[Terminé] Nouveau but? [PV: Vali ]

Ah ! Que cela fait du bien d'être sur son cheval, entrain de trotter tranquillement sur un sentier battu, en direction de l'inconnue, et d'admirer les paysages qui se profilait devant moi. Parfois je caressait la douce crinière de Sleipnir, puis je lui parlais comme s'il pouvait comprendre mes quelques paroles, en l'occurrence je lui parlais d'un ami que j'avais en quelques sortes abandonné ici, aux monts Lunaris, avec un dragon. C'était une belle aventure où nous avions bien combattu, certes, pour ma part je me battais avec des moyens peu orthodoxe (je ne citerais car j'ai trop honte), puis nous nous sommes séparés, lui voulant apprendre certaines choses du dragons, alors je l'avais laisser.Mais je lui avait dit que l'on se reverrais un jour, et je pensais bien y retourner après avoir visiter la ville que j'apercevais en ce moment même

Sleipnir hennissait alors, comme pour me dire que mon histoire lui avait été intéressante, puis je me mis à galoper un plus rapidement pour lui faire faire de l'exercice, car depuis que je l'avais eut, il m'avait fait pas mal de bêtise et surtout au début En effet, il lui arrivait de m'éjecter de la selle d'un seul coup, comme ça, et de temps à autres, lorsqu'on volait, il faisait des pirouettes ou se retourna d'un seul coup, puis me rattrapais en vol. Mais heureusement a force de le chevaucher il commençais à bien m'aimer.

L'entrée de la ville n'était plus qu'a quelques galops, et d'un seul coup je vis une silhouette super familière entrain de déambuler un peu partout, et ces appels à l'aide me disait quelques choses. D'un seul coup, dans ma chevauchée fantastique, je m'arrêtait devant lui et descendit aussitôt.

"Vaiarii mon néko favoris !"

Mais le moment était mal-choisit car il avait la tête qui brulais, sans faire de jeu de mot, je regardais aux alentours et je vis une sorte de draps bizarroïde, alors je le saisis d'un seul coup et alla le frotter pour éteindre le mini incendie. Que le hasard fait bien les choses quand même, se retrouver comme ça alors que je venais pour aller prendre des nouvelles, et bien sur visiter les quelques villes qui pouvaient s'offrir à moi. Et puis je pourrais toujours en profiter pour me renseigner dans le but de la confrérie, trouver des avantages pour les batailles futures, et puis Jolène me féliciterais peut-être pour le travail que j'ai fournis, et peut-être que j'aurais un place plus importante au sein de notre meute, mince je m'emballe un peu de trop parfois, il faudrait que j'arrête d'être aussi ambitieux, ça me jouera des tours un jour

Ah c'était assez drôle de le revoir comme ça, comme quoi le hasard faisait bien les chose, bref je voyais à présent le néko faire mu-muse avec ses oreilles, quand je veux dire faire mu-muse, il vérifiait si elle s étaient encore intact, puis il se retourna vers moi, et déclara,

-Merci de votre aide...vous êtes qui?

Quoi !? C'était la réaction que j'avais, en espace de quelques temps, peut-êtres des jours, des semaines, on ne pouvait pas oublier quelqu'un qui vous sauve la vie comme ça ! Mais en vérité le petit fourbe me faisait une petite blague et il finit par me rassurer. Je le regardais alors d'un oeil perplexe, scrutateur, pour voir s'il avait changer quelques choses chez lui, mais étrangement, à part sa petite tenue légère, rien n'avais bouger, alors je me demandais ce qu'il avait bien pus apprendre avec ce dragon "semi-castré".
Alors Vaiarii m'entraina en ville, surement pour boire un petit coup, ça m'aurais pas fait de mal en ce temps si chaleureux, en plein après midi.Je passais alors devant les gardes sans trop me soucier de déposer mon cheval aux écuries de devant, je ne voulais pas m'en débarrasser, surtout qu'il m'étais très précieux. Nous arrivâmes alors devant une auberge, la première venue, alors ce fut à ce moment-là que je l'attacha à un poteau. Je remarquais que Sleipnir faisait forte impression parmi les passants, normal avec ses quatre belles paires de pattes, mais je le caressa pour le rassurer et j'éloignai les quelques enquiquineurs. Je suivit le néko à l'intérieur, et, sans plus tarder j'allais m'installer à la table près de la fenêtre, pour avoir un œil sur ma monture.

