [Arcania]