Puis je sme mis à regarder les alentours, et je trouvait l'ambiance assez sympathique, je voyais quelques serveuse, assez sexys, faire leurs travail humblement, alors je levait ma main pour appeler l'une de ses merveilles, et je leurs demandait de me servir une boisson, n'importe laquelle me suffisait, et je regardait le néko,

"Tu veux une boisson je te la paye !!!"

Puis ensuite, je la regardais repartir et je me retourna vers le néko,

"Elle sont mignonne tu ne trouve pas ? Bref conte moi tes aventures avec le dragon que tu as eu depuis ?"

ET oui, ma curiosité prenait le dessus et je ne pus m'empêcher de lui demander...

La joli serveuse vint alors nous apporter notre boisson, j'aurais bien voulus tâtonner, draguer un peu mais à mon avis le bar là devait être connue pour ses services payants alors j'abandonnais vite l'idée pour me concentrer un peu plus sur le sympathique néko et ses aventures avec le dragon masqué.Nous rigolâmes alors, du fait de ce que je lui avais dit, comme si on était potes depuis toujours puis il me parla de lui,

-Détrompe toi, j'ai pas eu "d'aventures" proprement dit jusque ici, j'ai juste appris quelques trucs par ci et par là, dit en pour garder le mystère, d'ailleurs, je vais pas rentrer dans les détails, mais si jamais l'envie te prend un jour d'apprendre de la magie, adresse toi au dragon qui s'en occupe.

Oh, dommage j'aurais bien voulus apprendre des choses plus alléchantes, style, comment c'est de vivre avec un dragon ? Ou encore d'autre chose, mais bref, je ne pus réprimer une petite mimique qui montrais une petite déception. Je bus une large rasade de ma petite boisson, histoire de m'hydrater puis j'écoutais Vaiarii me parler a propos du dragon et de ses liaisons avec les affinités, ou un truc dans le genre. Puis après cette discussion, il passa directement à autre chose, pour ma part je regardais toujours les mignonnes serveuses faire leur besogne, et il ajouta,

-D'ailleurs, tu connais ce bar? Il est connu pour ses donneurs de quêtes, regarde bien les gens un peu bizarres, c'est eux qui donnent des boulots. Je suis là donc pour travailler et re-gagner un peu d'argent honnêtement. Je te force pas la main mais..ça te dirais de venir avec moi? Je pourrais voir comment ta évolué depuis ces derniers mois.

Sa demande ne me gênait en aucun point, et puis si jamais on s'étaient revus juste pour discuter un peu, ça aurais été dommage, et puis un peu d'aventure ne me faisait pas de mal. Je regardais alors dans la salle pour voir si il y avait des types bizarre qui donneraient du boulot, mais Vaiarii me souffla quelques choses qui me fit bien rire par la suite,

-Ah et le dragon t'en veux à mort pour ce que tu lui as fait. Heureusement que chez eux ça repousse

-Quoi !? Sa repousse chez eux, il faudra que l'évite si je le croise, et je suis okay pour la quête, je te montrer à quels point j'ai changer, déjà j'ai un beau cheval à huit pattes

Ainsi j'avais donner mon accord, et qui sait, peut-être qu'on pourrais se faire un petit duel plus tard dans le journée, histoire de déconner. Mais pour ce qui est du dragon , c'était très choquant...

Mon ami avait l'air surpris par ce que je venais de lui dire, peut-être que mes progrès étaient fulgurant et qu'ils se voyaient déjà, mais bon, je penchais plutôt au fait que j'eus une monture à huit pattes, Sleipnir. Je rigolais doucement en voyant son visage grimacer, puis il reprit sa petite mine sérieuse en se levant de table. Il me fis signe de rester assis, confortablement, alors je l'écoutais et but ma petite boisson, tranquillement. D'ailleurs, tandis qu'il faisait son tour dans la taverne, je fis signe à la serveuse de venir; pour passer commande bien sur.

"Belle demoiselle, pouvez-vous me remettre la même chose s'il vous plait ?"

La serveuse eut un petit rire gêné, puis s'en allait exécuter sa commande. Je la regardais de nouveau partir, puis je me concentrais un peu plus sur le néko. Fouillant la salle du regard, je parvint à le retrouver, et bizarrement je voyais des gars au x aspects très belliqueux le fixait du regard, on aurais des vautours fixant leurs proies d'un œil affamés. Puis le néko revint vers moi, une pile de papier entre les mains. Je me demandais alors quels contrats allait-il énoncer ? C'est alors qu'il lut les fiches et par la suite, m'en fis un bref résumé,

-Bon alors, on a le sauvetage qui me semble plus juste, mais qui rapporte moins, et l'exécution qui est purement pour l'argent. T'en penses quoi? Personnellement les deux me vont donc va falloir trancher.

Il était vrai qu'une mission de torture était tout à fait saugrenue et malveillante, mais les deux autres semblaient plus intéressantes. L'offre du noble me paraissait bien juteuse, intéressante et bien payé mais l'autre semblait plus importante. Oui, un sauvetage rapportait plus de notoriété, et bien sur, de la gloire et des remerciements. De plus sauver un enfant était plus courageux que d'exécuter un mécréant pour le solde d'un noble. Alors je lui répondit ces quelques mots,

" Bien, alors j'opte pour le sauvetage, c'est plus sain et c'est plus honorifique qu'un vulgaire assassinat à la noix "

Puis la serveuse revint avec ma boisson, et un petit mot que je pensais être très poétique, mais que j’allais lire un peu plus tard, si je n’oublie pas. D’une seule traite, je bus le liquide brûlant, qui m’enflamma la gorge une énièmes fois. Ayant donné ma petite réponse, j’attendis en regardant un peu partout dans la salle, qui devenait étrange et distordus…

Quelle boulette avais-je fait en disant « Assassinat à la noix » à mon acolyte, en effet je ne savais pas que c’était son ancien métier. De plus, mise à part sa faux létale, je n’aurais jamais crus qu’il faisait partis de cette catégorie, enfin bref, le neko me lut l’article un peu plus en détail. Des brigands qui kidnappent un petit gosse aux yeux verts, et qui résideraient dans la forêt. Je trouvais le contenu un peu maigre, il nous faudrait remuer ciel et terre pour les retrouver et Vaiarii semblait du même avis que moi. Je divaguais un peu, la salle tournait lentement, peut-être trop d’alcool, mais bon, la nuit était tombé et il fallais bientôt allez nous coucher. Je vis Vaiarii se levé une deuxième fois, sans doute pour aller réserver des chambres mais je vis qu’il mijotais quelque chose avec la belle serveuse. Elle rougissait tandis qu’il revenait vers moi.

-T'as la chambre trois, dors et on se retrouve demain, il se rapprocha un peu, la serveuse à l'air assez mignonne et plutôt intéressée, tu devrais y aller avant qu'on te piques ta proie.

Je ne pus réprimer un petit sourire à cette déclaration. Sans trop tarder, je me levait de table et alla voir « ma » serveuse. Après quelques mots soufflés à l’oreille, nous montions dans la chambre trois. Adressant un dernier regard à Vaiarii, et mon pouce levé, je lui souhaitai bonne nuit. Une fois la clef en main, je ne tarda pas à ouvrir la chambre, et je ne dévoilerai rien de ma nuit, soyez en sur et certain. Mise à part que j’allais bien dormir au coté d’une si charmante demoiselle. Une bonne nuit en perspective.

Le lendemain matin,

Le levé me parut bien douloureux mais tranquille dans mon lit, avec quelqu’un à mes cotés. Je sortis discrètement du lit pour m’habiller et ensuite descendre au rez-de-chaussée, histoire de bien me réveiller. Ainsi je quittais la chambre sans faire de bruit, et descendis boire un café, prêt à commencer notre quête indécise...

Hrp> Désolé assez court mais je préfère pas détailler xD

Je me passait la main dans les cheveux dans le but de les délier, et paraitre plus raisonnable à mon compagnon d'aventure qui buvait tranquillement son café. Il avait des drôles de yeux, bien cerné et foncé, que je trouvais excellent tellement ça me faisait penser à quelque chose mais bien sur je ne savais quoi. Je pris alors la même chose que lui, un café bien serré me faisait le plus grand bien le matin surtout après une nuit comme j'avais passé. D'un drôle d'air il me parla, me prévenant qu'il n’avait pas assez fait dodo, alors je me disais qu'il fallait y allez mollo, et puis moi aussi j'avais la tête amorphe. Le soleil pointait à travers les fenêtres de la taverne, illuminant toute la salle, vide d'ailleurs. Tranquille assis sur ma chaise je buvais mon kawa quand tout à coup il me prit par la manche, j'étais vraiment surpris par cette soudaine activité. Par la suite nous sortîmes de la taverne, l'air frais nous faisait du bien, et j'en profitais pour en prendre une bonne bouffée. Je voyais un homme de l'autre coté de la rue, que je trouvais étrange mais Vaiarii m'avertis à ce sujet.

-J'ai fait appel à une vieille connaissance, essaye de ne pas lui parler, il a la mèche courte et même si il a l'air de rien, il pourrait nous latter en deux ou trois mouvements.

Sans rien dire je le suivais, avec un regard méfiant pour cette personne. Le neko vint lui serrer la main, et un noir volatile vint se poser sur son épaule. Je trouvais cet oiseau très charismatique en générale, il apporter une touche sombre que je trouvais excellent dans certain situation, mais peut-être suis-je trop bizarre. J'allais lui serrer la main, pour paraitre poli et mon visage pris un sourire sympathique, bon on pouvait le juger un hypocrite mais n'étais-ce pas le cas de tout le monde lorsqu'il rencontre une nouvelle personne ? Puis mon collègue revint vers moi, l'oiseau toujours sur son épaule,

-Voilà notre éclaireur, il appartient à l'homme et tant qu'il est avec nous j'te conseille de ne pas laisser glisser des informations personnels....cette petite bête raconte pas mal de choses.

- Okay merci de me prévenir, disais-je en rigolant, et bien nous ne devrions pas trop avoir de mal pour le retrouver ce petiot avec lui

L'oiseau donnait comme une réponse pour affirmer ce que Vaiarii m'avait, je ne pus m'empêcher de rire, cette fois un rire sincère. Puis j'allais prendre ma route lorsqu'on me demanda, gêné quelques chose. En effet, je pouvais accueillir Vaiarii sans trop de problème, surtout avec Sleipnir, et je pense qu'il voudra bien le prendre avec lui. Alors j’acquiesçai, et je rajoutais de plus,

-Pas de soucis, tu vas voir c'est impressionnant de le monter et de plus je te ferais un petite surprise.

En effet, je ne sais pas si je l'avais déjà dit mais mon chwal pouvait galoper autant sur la mer, que dans les airs et ce serait une bonne surprise pour Vaiarii. Puis je me dirigeais vers l'écurie pour aller chercher le "phénomène", doucement je le chuchotais à l'oreille la requête de mon ami et celui-ci me répondit qu'il était d'accord, bien sur le langage entre mon cheval et moi était tout un art mais voila il était d'accord. Je le montais alors avec agilité, puis je sortis dehors jusqu'à les rejoindre. Sleipnir pouvait montrer toute son ampleur, sa somptuosité de ses huit pattes, et sa crinière de flamme.

-Vas tu peux le monter, il est d’accord

J'attendis alors qu'il vienne à mes cotés, et j'attendais en quelques sortes les ordres qu'il fallait faire, si jamais on devait attendre que notre éclaireur ait trouvé le camp, où si in continuais notre route...

Enfin notre quête commençait, ainsi monté sur mon cheval, je sentais que Vaiarii n'aimait pas trop ce genre de monture, et une détail dont je me souvenais en particulier : Sa peur des araignées . Et Sleipnir avait ses belles pattes m'y faisait sérieusement pensé d'un seul coup, enfin bref le néko monta derrière et pris une initiative. Celle de taper au cul du cheval pour le faire avancer, et pour sur, la belle bête avançât. Énergiquement, la monture galopa en suivant de près l'oiseau qui voguait dans les airs comme éclaire ténébreux. Les sangles entre mes mains, je donnais des acoups pour le faire accélérer histoire de faire un petite course afin de le rattraper. Bien sur, je faisais attention à mon invité, et je ne que rigoler. En effet je jetais quelques regards discrets pour voir comment et c'est en voyant sa mine toute stressé que je ne pus m'empêcher de rire, à grands éclats en plus.

"Ne t'inquiète pas Camarade, attend de voir la suite "

Le noir volatile prenais plus de hauteur et c'est à ce moment que je me dis qu'il fallait utiliser l'atout de Sleipnir. Je lui caressais la crinière, sans aucun mal, puis lui donna un ordre, celui de prendre son envol. Sans trop de mal il secoua la tête, et ses sabots commencèrent à glisser sur l'air dense. Nous primes alors la hauteur prévu mais je ne pouvais voir la tête de Vaiarii, car il me fallait être prudent dans ce genre de situation. Je suivais du regard le corbeaux, le suivant de près, en tournant de gauche à droite de temps à autres, montant, descendais quelques échelons dans les nuages. L'air frais nous fouettais nos visage, quelle délicieuse sensation que celle-ci. Puis le corbeaux se mit à croasser furieusement, signe que nous devions être arrivé. Dans la cohue du ciel, je criais au Néko que nous étions arrivé à bon port même s'il devait sans douter.

"Et voila ! Alors ça t'a plus ?"

Une fois à proximité du camp, discret, et caché, je tentais de prendre des nouvelles de ce voyage assez magique je pensais. Une fois terminé, je repris mon sérieux et regarda d'un oeil observateur le camp des bandits. Entouré d'une faible palissade, en bois piqué, on pouvais voir deux gardes entrain de discuter alors qu'il devait sans doute monter la garde, décidément les bandits sont très dépourvus d'intelligence et de ruse.Me tournant vers Vaiarii, je demandais à voie basse,

"Bon que devons nous faire à présent, foncer dans le tas ou choisir la discrétion pour avoir l'initiative ?"

Je regardais s'en aller le petit néko, tout tranquille, d'ailleurs je commençais à en ricaner mais d'un autre coté à en avoir peur. En effet les gardes le regardaient d'un air curieux, puis après un moment de confusion ils se mirent à rigoler comme des tordus. S'engageait alors une petite discussion entre eux que je ne pus entendre correctement, seulement quelques bribes malheureusement. Je ne savais pas trop ce qu'il fallait faire, pour ma part j'aurais fait dans la discrétion, dans le finesse mais bon maintenant c'était un peu loupé. Je regardais la scène attentivement, dans mon coin, à l'abri des regards. Puis je vis Vaiarii faire des grands, être violent et....défoncer la porte d'entrée.

-Ou est le gosse?!!

Ben voila c'est, à mon avis, le moment où je devais intervenir il ne faisait aucun doute. Adressant un regard déterminé à Sleipnir, je sifflais, il galopa à toute vitesse, le vacarme de ses huit belles pattes. Ni une, ni deux je me mis en selle sur lui, et nous sautions le mur, en direction des gardes. Une forte adrénaline commençait à monter en moi, ah quel aventure !

"On y va Sleipnir ! On va leurs montrer de quoi on est capable !"

Il me répondit de la tête, en la secouant verticalement. Je dégainai mon glaive sur le coté, prêt à attaquer, et Sleipnir aussi. Les gardes réprimèrent leurs petits sourires culottée à ma vue. L'un deux décocha une flèche que j'esquivai rapidement, je le tranchais alors, d'une rapidité incomparable, il tomba d'un seul coup. L'autre pris alors les jambes à son coup, vers son refuge de garde. D'un galop furieux j'arrivais vers Vaiarii, entrant dans le camp de bandits pourris, en même temps je lui chuchotais ces quelques mots,

"Et bien, c'est maintenant que ça commence, camarade !"

Puis je sautais de mon cheval, en prenant soin de lui dire de se mettre à un endroit protégé. Celui-ci s'en alla dans son coin, après tout il me suffisait de siffler pour qu'il vienne à moi. Enfin, au coté de Vaiarii, les bandits commencèrent à nous encerclé, je me mis dos au néko, prêt à me battre. En même temps je me demandais où était le gamin, auprès du chef ? Où ? Enfin bref, ils nous fallait à présent des bandits incompétents. Leurs camps puait n'empêche, une forte odeur de rustre parsemait les quelques pans de territoire, quels puanteur ! Je ne pensais pas qu'il sentirait aussi fort, ou alors c'est une caractéristique de leur chef ? Nous allions peut-être le savoir...

Oui, le chef arrivait, face à moi, un casque à corne sur la tête, un air ahuri sur son visage massif. Tandis que Vaiarii courait voir l'enfant, il fallait que je m'en occupe, pour sur, déjà que l'effet du pouvoir s'en été estompé, il fallait faire au plus vite pour en être débarrassé. Mon glaive tendu à l'extrême, je le pointais avec violence face à l'être qui ressemblais à un porc, oui un vrai porc comme tout les bandits présents ici. Je luis dis quelques mots, de la même violence,

"Rend-nous l'enfant avant que je ne t'égorge comme un vulgaire cochon !"

Bon, je faisais un peu fort en sachant que le village était rempli de bandits, mais bref, je pensais que si je me débarrassais du chef les autres se rendraient aussitôt.Alors nous entamâmes notre duel, moi et le chef. De sa grosse hache, il m'assenait plusieurs coups tandis que les bandits lui portaient euhporie. Je me croyais comme dans une arène, un combat de gladiateur en somme mais je n'allais pas me laisser faire, je lui renvoyais les coups uns à uns.Au bout d'un moment, sa fougue primitive commençait à disparaitre tandis que je lui rendais toujours les coups. Puis il lacha son arme, et ce fus l'instant du coup de grâce. Mais à ce moment, un doute me surpris,

"Vaiarii que fais-tu bon sang !? As-tu le gosse ?"

Il fallais que je sois sur de notre réussite, ensuite je n'aurais plus qu'a appeler ma belle monture, et même pas besoins de me débarrasser du chef fatigué. Tout du moins, si l'agile néko me répondait...

Hrp> Bon j'ai fait un peu n'importe quoi, mais je voulais faire quelques test, pour ajouter un peu de fun xD

-Papa!

Ma lame fut écarter par le jeune garçon qui courut s'affaler sur le bandit puant. Béat devant une telle scène, je ne savais que faire, je regardais Vaiarii d'un air totalement abrutis, les lèvres tremblantes de plus. Je scrutais chaque élément du garçon, dans les moindres détails, et je ne pus me résoudre à y voir exactement la même description que dans la fiche.Et maintenant je passais pour quoi !? Le grand méchant qui allait trucider un père bandit tout moisis !? Je remballais un petit peu mon arme devant un garçon totalement en pleurs, c'était une scène pleine de....compassion et de pitié. Vaiarii se rapprochais de moi, pour me chuchoter,

-La...c'est la boulette.

-A qui le dis-tu ! On fais comment maintenant, on tue le père et on ramène le môme ou on s'en va ?

Bref, me tapait des bandits à longueur ne me plaisait guère, et faire du mal comme ça n'était pas très noble. L'affiche pour cette mission me semblait pas très honnête aussi, ils nous faudrait d'ailleurs mettre les idées aux claires. Puis en voyant que les bandits se renfrognés, montrant leurs dents jaunis, trouées et leurs armes pointées sur nous, je ne pensais qu'à une solution, m'enfuir. Mais avant cela, je tentais de calmer le jeu même si cela semblerait futile,

-Désolé mais j'aimerais savoir quelque chose ? Vous êtes son père, alors pourquoi l'avoir kidnapper !?

J'attendais une réponse mais le gros bonhomme n'en fis aucune, seuls des échanges de pleurs avec son fils résonnaient en cadence. Alors devant une telle scène, l'émotion me prenait, montrant que je n'étais guère insensible, j'en tapotais même à l'épaule de mon cher compagnon, en lui murmurant quelques mots,

"Ta vu ça si c'est pas beau, je crois qu'on s'est trompé, faudrait mieux se tirer d'ici en vitesse avant que nous coupent les bijoux de famille si tu vois ce que je veux dire"

En même, j'usais du langage des gestes, certes incongrues pour lui dire que je pouvais faire appel à mon fidèle cheval pour nous déguerpir de là. Mais bien sur, je me demandais s'il allait accepter mais au vu de la situation il n'avait guère le choix, enfin c'est ce que je pensais, après libre à lui de courir pour s'enfuir...

Ah quelle merveilleuse situation, enfin....euh ironiquement parlant bien sur, car se retrouver au milieu d'un tas de bandit tout moche et puant, surtout le chef, ce n'étais pas très joyeux.Les moches, d'ailleurs, s'éxcitaient tous avec leurs sabres, épées, machettes, et je pouvais même en voir certain qui la léchait goulument. Beurk, quand on imagine ce qu'ils tuent avec, ils pourraient choper des maladies, que je ne citerais en aucun cas. Enfin bref, j'avais fait signe à Vaiarii comme quoi on pouvait faire appel à Sleipnir mais celui-ci eut une réaction....très surprenante ! Couché par terre il gueulait ceci,

-Nooon! Pas le cheval! Tout sauf le cheval!! Je préfère crever ici!

Dépité, la main sur le visage comme pour cacher ma désolation, je me disais que parfois il faisait expère de faire le pitre et que l'entrainement du dragon ne l'avais pas aider dans le cas-là. Puis le néko fit une intimidation au chef, ce qui me fis éclater de rire, vraiment ! Ensuite après quelques mélimélos, nous reculions jusqu'à l'entrée, pour échapper aux bandits sanguinaires.Nous courions alors le plus vite possible, jusqu'à, pour ma part, tomber par terre. Et le néko repris,

-Rien à péter, j'ai l'habitude de courir donc va avec ton cheval et on se rejoint à la ville. Je t'assure qu'on va retrouver les employeurs et ça sera la fête pour eux.

- Ouais carrément, on vas les massacrer ce qui nous ont balancer ça, ouais à fond ! Et tant pis pour toi, avec mon chwal je serais là-haut en pas longtemps, j'en profiterais pour boire un coup hé hé, et peut-être revoir cette serveuse.

Après ça, je sifflais pour l'appeler, et s'en suivit son galop merveilleux, et ses farouches hennissements. Je me mis en selle rapidement et me mis en route, en même je saluait Vaiarii pour me moquer un peu de lui par la même occasion d'ailleurs. Nan mais, mon cheval est le meilleur et je...l'aime beaucoup. Et puis une balade dans les airs faisait toujours du bien mais bizarrement une image me vint à l'esprit, celle de Lukas Ventis, mon bièvre coéquipier au tournoi que j'avais fiat il y a peu, mais pour quels raisons, j'attendis la réponse mais rien, alors je continuais mon chemin comme si de rien n'étais. Parfois mon cerveau part en sucette, enfin je crois...

Galopant sur mon cheval je rejoignais rapidement la taverne pour allez m'enquérir des raisons du contrat et voir pourquoi il y avait eut ce problème. Oui, les raisons du pourquoi du comment, et surtout pour savoir si la quête était honnête ou non, moi qui voulais faire une mission un peu plus noble que celle de d'habitude c'était assez raté. Bon sang, le gosse était le chef d'un bandit tout crasseux qui ne semblait pas faire de mal à son enfant, qui prenait soin alors pourquoi avoir faire une mission, pour quelles obscures raisons ? Pour rendre furieux les malheureux bandits ? Ou tout simplement pour faire une adoption clandestine ? Comme c'était rageant de se faire tourner en bourrique comme cela, nous prendre pour des imbéciles, moi et Vaiarii. Si jamais celui qui avait donner cet ordre de mission n'avait pas de bonne raison je pense que je lui ferais sa fête, oh oui.

Mais pour l'instant, j'avais une soif d'enfer, et il me fallait une petite chope pour me désaltérer. J'accrochais alors une nouvelle fois Sleipnir dans l'écurie, lui caressant un petit la crinière, lui murmurant à l'oreille que je reviendrais vite mais celui-ci secouait vigoureusement la tête comme s'il en avait rien à faire, quel bougre de cheval tout de même ! J'entrais alors dans la taverne, la populace n'avait pas changé depuis tout à l'heure, avec les donneurs de quêtes et leurs regards perçant, et les joyeux alcooliques qui s'amusait à jouer à des jeux typiques d'ici. J'allais au comptoir, commander une boisson au barman, puis je fouillais du regard pour voir si cette charmante servante était toujours là, pour voir comment elle allait et si elle m'avait bien aimer...euh nan mieux vaut pas parler de ça en publique ! Le barman me donna rapidement la petite chope gourmande, que j'avais prise bien en main.

* Bon que fait-il ? Si seulement il avait accepter de monter sur Sleipnir *


Puis je repris une autre gorgée de la fameuse bière, pour aller ensuite fouiller une nouvelle fois du regard la pièce, mais je ne l'a voyait toujours pas, alors je n'espérais plus. D'un seul coup, le familier Néko rentra dans la taverne, crevé, exaspéré, lessivé, et je trouvais ça assez marrant, mais peut-être suis-je un peu sadique. Il s'affala alors contre la chaise et tentait de reprendre son souffle, puis après d'un moment, il put me parler,

--Y'a l'employeur au fond. Va prendre les informations qu'il faut pour retrouver ceux qu'on cherche.


Il me donnais des ordres !? Bon après tout, le pauvre avait couru pendant pas mal de temps, je pouvais bien le faire et puis je pourrais sans doute leurs mettre mon poings dans leurs figures s'il n'avait de bonne raison. Je me levait alors de ma chaise pour faire le tour des escrocs, oui maintenant je trouvais qu'ils ressemblaient tous à des escrocs et me dirigeais vers l'un d'eux qui me semblait pas mal. Mais d'un seul coup, qui je voie, ma douce et charmante serveuse, ah comme elle était belle. Sans perdre de temps j'allais la voir, mettant de coté ma mission. J'arrivais alors face à elle, et j'allais la serrer dans mes bras quand tout à coup, elle me donna une baffe, violente et sanglante.

"Mais qu'ai-je fait de mal !? Pourquoi cette gifle ?"


Alors, de ses yeux tout emplis de tristesse, elle me répondit cela,

"Tu m'as abandonner, seule dans mon lit, tu couche avec moi et ensuite tu repars, tu sais je ne suis pas comme ces vulgaires filles dans la rue !"


A ces mots, je ne savais que dire, quoique j’aie une mission à faire mais le simple fait de donner des explications m’ennuie, alors je lui répondis sans trop d'inspiration.

« Désolé mais j’étais assez pressé, donc voila, mais en aucun cas je ne te prenais pour un futile objet »


Une expression venait se mettre sur son fin visage mais elle ne répondit pas, pire même, elle s’en alla, m’ignorant à présent. Alors je m’en allais d’elle aussi, comme un solitaire pour reprendre ma petite mission. Au fin fond de la taverne, je voyais l’employeur, déjà avec son air bizarre, puis avec quelques mimiques étranges. Sans aucune vergogne je l’abordais avec ton furieux,

« Votre mission n’est pas très honnête monsieur ! Puis-je savoir pourquoi le gamin que nous avons vu dans le camps des bandits était vraisemblablement le fils du chef lui-même !? »


Mais l’homme ne répondit pas, et moi, je regardais Vaiarii avec un air perplexe comme pour lui montrer qu’il y avait un problème. Soudain l’employeur pris les jambes à son cou, me laissant dans la surprise la plus totale !

« Où allez-vous !!! Revenez ici ! Vaiarii, il faut le choper ! »


Oui, cet employeur n’était pas net, et le néko devait absolument le rattraper pour connaître les raisons de ce comportement…